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Notice d'autorité

Renier, Charles Alphonse Léon

  • Personne
  • 1809-1885

Né à Charleville, Léon Renier arrive à Paris en 1838. Il oriente sa carrière autour de la philologie et de l'archéologie.
Spécialiste de l'épigraphie latine, Léon Renier fut parmi les premiers historiens à se rendre en Algérie dans le but de rassembler des inscriptions romaines, entre 1850 et 1852, en vue de leur publication à la demande de l'Institut.
Chargé depuis 1854 de la publication du Recueil des inscriptions de la Gaule, il devient membre de la Commission de Topographie des Gaules en 1861.

Berthier, Charles

  • Personne

Administrateur et gendre de Thomas-Frédéric Moreau.

Muret, Jean-Baptiste

  • Personne
  • (1795-1866)

Jean-Baptiste Muret entre en 1831 au Cabinet des médailles où il exerce la charge d'employé-dessinateur. Dans le cadre de cet emploi, il réalise également des moulages de monnaies et de pierres gravées. Chargé à partir de 1848 de tenir les fiches d'inventaire des objets archéologiques du cabinet, il est nommé bibliothécaire en 1863.
Les dessins qu'il réalise au cours de sa carrière sont mobilisés dans de nombreuses publications, comme le Monuments des arts du dessin chez les peuples tant anciens que modernes, recueillis par le Baron Vivant Denon (1816-1820)2.
Il travaille également comme illustrateur pour l'édition : il réalise des lithographie d’après les dessins de Moritz Retzsch, d'Horace Vernet et d'Ingres.
En trente-cinq ans de carrière, il dessine plus de 8 000 objets antiques copiés d'après diverses sources. Les objets du cabinet des médailles sont les plus représentés, mais ses dessins documentent également des artefacts conservés en collections privées et dans des musées français et étrangers. Il arrive également à Jean-Baptiste Muret de copier les reproductions de grandes publications antiquaires.
Les 1986 planches réalisées par Jean-Baptiste Muret pour le Cabinet des médailles sont conservées dans onze volumes reliés grand folio, achetés par la Bibliothèque nationale après sa mort auprès de son fils Ernest. Une partie seulement des objets représentés est identifiée par des légendes, plus ou moins lacunaire.

Depuis 2017, un projet de recherche mené par l'Institut national d'Histoire de l'Art à Paris vise à éditer numériquement le corpus.

Yvernois, Charles

  • Personne
  • ? - ?

Propriétaire du terrain sur lequel fut découvert le site de Corcelettes (Suisse, canton de Vaud) et collectionneur. Sa collection fut acquise en 1881 par le Docteur Gross.

Gauckler, Paul

  • Personne
  • 1866 - 1911

Né le 16 avril 1866 à Colmar et mort le 6 décembre 1911 à Rome, Paul Gauckler est un archéologue français ayant appartenu à la génération des pionniers de l'archéologie tunisienne.
Paul Gauckler est le fils de Philippe Gaspard Gauckler (1826-1905), ingénieur en génie civil et officier de la Légion d'honneur. En 1872, la famille déménage à Épinal. Le jeune Paul a une santé fragile et son père exerce une forte autorité sur lui. En 1882, il termine ses études dans un lycée de Nancy. Son père l'incite alors à poursuivre ses études dans le domaine des sciences naturelles malgré les intérêts divergents de son fils. En octobre de la même année, il est accepté au lycée Louis-le-Grand à Paris et obtient en 1883 un diplôme en sciences naturelles. À la suite de ce diplôme, il suit des cours en sciences humaines et obtient, en 1884, un prix national au concours général au lycée Louis-le-Grand.

En raison de bronchites chroniques, Paul Gauckler passe l'hiver 1884-1885 pour la première fois en Algérie, dans la ville d'Alger. Pendant ce séjour, il développe un intérêt pour l'histoire et l'archéologie. Il débute alors une formation à l'École supérieure des lettres d'Alger, qui prendra plus tard le titre d'université d'Alger. Pendant ses études, il fait notamment la connaissance de Paul Monceaux (1859-1941).

