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Notice d'autorité
Personne

Monod, C.

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  • Personne
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Maître, Abel

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  • Personne
  • 1830 - 1899

Abel Maître est né à Paris en 1830. Sculpteur français, ancien élève d’Antoine-Louis Barye, il est directeur de l’atelier de moulage du Louvre (1848-1850). Il commence, en 1861, à assister Alexandre Bertrand dans ses fonctions au sein de la Commission de Topographie des Gaules. Sa tâche consiste alors à effectuer des moulages. En 1864, sous l’impulsion d’Auguste Verchère de Reffye, officier d’ordonnance de Napoléon III, un « Atelier de reproduction d’objets d’archéologie établi sous le patronage de l’Empereur » voit le jour au 47 rue de Sèvres à Paris. Les moulages effectués servent à remplir le tout jeune Musée des Antiquités celtiques et gallo-romaines.

Abel Maître entre au Musée des Antiquités celtiques et gallo-romaines en novembre 1866 avec le titre d’Inspecteur des ateliers et y travaille jusqu’en 1896. Il dirige les ateliers de moulage et de restauration. Considéré comme un passionné enthousiaste par ses contemporains, il collabore à l’expérimentation de reproduction d’armes antiques avec Verchère de Reffye, dont les démonstrations rencontrent un vif succès à Saint-Germain-en-Laye.

A la fin des années 1860, il fouille pour le compte du musée à la demande d’A. Bertrand. Il acquiert les sites de Magny-Lambert (Côte-d’Or) et de Saint-Maur (Val-de-Marne). Il effectue le moulage de l’arc d’Orange (Vaucluse) en 1869 et des parois gravées du Cairn de Gavrinis (Morbihan), ce que ses contemporains ont considéré comme une prouesse. A. Maître acquiert ainsi une solide connaissance de l’archéologie gauloise.

En 1894, il est nommé chevalier de la Légion d’honneur et quitte son poste au Musée des Antiquités nationales à la fin de la même année.
Abel Maître décède en 1899 au Perreux (Val-de-Marne).

Creuly, Casimir

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  • Personne
  • 1795 - 1879

