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Notice d'autorité

Thiolly, ?

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  • Personne
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Texier, Charles

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  • Personne
  • 1802 - 1871

Après des études à l'école des Beaux-arts, Charles Texier devient architecte et inspecteur des Travaux Publics de Paris en 1827.
Il dirige des fouilles dans les ports de Fréjus et Ostie et cherche à déterminer les causes du retrait de la mer Méditerranée.
En 1833, il accomplit une mission en Asie Mineure puis en 1839 en Arménie, en Perse et en Mésopotamie.
En 1840, il est nommé professeur suppléant d'archéologie au Collège de France.
En 1843, il est nommé inspecteur général des Bâtiments civils en Algérie

Terninck, Auguste

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  • Personne
  • 1811 - 1888

Percepteur à Diéval (1837), à Ablain-Saint-Nazaire (1839) puis à Bois-Bernard (1843).
Initié à la littérature et aux sciences par son père, Benoît-Joseph-Charles Terninck, il s'intéresse à l'histoire locale et à l'archéologie de la région et entreprend des prospections et des fouilles qui lui permettent de constituer une riche collection d'objets archéologiques de la Préhistoire au haut Moyen Age.
Auguste Edmond Terninck est né le 21 mars 1811 à Arras (Pas-de-Calais). Il est le fils de Benoît-Joseph-Charles Terninck, propriétaire, et Victoire Lefebvre dont le père, Barthélémy Auguste César Lefebvre-Dupré, était membre du Conseil des cinq-cents, officier de la Légion d’honneur et chancelier de la deuxième cohorte1. Les parents d’Auguste Terninck se sont mariés à Arras le 22 brumaire an XIV (14 novembre 1805). uguste Terninck est envoyé au petit séminaire d’Arras pour faire ses études, il suit les cours du collège dirigé par M. Sallentin. Il est très bon en latin et en grec. Il obtient le diplôme de bachelier-ès-lettre le 30 août 1831 à Douai (Nord), il est ensuite envoyé à Paris où il suit des cours de droit. Il est nommé bachelier en droit, le 27 janvier 18353.

À son retour à Arras, ses parents le font entrer dans l’administration des finances. Après deux ans passés dans les bureaux de la Recette générale à Arras, il est nommé percepteur à Diéval (Pas-de-Calais) le 1er avril 1837. Il est ensuite transféré à Ablain-Saint-Nazaire (Pas-de-Calais) le 31 décembre 1839. Il se marie le 26 octobre 1840 avec Adèle-Dorothée de Contes d’Esgranges, fille du baron d’Esgranges. Il est muté à Bois-Bernard (Pas-de-Calais) le 5 mars 1843 où il terminera sa carrière. C’est à Bois-Bernard que naissent ses quatre enfants (un garçon et trois filles) : Marie Éléonore Henriette née le 7 août 1843, Louise Marie Victoire née le 24 novembre 1844, Noémie Héléna Marie née le 15 février 1848 et Louis Bauduin Raphaël né le 14 décembre 1849. Les Terninck habitent dans le château de Bois-Bernard, château qui sera détruit pendant la guerre 14-18. Son épouse, Adèle-Dorothée de Contes décède le 24 janvier 1870, elle est alors âgée de 55 ans.
Auguste Terninck est initié aux travaux littéraires et scientifiques de bonne heure par son père qui occupait lui-même un rang parmi les savants. Il profite du temps libre que lui procure son métier pour s’intéresser à l’histoire locale de sa région et plus particulièrement à l’archéologie. Il étudie ainsi plus précisément l’Artois souterrain, décrit un grand nombre d’églises du Pas-de-Calais, étudie le mobilier archéologique. Il fouille de nombreuses sépultures antiques et publie énormément sur ses découvertes dans les mémoires de nombreuses sociétés savantes. Il devient ainsi l’initiateur des antiquités gauloises, gallo-romaines et franques de l’Artois et intègre la Commission des Monuments historiques du Pas-de-Calais le 15 juin 1843 dont il est l’un des membres fondateurs. Il est élu membre du Comité central le 24 juillet 1846. Lors des séances organisées par la Commission des Monuments historiques du Pas-de-Calais, Auguste Terninck fait le récit de ses découvertes.
Nous savons peu de chose sur ses pratiques de fouilles.

