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Notice d'autorité

Cessac, Pierre (de)

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  • Personne
  • 1821 - 1889

Correspondant de la CTG pour la Creuse

Cazalis de Fontdouce, Paul

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  • Personne
  • 1835 - 1931

Correspondant de la CTG pour l'Hérault
Correspondant de la CGHAF pour l'Hérault

Caumont, Arcisse (marquis de)

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  • Personne
  • 1801 - 1873

Licencié en droit à l'université de Caen en 1822, il fonde, dès 1823, la Société linnéenne de Normandie et les Mémoires de la Société linnéenne de Normandie. L'année suivante, il fonde de la Société des antiquaires de Normandie et des Mémoires de la Société des antiquaires de Normandie. En 1830, il créé la Revue normande et, la même année, commence à enseigner à Caen un cours d'antiquités monumentales. Fondateur de l'Association normande pour les progrès de l'agriculture, de l'industrie et des arts en 1832, il devient la même année membre correspondant de l'Académie des inscriptions et belles-lettres. En 1833, il fonde les Congrès scientifiques de France (et la collection Congrès scientifiques de France ), puis en 1834, la Société française d'archéologie pour la conservation des Monuments historiques (dite Société française d'archéologie) et le Bulletin monumental. Il créé en 1839 l'Institut des provinces de France dont l'Annuaire est publié en 1846, année où il devient délégué général du ministre de l'Instruction publique auprès des Sociétés savantes. En 1851, il créé le Congrès des délégués des Sociétés savantes des départements (à Paris).

Cauchemé, Victor

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  • Personne
  • 1845 - 1938

Dessinateur originaire de l'Oise, il est remarqué par l'érudit compiégnois Albert de Roucy qui le fait engager en 1864 comme attaché au musée archéologique du palais de Compiègne qui accueille les trouvailles des fouilles commanditées par Napoléon III dans la forêt de Compiègne. Sa tâche est de classer et dessiner les collections du musée. En 1870, une partie de ses dessins sont versées au musée d'Archéologie nationale, alors Musée gallo-romain, où ils sont encore conservés aujourd'hui. L'autre partie des dessins est conservée au musée Antoine Vivenel de Compiègne, où ils ont été déposés par la Société Historique de Compiègne.

Victor Cauchemé démissionne en 1874 de l'administration des musées et devient l'assistant d'Auguste Laffolye, architecte du château de Compiègne, puis du château de Saint-Germain-en-Laye. Dans ce cadre, il est chargé de restaurer et cataloguer les objets khmers de l'expédition du lieutenant Delaporte, destinés à être exposés au château de Compiègne. Il doit aussi inspecter les travaux de restauration de l'hôtel de ville. En 1876, il est nommé sous-inspecteur des bâtiments à l'agence du château de Compiègne. Il finit sa carrière comme inspecteur de 1re classe en 1908.
Victor Cauchemé est également professeur adjoint de dessin aux côtés de Félix Deligny entre 1881 et 1886. Il est décoré Officier d'Académie le 22 janvier 1898. Entre 1900 et 1912, suite au décès d'Albert de Roucy, il publie Description des fouilles archéologiques exécutées dans la forêt de Compiègne en quatre volumes. En 1906, il reçoit un brevet de décoration du prince de Bulgarie pour services rendus aux officiers de la mission étrangère au Château pendant les manœuvres.

Catherine de Wurtemberg

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  • Personne
  • 1783 - 1835

Fille du duc puis roi (1806) Frédéric Ier de Wurtemberg (1754-1816). Mariée en 1807, sur la demande de Napoléon Ier, à Jérôme Bonaparte (1784-1860), roi de Westphalie.

Castelnau, Michel (de)

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  • Personne
  • 1518? - 1592

Homme de guerre et diplomate, baron de Joinville, seigneur de Mauvissière et de Concressaut.

Castan, Auguste

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  • Personne
  • 1833 - 1892

Diplômé de l’Ecole des Chartes. D’abord adjoint de Charles Weiss, conservateur de la bibliothèque de Besançon, il le remplace ensuite à ce poste. Inspecteur des Archives communales du département du Doubs.

