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Notice d'autorité
Personne

Beauvau, Marie-Charlotte de

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  • Personne
  • 1729 - 1807

Epouse, en mars 1764, Charles Juste de Beauvau-Craon (1720-1793).

Grangier, Louis

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  • Personne
  • 1817 - 1891

Né à Estavayer-le-Lac, Louis-Adrien-Romain Grangier fait des études littéraires et de droit, mais renonça à une carrière juridique pour faire de l'enseignement. Il fut le précepteur du fils du comte Strachwicz en Silésie puis s'installa à Dresde où il donna des cours dans divers établissements. Il fut chargé de traduire en français le catalogue de la galerie de Dresde en 1856, mais déménagea à Fribourg en 1857 pour intégrer le collège Saint-Michel comme professeur. Intéressé par les lettres, les beaux-arts, l'archéologie et l'histoire, il forma une collection d'antiquités lacustres, devint membres de plusieurs sociétés savantes locales et conservateur du musée de Fribourg, poste qu'il occupa jusqu'en 1882.

Hefner, Joseph von

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  • Personne
  • 1799 - 1862

Historien et archéologue allemand.
Professeur royal et adjoint à l'Antiquarium royal de Bavière.

Clément, Gustave

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  • Personne
  • 1828 - 1870

Médecin, archéologue et collectionneur.
Gustave Clément naît à Lausanne le 5 janvier 1828, d'Isaac Clément et Henriette Clément, née Maret, commerçants à Saint-Aubin.
Après des études secondaires à l'institut du pasteur Courvoisier à Salavaux, il part étudier la médecine à l'université de Berne de 1846 à 1852. Recevant de l'Etat de Neuchâtel, en 1855, sa première autorisation provisoire de pratiquer la médecine, il installe son cabinet à Saint-Aubin.
Le 26 juillet 1862, il épouse Wilhelmine de Büren de Vaumarcus, fille d'Albert de Büren, baron de Vaumarcus, selon le régime de la séparations des biens (ce qui aura une incidence sur la gestion de son héritage).
Tout au long des années 1860, son intérêt pour l'archéologie, les découvertes des sites palafittiques en particulier, va croissant. Il se lie notamment avec Édouard Desor, personnalité scientifique aussi ambitieuse que polyvalente, qui sera l'un des co-organisateurs du premier Congrès international de préhistoire en 1866 à Neuchâtel.
A l'occasion de l'Exposition Universelle de Paris en 1867, Clément expose une partie de sa collection d'antiquités lacustres qui rencontre un grand succès, saluée notamment par Gabriel de Mortillet. En découlent aussitôt deux propositions d'achat par deux institutions étrangères, le British Museum à Londres et le Peabody Museum à Boston, ce dernier étant finalement préféré grâce à l'influence appuyée de Desor qui a servi d'entremeteur.
En 1868, alors que les longues tractations avec l'Amérique commencent, il tombe gravement malade. Son état se dégrade rapidement jusqu'à son décès le 16 octobre 1870, au point que ce seront ses proches qui mèneront les négociations concernant la vente outre-atlantique, finalisée quelques jours après sa mort. Si quelques envois avaient déjà pris la route de Boston du vivant de Clément, ce sont Wilhelmine et Édouard Desor qui concluront les mises en caisses et la rédaction du catalogue dans les mois qui suivent avec le peu d'informations qu'ils possèdent, le collectionneur n'ayant jamais rien publié sur ses découvertes ou ses acquisitions.
Le 30 novembre 1870, l'acte de répartition des biens restants du Docteur Clément est signé entre sa veuve et sa mère, cette dernière étant restée son héritière universelle du fait du régime de séparation des biens régissant son contrat de mariage. Néanmoins, en 1871, les deux femmes donnent et vendent, respectivement, les parts dont elles ont héritées au Musée de la ville de Neuchâtel, qui rassemble donc la quasi-totalité des collections Clément non-relatives aux sites lacustres.