Auguste Terninck possédait une importante collection d’objets anciens réunie grâce aux nombreuses fouilles et prospections qu’il entreprenait dans la région, ses objets provenaient principalement de l’Artois. Il avait rassemblé cette collection chez lui, au deuxième étage de son château de Bois-Bernard. Celle-ci se composait d’objets allant de la Préhistoire au haut Moyen Âge, céramique (vases et lampes), verrerie, tabletterie (épingles, jetons, alènes, charnières, cuillères, couteau), bronze (statuettes, récipients, objets de parure et de toilette)9. Cette collection, plusieurs fois remaniée par des achats ou des échanges, n’a fait l’objet d’aucun catalogue détaillé et Terninck lui-même hésite souvent sur l’origine des objets qui la composent10. Il a notamment acheté des objets provenant de la fouille du cimetière mérovingien de Maroeuil.

Auguste Terninck fut récompensé et honoré par les sociétés savantes auxquelles il appartenait par des médailles et des diplômes pour ses nombreux écrits. En 1865, son ouvrage intitulé Arras et ses monuments fut couronné par l’académie d’Arras. Il reçut également en 1880 par la Société française d’archéologie la médaille de vermeil pour ses fouilles archéologiques dans le Pas-de-Calais durant le congrès archéologique tenu à Arras11. Le 15 juillet 1881, sur l’initiative de la Commission des Monuments Historiques, l’académie d’Arras lui décerna une médaille hors classe et le proclama membre honoraire. La Société des Antiquaires de la Morinie le récompensa par un diplôme d’honneur la même année12.

Auguste Terninck est mort le 22 mars 1888 à Bois Bernard (Pas-de-Calais) d’une maladie subite. A. de Cardevacque a rédigé dans les Mémoire de la Commission départementale des monuments historiques du Pas-de-Calais en 1889 une notice biographique en hommage à Auguste Terninck.

Après sa mort, une grande partie de sa collection a été déposé au Palais des Beaux-Arts de Lille. Lors des travaux du musée dans les années 1990, cette collection a été transportée avec l’ensemble de la collection archéologique du musée au musée de l’Hospice Comtesse. En 1997, elle a été mise en dépôt au Service archéologique municipal de Lille13. Une partie de cette collection d’Auguste Terninck a fait l’objet d’études.

Teissier, Octave

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  • Personne
  • 9 janvier 1825 - 18 novembre 1904

Après avoir travaillé dans les finances algériennes, il devient chef de cabinet du préfet du Var, puis receveur municipal à Toulon.
Archiviste de la ville de Marseille (1874).
Conservateur de la bibliothèque et du musée de Draguignan (1888).

Tavernier, Melchior

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  • Personne
  • 1594 – 1665

Né en 1594 et mort en mai 1665, Melchior Tavernier est un graveur, éditeur, hydrographe et marchand d'estampes français. Il possède notamment le titre d’« imprimeur en taille douce du roi ». Il serait le fils du graveur Gabriel II Tavernier et le neveu de Melchior I Tavernier. Entré en apprentissage à Paris le 30 juin 1609 chez le graveur flamand Thomas Le Leu, il rachète dix ans plus tard – le 30 avril 1619 – le fonds de son père. De 1632 à 1644, il travaille avec le cartographe Nicolas Sanson (1600 – 1667), et participe ainsi au développement de la cartographie en France. Il est l'ami et éditeur du graveur Abraham Bosse, ainsi que le fournisseur attitré de Nicolas-Claude Peiresc. Il est également l'homme de confiance de son frère Jean-Baptiste, marchand, « trafiquant » et négociant.
En 1644, il vend pour 5000 l. une partie de son fonds à François Langlois dit Ciartres, et pour 11 200 l. l'autre partie à Pierre I Mariette. Il se retire alors de son activité, et acquiert la charge de contrôleur et clerc de la maison d'Orléans.

