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Fille d'Émile Amé, architecte du département, correspondant du CTHS et de la CTG
Fille d'Émile Amé, architecte du département, correspondant du CTHS et de la CTG
Après une enfance à Vic puis à Tarbes, il est envoyé au collège de Juilly en Seine-et-Marne (1831-1833). Il revient provisoirement dans les Pyrénées puis repart à Paris en 1835 pour faire une thèse de droit. Suite à un problème de santé de son père, il descend à Tibiran et réalise une première série de dessins. Il rentre à Paris jusqu'en 1844 en faisant des allers-retours chaque été à Tibiran. En août 1844, il s'installe définitivement dans la maison familiale. Maire de la commune à plusieurs reprises (1848-1852, 1863-1865 et 1871-1879, il se marie et eut 2 garçons qui décédèrent avant leur père, le privant de descendance. Passionné d'archéologie, il s'investit complètement dans la Société des Etudes du Comminges qu'il a contribué à fonder.
Henry Ageorges fouille entre juillet 1932 et juillet 1933 le cimetière de Soings (Soings-en-Sologne, Loir-et-Cher), et y découvre une tête en terre cuite. Il publie un article en 1938 dans la Revue de l'Académie du Centre, intitulé "Les fouilles effectuées en Loir-et-Cher".
Franz Cumont, de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, fait un rapport de cette découverte lors de la séance du 4 novembre 1938 et y consacre un article dans la Revue Archéologique en 1939.
Membre fondateur de la Société archéologique du Midi de la France
Conservateur au musée des Arts décoratifs (1924-1925), il en démissionne en 1941. Membre (1921-1925) puis membre perpétuel de la Société d’histoire de Paris et l’île-de-France.
Peintre aquafortiste, puis archéologue, conservateur du musée des Antiquités et des monuments historiques de la Seine inférieure. Dans une lettre, il se définit comme « agent administratif du Musée départemental des Antiquités de la Seine-inférieure ». Président de la Société des amis des monuments rouennais. Membre (1924-1942) et président (1927) de l’Académie des sciences, belles-lettres et art à Rouen. Secrétaire général (1911-1939) de Société libre d'émulation du commerce et de l'industrie de la Seine-Maritime.
Epigraphiste. Archéologue. Membre honoraire (1896-1898) de l’Académie de Vaucluse. Membre correspondant (1876-1899) de l’Académie des Inscriptions et Belles-Lettres. Membre (1876-1899) de l’Académie des sciences, belles-lettres et arts de Lyon. Membre correspondant (1856-1875) et membre non résidant (1875-1899) du CTHS. Membre de la Diana, Société historique et archéologique du Forez. Membre de la Société d’archéologie, d’histoire et de géographie de la Drôme. Membre correspodant en 1881 de la Société historique et archéologique des Vans. Membre (1858-1861) de la Société archéologique et littéraire de Lyon. Membre correspondant de la Société nationale des antiquaires de France.
Photographe et archiviste de la société archéologique de Bordeaux ; vice-président de la Société des archives historiques de la Gironde ; directeur de la publication du Bulletin de l’Union historique et archéologique du Sud-Ouest
Préparateur, puis sous-directeur laboratoire d’anatomie comparée du Museum d’Histoire Naturelle de Paris. Professeur au Museum à partir de 1924, titulaire de la Chaire d’Anatomie Comparée.
L'Exposition universelle de 1889 est la quatrième Exposition de ce type organisée par la France. Elle a pour but de célébrer le centenaire de la Révolution française, ce qui conduit les monarchies européennes à boycotter cette manifestation (absence de l’Allemagne, l’Autriche-Hongrie, la Belgique, l'Espagne, l'Italie, les Pays-Bas, le Portugal, le Royaume-Uni, la Russie et la Suède). Pour autant 35 nations y participent et on compte plus de 61000 exposants.
Elle est un éloge à la révolution industrielle qui consacre l’avènement de l’architecture métallique - la Tour Eiffel est en l'emblème -, ainsi qu'à l'empire colonial français.
Elle se développe sur 96 hectares dans Paris : le Champ-de-Mars et le Palais du Trocadéro accueillent l'art et l'industrie, tandis que l'esplanade des Invalides est dédiée aux expositions des colonies françaises et du ministère de la Guerre.
Comme pour les Expositions de 1867 et 1878, une partie de l'Exposition est dédiée à l'histoire du travail (Exposition rétrospective du travail et des sciences anthropologiques - Section I Sciences anthropologiques et ethnographiques. 1. Anthropologie 2. Ethnographie 3. Archéologie). Gabriel de Mortillet qui en est le principal organisateur reconstitue les différentes phases de l’évolution humaine par des scènes regroupant des mannequins associés à des objets authentiques.
Publiciste et professeur, élu correspondant de l’Académie des sciences morales et politiques en 1874. / Voir CTHS
Archiviste, géologue et archéologue préhistorien. Découvre avec Henry Testot-Ferry le site préhistorique de Solutré.
Historien, secrétaire puis président de la Commission des antiquités du département de la Côte-d’Or.
Juriste, haut fonctionnaire et membre de l’Académie des sciences morales et politiques (élu en 1877).
Professeur et bibliothécaire de Saintes. Fondateur de la Société des archives historiques de l’Aunis et de la Saintonge.
XXe siècle. Controleur principal en retraite. (Ministère des Finances).
Archiviste paléographe (promotion 1866), Emile Travers devient conseiller de préfecture des départements du Calvados et du Rhône, et archiviste du département du Doubs.
Trémeau de Rochebrune, Alphonse
Chirurgien aide-major.
Botaniste et archéologue.
Graveur. Il a travaillé en association avec ses frères Amédée Varin (1818-1883) et Adolphe Varin (1821-1897).
Après des études à l'école des Beaux-arts, Charles Texier devient architecte et inspecteur des Travaux Publics de Paris en 1827.
Il dirige des fouilles dans les ports de Fréjus et Ostie et cherche à déterminer les causes du retrait de la mer Méditerranée.
En 1833, il accomplit une mission en Asie Mineure puis en 1839 en Arménie, en Perse et en Mésopotamie.
En 1840, il est nommé professeur suppléant d'archéologie au Collège de France.
En 1843, il est nommé inspecteur général des Bâtiments civils en Algérie
Né à Bienne et militaire ayant participé à la guerre de Crimée, Friedrich Schwab a commencé à collectionner des armes et des pointes de flèches provenant des cités lacustres et des objets artisanaux du Moyen Âge retrouvés dans le Seeland. Lors de la correction des eaux du Jura après 1857, le niveau des lacs s'étant abaissé de plus de 2 mètres et ayant révélé de nombreux vestiges archéologiques, il a notamment participé à la fouille du site de La Tène (Lac de Neuchâtel).
Friedrich Schwab a légué à la ville de Bienne sa collection ainsi qu'une importante somme d'argent pour la construction d'un musée qui porte son nom. Le Musée Schwab a été inauguré en 1873.
Polytechnicien.
Sous-Lieutenant d’artillerie (1831), Lieutenant (1832), Capitaine (1837).
Professeur de mécanique à l'école d'artillerie (1839).
Conservateur du Musée d'artillerie de Paris (1840).
Chef d’escadron (1855).
Sénateur (1859).
Exil en Angleterre avec la famille impériale (1870).
Passionné de numismatique, il est élu membre de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres. Il voyage en Turquie, en Egypte, en Palestine et en Syrie entre 1845 et 1850 et y entreprend des fouilles archéologiques.