Paget, William

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  • Personne
  • 1509-1563

Ambassadeur d'Angleterre en France.

Dupuy, Pierre

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  • Personne
  • 1582-1651

Garde de la bibliothèque du roi.

Rigaud, Jacques

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  • Personne
  • 1681 ? -1754

Dessinateur, graveur et aquarelliste

Raffles, Thomas

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  • Personne
  • 1788–1863

Pasteur anglais de l'Eglise congrégationaliste.

Perron, Eugène

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  • Personne
  • ? - ?

Conservateur du Musée de Gray (Haute-Saône) en 1884. Il fouille notamment à Apremont.

Hucher, Ferdinand

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  • Personne
  • ? - ?

Fils d’Eugène Hucher. Ferdinand Hucher reprend l'atelier de vitrail après la mort de son père en 1889. Après la mort de Ferdinand, qui était célibataire et sans enfant, l'atelier a été dissous.

Michel, Auguste

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  • Personne
  • ? - ?

Fils d’Auguste Michel (1840-1918), conservateur-adjoint du musée archéologique d’Angers à partir de 1881 et conservateur en 1895.

Fauconnet, ?

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  • Personne
  • ? - ?

Sculpteur à Autun. Exécute des moulages.

Bert, ? (de)

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  • Personne
  • ? - ?

Inspecteur des Forêt près Barcelonnette.

Balicq, E.

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  • Personne
  • ? - ?

Napoléon III

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  • Personne
  • 1808 - 1873

Président de la République française de 1848 à 1852, puis Empereur des Français de 1852 à 1870.

Cauchemé, Victor

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  • Personne
  • 1845 - 1938

Dessinateur originaire de l'Oise, il est remarqué par l'érudit compiégnois Albert de Roucy qui le fait engager en 1864 comme attaché au musée archéologique du palais de Compiègne qui accueille les trouvailles des fouilles commanditées par Napoléon III dans la forêt de Compiègne. Sa tâche est de classer et dessiner les collections du musée. En 1870, une partie de ses dessins sont versées au musée d'Archéologie nationale, alors Musée gallo-romain, où ils sont encore conservés aujourd'hui. L'autre partie des dessins est conservée au musée Antoine Vivenel de Compiègne, où ils ont été déposés par la Société Historique de Compiègne.

Victor Cauchemé démissionne en 1874 de l'administration des musées et devient l'assistant d'Auguste Laffolye, architecte du château de Compiègne, puis du château de Saint-Germain-en-Laye. Dans ce cadre, il est chargé de restaurer et cataloguer les objets khmers de l'expédition du lieutenant Delaporte, destinés à être exposés au château de Compiègne. Il doit aussi inspecter les travaux de restauration de l'hôtel de ville. En 1876, il est nommé sous-inspecteur des bâtiments à l'agence du château de Compiègne. Il finit sa carrière comme inspecteur de 1re classe en 1908.
Victor Cauchemé est également professeur adjoint de dessin aux côtés de Félix Deligny entre 1881 et 1886. Il est décoré Officier d'Académie le 22 janvier 1898. Entre 1900 et 1912, suite au décès d'Albert de Roucy, il publie Description des fouilles archéologiques exécutées dans la forêt de Compiègne en quatre volumes. En 1906, il reçoit un brevet de décoration du prince de Bulgarie pour services rendus aux officiers de la mission étrangère au Château pendant les manœuvres.

Chantron, Antoine

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  • Personne
  • 1819 - 1892

Fils d’Antoine Chantron, colonel né à Avignon puis administrateur du musée Calvet. Dessinateur, peintre et lithographe.

Castelnau, Michel (de)

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  • Personne
  • 1518? - 1592

Homme de guerre et diplomate, baron de Joinville, seigneur de Mauvissière et de Concressaut.

