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Notice d'autorité- /
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- 1834 - 1908
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- 1842 - 1923
Sculpteur français. Il est l'auteur du groupe en marbre dit La Défense du foyer, présenté au salon de 1887 et installé dans le square Ajaccio à Paris.
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- 1844 - 1930
Dessinateur et Photographe. Il débute son activité de photographe en 1867.
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- 1805 - 1893
Historien, spécialiste de Jeanne d'Arc et de l'Orléanais.
Fondateur du journal d'opposition "L'Orléanais" en 1830.
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- 1645 - 1716
Marquis de Sourches, grand prévôt de France de 1664 à 1714.
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- 1618 - 1682
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- 1769 - 1826
Avocat. Conseiller de préfecture à Besançon. Cousin de Joseph Bruand.
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- Personne
- 1862 - 1920
Abbé. Historien de la Franche-Comté.
Membre correspondant de l’Académie des sciences, belles-lettres et arts de Besançon et de Franche-Comté (1893)
Membre correspondant du CTHS
Membre résidant de la Société d'émulation du Jura (1885-1920)
Membre de la Société française d'archéologie (1891)
Membre de la Société nationale des antiquaires de France (1889)
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- 1801 - 1883
Peintre. Avocat à la Cour de Cassation. Maire de Semur.
Président de la Société des sciences de Semur de 1863 à 1884.
Cadet de Gassicourt, Charles-Louis
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- 1769 - 1821
Avocat, puis pharmacien. Docteur en sciences (1812). Secrétaire du Conseil de salubrité et de la section pharmacie de l'Académie de médecine.
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- 1811 - 1891
Avocat. Érudit et historien local, fondateur de la Société d'histoire et d'archéologie de Chalon-sur-Saône. Membre de la Société française d’archéologie et de l’Institut des provinces.
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- Personne
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Cassou de Saint-Mathurin, Suzanne
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- Personne
- 1900 - 1991
Préhistorienne, archéologue.
Avec Dorothy Garrod, elle met au jour entre 1947 et 1957 d'importantes sculptures pariétales sur le site du Roc-aux-sorciers (Angles-sur-Anglin, Vienne).
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- 1823 - 1890
Étienne Castagné naît le 29 juin 1823 dans la commune du Roc, canton de Peyrac (Lot). Son père, François Castagné, est propriétaire. Étienne Castagné devient agent-voyer, d’abord à Catus, puis à Saint-Céré et enfin à Cahors jusqu’à sa retraite. C’est un homme de terrain, particulièrement actif, à une époque où le Conseil général du département, suite à la loi sur les chemins vicinaux du 21 mai 1836, engage des moyens considérables pour l’entretien et l’amélioration des routes de grandes communications et des chemins vicinaux, politique encouragée et soutenue par l’empereur Napoléon III.
Depuis le début du XIXe siècle, une longue discussion s'est tenu entre spécialistes pour savoir où placer le site du dernier lieu de résistance des Gaulois après la défaite d'Alesia : Uxellodunum. Pour mettre un terme à la polémique, les autorités locales ont chargé Étienne Castagné, agent voyer chargé de l'entretien des chemins du département, de mener une étude sur les différents sites proposés. En 1866 et 1875, Étienne Castagné publie un rapport avec plans des ouvrages de fortification de l'oppidum de Murcens, du Puy d’Issolud et de l'Impernal à Luzech. Suite à ces résultats, Napoléon III, dans le second tome de l'Histoire de Jules César, déclara le Puy d’Issolud (Lot) comme étant Uxellodunum. Étienne Castagné est nommé correspondant de la Commission de Topographie des Gaules en 1870. A ce titre, il informe régulièrement le Musée gallo-romaine (futur musée des Antiquités nationales) des découvertes faites dans les environs de Cahors et enquête sur les questions que lui pose Alexandre Bertrand sur les antiquités du département. Il négocie régulièrement l’achat des objets archéologiques par le musée de Saint-Germain. Il signale également à la CTG un nouvel oppidum placé sur les hauteurs de Luzech, sur la montagne de l’Impernal. La CTG le sollicite alors pour une étude des vestiges, en particulier du mode de construction de la muraille. En effet, les fouilles dirigées par Castagné à Murcens (Lot) en 1867 ont révélé pour la première fois une fortification gauloise de type murus gallicus marquant une étape décisive dans la connaissance des oppida. Pour étayer son rapport, en 1868, Étienne Castagné ajoute à une description manuscrite minutieuse, des relevés d'une grande précision et des photographies.
Cette expertise sur trois oppida du département du Lot encourage Étienne Castagné à poursuivre ses recherches dans ce domaine. Son travail sur Murcens est primé au concours des sociétés savantes de l’Académie de Toulouse en 1870, ce qui le conforte dans ses positions. Après les fouilles de l’Impernal, il présente un article plus global sur ces trois sites (Puy-d’Issolud, Murcens, Impernal), avec une synthèse sur les murailles gauloises, au congrès de la Société française d’Archéologie à Toulouse en 1875, publié la même année dans les comptes rendus.
En 1877, il publie un nouvel opuscule sur Les voies romaines du département du Lot qui lui permet de mettre en perspective l’histoire des voies de communications auxquelles il a consacré sa carrière d’agent-voyer. La même année, il présente au congrès de la Société française d’Archéologie de Senlis un mémoire sur le camp des Césarines près de la ville de Saint-Céré, dont il a dirigé les fouilles. Le mémoire est publié en 1879 dans les comptes rendus du congrès.
Étienne Castagné décède le 18 août 1890 à Cahors, à l’âge de 67 ans.
