Planche de chaînes d'épée provenant des cimetières de la Marne
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Planche du dictionnaire représentant en grandeur réelle des chaînes d'épée provenant des cimetières de la Marne
Commission de Topographie des Gaules
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Planche de chaînes d'épée provenant des cimetières de la Marne
Planche du dictionnaire représentant en grandeur réelle des chaînes d'épée provenant des cimetières de la Marne
Commission de Topographie des Gaules
Dessin d'objets en pierre et en os provenant d'une sépulture de l'âge de la pierre polie
Dessin en grandeur naturelle d'objets en pierre et en os provenant d'une sépulture de l'âge de la pierre polie découverte à Lignon par M. Morel, percepteur à Somsois, puis receveur des finances à Nyons (Drôme) et à Carpentras (Vaucluse), correspondant de la CTG (cf. feuillet Cotteau). "Voir mémoire aux manuscrits carton 2"
Commission de Topographie des Gaules
Planches issues de la Revue Archéologique 1866 :
Commission de Topographie des Gaules
Photographie d'une statuette à la corne d'abondance (Cérès)
Photographie par Valentin, photographe à Reims, d'une statuette à la corne d'abondance (Cérès).
Commission de Topographie des Gaules
Dessins et photographies d'objets trouvés à Nasium et dessin d'anneaux provenant de Nantois
Dessin d'un bracelet et d'une fibule en bronze trouvés à Nasium, respectivement en 1818 et en 1855, dessins réalisés par Félix de Liénard
Photographie d'un objet zoomorphe et d'une fibule en bronze (numéros d'inventaire 7586 et 7582)
Dessin d'anneaux provenant de Naix ou Nantois par Gabriel de Mortillet.
Commission de Topographie des Gaules
Relevés préparatoires des mégalithes au crayon pour les planches
Relevés numérotés au crayon des pierres gravées du dolmen de Mané Lud. Echelle à 5 cm pour 1m.
Commission de Topographie des Gaules
Planche du dictionnaire concernant les mégalithes de Locmariaquer
Planche destinée au dictionnaire époque celtique et concernant les pierres gravées des monuments mégalithiques de Locmariaquer, à mettre en lien avec les dessins et relevés, notamment ceux envoyés par Louis Galles, correspondant de la Commission de Topographie des Gaules.
Commission de Topographie des Gaules
Commission de Topographie des Gaules
Les typologies documentaires sont d'une grande richesse : rapports, notes administratives, pièces comptables et textes réglementaires documentent la création et le mode de fonctionnement de la CTG. Dessins, relevés de fouilles, albums, photographies, mémoires, monographies, correspondance, cartes et plans illustrent les chantiers scientifiques, leur organisation et leurs produits.
Les correspondants de la CTG adressent dès 1858 des documents témoignant des vestiges archéologiques de leur territoire. Beaucoup des documents sont antérieurs à la création de la Commission.
Commission de Topographie des Gaules
Tête féminine dite Dame à la capuche (MAN 47019)
Part of Projet EUROPEANA Archaeology
Tête féminine intitulée également "Dame de Brassempouy" a été découverte dans la grotte du Pape à Brassempouy (Landes) en 1894, lors des fouilles menées par Édouard Piette.
Sans parler de portrait fidèle, cette statuette donne une image de la femme paléolithique. La tête triangulaire, avec un front large et un menton pointu est encadré par une coiffure quadrillée, interprétée comme une chevelure tressée ou une capuche. On retrouve ce quadrillage sur la tête de la statuette de Grimaldi (MAN 49281). C'est probablement lors de la fouille que la tête s'est fendue sur la joue droite. L'expression du visage est énigmatique et unique parmi les statuettes féminines gravettiennes. On a longtemps imaginé que cette tête avait appartenu à une statuette, pourtant celle-ci est intacte.
Cette statuette est présentée dans la salle Piette du musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye, avec l'ensemble de la collection d'Édouard Piette et dans le respect de la muséographie qu'il a réalisée.
Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye
Dessins d'objets provenant de l'oppidum de Nages
2 documents identiques
Dessins d'objets numérotés provenant de l'oppidum de Nages, réalisés par Edouard Flouest. Il précise : "autographie faite à l'appui de ma note sur l'oppidum de Nages publiée dans les mémoires de l'Académie du Gard année 1868-1869"
Voir Edouard Flouest, "L'oppidum de Nages", Mémoires de l'Académie royale du Gard, Académie de Nîmes, 1868, pp 235 - 246.
Commission de Topographie des Gaules
Relevés des mégalithes sur la commune de Carnac
13 relevés numérotés de monuments mégalithiques se trouvant sur la commune de Carnac, la série comprenait 17 dessins numérotés, seuls sont conservés les relevés n°3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 13, 14, 15, 16, 17. L'ensemble réalisé par Louis Galles (cousin de René Galles, membre de la CTG), se compose de 2 cartes (canton d'Auray et canton de Quiberon) et d'une série de relevés de mégalithes numérotés par commune.
Commission de Topographie des Gaules
Relevés des mégalithes sur la commune de Plougoumelen
4 relevés numérotés de monuments mégalithiques se trouvant sur la commune de Plougoumelen. L'ensemble réalisé par Louis Galles (cousin de René Galles, membre de la CTG), se compose de 2 cartes (canton d'Auray et canton de Quiberon) et d'une série de relevés de mégalithes numérotés par commune.
Commission de Topographie des Gaules
Relevés des mégalithes sur la commune de Plouharnel
9 relevés numérotés de monuments mégalithiques se trouvant sur la commune de Plouharnel. L'ensemble réalisé par Louis Galles (cousin de René Galles, membre de la CTG), se compose de 2 cartes (canton d'Auray et canton de Quiberon) et d'une série de relevés de mégalithes numérotés par commune.
Commission de Topographie des Gaules
Courrier de Monsieur René Galles, de la sous-intendance militaire de Vannes, daté du 7 décembre 1865 et adressé au général Creuly.
Galles, René
Maury, Louis Ferdinand Alfred
Courrier de Monsieur Lalande, de Brive, daté du 29 décembre 1865.
Le courrier récapitule également les recherches déjà effectuées par Lalande pour la Commission de Topographie des Gaules.
Lalande, Philibert
Dessins de haches réalisés par Garnier
Dessins réalisés par Garnier de deux haches découvertes pour l'une à Hénencourt avec un silex taillé, et l'autre au Hamel en 1837 (hache emmanchée dans une corne de cerf), deux communes situées dans le canton de Corbie, arrondissement d'Amiens.
Commission de Topographie des Gaules
Planche de dessins d'objets en bronze découverts à Caix (planche 3)
Planche de dessins (réalisés par Garnier) d'objets en bronze trouvés à Caix en 1865 (planche 3).
Commission de Topographie des Gaules
Courrier de Monsieur Gaultier du Mottay, daté de décembre 1865, adressé au général Creuly.
Ministère de l'Instruction publique
Dessin d'une hache en bronze provenant de Conflans
Dessin à la plume d'une hache en bronze trouvée au Perthuis sur la commune de Conflans.
Commission de Topographie des Gaules
Dessin de deux aiguilles à cheveux et de deux bracelets en jais
Dessin de deux aiguilles à cheveux et de deux bracelets en jais, d'un noir très brillant, trouvé le 6 août 1853, au fond d'un cercueil en plomb dans le cimetière gallo-romain d'Angers. Le dessin a été réalisé à Angers en juillet 1864 par Victor Godard-Faultrier, avocat, inspecteur des monuments historiques et correspondant de la CTG et du CTHS.
Commission de Topographie des Gaules
Dessin d'une fibule (?) trouvée à Eguisheim
Dessin au crayon d'une fibule "époque gauloise ou celtique" trouvée à Eguisheim, provenant de la collection Zaepffel et conservée au musée de Colmar. Le dessin a été réalisé par Charles Goutzwiller.
Commission de Topographie des Gaules
Lettre de Monsieur de Gourgues relatives au moulage d'une hache et de la voie romaine
Commission de Topographie des Gaules
Courrier de Monsieur Guigue, de Trévoux, daté du 12 décembre 1865.
Commission de Topographie des Gaules
Courrier de Monsieur H. Jacquinot, de Sauvigny-les-Bois, daté du 9 avril 1876.