Cazalis de Fontdouce, Paul

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  • Personne
  • 1835 - 1931

Correspondant de la CTG pour l'Hérault
Correspondant de la CGHAF pour l'Hérault

Collomb, Edouard

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  • Personne
  • 1796 - 1875?

Correspondant CTG pour la Somme (?)

Fajon, ?

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  • Personne
  • ? - ?

Conseiller. Résidant à Nîmes. Possède un cabinet avec des antiquités.

Blaikie, Thomas

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  • Personne
  • 1750 - 1838

Botaniste.
Jardinier écossais du Duc d'Orléans.

Berry, Mary

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  • Personne
  • 1763 - 1852

Femme de lettres anglaise.

Bruzard, Albert

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  • Personne
  • 1835 - 1887

Fils d’Armand Bruzard

Ciceri, Eugène

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  • Personne
  • 1813 - 1890

Fils et élève de Pierre-Luc-Charles Cicéri (1782-1868), Eugène Ciceri est peintre, dessinateur et lithographe.

Cochot, A.

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  • Personne
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Musée d’Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

Cottel, Léandre Charles

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  • Personne
  • 1852 - 1919

Léandre Cottel, instituteur dans le Pas-de-Calais puis antiquaire, pris une part active aux fouilles des nécropoles du nord-est de la France. Il vendit aux principaux amateurs dont les collections enrichirent ensuite les grands musées européens et américains comme le Metropolitan Muséum. Le musée d'Archéologie nationale acquit à plusieurs reprises des objets auprès de lui. En 1937, son fils vendit au MAN le reste de sa collection.

Counhaye, Jean-Baptiste

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  • Personne
  • 1820 - 1900

Commerçant et archéologue, établi à Suippes (Marne). Napoléon III acheta une partie de sa collection pour le Musée national des antiquités nationales de Saint-Germain-en-Laye.

Desjardins, Ernest

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  • Personne
  • 1823 - 1886