Correspondant de la CGHAF

Castagné, Etienne

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  • Personne
  • 1823 - 1890

Étienne Castagné naît le 29 juin 1823 dans la commune du Roc, canton de Peyrac (Lot). Son père, François Castagné, est propriétaire. Étienne Castagné devient agent-voyer, d’abord à Catus, puis à Saint-Céré et enfin à Cahors jusqu’à sa retraite. C’est un homme de terrain, particulièrement actif, à une époque où le Conseil général du département, suite à la loi sur les chemins vicinaux du 21 mai 1836, engage des moyens considérables pour l’entretien et l’amélioration des routes de grandes communications et des chemins vicinaux, politique encouragée et soutenue par l’empereur Napoléon III.
Depuis le début du XIXe siècle, une longue discussion s'est tenu entre spécialistes pour savoir où placer le site du dernier lieu de résistance des Gaulois après la défaite d'Alesia : Uxellodunum. Pour mettre un terme à la polémique, les autorités locales ont chargé Étienne Castagné, agent voyer chargé de l'entretien des chemins du département, de mener une étude sur les différents sites proposés. En 1866 et 1875, Étienne Castagné publie un rapport avec plans des ouvrages de fortification de l'oppidum de Murcens, du Puy d’Issolud et de l'Impernal à Luzech. Suite à ces résultats, Napoléon III, dans le second tome de l'Histoire de Jules César, déclara le Puy d’Issolud (Lot) comme étant Uxellodunum. Étienne Castagné est nommé correspondant de la Commission de Topographie des Gaules en 1870. A ce titre, il informe régulièrement le Musée gallo-romaine (futur musée des Antiquités nationales) des découvertes faites dans les environs de Cahors et enquête sur les questions que lui pose Alexandre Bertrand sur les antiquités du département. Il négocie régulièrement l’achat des objets archéologiques par le musée de Saint-Germain. Il signale également à la CTG un nouvel oppidum placé sur les hauteurs de Luzech, sur la montagne de l’Impernal. La CTG le sollicite alors pour une étude des vestiges, en particulier du mode de construction de la muraille. En effet, les fouilles dirigées par Castagné à Murcens (Lot) en 1867 ont révélé pour la première fois une fortification gauloise de type murus gallicus marquant une étape décisive dans la connaissance des oppida. Pour étayer son rapport, en 1868, Étienne Castagné ajoute à une description manuscrite minutieuse, des relevés d'une grande précision et des photographies.
Cette expertise sur trois oppida du département du Lot encourage Étienne Castagné à poursuivre ses recherches dans ce domaine. Son travail sur Murcens est primé au concours des sociétés savantes de l’Académie de Toulouse en 1870, ce qui le conforte dans ses positions. Après les fouilles de l’Impernal, il présente un article plus global sur ces trois sites (Puy-d’Issolud, Murcens, Impernal), avec une synthèse sur les murailles gauloises, au congrès de la Société française d’Archéologie à Toulouse en 1875, publié la même année dans les comptes rendus.
En 1877, il publie un nouvel opuscule sur Les voies romaines du département du Lot qui lui permet de mettre en perspective l’histoire des voies de communications auxquelles il a consacré sa carrière d’agent-voyer. La même année, il présente au congrès de la Société française d’Archéologie de Senlis un mémoire sur le camp des Césarines près de la ville de Saint-Céré, dont il a dirigé les fouilles. Le mémoire est publié en 1879 dans les comptes rendus du congrès.
Étienne Castagné décède le 18 août 1890 à Cahors, à l’âge de 67 ans.

Cassou de Saint-Mathurin, Suzanne

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  • Personne
  • 1900 - 1991

Préhistorienne, archéologue.
Avec Dorothy Garrod, elle met au jour entre 1947 et 1957 d'importantes sculptures pariétales sur le site du Roc-aux-sorciers (Angles-sur-Anglin, Vienne).