Il fréquente à nouveau le lycée Louis-le-Grand à partir de novembre 1884 et suit le cours d'histoire et de géographie de l'École normale supérieure à partir de 1886. Au cours de cette formation, il est profondément influencé par le géographe Paul Vidal de La Blache (1845-1918). Paul Glaucker termine son cursus avec succès en 1889 par une agrégation d'histoire et géographie.

Par l'entremise de l'archéologue Georges Perrot (1832-1914), il retourne en Algérie en 1890 pour le compte du ministère français de l'Éducation. Il est alors en activité au service des archives, bibliothèques et musées d'Algérie et réalise des inventaires des musées de Constantine et Cherchell. Dans les environs de Philippeville, aujourd'hui Skikda, il met au jour une nécropole de la ville antique de Thapsus. En 1892, Gauckler est nommé inspecteur en chef du bureau tunisien d'art et d'antiquités, qui est aujourd'hui l'Institut national du patrimoine. Il en prend la direction à partir de 1896, succédant à René du Coudray de La Blanchère. En 1897, il publie avec La Blanchère le premier inventaire du musée Alaoui à Tunis, l'actuel musée du Bardo ; cet ouvrage est ensuite complété en 1910. En 1902, en commun avec d'autres collègues, il publie également un inventaire du musée de Sousse.

Le poste de chef de l'administration des antiquités est pour Paul Gauckler, et malgré les succès rencontrés, souvent source de conflits. À cette époque, l'archéologie est pour grande part encore l'œuvre d'amateurs en raison de l'absence de régulations étatiques. Gauckler, avec ses grandes ambitions et malgré sa position, se trouve souvent à l'écart. Son obstination pour la primauté du rôle de l'État dans la conservation du patrimoine historique se heurte souvent au missionnaire et archéologue amateur Alfred Louis Delattre (1850-1932). Le clerc Charles Lavigerie (1825-1892), établi depuis 1875 en Algérie, avait en effet chargé Delattre d'effectuer des recherches à Carthage et dans ses environs. Lors de ces fouilles, Delattre rassemble des vestiges chrétiens qu'il emmène au musée situé près de la citadelle antique de Byrsa, créé par son ordre et appelé d'après le roi saint Louis qui correspond aujourd'hui au musée national de Carthage. En plus de Lavigerie, il y a également le médecin militaire français Louis Carton (1861-1924), avec lequel Gauckler doit compter. Celui-ci occupe son temps libre en tant que archéologue amateur ; il est notamment devenu célèbre grâce ses découvertes à Dougga (mosaïque de l'aurige vainqueur entre autres).

Alors que des bruits sur son homosexualité envahissent la presse tunisienne et qu'il souffre par ailleurs d'une grave maladie cardiaque, Gauckler présente sa démission de son poste d'inspecteur en chef le 10 octobre 1905. Il est remplacé le 1er novembre de la même année par Alfred Merlin1. À partir de 1907, il reprend ses activités professionnelles pour le compte du ministère français de l'Éducation, qui le nomme à Rome. En tant que membre de l'Académie de France à Rome, il prend la direction au début de l'année 1907 des fouilles du sanctuaire antique bâti par des colons syriens sur le mont Gianicolo (Janicule). En 1911, en raison de souffrances persistantes liées à son état de santé, il décide de mettre fin à ses jours.

Ses archives sont données par sa sœur Anna Gauckler, sans doute à Alfred Merlin, et sont ensuite passées aux mains de Louis Poinssot (1879-1967). Elles sont aujourd'hui déposées à l'Institut national d'histoire de l'art.