Jacquinot, Honoré
Relevé aquarellé d'une coupe réalisée à Saint-Acheul par Lartet et Collomb
Relevé aquarellé et annoté d'une coupe réalisée à Saint-Acheul par Edouard Lartet et Edouard Collomb
Commission de Topographie des Gaules
Dessin d'une fusaïole et planche de divers objets trouvés à Bourg-Nouvel
Dessin d'une fusaïole au crayon par M. L. M. Lamarre, curé, vraisemblablement correspondant de la CTG
Planche représentant des objets divers trouvés sur la commune de Belgeard, au lieu-dit Bourg-Nouvel, envoyée par M. L. M. Delamarre.
Commission de Topographie des Gaules
Dessin d'objets trouvés à Pannes en 1828
Trois dessins d'objets trouvés en 1828 à Pannes. Ces dessins ont été réalisés par M. Félix de Liénard, membre non résident du CTHS et président de la Commission du musée de Verdun, secrétaire de la société philomathique de Verdun et correspondant de la CTG depuis 1865.
Commission de Topographie des Gaules
Courrier de Monsieur Lepage, de Nancy, président de la Société d'archéologie et du Comité du Musée historique lorrain, daté du 16 octobre 1866 sur papier à en-tête de la Société d'archéologie lorraine, Comité du Musée lorrain. Courrier adressé à Anatole de Barthélemy.
Lepage, Henri
Bibliothécaire archiviste de la Commission archéologique de la Côte-d'Or.
Lory, Ernest-Léon
Courrier de Monsieur Emile Amé, d'Aurillac, daté du 7 novembre 1868 sur papier à en-tête du Département du Cantal.
Amé, Émile
Lettre de Henri d'Arbois de Jubainville sur les vestiges archéologiques de l'Aube
Commission de Topographie des Gaules
Dessin d'un petit poignard trouvé en avril 1860
Dessin d'un petit poignard trouvé (grandeur réelle) en avril 1860 avec un bronze de Commode (185-191), au lieu dit Le Pavement, commune de Saint-Barthélémy près d'Angers. Manche en bronze, lame en fer, fourreau en bronze. Le dessin a été réalisé à Angers en juillet 1864 par Victor Godard-Faultrier, avocat, inspecteur des monuments historiques et correspondant de la CTG et du CTHS.
"NB : En même temps que le poignard furent découvertes au même lieu deux sépultures en pierres dites de Fremur (?)"
Commission de Topographie des Gaules
Collection des arts graphiques
Cette collection d’arts graphiques est constituée de pièces réalisées entre le XVIIe siècle et le premier quart du XXe siècle. Il s’agit pour l’essentiel d’estampes (petits formats et hors-format), mais nous pouvons également y retrouver quelques dessins, aquarelles et gouaches.
Les estampes présentées ci-dessous – toutes de petit format – sont au nombre de vingt-neuf. Parmi ces vingt-neuf pièces, vingt-huit remontent au XVIIe siècle, et une seule est de datation indéterminée quoique visiblement tirée d’un ouvrage de la même époque ; elles représentent pour la plupart des vues extérieures des deux châteaux de Saint-Germain-en-Laye et du domaine leur étant associé.
D’abord résidence royale, le domaine de Saint-Germain-en-Laye devient national à la fin du XVIIIe siècle, et est classé monument historique en 1863. Le domaine voit sa gestion fusionner avec celle du musée en 2009 afin de former un unique service à compétence nationale.
Le site de Saint-Germain-en-Laye devient résidence royale au XIIe siècle, lorsque le roi Louis VI décide d'y faire élever un château non fortifié en bois vers 1124. Ce premier château – plus tard surnommé « Château-Vieux » en opposition au « Château-Neuf » des XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles – est fortifié par Philippe-Auguste, qui y fait bâtir une tour-logis en pierre et entoure l’édifice d’un mur de défense. Au XIIIe siècle, le château est agrandi par Louis IX, qui fait notamment bâtir la chapelle castrale dans un style gothique rayonnant. Après avoir subi d’importants dommages pendant la Guerre de Cent ans, le château de Saint-Germain-en-Laye est reconstruit en partie grâce à l’action de Charles V et de son architecte Raymond du Temple.
