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Mayor, François Isaac

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  • Person
  • 1779 - 1854

Après un apprentissage de chirurgien à Berne, des études à l'institut médico-chirurgical de Zurich et plusieurs séjours d'étude à Paris entre 1793 et 1801, François Isaac Mayor obtient son doctorat en médecine à Montpellier en 1808. Il exerce ensuite à Vevey dès 1802, puis à Genève à partir de 1808. Naturaliste et archéologue, on lui doit la découverte en 1833 de la station magdalénienne de Veyrier.

Marie de Médicis

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  • Person
  • 1573 - 1642

Épouse Henri IV, roi de France, en 1600. Reine de France de 1600 à 1610. Régente de 1610 à 1614

Matton, Auguste

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  • Person
  • 1819 – 1905

Correspondant de la CTG pour l'Aisne

Martin, Henri

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  • Person
  • 1810 - 1883

Président de la CGHAF.

Marie-Thérèse d'Autriche

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  • Person
  • 1638 - 1683

Reine de France.
Fille du roi d'Espagne Philippe IV (1605-1665) et de Elisabeth de France (1602-1644). Nièce d'Anne d'Autriche, reine de France (1602-1666). Épouse Louis XIV en 1660

Marie de Modène

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  • Person
  • 1658 - 1718

Reine d'Angleterre
Fille d'Alphonse IV d'Este, duc de Modène. - Seconde femme de Jacques II, roi d'Angleterre

Marguerite de France

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  • Person
  • 1553 - 1615

Fille d'Henri II et de Catherine de Médicis, elle épouse en 1572 Henri de Navarre, le futur Henri IV, et fut donc reine de Navarre puis reine de France jusqu'à l'annulation de son mariage en 1599.

Marey-Monge, Ernest

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  • Person
  • 1809 - 1852

Fils de Nicolas-Joseph Marey, député de la Côte-d’Or à la Législative et à la Convention. Ancien officier d’artillerie, membre du conseil municipal de la ville de Nuits-sous-Beaune.

Membre de la Commission départementale des Antiquités de la Côte-d’Or.
Membre de la Société Éduenne d’Autun.

Maret de, Arthur

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  • Person
  • ? - 1891

Arthur de Maret a fouillé la grotte du Placard entre 1874 (?) et 1888.. Il constitue, à partir du produit de ses fouilles, une collection de première importance, tant par son volume que par sa place dans le contexte de la querelle scientifique, dite « bataille de l’Aurignacien », qui oppose Adrien de Mortillet et l’abbé Henri Breuil.
En 1909 et 1910, la veuve d'Arthur Maret vend au Musée des Antiquités nationales une collection de céramiques préhistoriques et protohistoriques provenant de la grotte du Placard, puis une partie du mobilier moustérien, solutréen et magdalénien, alors que le Muséum national d’Histoire naturelle achète également des séries solutréennes et magdaléniennes.

Maison du Roi (Restauration)

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  • Corporate body
  • 1814 - 1830
  • Ministère (puis intendance générale) de la Maison du roi
    La Maison du roi sous les règnes de Louis XVIII et Charles X a trouvé ses sources d’une part directement dans la volonté de faire revivre une institution prestigieuse de l’Ancien Régime, d’autre part dans l’organisation rationnelle de la Maison de l’empereur créée sous l’Empire à l’imitation elle aussi de la même Maison du roi de l’Ancien Régime. Il s’agissait donc d’une continuation par-delà la rupture révolutionnaire de la vieille institution quant à sa composition et à ses codes, mais modernisée dans son fonctionnement, soit par
    reprise directe des institutions de Napoléon, soit par innovation même de la Restauration.
    Comme sous l’Ancien Régime, la Maison du roi s’organisait en une maison civile d’une part, constituée de services placés sous l’autorité des grands officiers de la Couronne (grand aumônier, grand-maître de France, grand chambellan, grand écuyer, grand veneur et grand-maître des cérémonies), et en une maison militaire constituée de compagnies sous l’autorité de capitaines. La maison civile et la maison militaire s’appuyaient sur une structure administrative transversale appelée ministère de la Maison du roi (1814-1827) puis intendance générale de la Maison du roi (1827-1830) qui dirigeait les services de soutien souvent appelés intendances dont le nombre et les fonctions ne cessèrent de varier durant toute la Restauration (ces services passèrent de 7 en 1814 : trésor ; bâtiments, parcs et jardins ; Garde-Meuble ; forêts et domaines, musées royaux ; monnaie ; théâtres royaux ; à 8 en 1815, puis 10 en 1820). Tous les services concernant les arts se sont vus regroupés en 1824 dans une division unique des beaux-arts, préfiguration d’un futur ministère des Beaux-Arts. Par ailleurs les princes et princesses de la famille royale étaient également pourvus, chacun, d’une maison aux effectifs réduits et également soutenue et contrôlée par le ministère de la Maison du roi.
    Le budget du ministère et celui de la Maison civile était tirés sur la Liste civile annuelle de 25 millions de francs accordée par le parlement, héritée de la monarchie constitutionnelle de Louis XVI et maintenue inchangée sous l’Empire. 8 millions supplémentaires étaient votés pour les maisons princières. Le budget de la maison militaire était pour partie prélevé sur la Liste civile et pour partie sur le budget du ministère de la Guerre.
    Les ministres et intendants généraux furent successivement : le comte de Blacas (1814-1815), suivi d’un long intérim assuré par le comte de Pradel, directeur-général du ministère, puis le marquis de Lauriston (1820-1824), le duc de Doudeauville (1824-1827), et enfin le comte de La Bouillerie, intendant général (1827-1830).

