Affichage de 2072 résultats

Description archivistique
Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye Texte Avec objets numériques
Options de recherche avancée
Aperçu avant impression Affichage :

Moules d'armes d'Alise (Moules 10084, 10092, 10098, 10112, 10114, 10165)

Ensemble de moules à bon breux pris sur des armes d'Alise-Sainte-Reine découvertes lors des douilles impériale (1862-1865)
Atelier d’Abel Maître, Ensemble de moules à bon creux pris sur les armes d’Alise-Sainte-Reine
Deuxième moitié du XIXe siècle.
Saint-Germain-en-Laye, MAN. collection des moules

Les moules correspondent à une série de tirages inscrits au registre d’entrée des collections du musée en 1869. Cependant, Abel Maître possédait dès 1864, dans son atelier de la rue de Sèvres à Paris, plus de 100 moules des armes d’Alise.

Devant la difficulté de constituer les collections du Musée gallo-romain et afin d’en assurer la promotion, les techniques du moulage s’imposent rapidement pour répondre aux besoins de produire des copies d’objets provenant des fouilles archéologiques et ayant une valeur historique, technique ou artistique.
La diversité et la complexité des formes de l’ensemble des objets à mouler – fibules, pointes de lance, épées, umbos, couteaux, éperons, etc. – exige d’utiliser la technique du moule à pièces en plâtre, ou dit « à bon creux », afin obtenir une empreinte parfaite de la pièce et surtout de pouvoir la démouler sans la casser. Ce procédé facilite également le démoulage de la copie en plâtre. En dernier lieu, la réalisation d’une patine à la gomme-laque, mélangée avec des pigments de couleurs, permet d’obtenir une copie conforme à l’original.
À la fin du XIXe siècle, le musée de Saint-Germain possède près de 150 moules des armes découvertes à Alise-Sainte-Reine, notés sur le registre de l’atelier de moulages et correspondant à deux séries de tirages en plâtre inscrites au registre d’entrée des collections du musée en 1868 et 1869 (MAN 9274 à 9285 et MAN 10050 à 10184).
S’il est aujourd’hui impossible, en l’absence de documents d’archives, d’avoir des chiffres sur la vente des tirages issus de ces moules, le MAN conserve en revanche un registre des échanges indiquant l’envoi de 11 lots de reproductions de ces armes entre 1869 et 1885, au musée d’artillerie à Paris, dans les musées de province (Beaune, Annecy, Rouen, Orléans, La Flèche, Cahors, Gray et Bar-le-Duc) et au musée de Copenhague.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

  • 2016002
  • Fonds
  • 1903-2010

Soumis au statut des « bâtiments civils et palais nationaux » à la fin du XIXe siècle, puis, à celui des « monuments historiques » en 1962, l’ancien Domaine royal de Saint-Germain-en-Laye est aujourd’hui Domaine national, domaine public et propriété de l’État, affecté au ministère en charge de la Culture. Jusqu’en 2009, date de sa fusion avec le musée d’Archéologie nationale, il est dirigé par un corps d’agents spécialisés dans la conservation du patrimoine architectural et paysager. Le fonds du Domaine national de Saint-Germain-en-Laye résulte de l’activité conjointe de l’agence d’architecture des bâtiments de France et de l’administrateur du Domaine. Cette équipe de conservateurs du patrimoine a pour mission d’assurer la conservation et la mise en valeur de ce Domaine national par l’exécution de travaux d’entretien, d’aménagement, de restauration, d’une part, et par la gestion du personnel des services de surveillance et du jardin d’autre part.