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Paul Gauckler

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Paul Gauckler
BiographieNaissance
16 avril 1866

Colmar
Décès
6 décembre 1911
(à 45 ans)
Rome
Nom de naissance
Paul Frédéric Gauckler
Nationalité
Française
Formation
Lycée Louis-le-Grand
Activités
Archéologue, historien
Père
Philippe Gaspard Gauckler
Autres informationsMembre de
Académie des inscriptions et belles-lettres
Distinction
Ordre national de la Légion d'honneur

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Paul Gauckler, de son nom complet Paul Frédéric Gauckler, né le 16 avril 1866 à Colmar et mort le 6 décembre 1911 à Rome, est un archéologue français ayant appartenu à la génération des pionniers de l'archéologie tunisienne.
Biographie

Paul Gauckler est le fils de Philippe Gaspard Gauckler (1826-1905), ingénieur en génie civil et officier de la Légion d'honneur. En 1872, la famille déménage à Épinal. Le jeune Paul a une santé fragile et son père exerce une forte autorité sur lui. En 1882, il termine ses études dans un lycée de Nancy. Son père l'incite alors à poursuivre ses études dans le domaine des sciences naturelles malgré les intérêts divergents de son fils. En octobre de la même année, il est accepté au lycée Louis-le-Grand à Paris et obtient en 1883 un diplôme en sciences naturelles. À la suite de ce diplôme, il suit des cours en sciences humaines et obtient, en 1884, un prix national au concours général au lycée Louis-le-Grand.

En raison de bronchites chroniques, Paul Gauckler passe l'hiver 1884-1885 pour la première fois en Algérie, dans la ville d'Alger. Pendant ce séjour, il développe un intérêt pour l'histoire et l'archéologie. Il débute alors une formation à l'École supérieure des lettres d'Alger, qui prendra plus tard le titre d'université d'Alger. Pendant ses études, il fait notamment la connaissance de Paul Monceaux (1859-1941).

Il fréquente à nouveau le lycée Louis-le-Grand à partir de novembre 1884 et suit le cours d'histoire et de géographie de l'École normale supérieure à partir de 1886. Au cours de cette formation, il est profondément influencé par le géographe Paul Vidal de La Blache (1845-1918). Paul Glaucker termine son cursus avec succès en 1889 par une agrégation d'histoire et géographie.

Par l'entremise de l'archéologue Georges Perrot (1832-1914), il retourne en Algérie en 1890 pour le compte du ministère français de l'Éducation. Il est alors en activité au service des archives, bibliothèques et musées d'Algérie et réalise des inventaires des musées de Constantine et Cherchell. Dans les environs de Philippeville, aujourd'hui Skikda, il met au jour une nécropole de la ville antique de Thapsus. En 1892, Gauckler est nommé inspecteur en chef du bureau tunisien d'art et d'antiquités, qui est aujourd'hui l'Institut national du patrimoine. Il en prend la direction à partir de 1896, succédant à René du Coudray de La Blanchère. En 1897, il publie avec La Blanchère le premier inventaire du musée Alaoui à Tunis, l'actuel musée du Bardo ; cet ouvrage est ensuite complété en 1910. En 1902, en commun avec d'autres collègues, il publie également un inventaire du musée de Sousse.

Le poste de chef de l'administration des antiquités est pour Paul Gauckler, et malgré les succès rencontrés, souvent source de conflits. À cette époque, l'archéologie est pour grande part encore l'œuvre d'amateurs en raison de l'absence de régulations étatiques. Gauckler, avec ses grandes ambitions et malgré sa position, se trouve souvent à l'écart. Son obstination pour la primauté du rôle de l'État dans la conservation du patrimoine historique se heurte souvent au missionnaire et archéologue amateur Alfred Louis Delattre (1850-1932). Le clerc Charles Lavigerie (1825-1892), établi depuis 1875 en Algérie, avait en effet chargé Delattre d'effectuer des recherches à Carthage et dans ses environs. Lors de ces fouilles, Delattre rassemble des vestiges chrétiens qu'il emmène au musée situé près de la citadelle antique de Byrsa, créé par son ordre et appelé d'après le roi saint Louis qui correspond aujourd'hui au musée national de Carthage. En plus de Lavigerie, il y a également le médecin militaire français Louis Carton (1861-1924), avec lequel Gauckler doit compter. Celui-ci occupe son temps libre en tant que archéologue amateur ; il est notamment devenu célèbre grâce ses découvertes à Dougga (mosaïque de l'aurige vainqueur entre autres).