  • Maison civile : services des grands officiers de la Couronne
    Sept grands officiers furent nommés par Louis XVIII en 1814/1815 reprenant les intitulés en usage sous l’Ancien régime, avant la suppression en 1821 du grand-maître de la garde-robe, réduisant leur nombre à 6. Chacun d’eux était à la tête d’un service contrôlé également par les services du ministère. Aussi, ces charges de grands officiers ont-elles pu paraître parfois d’abord honorifiques, bien qu’en réalité elles contraignaient à beaucoup de présence à la cour et à une abondante correspondance avec les services du ministère.
    Le grand aumônier et ses services étaient responsables de l’animation spirituelle de la cour et du gouvernement dans l’espace réservé à la religion catholique comme religion officielle.
    Le grand-maître de France et ses services supervisaient l’administration des palais et châteaux de la Couronne, et plus particulièrement de l’intendance alimentaire (pannetier, échanson, maître d’hôtel, etc.).
    Le grand chambellan et ses services étaient responsables des réceptions, des fêtes et des spectacles.
    Le grand-maître des cérémonies et ses services étaient responsables du protocole (de l’étiquette) et des cérémonies les plus symboliques et solennelles.
    Le grand écuyer et ses services étaient censés contrôler les écuries, mais dans les faits cette tâche était assurée par le premier écuyer. Aucun grand écuyer ne fut jamais nommé.
    Le grand veneur et ses services devaient pareillement s’occuper de l’organisation des chasses royales, dans les faits seul le premier veneur fut à la manœuvre.

  • Maison militaire
    14 compagnies et escadrons furent remis sur pied en 1814, auxquels s’ajoutèrent les 2 compagnies de Monsieur, frère du roi. Après les Cent-Jours, seules 5 compagnies furent conservées pour le roi et une pour Monsieur (soit près de 1900 hommes), une grande partie de la sécurité des palais et du gouvernement étant assurée par la garde royale et la garde nationale. Sous le règne de Charles X, la compagnie de Monsieur disparaîtra, fusionnée avec la 4ème compagnie, dite de Luxembourg. La plus grande part de l’encadrement
    supérieur de la maison militaire était assurée par des représentants des familles traditionnellement dévouées à la maison de Bourbon, issues de la noblesse d’Ancien Régime presque exclusivement. Contrairement à la maison civile, la maison militaire comprenait également une administration propre, appelée intendance militaire, avec des services de soutien et un hôpital militaire accueillant également les patients issus de la maison civile et des maisons princières. Seul un bureau militaire au sein du ministère de la Maison du roi faisait la liaison avec les unités de la maison militaire, le ministère de la Guerre ayant aussi à s’en occuper pour la gestion des personnels. Par analogie, des papiers de l’armée «des princes» constituée durant l’émigration de la famille royale et dont une partie fut produite durant la Restauration (secours, relevés de carrières), notamment par la Maison du roi, furent adjoints aux archives de la maison militaire.

Maison du Roi (Ancien Régime)

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  • Corporate body
  • XVIIe - XVIIIe siècles

En dépit d’un titre apparemment restreint, le secrétaire d’État de la Maison du roi a la tutelle d’un vaste domaine administratif. Il signe pour le roi les nominations aux offices et charges de cour, les décisions de pensions, les brevets et certaines lettres de naturalité. Il veille au bon fonctionnement des services de la maison civile gérés par les grands officiers de la Couronne, tels la chapelle, la maison-bouche, la chambre, les bâtiments, jardins, arts et manufactures, les haras, le garde-meuble, etc.). « Ministre de la cour », le secrétaire d’État de la Maison du roi est chargé de dresser les contrats de mariage des princes du Sang.