Cartailhac, Edouard Philippe Emile

  • Personne
  • 1845 - 1921

Grand promoteur de la Préhistoire en France, Émile Cartailhac est membre non résident du CTHS à partir de 1870 et devient correspondant de la Commission de Topographie des Gaules. Il est chargé dans les années 1890 d'achever le Dictionnaire archéologique de la Gaule.
Encore jeune, il est sensibilisé à la Préhistoire par son oncle, Armand de Quatrefages, professeur au Muséum national d'histoire naturelle de Paris, et emploie ses loisirs à la fouille de dolmens en Aveyron. En 1867, il participe avec Gabriel de Mortillet et Édouard Lartet à la présentation des collections préhistoriques lors de l’Exposition universelle, puis est nommé secrétaire-adjoint du Congrès international d’anthropologie et d’archéologie préhistorique, la même année. Il est membre de la Société archéologique du Midi de la France dès 1866, et préside cette société savante entre 1914 et 1921. En 1869, Cartailhac acquiert la revue fondée par Gabriel de Mortillet Matériaux pour l’étude philosophique et positive de l’Homme, qu’il fusionne en 1889 avec la Revue d’anthropologie et la Revue d’ethnographie et devient co-directeur de L’Anthropologie. Le dernier fascicule du Dictionnaire archéologique de la Gaule, dont il avait repris le projet en 1894, n'est publié qu'en 1924, trois ans après sa mort.
Il étudie les mégalithes du Portugal et de l'Espagne en 1886, ceux des Baléares et de la Sardaigne en 1888. Après avoir nié l’authenticité des peintures rupestres d’Altamira, il reconnaît publiquement son erreur en 1902, puis publie avec l’abbé Breuil La Caverne d’Altamira. La collaboration des deux préhistoriens se poursuit avec l’exploration des grottes de Niaux (1906) et de Gargas (1910). Le prince de Monaco finance les fouilles des grottes de Grimaldi que mènent les deux hommes, et accompagné de leurs conseils fonde l’Institut de Paléontologie humaines en 1910. Soucieux de divulguer les connaissances sur la Préhistoire, Émile Cartailhac aménage le musée de Saint-Raymond à Toulouse, et remet aux musées de Toulouse et de Saint-Germain-en-Laye, le produit de ses fouilles. Il inaugure un cours d’archéologie préhistorique à la Faculté des sciences de Toulouse en 1882.

Carrère, P.

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  • Personne
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Peintre.

Carrard, H.

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  • Personne
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Collectionneur à Lausanne.

Caraven, Alfred

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  • Personne
  • ? - ?

Naturaliste
Correspondant du CTHS
Correspondant de la CTG (?) pour le Tarn
Membre et lauréat de plusieurs académies et sociétés savantes à Castres

Capitan, Louis

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  • Personne
  • 1854 - 1929

Médecin et anthropologiste.

Canonge, J.

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  • Personne
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Canat de Chizy, Marcel

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  • Personne
  • 1811 - 1891

Avocat. Érudit et historien local, fondateur de la Société d'histoire et d'archéologie de Chalon-sur-Saône. Membre de la Société française d’archéologie et de l’Institut des provinces.

Cailletet, Louis

  • Personne

Musée d’Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

Cadet de Gassicourt, Charles-Louis

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  • Personne
  • 1769 - 1821

Avocat, puis pharmacien. Docteur en sciences (1812). Secrétaire du Conseil de salubrité et de la section pharmacie de l'Académie de médecine.

Cabinet des titres

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  • Collectivité
  • XVIIe et XVIIIe siècles

Archives des juges d’armes du roi, qui ont rassemblé au cours des XVIIe et XVIIIe siècles des originaux et copies de pièces présentant un intérêt généalogique.

Bulliot, Jacques Gabriel

  • /
  • Personne
  • 1853 - 1870

Négociant en vins, membre non résidant du CTHS et président de la Société éduenne des lettres, sciences et arts implantée à Autun, Jacques-Gabriel Bulliot, est nommé correspondant de la Commission de Topographie des Gaules (CTG) en 1865.
Passionné par l'histoire de sa région, Gabriel Bulliot identifie le Mont Beuvrey (Saône-et-Loire) comme étant le site de l'antique Bibracte, capitale des Éduens. À partir de 1866, la CTG lui alloue régulièrement des sommes afin de subventionner ses chantiers. Il entreprend de nombreuses fouilles entre 1867 et 1895, date à laquelle il confie les travaux à son neveu Joseph Déchelette.
Gabriel Bulliot envoie au musée gallo-romain une partie du matériel découvert, entre 1869 et 1875, souvent donné officiellement par Napoléon III ou la CTG.

Bruzard, Armand

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  • Personne
  • 1801 - 1883

Peintre. Avocat à la Cour de Cassation. Maire de Semur.
Président de la Société des sciences de Semur de 1863 à 1884.