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- Personne
- 1833 - 1892
Diplômé de l’Ecole des Chartes. D’abord adjoint de Charles Weiss, conservateur de la bibliothèque de Besançon, il le remplace ensuite à ce poste. Inspecteur des Archives communales du département du Doubs.
Correspondant de la CGHAF
Castellane, Esprit Victor Élisabeth Boniface (de)
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- Personne
- 1788 - 1862
Officier, pair de France en 1837, maréchal de France en 1852.
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- Personne
- 1518? - 1592
Homme de guerre et diplomate, baron de Joinville, seigneur de Mauvissière et de Concressaut.
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- Personne
- 1783 - 1835
Fille du duc puis roi (1806) Frédéric Ier de Wurtemberg (1754-1816). Mariée en 1807, sur la demande de Napoléon Ier, à Jérôme Bonaparte (1784-1860), roi de Westphalie.
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- Personne
- 1845 - 1938
Dessinateur originaire de l'Oise, il est remarqué par l'érudit compiégnois Albert de Roucy qui le fait engager en 1864 comme attaché au musée archéologique du palais de Compiègne qui accueille les trouvailles des fouilles commanditées par Napoléon III dans la forêt de Compiègne. Sa tâche est de classer et dessiner les collections du musée. En 1870, une partie de ses dessins sont versées au musée d'Archéologie nationale, alors Musée gallo-romain, où ils sont encore conservés aujourd'hui. L'autre partie des dessins est conservée au musée Antoine Vivenel de Compiègne, où ils ont été déposés par la Société Historique de Compiègne.
Victor Cauchemé démissionne en 1874 de l'administration des musées et devient l'assistant d'Auguste Laffolye, architecte du château de Compiègne, puis du château de Saint-Germain-en-Laye. Dans ce cadre, il est chargé de restaurer et cataloguer les objets khmers de l'expédition du lieutenant Delaporte, destinés à être exposés au château de Compiègne. Il doit aussi inspecter les travaux de restauration de l'hôtel de ville. En 1876, il est nommé sous-inspecteur des bâtiments à l'agence du château de Compiègne. Il finit sa carrière comme inspecteur de 1re classe en 1908.
Victor Cauchemé est également professeur adjoint de dessin aux côtés de Félix Deligny entre 1881 et 1886. Il est décoré Officier d'Académie le 22 janvier 1898. Entre 1900 et 1912, suite au décès d'Albert de Roucy, il publie Description des fouilles archéologiques exécutées dans la forêt de Compiègne en quatre volumes. En 1906, il reçoit un brevet de décoration du prince de Bulgarie pour services rendus aux officiers de la mission étrangère au Château pendant les manœuvres.
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- Personne
- 1801 - 1873
Licencié en droit à l'université de Caen en 1822, il fonde, dès 1823, la Société linnéenne de Normandie et les Mémoires de la Société linnéenne de Normandie. L'année suivante, il fonde de la Société des antiquaires de Normandie et des Mémoires de la Société des antiquaires de Normandie. En 1830, il créé la Revue normande et, la même année, commence à enseigner à Caen un cours d'antiquités monumentales. Fondateur de l'Association normande pour les progrès de l'agriculture, de l'industrie et des arts en 1832, il devient la même année membre correspondant de l'Académie des inscriptions et belles-lettres. En 1833, il fonde les Congrès scientifiques de France (et la collection Congrès scientifiques de France ), puis en 1834, la Société française d'archéologie pour la conservation des Monuments historiques (dite Société française d'archéologie) et le Bulletin monumental. Il créé en 1839 l'Institut des provinces de France dont l'Annuaire est publié en 1846, année où il devient délégué général du ministre de l'Instruction publique auprès des Sociétés savantes. En 1851, il créé le Congrès des délégués des Sociétés savantes des départements (à Paris).
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- Personne
- 1835 - 1931
Correspondant de la CTG pour l'Hérault
Correspondant de la CGHAF pour l'Hérault
Chabod, Thomas-François, marquis de Saint-Maurice
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- Personne
- 1624 - 1682
Ambassadeur de Savoie en France de 1667 à 1673.
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- Personne
- 1862 - 1952
Sculpteur, graveur et archéologue français.
Technicien de renommée mondiale du Musée des Antiquités nationales.
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- Personne
- 1866 - 1952
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- Personne
- 1819 - 1892
Fils d’Antoine Chantron, colonel né à Avignon puis administrateur du musée Calvet. Dessinateur, peintre et lithographe.
Charles Philippe de France, comte d'Artois
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- Personne
- 1757 - 1836
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- Personne
- 1338 - 1380
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- Personne
- 1368 - 1422
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- Personne
- 1470 - 1498
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- Personne
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- Personne
- 1849 - 1919
Secrétaire général du Comité des travaux historiques et scientifiques
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- Personne
- 1816 - 1883
Fils d'un négociant en textile, Jules Chevrier fonde la Société d'histoire et d'archéologie de Chalon-sur-Saône en 1844 avant de partir à Paris où il intègre l'atelier de Thomas Couture. En 1851, il achète l’hôtel dit « de Roger Thomas » à Beaune et s'insère dans la vie municipale comme conseiller puis 2e adjoint. Il créé la Société des amis des arts et entreprend plusieurs fouilles, notamment à Saint-Jean-des-Vignes et à la Grange-Frangy.Il est cofondateur du musée Vivant-Denon de Chalon-sur-Saône dont il occupe jusqu'à sa mort le poste de directeur. Il lègue par testament à la ville de Chalon plus de 600 objets, dont beaucoup proviennent de Chalon-sur-Saône et de ses environs. Il publie peu avant sa mort un ouvrage intitulé Chalon pittoresque et démoli.