En 1749, il prend en charge également le département de la Religion prétendue réformée, ce qui lui vaut des attributions géographiques supplémentaires. En effet, souvent désigné comme le « ministre de Paris », le secrétaire d’État de la Maison du roi exerce des fonctions de police et d’administration générale non seulement à Paris et en Île-de-France, mais aussi dans un certain nombre de provinces centrales du royaume, en général des pays d’états : les généralités d’Orléans, Limoges, Soissons, La Rochelle, Poitiers et le Languedoc à la fin de l’Ancien Régime.

Maison de l'Empereur (Premier Empire)

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  • Corporate body
  • 1804 - 1815
  • Intendance générale de la Maison de l’empereur
    À l’imitation de la Maison du roi de l’Ancien Régime, Napoléon Bonaparte fit renaître, par décrets des 28 floréal et 28 messidor an XII, les services chargés d’organiser le quotidien ordinaire et extraordinaire de la vie de Cour qui gravitait autour de sa personne. Chacun de ces services était placé sous la responsabilité d’un grand officier, mais l’ensemble des questions administratives relevait de l’Intendance générale de la Maison de l’empereur qui déchargeait ainsi les grands officiers de bien des préoccupations, mais permettait en même temps un contrôle strict des dépenses de la Cour, tirées sur un budget annuel de 25 millions de francs (la Liste civile). L’Intendant général fut Claret de Fleurieu (An XII-1805), puis Daru (1805-1811) et, enfin, Nompère de Champagny (1811-1814).

  • Administration des biens des anciennes sénatoreries réunis au Domaine de la Couronne
    Instituées par la constitution de l’an X, les sénatoreries étaient des dotations constituées de domaines nationaux attribuées à des sénateurs, dans la mesure d’une sénatorerie par ressort de cour d’appel, soit 31 (puis 36) sur tout l’Empire. Le Sénat était nu-propriétaire des sénatoreries, le sénateur titulaire ayant la charge de la gestion et de la perception pour lui-même des revenus (l’usufruit). C’est donc la chancellerie du Sénat conservateur de l’Empire qui produisait les documents relatifs à ces propriétés. En 1814, lors de la restauration des Bourbons, les biens du Sénat, et donc des sénatoreries, furent réunis au Domaine de la Couronne et les sénateurs, titulaires ou non de sénatorerie, dédommagés par une pension versée à vie ainsi qu’à leurs veuves, le cas échéant. Une commission spéciale fut instituée par ordonnance le 16 juillet 1814 afin de reprendre la gestion des biens des sénatoreries,
    payer les frais engagés et restituer à leurs anciens propriétaires, s’il y a avait lieu, les biens spoliés lors de la Révolution. Cette Commission royale pour la liquidation des biens du Sénat et des anciennes sénatoreries était placée sous l’autorité de la Maison du roi. En avril 1817, la commission cessa en tant que telle et l’un de ses membres, François-Basile de Calissanne, fut nommé administrateur des biens des anciennes sénatoreries réunis au Domaine de la Couronne, sous l’autorité de l’intendant du Domaine (Maison du roi) jusqu’au 31 décembre 1829. On considéra alors en effet que la réunion des biens de l’ancien Sénat au Domaine de la Couronne était accomplie. En avril 1837, les archives relatives à l’administration des biens de l’ancien Sénat furent versées par l’administrateur des Domaines de la Couronne aux Archives de la Couronne.

  • Commission de la liberté individuelle du Sénat conservateur de l’Empire
    Instituée par la «constitution de l’an XII» ou sénatus-consulte du 28 floréal an XII [18 mai 1804], la Commission sénatoriale de la liberté individuelle, composée de sept sénateurs élus par le Sénat, avait pour mission d’étudier, généralement après une pétition des intéressés ou de leurs familles, le cas des prisonniers qui n’avaient pas été traduits devant les tribunaux dix jours après leur arrestation. Dans les cas où le prolongement de la détention ne lui semblait pas justifiée par l’intérêt de l’État, elle pouvait alors émettre un avis invitant le ministre compétent à traduire le prisonnier devant un tribunal ordinaire ou bien à le libérer. En cas de refus persistant du ministre, le Sénat pouvait alors voter une motion de présomption de détention arbitraire, ouvrant alors la possibilité d’une saisie de la Haute Cour impériale par le Corps législatif, procédure qui ne fut jamais suivie. Cette commission fonctionna jusqu’à la chute de l’Empire en 1814, et ses archives étaient tenues par la Chancellerie du Sénat conservateur de l’Empire. Une partie d’entre elles fut mélangée par erreur avec les archives concernant les sénatoreries et ont ainsi suivi leur dévolution

Maison de Condé

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  • Family
  • 1530 - 1830

Branche cadette de la maison de Bourbon, elle succéda à Chantilly aux Montmorency.