Casimir Creuly (1795-1879) est né à Cherbourg (Manche) le 14 novembre 1795. Il entre à l’école polytechnique en 1812, et participe en 1814 à la défense de Paris. Il est ensuite intégré dans l’armée du génie. En 1821, le jeune lieutenant est envoyé en Corse où il épouse Marie Lena, originaire de Gênes. Il prend part, en 1823, à la campagne d’Espagne pour rétablir le roi Ferdinand VII sur son trône, puis devient capitaine et occupe de multiples postes, notamment à Toulon, Cherbourg et Joigny. Comme chef de bataillon, il part en mission dans la colonie africaine du Sénégal. Devenu lieutenant-colonel, il participe ensuite à plusieurs expéditions militaires en Algérie, où il obtient les grades de colonel puis de général de brigade. Il entre dans le cadre de réserve en 1857.
Dans son éloge funèbre, Alfred Maury souligne en ces termes les qualités du général Creuly dans l’exercice de son travail : il avait « une intelligence vive et pénétrante, une infatigable activité, une juste sévérité dans la discipline, une probité à toute épreuve » (Le général Creuly, [p. 3]). Ces traits de caractères se retrouvent également dans les travaux menés en parallèle et à la suite. Scientifique doublé d’un esthète, il est attiré tant par les mathématiques, en particulier les problèmes de calcul de probabilité, la géologie, et l’archéologie que par la musique et les Beaux-arts.
Dès 1842, et peut-être avant, Casimir Creuly commence à consacrer ses loisirs à chercher les traces des victoires romaines en Gaule, en particulier celle de Labiénus contre un corps d’insurgés, qu’il place à Vitry. Il s’intéresse dès lors aux découvertes menées sous la direction du lieutenant Deroulède par les officiers du génie à Alfort, point de passage qu’aurait emprunté Labiénus et ses troupes pour aller de la rive droite à la rive gauche de la Seine. Il en publie un article quelques années plus tard dans la Revue archéologique sous le titre « Note sur le tumulus d’Alfort » (1858-1859).
En 1852, à l’occasion d’une mission en Afrique du Nord, il fonde avec Léon Renier et Auguste Cherbonneau la Société archéologique de Constantine. Celle-ci a pour mission de recueillir, regrouper, conserver et décrire les monuments antiques découverts dans la province. Elle est à l’origine du premier musée archéologique de Constantine. La présence de Léon Renier, épigraphiste reconnu, n’est probablement pas étrangère à l’intérêt que Casimir Creuly développe pour les nombreuses inscriptions d’épigraphie latine dont il s’attache à assurer la conservation et l’étude. La section épigraphique est considérée comme « la principale raison d’être du musée » (Gauckler 1892, p. 12). C’est en Algérie que Casimir Creuly se forme véritablement à l’épigraphie latine, à la géographie ancienne et à l’étude des monuments antiques. Casimir Creuly publie quelques articles dans la Revue archéologique : « Announa et Hammam Meskhoutinn » (1856), « Khemiça, ruines de Tubursicu Numidarum » (1857), « Sur diverses inscriptions romaines de Tunisie » (1858), « Les Quinquégentiens et les Babares, anciens peuples d’Afrique » (1861) et plusieurs autres dans l’Annuaire de la Société archéologique de la Province de Constantine. À partir de 1857, date à laquelle il entre dans le cadre de réserve, il s’adonne entièrement aux études historiques, archéologiques, géographiques et épigraphiques.
Casimir Creuly est membre résident de la Société nationale des antiquaires de France de 1859 à 1877 et directeur de la Société des Antiquaires de Normandie en 1863. Il devient en 1859 membre de la Commission de Topographie des Gaules, nouvellement instituée, puis accède aux fonctions de secrétaire et enfin de vice-président en 1873. À ce titre, il a pour objectif de trouver les lieux des batailles de la Guerre des Gaule à partir du récit de Jules César et il réoriente désormais ses recherches vers le territoire national. Parcourant la France, il visite les sites, les musées et collections particulières, prend des notes et transcrit les inscriptions rencontrées. Ses études l’amènent à élargir son champs d’action à la Belgique, les Pays-Bas, la Suisse et au royaume de Prusse, en particulier la Rhénanie. Casimir Creuly est l’auteur de nombreux articles de topographie historique : une « Géographie historique de la Gaule. Examen historique et topographique des lieux proposés pour représenter Uxellodunum » en collaboration avec Alfred Jacobs paru dans la Revue des Sociétés savantes (1860), « Quelques difficultés du second livre des Commentaires de César étudiées sur le terrain » (1861) en collaboration avec Alexandre Bertrand, secrétaire de la CTG et directeur du musée de Saint-Germain, et une « Carte de la Gaule sous le proconsulat de César. Examen des observations critiques auxquelles elle a donné lieu » (1863) édités dans la Revue archéologique. En 1865, il entreprend de publier, avec Alexandre Bertrand, une nouvelle traduction des Commentaires de César sur la Guerre des Gaules ; seul paraît le premier volume et l’entreprise reste inachevée. L’influence et la renommée du général Creuly se mesure également au nombre de lettres qui lui sont adressées et qui paraissent dans la Revue archéologique. Il publie également plusieurs articles épigraphiques ou sur des objets particuliers : « Sur une inscription géographique du musée d’Autun » (1860), « Inscription funéraire de Tarbes » (1873) dans la Revue archéologique, « Le marbre de Thorigny » (1877) dans les Mémoires de la Société nationale des Antiquaires de France ; ainsi que sur des aires géographiques circonscrites : « Musées archéologiques et collections particulières : Beaune et Dijon » (1864), « Étude sur l’Aquitaine des Romains » (1869) dans la Revue archéologique.
Par lettre du 20 juillet 1867, Alexandre Bertrand, directeur du Musée gallo-romain, futur musée des Antiquités nationales puis musée d’Archéologie nationale, nomme le général Creuly membre de la commission consultative du musée, et chargé plus spécialement des « monuments épigraphiques ». Il entreprend la production d’un Recueil des inscriptions de la Gaule sous forme de planches aquarellées d’inscriptions latines, destinées à être présentées au public dans des meubles à volets installés dans les salles d’exposition permanente du musée (inv. BIB 3152).
De plus en plus malade à partir de 1877, Casimir Creuly décède à Paris le 14 juin 1879.