Sous François Ier, le château devient une résidence royale de premier plan, et sa transformation en style Renaissance est confiée à Pierre Chambiges. Né au Château-Vieux de Saint-Germain-en-Laye en 1519, Henri II entreprend la construction du Château-Neuf en 1559, chantier qu’il attribue à l’architecte Philibert Delorme ; les travaux s’achèvent sous Henri IV, vers 1600.
De 1661 à 1682, Louis XIV réside souvent à Saint-Germain-en-Laye, où il fait réaliser d’importants aménagements, notamment la création des jardins à la française par André Le Nôtre, ainsi que la construction de la Grande Terrasse entre 1663 et 1680. À partir de 1680 commencent les travaux de modification du Château-Vieux, auquel sont ajoutés cinq pavillons d’angles ; ces travaux d'agrandissement du château sont confiés à Jules Hardouin-Mansart. Bien que la cour quitte définitivement Saint-Germain-en-Laye pour Versailles en 1682, le domaine n’est pas complètement laissé à l’abandon, et le Château-Vieux accueille notamment Jacques II, alors en exil, de 1689 jusqu’à sa mort en 1701.
En 1777, Louis XVI fait don du Château-Neuf ruiné à son frère le comte d’Artois, qui le fait démolir dans l’intention d’élever une nouvelle résidence. À la Révolution, le Château-Neuf et une grande partie des dépendances du domaine sont vendus comme biens nationaux.
Sous le Premier Empire, le Château-Vieux accueille l’École spéciale militaire de cavalerie, qui devient en 1914 l’École spéciale militaire de Saint-Cyr. En 1836, l’édifice est transformé en pénitencier militaire, au sein duquel près de cinq cents officiers sont incarcérés. Dès son accession au pouvoir en 1852, Napoléon III se préoccupe du sort du château, et s’oppose ainsi à son usage comme centre pénitentiaire. En décembre 1853, il déclare notamment que « l’existence d’une prison militaire dans l’antique château de Louis XIV est une sorte de profanation […] Le pénitencier sera éloigné de Saint-Germain, et ce château, qui rappelle de grands et nobles souvenirs, sera réparé […] J’ai donné des ordres à cet effet ». Le Château-Vieux est ainsi classé Monument historique dès 1862 (l’ensemble du domaine est classé en 1863), et des travaux de restauration sont rapidement entrepris. Trois architectes se succèdent sur ce chantier colossal : Eugène Millet, Auguste Lafollye et Honoré Daumet.
Le chantier est d’abord confié à l’architecte Eugène Millet, élève d’Eugène Viollet-le-Duc, qui prend le parti de restaurer le château dans son état Renaissance et s’appuie ainsi sur les plans publiés par Jacques Androuet du Cerceau en 1576. Aux plans et aux élévations d’Androuet du Cerceau s’ajoutent des gravures d’Israël Silvestre (milieu du XVIIe siècle), qui permettent d’appréhender le château dans son ensemble dans l’état qui était le sien jusqu’à la fin du XVIIe siècle avec l’accord de la commission des Bâtiments civils. Afin de privilégier l’état XVIe siècle, les pavillons élevés sous Louis XIV sont démontés. En parallèle de la restauration du bâtiment, Millet entreprend l’aménagement des salles du musée, dont il commence à concevoir le mobilier afin de mettre en œuvre une « véritable muséographie destinée à l’archéologie ». Ce travail d’aménagement est ensuite poursuivi par Auguste Laffolye.
Les travaux de réfection de la chapelle sont entrepris à partir de 1873 ; Eugène Millet est chargé d’y ajouter une flèche, dont les travaux commencent avant 1889, et ne sont toujours pas achevés en 1895. Cette flèche est finalement démontée en 1907.
La restauration complète du château ne s’achève qu’en 1908, avec la décoration de l’entrée principale sur la façade ouest et l’aménagement final de plusieurs salles du musée.
La collection des arts graphiques du service des Ressources documentaires du musée d'Archéologie nationale permet de constater les différentes évolutions connues par le domaine et les châteaux de Saint-Germain-en-Laye depuis les XVIe – XVIIe siècles jusqu'au début du XXe siècle.