La biographie suivante a été notamment établie à partir de l’article rédigé dans le Dictionnaire biographique d’archéologie 1798-1945 d’Ève Gran-Aymerich (Paris, 2001 ; CNRS Editions, 741 p., pages 218-219) ainsi que de la notice nécrologique écrite par Salomon Reinach dans Jahresbericht über die Fortschritte der classischen Alterthumwissenschaft : Biographisches Jahrbuch für Alterthumskunde de Conrad Bursian (vol. 49, Berlin, O. R. Reisland, 1888, pp. 253-257).
Ernest Desjardins naît le 30 septembre 1823 à Noisy-sur-Oise. Il est le fils de Jacques Guillaume Desjardins, chef de bureau au ministère de la Guerre, et de Catherine Abel Justine Beffroy de Reigny ; il a pour frère aîné Abel, et pour sœur, Rose. En 1859, il épouse à Paris Pauline Marie Cécile Picot, fille de François Isidore Picot, notaire, avec laquelle il a trois enfants : Louis Paul Abel en 1859, Louise en 1862 et Abel Émile Ernest en 1870.
Ernest Desjardins manifeste très tôt un goût prononcé pour l’histoire et l’archéologie. Il étudie à Paris, au collège Saint-Louis ainsi qu’au collège Bourbon, puis est reçu licencié. Il débute alors sa carrière dans l’enseignement. Ses qualités de professeur d’histoire sont tout de suite employées dès 1845, où il est chargé d’enseigner l’histoire au collège d’Angers. Deux ans plus tard, c’est à Dijon qu’il est envoyé où il rencontre Charles Tissot, le futur explorateur de l’Afrique romaine, et prend alors probablement de plus en plus d’intérêt à voyager et étudier l’Antiquité romaine. De 1850 à 1851, il poursuit sa carrière dans l’enseignement secondaire à Alençon et à Mâcon. Et c’est finalement en 1852 qu’il est envoyé en mission pour étudier Parme et les ruines de Véléia. Outre l’histoire et l’archéologie, c’est la géographie et l’épigraphie qui deviennent ses principaux centres d’intérêt. L’épigraphie, latine principalement, complémentaire de la géographie, historique et comparée, sont les domaines qui l’attirent le plus et desquels il a su tirer profit de l’enseignement de son maître, Léon Renier.
C’est donc tout naturellement qu’il est reçu docteur ès lettres à la Faculté des Lettres de Paris en 1855 après avoir présenté deux thèses, l’une de géographie, Essai sur la topographie du Latium, l’autre d’épigraphie, De tabulis alimentariis. Par la suite, il contribue à l’histoire de l’archéologie et de la philologie par de nombreuses publications et par la fréquentation du cercle de savants qui se regroupaient autour d’Hortense Cornu, sœur de lait de Napoléon III. Entre 1856 et 1871, ses voyages se succèdent rapidement : six en Italie, l’Égypte, la Provence, la Valachie, la Bulgarie, Vienne et Pesth. C’est en Italie qu’il se prend d’admiration pour Bartolomeo Borghesi, épigraphiste italien, sur son rocher de Saint-Marin. Ernest Desjardins fut parmi ceux qui contribuèrent le plus à l’édition des textes de Bartolomeo Borghesi. Une fois les papiers acquis en 1860, au pris de 30 000 francs payés aux héritiers de l’illustre érudit, Ernest Desjardins travaille comme secrétaire de la commission de publication des œuvres de Borghesi. Il rédige notamment des remarques à partir des épreuves des œuvres de Borghesi. Outre l’Italie, l’Égypte lui permet de faire la connaissance de Mariette, qui le conseille et devient un de ses correspondants. Sa passion pour l’histoire et pour l’archéologie l’amènent aussi en Provence où il étudie la campagne de Marius, et également en Valachie et en Bulgarie où il procède à des fouilles, consigne nombre d’inscriptions latines et grecques et examine plus précisément la géographie comparée des bouches du Danube. Enfin, à Vienne et à Pesth, il prépare l’édition définitive de la Table de Peutinger et la publication des monuments épigraphiques du musée de Pesth.
Alors qu’il voyage beaucoup, Ernest Desjardins continue également sa carrière d’enseignant. En 1856, il avait été nommé professeur d’histoire au lycée Bonaparte et en 1861 fut créée pour lui, à l’École normale supérieure, une chaire nouvelle pour l’enseignement de la géographie. Mettant ses pas dans ceux de Charles Tissot, il enseigne, outre la géographie ancienne et moderne, l’histoire ancienne de l’Orient et les institutions romaines. C’est à l’École pratique des hautes études qu’il enseigne l’épigraphie et les antiquités romaines dès 1874, École où il a pour élève Camille Jullian. Son ascension se poursuit en 1874 lorsqu’il devient membre de la Société de l’histoire de Paris et de l’Île-de-France, et l’année suivante quand il est élu membre ordinaire de l’Académie des inscriptions et belles-lettres, en remplacement du géographe M. d’Avezac. Il est très lié à cette institution pour laquelle il a publié des comptes-rendus de ses séances à partir de 1857 jusqu’en 1886. Et ce n’est qu’en 1882 que l’élève prend la suite de son maître Léon Renier, d’abord en le suppléant dans la chaire d’épigraphie au Collège de France, puis en 1886 en succédant à lui comme professeur titulaire. C’est aussi en 1882 qu’il devient membre du Comité des travaux historiques et scientifiques. Enfin, il fait partie de la Commission de géographie historique de l’ancienne Gaule (1880-1883), institution prenant le relais de la Commission de Topographie des Gaules. Toutefois, Ernest Desjardins n’a jamais adhéré à cette dernière car, dans le débat sur la localisation d’Alésia, il avait pris, aux côtés d’Alphonse Delacroix et de Jules Quicherat, le parti d’Alaise face à Alise-Sainte-Reine qui était défendu par la Commission de topographie des Gaules. Mais il reste un fait étrange à prouver : le fait que Salomon Reinach, dans la Revue archéologique (p. 4, Paris, 1915, Ed. Ernest Leroux), mentionne Ernest Desjardins comme président de Commission de Topographie des Gaules, nommé par M. Xaxier Charmes, probablement en 1876 à la suite de l’unique président Félicien de Saulcy.
Dès 1880, la santé d’Ernest Desjardins commence à s’affaiblir, ce qui est sans doute dû à un excès de travail comme le pense Salomon Reinach. Et c’est en 1886 qu’il s’éteint à Paris, dans le 16e arrondissement, laissant derrière lui des ouvrages qui furent pionniers dans le monde de la géographie et de l’épigraphie.