Maignan, Albert

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  • Person
  • 1845 - 1908

Peintre et illustrateur.

Madrisio, Niccolò

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  • Person
  • 1656 - 1729

Lettré et voyageur italien originaire d'Udine.

Loydreau, Edouard

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  • Person
  • 1820 ? - 1905 ?

Médecin à Neuilly (Côte-d'Or). Archéologue et préhistorien.

Louise de Savoie

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  • Person
  • 1476 - 1531

Fille de Philippe de Savoie et de Marguerite de Bourbon, épouse de Charles de Valois, duc d'Angoulême , et mère de François Ier et de Marguerite d'Angoulême.

Louis XVI

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  • Person
  • 1754 - 1793

Duc de Berry, puis dauphin du 20 décembre 1765 (mort de son père le dauphin Louis) au 10 mai 1774 (mort de son grand-père Louis XV). Épouse Marie-Antoinette d'Autriche le 16 mai 1770. Roi de France du 10 mai 1774 à 1791, roi des Français en 1791 et 1792. Petit-fils de Louis XV

Louis XV

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  • Person
  • 1710 - 1774

Roi de France de 1715 à 1774.

Louis XIV

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  • Person
  • 1638 - 1715

Roi de France de 1643 à 1715.

Louis XIII

  • /
  • Person
  • 1601 - 1643

Roi de France de 1610 à 1643

Louis X

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  • Person
  • 1289 - 1316

Roi de France du 29 novembre 1314 au 5 juin 1316
Roi de Navarre du 4 avril 1305 au 5 juin 1316
Comte de Champagne du 4 avril 1305 au 5 juin 1316

Louis VI

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  • Person
  • 1081 - 1137

Roi de France de 1108 à 1137.

Louis IX

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  • Person
  • 1214 - 1270

Roi de France

Lorimy, Henri

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  • Person
  • 1854 - 1939

Horloger-bijoutier. Premier directeur du musée de Châtillon-sur-Seine (1887).

Longpérier, Adrien (de)

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  • Person
  • 1816 - 1882

Conservateur des antiques et des sculptures dans le Louvre de Louis-Philippe et de Napoléon III.

Liénard, Félix (de)

  • /
  • Person
  • 1812 – 1894 ?

Membre non résident du CTHS.
Président de la Commission du musée de Verdun et secrétaire de la société philomathique de Verdun.
Correspondant de la CTG pour la Meuse depuis 1865.

Lièvre, Auguste François

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  • Person
  • 1828 - 1898

Correspondant de la CTG pour la Charente.
Correspondant de la CGHAF pour la Charente.
Bibliothécaire-archiviste de la ville de Poitiers.

Lespinasse de Pebeyre, Louis Charles (de)

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  • Person
  • 1818 - 1902

Inspecteur spécial du ministère de la police générale (Perpignan), 1er mars 1852, poste supprimé le 5 mars 1853.
Sous-préfet de Lannion de 1853 à 1855 ; de Villeneuve-sur-Lot de 1855 à 1857.
Secrétaire général de la Seine-Inférieure de 1857 à 1860.
Préfet de la Lozère de 1861 à 1864 ; du Lot de mars 1864 à avril-mai 1868 ; des Landes de 1868 à 1870, démissionnaire le 6 septembre 1870 .
Trésorier-payeur général de la Corrèze, 12 avril 1871 ; en disponibilité le 25 janvier 1879.
Il est l'un des fondateurs de la Société des Lettres Sciences et Arts de la Corrèze en 1878.

Leroy, Gabriel

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  • Person
  • 1834 - 1908

Correspondant de la CTG.
Conservateur du musée de Melun.
Archiviste de la ville de Melun.
Bibliothécaire de la bibliothèque de Melun.

Lepage, Henri

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  • Person
  • 1814 - 1887

Président de la Société d'archéologie et du Comité du Musée historique lorrain. Correspondant de la CTG pour la Meurthe.

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