Au sein de cette collection figurent notamment vingt-neuf estampes du XVIIe siècle ; douze d'entre elles représentent le Château-Vieux, neuf concernent le Château-Neuf, tandis que quatre correspondent à des vues du domaine, et quatre autres à des édifices français extérieurs à Saint-Germain-en-Laye. Ces documents, dont certains sont légendés, voire datés, permettent de retracer l’histoire des deux châteaux de Saint-Germain-en-Laye au cours du XVIIe siècle avec une relative précision. En effet, avec la destruction des pavillons de Louis XIV lors de la restauration du Château-Vieux au XIXe siècle et l’abandon du Château-Neuf dès le XVIIe siècle, les estampes étudiées ici représentent un témoignage exceptionnel de l’état des deux châteaux à cette époque, avant l’effondrement progressif du Château-Neuf et la restauration en style Renaissance du Château-Vieux.
Cette collection d’estampes a été divisée selon quatre ensembles thématiques. Le premier ensemble correspond au Château-Vieux de Saint-Germain-en-Laye, le deuxième au Château-Neuf, le troisième au domaine, et le quatrième et dernier aux vues Hors Saint-Germain-en-Laye. Il s’agit uniquement de vues extérieures, ce qui permet d’appréhender les édifices dans leur contexte.
Si toutes les œuvres ne sont pas signées, trois noms de graveurs reviennent particulièrement : ceux d’Israël Silvestre (1621 – 1691), Adam Pérelle (1638 – 1695) et Pierre Aveline (1656 – 1722). Aux signatures des graveurs sont généralement associées celles des éditeurs, ayant été identifiés comme Israël Henriet (1590 ? – 1661), Nicolas de Poilly (1626 – 1696), Nicolas Langlois (1640 – 1703) et Melchior Tavernier (1594 – 1665). L’identité des graveurs a permis de systématiquement attribuer à chaque estampe une technique de réalisation ; en effet, il semble que tous trois aient travaillé en taille-douce, plus spécifiquement à l’eau-forte.
Ces vingt-neuf estampes semblent en grande partie issues de trois achats de lots, effectués respectivement en 1876, 1888 et 1889 (dates d’entrée dans le registre de la bibliothèque). Chaque lot porte un numéro d’inventaire (4319 pour celui de 1876, 7303 pour celui de 1888 et 7807 pour celui de 1889), numéros se retrouvant à de multiples reprises sur les estampes traitées.
La description se fait ici à la pièce sous forme d'un inventaire.
Plusieurs de ces estampes portent le tampon de la bibliothèque (sur lequel figure parfois leur numéro d’entrée au registre manuscrit), ainsi que le tampon sec du Musée des Antiquités nationales.
Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye
« Veüe et perspective du Chasteau Royal de St Germain en Laye »
Part of Collection des arts graphiques
Estampe en noir et blanc représentant les façades sud et est du Château-Vieux de Saint-Germain-en-Laye.
Titre et mentions d’auteur et d’éditeur gravés en partie inférieure (de gauche à droite : « N. Poilly ex. c.p.r./Veüe et perspective du Chasteau Royal de St Germain en Laye/A. Perelle del. Et sc. »).
Porte la mention « 3 M » dans l’angle inférieur droit.
Pérelle, Adam
« Veüe et perspective du vieux Chateau de St Germain en Laye du costé du jardin »
Part of Collection des arts graphiques
Estampe en noir représentant une vue en perspective du parterre et du Château-Vieux de Saint-Germain-en-Laye depuis le nord.
Titre et mention d’auteur gravés en partie inférieure (de gauche à droite et de haut en bas : « Veüe et perspective du chasteau neuf de St Germain du costé du jardin/Fait par Aveline avec privilège du Roy »).
Aveline, Pierre
Dessin d'une lance en bronze conservant un morceau de bois
Dessin aquarellé réalisé par Louis Revon d'après nature, d'une lance en bronze, conservant un morceau de bois, pêchée par M. Carrard dans la station du port de Thonon, L'objet est conservé au musée de Lausanne.
Commission de Topographie des Gaules
Lettre de Monsieur Creuly à Monsieur Maury relative aux fouilles d'Alésia
Creuly, Casimir
Tumulus de Cosne et de Magny-Lambert (Côtes-d’Or) - Armes et objets divers
Dessins d'Abel Maître.