Laurière, Jules (de)

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  • Personne
  • 1825 - 1894

Fils de Clair Mathieu Pasquet du Bousquet de Laurière (1767-1831), écuyer, avocat, conseiller du prince de Condé, maire de Saint-Projet, chevalier de Saint-Louis, et de Marie-Victoire de Jean de Jovelle (1782-1847). Il est resté sans alliance ni descendance.
Archéologue et passionné de photographie, il est membre de la Société historique et archéologique de la Charente, mais aussi secrétaire général de la Société française d'archéologie et du Bulletin monumental des Monuments historiques.

Membre de la Société archéologique et historique de la Charente.
Membre (1880) puis secrétaire général de la Société française d'archéologie.
Membre correspondant nationale (1876) puis membre résidant (1887) de la Société nationale des antiquaires de France.

Le Fèvre d’Ormesson, Olivier

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  • Personne
  • 1616 ? - 1686

Maître des requêtes, premier rapporteur au procès de Nicolas Fouquet (en 1664).

Lapicque, Louis

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  • Personne
  • 1866 - 1952

Médecin, neurophysiologiste et anthropologue français

Le Hericher, Edouard

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  • Personne
  • 1812 - 1890

Correspondant de la CTG pour la Manche

Liénard, Félix (de)

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  • Personne
  • 1812 – 1894 ?

Membre non résident du CTHS.
Président de la Commission du musée de Verdun et secrétaire de la société philomathique de Verdun.
Correspondant de la CTG pour la Meuse depuis 1865.

Lepage, Henri

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  • Personne
  • 1814 - 1887

Président de la Société d'archéologie et du Comité du Musée historique lorrain. Correspondant de la CTG pour la Meurthe.

Louis XIV

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  • Personne
  • 1638 - 1715

Roi de France de 1643 à 1715.

Lenormant, François

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  • Personne
  • 1837 - 1883

Archéologue, helléniste et orientaliste.
Sous-bibliothécaire de l'Institut.

Léon, Paul

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  • Personne
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Moreau, Thomas Frédéric

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  • Personne
  • 1798 - 1898