Tartière, Henri

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  • Personne
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Archiviste du département des Landes en 1861 à 1898.

Sénemaud, Edmond

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  • Personne
  • 19 avril 1818 - 20 avril 1887

Professeur d'histoire, puis archiviste des Ardennes (1862-1887). Fondateur de la Revue des Ardennes.

Sénat

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  • Collectivité
  • 1875 - 2099

Suchaux, Louis

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  • Personne
  • 1799 - 1884

Imprimeur et journaliste.

Stora, Raphaël

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  • Personne
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Biens juifs spoliés

Stoffel, Eugène

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  • Personne
  • 1821 - 1907

Eugène Stoffel entre à Polytechnique avant d'entamer une carrière militaire. Tour à tour chef d'escadron puis officier d'ordonnance de l'empereur Napoléon III, il est nommé lieutenant-colonel le 21 décembre 1866 puis attaché militaire à l'ambassade de France à Berlin. C'est à ce poste qu'il rédige ses observations sur la Prusse, se lançant dans un véritable espionnage et mettant en avant la possibilité d'une guerre.

Promu colonel pendant le siège de Paris (1870-1871), il organise la défense du plateau d'Avron, sans succès. Mis à la retraite en 1872 pour avoir critiqué le gouvernement Thiers, Stoffel se lance dans la politique en se présentant sans succès aux élections législatives de 1873.

Stoffel est également connu pour son rôle dans les campagnes de fouille ordonnées par Napoléon III, et en particulier dans les fouilles des sites de Gergovie, d'Alise-Sainte-Reine et du Puy d'Issolud.

Stella, Jacques

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  • Personne
  • 1596 - 1657

Peintre, dessinateur et graveur français.

Steinen, Karl von Den

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  • Personne
  • 7 mars 1855 - 4 novembre 1929

Médecin, philologue, explorateur et ethnologue allemand

Stafford, Edward

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  • Personne
  • 1552-1605

Ambassadeur d'Angleterre en France.

South, Simeon

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  • Personne
  • ? - ?

Anglais, décédé au XIXe siècle.

Société des Sciences historiques et naturelles de Semur

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  • Collectivité
  • 1842 -

Créée en 1842 et d'abord dédiée aux sciences naturelles, la société intègre les études historiques au début des années 1860. Elle prend une part active au développement du musée municipal de Semur-en-Auxois.
Elle reprend, au début du XXe siècle, la direction et la promotion des fouilles d'Alise-Sainte-Reine.

Société d'Anthropologie de Lyon

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  • Collectivité
  • 1881 - 1922

La Société est créée par un comité de chercheurs et de savant lyonnais, portés sur les sciences anthropologiques. Elle fusionne en 1922 avec la Société Linnéenne de Lyon.

Sincerus, Jodocus

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  • Personne
  • 1590? - 1620?

Juriste allemand.

Simmonet, Jules

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  • Personne
  • 23 décembre 1824 - 31 mars 1875

Docteur en droit.
Conseiller à la Cour impériale de Dijon.

Silvestre, Israël

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  • Personne
  • 1621 - 1691