Alors que des bruits sur son homosexualité envahissent la presse tunisienne et qu'il souffre par ailleurs d'une grave maladie cardiaque, Gauckler présente sa démission de son poste d'inspecteur en chef le 10 octobre 1905. Il est remplacé le 1er novembre de la même année par Alfred Merlin1. À partir de 1907, il reprend ses activités professionnelles pour le compte du ministère français de l'Éducation, qui le nomme à Rome. En tant que membre de l'Académie de France à Rome, il prend la direction au début de l'année 1907 des fouilles du sanctuaire antique bâti par des colons syriens sur le mont Gianicolo (Janicule). En 1911, en raison de souffrances persistantes liées à son état de santé, il décide de mettre fin à ses jours.

Ses archives sont données par sa sœur Anna Gauckler, sans doute à Alfred Merlin, et sont ensuite passées aux mains de Louis Poinssot (1879-1967). Elles sont aujourd'hui déposées à l'Institut national d'histoire de l'art.
Activité archéologique

Pendant son séjour en Tunisie, Gauckler s'est dédié en particulier aux fouilles et recherches à Carthage. Il a, de plus, mené des recherches à Dougga, Gigthis et Bulla Regia. Il a notamment étudié intensivement les nécropoles phéniciennes à Médenine, Sousse, Dougga, Uppenna2,1 et Oudna3. Le musée national du Bardo a particulièrement profité de ses travaux, notamment de 90 mosaïques romaines. Il a par ailleurs organisé la création d'un département de l'art islamique.

Gauckler a consacré une part importante de son travail à l'étude des ouvrages hydrauliques de la Tunisie antique. Son champ d'expertise incluait notamment les mosaïques romaines et les débuts de l'ère chrétienne en Tunisie.

Nombre de ses expéditions ne furent possibles que grâce à l'aide de l'armée française et de ses officiers, notamment Georges Louis Gombeaud. C'est le cas des expéditions menées au bord du Sahara, destinées à l'étude des Limes Tripolitanus.

Erhard, Georges

  • Personne
  • 1821 - 1880

Graveur et cartographe. Né à Forchhelm, naturalisé français en 1870, mort à Paris. Collabora à plusieurs publications géographiques. Ne pas confondre avec ses fils Georges, Henri et Eugène, également graveurs, réunis sous le nom de "Erhard Fres"

Gillieron, Émile

  • Famille
  • Suise, 26 octobre 1851 - Athènes, 1924

Émile Gilliéron (1851-1924) est un artiste et dessinateur suisse reconnu pour ses restitutions d'artéfacts mycéniens et minoéens.
Il étudie à Bâle de 1872 à 1874 puis à l'Académie des Beaux-Arts de Munich entre 1875 et 1876. Il parachève sa formation à Paris, dans l'atelier d'Isidore Pils de 1875 à 1877.
En 1877, Émile Gilliéron s'installe à Athènes et commence à travailler comme dessinateur spécialisé pour les archéologues grecs et étrangers. Il exerce également comme tuteur pour la famille royale grecque à laquelle il dispense des cours d'art.
Grâce la création de dessins pour l'archéologue allemand Heinrich Schliemann, il est reconnu de son temps comme le meilleur illustrateur archéologique de Grèce. Cette reconnaissance lui permet d'obtenir un poste lors de la reconstitution des fresques découvertes à Tyrinthe de 1910 à 1912.
Fresque du "Prince aux lys"
Fresque dite du « Prince aux lis », restitution par Emile Gilliéron fils.

Il devient également le restaurateur en chef d'Arthur Evans pour la restitution de palais de Cnossos en Crète. Pendant près de trente ans, il travailla avec son fils, également prénommé Émile, à la production de copies de fresques et d'autres artéfacts archéologiques pour Evans. Les Gilliéron sont ainsi de larges contributeurs à la publication en quatre volumes des fouilles du site archéologique. Certaines des plus célèbres restitutions des Gilliéron comprennent la fresque dite du « Prince au lys », celle des « Dames en bleu » ou la fresque de la salle du trône du palais de Cnossos.