Thomas-Frédéric Moreau, ou Frédéric Moreau père, est né à Paris le 13 Messidor an VI (1er juillet 1798). Marchand de bois et négociant comme son père, il est établi à Paris. Membre du conseil général du département de la Seine, et du conseil municipal de Paris, il est également membre du conseil d’escompte de la banque de France. Il est décoré chevalier de la légion d’honneur en 1837. Il publie en 1840 le Code du commerce des bois carrés, charpente, sciage et charronnage réunis pour l’approvisionnement de Paris et, 3 ans plus tard, une analyse historique du flottage en trains dans le Recueil de la Société polytechnique ou Recueil industriel.
À sa retraite, âgé de 70 ans, il s’installe dans l’Aisne à Fère-en-Tardenois où il développe une passion pour l’archéologie. Il entreprend, le 20 septembre 1873 des fouilles à Caranda, nom d’un moulin situé sur la rivière de l’Ourcq et des terres qui en dépendent sur lesquelles se trouvent un dolmen. Frédéric Moreau conserve ce nom comme générique pour l’ensemble de sa collection archéologique bien que celle-ci soit le résultat de près de 30 années de fouilles en divers lieux du département de l’Aisne : Cierges (Caranda), Arcy-Sainte-Restitue, Fère-en-Tardenois (Sablonnières), Bruyères-sur-Fère (Trugny), Brény, Armentières, Chouy, Aiguisy et Nampteuil-sous-Muret, etc. Sa principale motivation, au départ, est l’ « occupation instructive » de ses enfants et petits-enfants lors des vacances passées dans la demeure familiale (cf. 2019003/1). Les découvertes attirent l’attention de la Société historique de Château-Thierry qui, venant visiter les fouilles, encouragèrent Frédéric Moreau père à poursuivre ses explorations et lui conseillèrent la tenue d’un procès-verbal pour chaque journée d’exploration, tâche qu’il exécute avec sérieux et rigueur. Ses fouilles et la présentation de ses collections attirent de nombreux savants passionnés d’archéologie qui contribuent à la notoriété de l’entreprise et répondent aux interrogation fondées de leur inventeur. Il est nommé officier de l’Instruction publique.
Encouragé par Gabriel de Mortillet, Frédéric Moreau père entreprend de publier, à compte d’auteur, sa collection en 20 fascicules imprimés entre 1877 et 1898, comprenant 230 planches illustrées par Jules Pilloy, agent-voyer d’arrondissement de Saint-Quentin. 300 exemplaires sont imprimés (texte imprimé par Charles Poëtte à Saint-Quentin ; planches imprimées chez Bourbier, imprimeur-lithographe à Saint-Quentin) et distribués par Frédéric Moreau père à ses proches et à diverses institutions publiques ou sociétés savantes.
Avec les objets archéologiques mis au jour pendant ses fouilles, Frédéric Moreau père forme deux collections, l’une à Fère-en-Tardenois, l’autre à Paris dans son hôtel au 98 rue de la Victoire. Une sélection est présentée dans l’exposition rétrospective du travail et des sciences anthropologique (section 1) de l’Exposition universelle de 1889. Il effectue plusieurs dons en faveur de musées, à sa famille ou à des amis.
Il décède le 21 octobre 1898, à l’âge de 100 ans.

Morel, L.

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  • Personne
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Abbé. Curé à Sampigny.
Correspondant CGHAF pour la Meuse

Aus'm Weerth, Ernst

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  • Personne
  • 10 avril 1829 - 23 mars 1909

Historien de l'art spécialiste de l'Antiquité et du Moyen âge. Archéologue.

Autorde, Fernand

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  • Personne
  • 4 septembre 1852 - 17 avril 1925

Archiviste de la Creuse et conservateur du musée de Guéret.

Aublant, Charles

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  • Personne
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XXe siècle. Trésorier de la Société historique et archéologique du Périgord entre 1928 et 1944.

Acy, Ernest (d')

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  • Personne
  • 22 septembre 1827 - 1er janvier 1905