Bruzard, Albert

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  • Personne
  • 1835 - 1887

Fils d’Armand Bruzard

Brune, Paul

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  • Personne
  • 1862 - 1920

Abbé. Historien de la Franche-Comté.
Membre correspondant de l’Académie des sciences, belles-lettres et arts de Besançon et de Franche-Comté (1893)
Membre correspondant du CTHS
Membre résidant de la Société d'émulation du Jura (1885-1920)
Membre de la Société française d'archéologie (1891)
Membre de la Société nationale des antiquaires de France (1889)

Bruand, Jean-Jacques

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  • Personne
  • 1769 - 1826

Avocat. Conseiller de préfecture à Besançon. Cousin de Joseph Bruand.

Browne, Edward

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  • Personne
  • 1644 - 1708

Médecin et voyageur.

Brossette, Louis

  • Personne
  • 1827 - ?

Peintre et Lithographe français, il a réalisé ses études à l'Ecole des Beaux-Arts de Lyon, entre 1847 et 1850, dans l'atelier de Claude Bonnefond. Il expose ensuite à Lyon jusqu'en 1859.
Il réalise aussi des dessins archéologiques et scientifiques, que l'on retrouve dans des publications de chercheurs et dans leurs archives personnelles, tels qu'Ernest Chantre et Edouard Flouest. Néanmoins, aucune source ne vient préciser et contextualiser cette activité : Louis Brossette apparait seulement comme l'auteur de certains dessins, avec la mention "L. Brossette del".

Brion, Adolphe Auguste

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  • Personne
  • 1824 - 1877

Gustave Adolphe Brion, né le 24 octobre 1824 à Rothau (Bas-Rhin) et mort le 3 novembre 1877 dans le 14e arrondissement de Paris1, est un peintre et illustrateur français.
Brion est un peintre de l'Alsace, dont l'œuvre, après 1870, touche le public du Salon par la fibre patriotique des « provinces perdues ». Né à Rothau dans les Vosges dans une famille où l'on se faisait volontiers pasteur, il était le petit-neveu de Frédérique Brion, l'amie de Goethe. En 1831, sa famille s'installe à Strasbourg, où il reçoit sa formation artistique dans l'atelier du sculpteur Friedrich puis du peintre Gabriel-Christophe Guérin (1841-1844). Par la suite, selon un schéma de carrière habituel, il se fixe à Paris jusqu'à sa mort, mais il gardera toujours un contact avec son Alsace natale : Il vint à Paris, en 1850, pour faire une copie du Dante d'Eugène Delacroix et exposa au Salon de 1852 le Chemin de halage (acquis par les Goncourt, ses premiers amateurs). En 1853, les Schlitteurs de la Forêt-Noire et La Récolte de pommes de terre pendant l'inondation lui valurent une médaille de deuxième classe. Il donna à l'Exposition universelle de 1855 le Radeau sur le Rhin et le Jeu de quilles ; en 1861, la Noce en Alsace, le Repas de noce, le Benedicite et la Batterie de machines de guerre, tableau acquis par l'empereur ; en 1863, Jésus et Pierre sur les eaux et les Pèlerins de Sainte-Odile ; en 1864, la Fin du déluge, la Quête au loup ; en 1865, le Jour des rois en Alsace, en 1868, une Lecture de la Bible. « M. G. Brion, qui avait eu deux rappels de médaille de deuxième classe [...], obtint au Salon de 1863 une médaille de première classe et la décoration de la Légion d'honneur. Il a eu une deuxième médaille à l'Exposition universelle de 1867 et une médaille d'honneur en 1868. » L'énumération par Vapereau (Dictionnaire universel des contemporains, 1870) des succès du peintre au Salon et de ses récompenses sous le second Empire indique les thèmes favoris de cet artiste « officiel » : oscillant entre la scène de genre et la peinture d'histoire à sujet religieux.

Bouvet, Charles Louis

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  • Personne
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Correspondant de la CTG pour le Loir-et-Cher

Bourdet, Désiré

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  • Personne
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Correspondant CTG pour la Seine-Inférieure

Bourasse, Jean-Jacques

  • Personne
  • 1813 - 1872

Correspondant de la CTG pour l'Indre-et-Loire.
Chanoine titulaire de Tours.
Correspondant du CTHS (1840-1873).
Fondateur et président de la Société archéologique de Touraine.

Bouillet, Jean-Baptiste

  • Personne
  • 1799 - 1878

Banquier. Géologue et minéralogiste. Conservateur du musée de Clermont-Ferrand.

Correspondant de la CTG pour le Puy-de-Dôme

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