Né à Nancy le 3 août 1621 et mort à Paris le 11 octobre 1691, Israël Silvestre est un graveur à l'eau-forte, dessinateur, éditeur et distributeur français.
Son père, Gilles Silvestre, est peintre sur verre ; il a pour parrain Israël Henriet, son oncle maternel, qui devient plus tard son principal éditeur.
À la mort de ses deux parents en 1631, le jeune Israël Silvestre vient vivre auprès d'Israël Henriet à Paris, qui y exerce rue de l'Arbre Sec en tant que peintre et dessinateur. À son contact, Silvestre se forme ainsi au dessin à la plume, et s'attache rapidement à représenter des vues de Paris et ses environs qu'il reproduit plus tard dans ses gravures. Jeune homme, il entreprend un tour d'Italie au cours duquel il se consacre entièrement au dessin et à la gravure de paysage. Ce voyage lui permet de faire paraître ses premières productions, d'abord à Rome, puis à Lyon alors qu'il revient vers Paris. Ces vues sont qualifiées de « médiocres » par Faucheux, qui y voit la preuve de la jeunesse et de l'inexpérience du jeune graveur.
À son retour en France en 1640, Silvestre se lie d'amitié avec Stefano Della Bella – dit Étienne de La Belle (1610 – 1664) – avec qui il travaille pour le compte de son oncle.
Silvestre effectue vraisemblablement deux autres voyages en Italie : un de 1643 à 1644, et un dernier vers 1653. Jusqu'en 1659, il effectue plusieurs autres voyages en France et en Lorraine, dont il rapporte systématiquement des vues dessinées.
Le 10 septembre 1662, il épouse dans sa paroisse de Saint-Germain-l’Auxerrois Henriette Sélincart, dont il aura dix enfants.
Il accède en 1663 à la charge de dessinateur ordinaire du roi, avant d'être nommé maître à dessiner des pages des Grandes et Petites Écuries en 1666, puis du Dauphin en 1673. À partir de 1661, il bénéficie du privilège d'un logement aux galeries du Louvre ; ce privilège est renouvelé en 1668. En 1670, il est reçu à l'Académie royale de Peinture et de Sculpture sur la recommandation de Charles Le Brun. Après la mort d'Henriette Sélincart le 1er septembre 1680, son époux lui survit encore onze ans. Il décède à l'âge de soixante-dix, le 11 octobre 1691, dans son appartement du Louvre. Après son décès, il est inhumé auprès de son épouse et de son oncle à Saint-Germain-l'Auxerrois.

Shepherd, William

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  • Personne
  • 1768 - 1847

Historien et homme politique anglais.

Scott, John

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  • Personne
  • 1784 - 1821

Schwab, Friedrich

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  • Personne
  • 1803 - 1869

Né à Bienne et militaire ayant participé à la guerre de Crimée, Friedrich Schwab a commencé à collectionner des armes et des pointes de flèches provenant des cités lacustres et des objets artisanaux du Moyen Âge retrouvés dans le Seeland. Lors de la correction des eaux du Jura après 1857, le niveau des lacs s'étant abaissé de plus de 2 mètres et ayant révélé de nombreux vestiges archéologiques, il a notamment participé à la fouille du site de La Tène (Lac de Neuchâtel).
Friedrich Schwab a légué à la ville de Bienne sa collection ainsi qu'une importante somme d'argent pour la construction d'un musée qui porte son nom. Le Musée Schwab a été inauguré en 1873.

Schmit, Emile

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  • Personne
  • 1850 - 1930

Archéologue. Conservateur du musée de Châlons-sur-Marne

Saulcy, Félicien de

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  • Personne
  • 1807 - 1880

Polytechnicien.
Sous-Lieutenant d’artillerie (1831), Lieutenant (1832), Capitaine (1837).
Professeur de mécanique à l'école d'artillerie (1839).
Conservateur du Musée d'artillerie de Paris (1840).
Chef d’escadron (1855).
Sénateur (1859).
Exil en Angleterre avec la famille impériale (1870).
Passionné de numismatique, il est élu membre de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres. Il voyage en Turquie, en Egypte, en Palestine et en Syrie entre 1845 et 1850 et y entreprend des fouilles archéologiques.

Sarcus, Charles Marie de

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  • Personne
  • 1821 - 1867

Baron.
Peintre, caricaturiste et archéologue.

Sanderson, John

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  • Personne
  • 1783 - 1844

Ecrivain et enseignant américain (de Pennsylvanie).