Maître, Abel
Musée de Insbruch – Conze Poteries de Milo (Pl. N° III) [2]
Mission de Messieurs Bertrand, Directeur du musée et Maître, chef des ateliers du musée.
Deux vues de l'objet sont présentées en objet documentaire numérique.
Maître, Abel
Dessin d'un collier et d'objets divers provenant d'Herrlisheim
Dessin au crayon d'un collier et d'objets divers, découverts à Herrlisheim à partir de mai 1856. Les dessins ont été réalisés d'après nature en 1872 par Charles-Antoine Goutzwiller.
Commission de Topographie des Gaules
Dessin d'une hache en jaspe à grenats trouvée près de Lucenay et appartenant à la collection Bailleau. "La partie qui doit être emmanchée a été piquée". Le dessin a été réalisé par Alfred Bertrant/d à Moulins, employé des chemins de fer et correspondant CTG.
Commission de Topographie des Gaules
« Portrait des Chasteaux royaux de St Germain en Laye »
Part of Collection des arts graphiques
Estampe en noir et blanc représentant une vue aérienne des terrasses, du Château-Neuf et du Château-Vieux de Saint-Germain-en-Laye en arrière plan. Le plan est légendé et orné de deux ensembles d’armoiries.
Inscription : « 1 La basse cour a 39 toises de long et 26 de large/2 Le viel chasteau a de façade 35 toises et de costé 45/ 3 Le jeu de paulme/4 Le grand jardin du roy a 150 toises de long et 97 de large/5 Le parc a 1445 toises de long et 382 de large/6 La cour dentre les deux chasteaux a 134 toises de long et 84 de large./7 Les deux cours des offices ont 28 toises de long et 20 de large./8 La cour de devant la grande salle a 30 en care./9 Les galleries du roy et de la royne ont 34 toises de long et 3 de large./10 La grande salle a 14 toises de long et 5 de large./ 11 Les deux petits jardins ont 61 toises de long et 25 de large./12 Les deux chapelles du roy et de la royne./ 13 la grolle des orgues./14 La grotte de neptune./15 La grotte de persée./16 La grotte d’Orphée./17 les deux bosquets ont chacun 50 toises de long et 40 de large./18 Le jardin qui est entre les deux bosquets a 84 toises de lon[sic] et 40 de large./19 Le jardin en pente a 113 toises de lon[sic] et 50 de large./20 Le jardin des canaux a 113 toises de long et 85 de large./21La rivière de Seyne/Du depuis la rivière jusques a la cour/qui est devant la grande salle il y a/28 toises de pente » de part et d’autre du motif.
Lasne, Michel
« Veüe du Chateau de St. Germain en Laye »
Part of Collection des arts graphiques
Estampe en noir et blanc représentant les façades nord et est du Château-Vieux de Saint-Germain-en-Laye.
Titre, mention d’auteur et date de création gravés en partie inférieure (de haut en bas puis de gauche à droite : « Veüe du Chateau de St. Germain en Laye/dessiné et gravé par Israel Silvestre. 1658. »).
Silvestre, Israël
« Veüe de l’entrée du vieux chasteau de Saint germain en Laye »
Part of Collection des arts graphiques
Estampe en noir et blanc représentant la façade ouest et l’entrée principale du Château-Vieux de Saint-Germain-en-Laye.
Titre et mentions d’auteur et d’éditeur gravés en partie inférieure (de gauche à droite : « Silvestre sculp./Veüe de l’entrée du vieux chasteau de Saint germain en Laye/Israel excut. cum privil. Regis »).
Porte le numéro « 50 » dans l’angle inférieur droit.
Silvestre, Israël
« Veuë de l’abbaye royalle de Ioyanvalle proche Saint Germain en Laye »
Part of Collection des arts graphiques
Estampe en noir et blanc représentant l’abbaye royale de Joyenval.
Titre et mention d’auteur et d’éditeur gravés en partie inférieure (de haut en bas puis de gauche à droite : « Veuë de l'abbaye royalle de Ioyanvalle proche Saint Germain en Laye/Israel Silvestre delin. et sculp./ Israel ex. cum privil. Regis »).
Silvestre, Israël