Cette notoriété les poussent à fonder un atelier de reproduction rue Skoufá à Athènes, E. Gilliéron & fils, où il répondent à la demande de reproductions en fournissant des aquarelles ou d'autres copies faites directement sur les originaux antiques.

Parmi les reproductions proposées, on trouve des galvanoplasties réalisées par le biais de moules réalisés sur des armes, de la vaisselle ou des masques appartenant aux civilisations égéennes mais ils créent également des copies à échelle réelle, sur du papier aquarelle, des fresques minoennes ou coulent des tirages en plâtre. En 1911, ils pouvaient ainsi offrir à leurs riches clients un catalogue de plus de 144 pièces dont les galvanoplasties étaient fabriquées en Allemagne à Wurtemberg par la Württembergische Metallwarenfabrik.
Selon le goût de l'époque, les moules créés sur les originaux sont retravaillés pour reconstituer les parties manquantes et restituer les œuvres dans leurs forme originelle. On peut ainsi trouver deux reproductions différentes du « Masque d'Agamemnon » provenant de leur atelier : l'une fidèle à l'originale, l'autre restituant l'apparence supposée de l'objet.
Le travail des Gilliéron a fortement contribué à la diffusion des œuvres des civilisations égéennes mais a aussi propagé une image "rêvée" des Minoens et des Mycéniens dont la véracité historique et archéologique est parfois à remettre en doute. Ainsi, la fiabilité de leurs restitutions a été longtemps débattue. Par exemple, la fresque du « Prince au lys » est un assemblage des fragments originaux réalisé par Gilliéron fils mais il semble après examen que s'y trouvent des influences modernes dues à la main de l'artiste. D'autres fresques font l'objet de critiques similaires comme celle du « Saut au-dessus du taureau » à laquelle aurait été ajoutée une bordure moderne. Idem pour la restitution de la fresque du « cueilleur de safran ». On sait aujourd'hui que ce n'était pas un jeune homme qui était figuré mais un singe.

En plus des remises en cause, il semble qu'ils aient pu participer au marché grec de production de faux. L'authenticité de certains artéfacts comme le disque de Phaistos ou les bagues de Minos et Nestor a été remise en doute et leur fabrication imputée à l'atelier des Gilliéron.

Rustafjaell, Robert (de)

  • Personne
  • Saint-Petersbourg, 10 décembre 1859 - New York, 10 février 1953

Égyptologue et collectionneur d'antiquités égyptiennes.

Fleury, Michel

  • Personne
  • Paris, 17 novembre 1923 - Paris, 18 janvier 2002

Après ses études à l'École nationale des chartes, il devient l'adjoint du conservateur aux Archives de la Seine. Puis, il intégra en même temps la Commission du Vieux Paris, les antiquités d'Île-de-France et l'École pratique des hautes études.
De 1955 à 2001, il est membre de la Commission du Vieux Paris. Il est tout d'abord secrétaire de la commission. De 1975 à 2001, il est vice-président de la commission.
Parallèlement, dès 1955, il s'occupe des fouilles archéologiques à Paris et sites environnants. En 1955, il est nommé inspecteur des fouilles archéologiques de la Ville de Paris. Puis, de 1965 à 1983, il est directeur régional des antiquités d'Île-de-France.
Enfin, il enseigne à l'École pratique des hautes études, la IVe section (sciences historiques et philologiques). En 1958, il est élu directeur d'études à l'ÉPHE, titulaire de la chaire d'histoire de Paris, succédant ainsi à Marcel Poëte (1866-1950) et à Élie Debidour. En 1961, il est choisi pour devenir le secrétaire de la IVe section. De 1974 à 1988, il préside la IVe section, ainsi que l'École pratique des hautes études entre 1980 et 19834.

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