Salin, Édouard

  • Personne
  • 1889 - 1970

Marie Pierre Marcel Édouard Salin est le fils du richissime Auguste Salin (1848-1919), maître de forges, propriétaire des forges de Dammarie-sur-Saulx et d'Écurey, et de son épouse née Marie Jeanne Claudine Henriette Beugniot. Son frère Pierre (1881-1942), également ingénieur civil des mines, a géré les Fonderies Salin de Dammarie-sur-Saulx.

Il fait ses études secondaires à Paris, à l'école Bossuet et au lycée Montaigne, puis au lycée Louis-le-Grand. En 1916, il épouse Suzanne Bourin1.

Formé à l'École des mines dont il sort major, il eut l'occasion de suivre les cours de Conrad Schlumberger, auteur des premières recherches dans le domaine de la prospection géophysique. Consacrant tout son temps à la recherche archéologique à partir des années 1950, Salin a l'occasion d'appliquer les méthodes géophysiques dans ce domaine, avec l'aide de la Société d'Études pour la France et l'Étranger. Il s'agit alors de la première recherche de ce type en France, quelques années avant son application sur le site d'Argentomagus à Argenton-sur-Creuse. Il est, avec Roger Billoret, un des principaux chercheurs du site de Grand.

En 1945, il devient président de la Compagnie des forges d'Audincourt ; à partir de 1959, il en est administrateur-président d'honneur.

En 1950, il fonde le Laboratoire de recherches archéologiques du Musée lorrain. Il crée le Musée de la sidérurgie et de l'histoire du fer qu'il installe dans une partie de son domaine de Montaigu.

Il a été président de la Société d'archéologie lorraine et de l'Académie Stanislas. Il a présidé la Société d'histoire de la Lorraine et du musée lorrain de 1945 à 1969.

En 1952-1953 et 1957, à l'occasion de campagnes de fouilles à la basilique Saint-Denis, il découvre plusieurs tombes à mobilier sous le bras nord du transept, puis dans le prolongement de la crypte de Viollet-le-Duc. Spécialiste de l'époque mérovingienne, il publie également plusieurs articles et ouvrages d'archéologie.

Salazar, Ambrosio de

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  • Personne
  • 1573 - 1643

Secrétaire et interprète du roi en espagnol.

Saint-Périer, René de

  • Personne
  • 1877 - 1950

René de Poilloüe, comte de Saint-Périer, fait ses études de médecine de 1898 à 1903. Il se passionne pour l’archéologie en 1911. Il réalise des fouilles à Souzy (Rhône) en 1912 et met au jour un ensemble exceptionnel de mosaïques gallo-romaines. Il passe également un bail avec la commune de la grotte des Rideaux (Lespugue, Haute-Garonne) afin d’en avoir l’exclusivité. En 1912, il commence à fouiller la grotte des Bœufs (Jura) et la grotte des Harpons (Haute-Garonne).
A partir de 1928, Il fouille avec son épouse la grotte d’Isturitz (Pyrénées-Atlantiques), il s’agit de son chantier le plus important avec celui de Lespugue.
Suzanne-Raymonde passe la majeure partie de sa vie à aider son mari dans ses campagnes de fouilles. C’est à elle que l’on doit la découverte de la Vénus de Lespugue (1922). Le couple installe dans son château des vitrines afin d’exposer ses collections préhistoriques. S. de Saint-Périer se faisait toujours un plaisir de les montrer à ses visiteurs ou à des lycées et des étudiants. Après la mort de son mari, elle continue ses travaux et à s’intéresser à la Préhistoire.
A la suite du décès de Suzanne de Saint-Périer, la collection du couple rejoint le musée d'Archéologie nationale. Cependant, certains objets furent donnés à d’autres musées comme la vénus de la grotte des Rideaux qui est conservée au Musée de l’Homme.

Saint-Mauris, Jean de

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  • Personne
  • ? - 1555

Ambassadeur impérial en France entre 1544 et 1549.

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