Fils d’Édouard Jacques Cadeau d’Acy (1795 - 1860) – homme politique français qui fut maire de la commune de Villers-aux-Érables dans la Somme, puis conseiller-général et député de la Somme –Jacques Louis Ernest Cadeau d’Acy dit Ernest d’Acy est un paléoanthropologue français officiant majoritairement lors de la deuxième moitié du XIXe siècle dans les départements de la Somme et de la Marne. Plus généralement, il est connu comme étant un éminent spécialiste du paléolithique
Il fait de nombreuses découvertes sur les sites de Saint-Acheul, de Thennes, de Montières, de Chelles et du Pecq, et plus spécifiquement un grand nombre de silex et autres artefacts du paléolithique. Ses grandes connaissances de l’époque paléolithique, couplée à une connaissance revendiquée des ères préhistoriques en fonction des couches sédimentaires desquelles est exhumé le matériel archéologique, le font régulièrement s’opposer à ses contemporains, et notamment à Gabriel de Mortillet, en ce qui concerne la datation de silex, comme l’atteste son intervention pour la société d’anthropologie de Paris en 1888, face à Gabriel de Mortillet (« Des sépultures dans les dépôts paléolithiques des grottes ou des abris sous roche ». Intervention publiée dans les Bulletin de la société d’Anthropologie et conservée à la bibliothèque du MAN : BIB 7353). Cette querelle se prolonge sur plus de vingt années.
Il présente, en 1886, un mémoire au congrès scientifique international des catholiques, publié en 1889 dans les Annales de philosophie chrétienne sous le titre « Les crânes de Canstadt, de Néanderthal et de l'Olmo ». Au registre de ses autres publications, il est possible de citer son ouvrage de 1878 Le limon des plateaux du Nord de la France et les silex travaillés qu'il renferme, ou encore son article publié dans L’Anthropologie en 1893, titré « Marteaux, casse-tête et gaines de hache néolithiques en bois de cerf ornementés ».
Le Man conserve la trace de plusieurs achats ou dons d’objets de M. d’Acy au MAN. En 1869, le musée achète 50 objets en silex en provenance de Saint-Acheul (MAN 12090). Un an plus tard, il fait don de 18 haches en silex (MAN 15230) et sert d’intermédiaire à l’achat de 6 autres (MAN 15231 ; MAN 15232). Plusieurs autres dons (MAN 22257 ; MAN 22642 ; MAN 22765 ; MAN 23900 ; MAN 27724) et achats (MAN 23071 ; MAN 32606) suivront jusqu’à la fin de la carrière d’Ernest d’Acy.
En 1900, Alexandre Bertrand annonce, lors d’une séance de l’Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, que l’ensemble des objets de la collection d’Acy (MAN 42887 à MAN 45830), d’une importance considérable et fruits de trente années de recherche, intègre le MAN après que M. d’Acy l’ait cédé à l’État. Les plus beaux objets ont, à l’époque, été exposées dans la salle numéro I du MAN.
Les archives du MAN conservent des documents d’Ernest d’Acy dans son fonds Henri Hubert (« Collection Moreau - 2e article », cote : 2016001/187 ; « Collection d’Acy », cote : 2016001/188). Il s’agit de la description matérielle des objets de sa collection ainsi que la description topographique des lieux de découverte. Une classification personnelle des types d’objets (classés de 16 à 24) est particulièrement intéressante d’un point de vue historiographique.
Le Muséum national d’Histoire naturelle conserve, au sein du fonds « Inventaire de la collection de tirés à part de l’abbé de Breuil - 3 » (FR_7510559807_MNHN_Ms_Br_TAP_Br_3), 22 articles tirés à part d’Ernest d’Acy, témoignant de l’intérêt porté par l’abbé Breuil aux recherches d’Ernest d’Acy.

Amé, Jeanne

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  • Personne
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Fille d'Émile Amé, architecte du département, correspondant du CTHS et de la CTG

Augereau, Fernand

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  • Personne
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Habitant à Pons (Charente-Maritime)

Agos, Louis (d’)

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  • Personne
  • 1816 - 1889

Après une enfance à Vic puis à Tarbes, il est envoyé au collège de Juilly en Seine-et-Marne (1831-1833). Il revient provisoirement dans les Pyrénées puis repart à Paris en 1835 pour faire une thèse de droit. Suite à un problème de santé de son père, il descend à Tibiran et réalise une première série de dessins. Il rentre à Paris jusqu'en 1844 en faisant des allers-retours chaque été à Tibiran. En août 1844, il s'installe définitivement dans la maison familiale. Maire de la commune à plusieurs reprises (1848-1852, 1863-1865 et 1871-1879, il se marie et eut 2 garçons qui décédèrent avant leur père, le privant de descendance. Passionné d'archéologie, il s'investit complètement dans la Société des Etudes du Comminges qu'il a contribué à fonder.