Desor, Pierre Jean Édouard

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  • Personne
  • 1811 - 1882

Protestant, originaire de Marsillargues (Languedoc) et des Ponts-de-Martel (1859). Fils de Jean, manufacturier il est célibataire1. Il commence des études de droit à l'université de Giessen puis à celle de Heidelberg, il s'engage dans le mouvement libéral, et après l'Hambacher fest interdite de 1832, il s'exile à Paris, où il découvre les sciences naturelles. Après des histoires de cœur, il fuit Paris pour la Suisse.

À Neuchâtel, il est engagé comme secrétaire particulier par Louis Agassiz (1807-1873), et deviendra très vite un collaborateur scientifique, puis un ami et confident. Il fera également connaissance de Carl Vogt (1817-1895) et d’Amanz Gressly (1814-1865). C'est auprès d'Agassiz que Desor se forme et devient un savant de renom. Il l'accompagne lorsque celui-ci part aux États-Unis d'Amérique.
Desor travaille sur la faune marine et s’intéresse notamment aux némertes. De retour à Neuchâtel en 1852, après une brouille définitive et retentissante avec son ancien maître Agassiz, il enseigne la géologie et hérite de la grande fortune de son frère. Sa maison à Neuchâtel et son « royaume » à Combe-Varin, dans le canton de Neuchâtel, deviennent alors la résidence d’été de nombreux scientifiques, poètes, artistes et intellectuels.
C'est à Neuchâtel que Desor s'intéresse à l'archéologie préhistorique, et plus particulièrement à la « civilisation lacustre ». Il s'était déjà intéressé à l'archéologie lors d'un voyage en Scandinavie, où il avait rencontré Thomsen et Nilsson et avait été séduit par leurs théories. Mobilisant son attention scientifique sur la préhistoire naissante, il organisera, avec Gabriel de Mortillet et de façon relativement discrète le premier Congrès International de Préhistoire, à Neuchâtel, en 1865, dont le nom définitif sera adopté en 1867 à Paris : « Congrès international d'anthropologie et d'archéologie préhistorique ».
Un fonds d'archives est conservé aux Archives de l'État de Neuchâtel il contient principalement de la correspondance échangée entre des personnages neuchâtelois ou étrangers, dont Louis Agassiz, Auguste Bachelin, Numa Droz, Louis Favre, Auguste Quiquerez, etc. L'inventaire de ce fonds se trouve dans le portail des archives neuchâteloises.

Cérès, Paulin François

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  • Personne
  • 1814 - 1887

Abbé.
Membre correspondant du CTHS.
Membre de la Société des lettres, sciences et arts de l'Aveyron
Membre associé national de la Société nationale des antiquaires de France (1870)

Desnoyers, François-Edmond

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  • Personne
  • 1805 - 1902

Abbé, puis chanoine d'Orléans.
Archéologue et directeur du musée historique et archéologique d'Orléans créé en 1855.

Abbot, ?

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  • Personne
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Detaille, Jean-Baptiste-Édouard

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  • Personne
  • 1848 - 1912

Peintre d'histoire et de batailles.
Membre de l'Académie des beaux-arts (élu en 1892).

Dinet, Jacques

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  • Personne
  • 1584 - 1653

Jésuite, confesseur de Louis XIII.

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