Ageorges, Henry

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  • Personne
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Henry Ageorges fouille entre juillet 1932 et juillet 1933 le cimetière de Soings (Soings-en-Sologne, Loir-et-Cher), et y découvre une tête en terre cuite. Il publie un article en 1938 dans la Revue de l'Académie du Centre, intitulé "Les fouilles effectuées en Loir-et-Cher".
Franz Cumont, de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, fait un rapport de cette découverte lors de la séance du 4 novembre 1938 et y consacre un article dans la Revue Archéologique en 1939.

Aldéguier, Auguste (d')

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  • Personne
  • 1793 - 1866

Membre fondateur de la Société archéologique du Midi de la France

Alfassa, Paul

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  • Personne
  • 23 novembre 1876 - 20 avril 1949

Conservateur au musée des Arts décoratifs (1924-1925), il en démissionne en 1941. Membre (1921-1925) puis membre perpétuel de la Société d’histoire de Paris et l’île-de-France.

Alison, Archibald

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  • Personne
  • 2 décembre 1792 - 23 mai 1867

Baronnet anglais.

Aillandt, ?

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  • Personne
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Ingénieur à la Roche-sur-Foron en 1889

Alline, Maurice

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  • Personne
  • 19 septembre 1868 - 15 septembre 1942

Peintre aquafortiste, puis archéologue, conservateur du musée des Antiquités et des monuments historiques de la Seine inférieure. Dans une lettre, il se définit comme « agent administratif du Musée départemental des Antiquités de la Seine-inférieure ». Président de la Société des amis des monuments rouennais. Membre (1924-1942) et président (1927) de l’Académie des sciences, belles-lettres et art à Rouen. Secrétaire général (1911-1939) de Société libre d'émulation du commerce et de l'industrie de la Seine-Maritime.

Allmer, Auguste

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  • Personne
  • 8 juillet 1815 - 27 novembre 1899

Epigraphiste. Archéologue. Membre honoraire (1896-1898) de l’Académie de Vaucluse. Membre correspondant (1876-1899) de l’Académie des Inscriptions et Belles-Lettres. Membre (1876-1899) de l’Académie des sciences, belles-lettres et arts de Lyon. Membre correspondant (1856-1875) et membre non résidant (1875-1899) du CTHS. Membre de la Diana, Société historique et archéologique du Forez. Membre de la Société d’archéologie, d’histoire et de géographie de la Drôme. Membre correspodant en 1881 de la Société historique et archéologique des Vans. Membre (1858-1861) de la Société archéologique et littéraire de Lyon. Membre correspondant de la Société nationale des antiquaires de France.

Amtmann, Théodore

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  • Personne
  • 19 juillet 1846 - 28 mars 1933

Photographe et archiviste de la société archéologique de Bordeaux ; vice-président de la Société des archives historiques de la Gironde ; directeur de la publication du Bulletin de l’Union historique et archéologique du Sud-Ouest

Anthony, Raoul

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  • Personne
  • 12 octobre 1874 - 1 septembre 1941

Préparateur, puis sous-directeur laboratoire d’anatomie comparée du Museum d’Histoire Naturelle de Paris. Professeur au Museum à partir de 1924, titulaire de la Chaire d’Anatomie Comparée.

Amé, Émile

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  • Personne
  • 28 mai 1821 - 21 juillet 1900

Correspondant de la CTG pour le Cantal

Allamand, Jules

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  • Personne
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Président et directeur du club de sport de Montreux en 1867 ?

André, A

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  • Personne
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Employé de commerce à Cerbère (Pyrénées-Orientales)

Wattelet, Eugénie

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  • Personne
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Dessinatrice pour le compte d'Édouard Fleury

Vouet, Aubin

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  • Personne
  • 1595 - 1641

Peintre français.

Aubertin, Charles

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  • Personne
  • 24 décembre 1825 - 13 octobre 1908

Publiciste et professeur, élu correspondant de l’Académie des sciences morales et politiques en 1874. / Voir CTHS

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