Architectes de l’État : les architectes en chef des monuments historiques (ACMH)
La loi du 30 mars 1887 pour la conservation des monuments historiques Comprend des dispositions instituant le corps des architectes en chef des monuments historiques (ACMH) instauré par le décret du 26 janvier 1892 et dont les statuts sont fixé en 1907. Recruté par un concours d’État, l’ACMH est nommé dans une circonscription par le ministre en charge de la Culture. Il formule toute proposition et avis pour la protection, la bonne conservation, la mise en valeur et la réutilisation des immeubles protégés. Il assiste la conservation régionale des monuments historiques pour la programmation annuelle des travaux. Il définit à la demande du conservateur régional les propositions d’études préalables aux travaux de restauration des monuments historiques classés. Il est chargé, en tant que maître d’œuvre, de diriger les travaux.
Pendant longtemps la conservation du Domaine est distincte de celle du château de Saint-Germain-en-Laye, et relève de l’attribution d’un architecte ou d’un ingénieur nommé par l’administration centrale. Nous sommes parvenus à reconstituer la liste des architectes successifs depuis le règne de Louis-Philippe, sous réserve de nouvelles recherches. Alexandre Prosper Loaisel de Tréogate, « ingénieur des parterres », est connu pour avoir aménagé les jardins suite à la construction de la gare de Saint-Germain en 1847. Vers 1849-1852/1854, Jules Alexandre Cailloux, « architecte des parterres et terrasse », est chargé de la surveillance, de la conservation de la terrasse et du parterre, avant l’arrivée d’un certain Monsieur Dufrayer. À partir de 1879, la fonction conservation du Domaine et celle du château fusionnent. Joseph-Auguste Lafollye (1828-1891), déjà en charge du Domaine, poursuit les travaux de restauration du château entrepris par Eugène Louis Millet (1819-1879) depuis 1855. Pierre-Gérôme-Honoré Daumet (1826-1911) assure la conservation de 1889 à 1911. Louis Jean Hulot (1871-1959), architecte en chef des bâtiments civils et palais nationaux, est ensuite responsable de l’entretien de 1912 à 1939. Son successeur, Jean-Baptiste Hourlier (1897-1987) de 1939 à 1966, est le premier à être appelé « architecte en chef du Domaine de Saint-Germain-en-Laye ». Aujourd’hui, et sous réserve de la découverte de nouveaux documents, il est l’auteur des archives les plus anciennes du fonds. Lui succèdent les architectes en chef des monuments historiques (ACMH) à l’origine de la majorité de la production documentaire du fonds : Louis Blanchet (1927-) de 1966 à 1992, et Bernard Voinchet (1944-) de 1992 à 2001. Le 14 novembre 2001 Jacques Moulin est nommé ACMH pour le « parc du domaine de Saint-Germain-en-Laye ». Cependant le SNT demeure en relation avec Bernard Voinchet jusqu’en 2008 pour l’achèvement des travaux déjà engagés afin d’assurer leur continuité. Entre 2008 et 2010, l’architecte urbaniste de l’État Anne Staub reprend les fonctions. Depuis 2010, Régis Martin est le nouvel ACMH commun au château et au Domaine.
FONCTIONS ET ACTIVITES
Conservation d’un Domaine national
Nomenclature budgétaire. La nomenclature budgétaire des travaux de restauration est exprimée en titres (annualité), chapitres (spécialité) et articles (unité). Elle se présente sous la forme de chapitres budgétaire. Parmi les titres du budget de l’État nous retrouvons :

  • le Titre III pour les dépenses de fonctionnement des services correspondent aux dépenses courantes de l’État (personnels, fonctionnement, entretien). Dans le cadre du Domaine, il s’agit essentiellement de dépenses pour les travaux d’entretien ou d’intervention ponctuelles auxquels peuvent s’ajouter de travaux d’aménagement ou d’accueil. Les crédits ouverts sur ce titre doivent être consommés dans l’année, c’est la stricte application de l’annualité budgétaire.
  • le Titre V correspond aux dépenses d’investissement de l’État, c’est-à-dire aux travaux de gros œuvres. Ces dépenses concernent les opérations impossibles à mener en une année.

Il existe un cadre particulier du budget des monuments historiques appartenant à l’État, pour lesquelles la nomenclature budgétaire s’exprime essentiellement dans les quelques chapitres suivants :

  • chapitre 31-90 : vacations ;
  • chapitre 34-97 : fonctionnement ;
  • chapitre 35-20 : travaux d’entretien ;
  • chapitre 56-20 : travaux de grosses réparations.

Procédure pour les gros travaux. Il s’agit de travaux de conservation ou de restauration nécessités par l’état des monuments les plus gravement atteints. Ces travaux sont financés sur le chapitre 56-20 article 50. Ils sont menés sous la maîtrise d’ouvrage des DRAC ou du SNT. Le maître d’œuvre est l’ACMH territorialement compétent, c’est-à-dire qu’il établit le projet et en contrôle l’exécution. Il travaille en plusieurs étapes :

L’étude préalable (EP) dont l’objectif est d’avoir une connaissance précise des travaux à conduire, et de leur éventuel phasage. Elle fait l’historique du bâtiment et propose des restaurations. Elle a valeur de permis de construire.

Le projet architectural et technique (PAT) fait partie du dossier d’appel d’offres (ou dossier de consultation des entreprises) et complète l’étude préalable. Il sert à la mise en concurrence des entreprises. Il comprend :

  • le cahier des clauses techniques et particulières (CCTP) ;
  • un avant-métré : énumération des unités d’œuvre entrant dans une construction et indication de la quantité nécessaire à chacune d’elles ;
  • des documents graphiques : plans, élévations, coupes, tirages photographiques, photomontages, relevés topographiques, plans cadastraux, etc.
    Un PAT est l’équivalent d’un avant-projet détaillé ou définitif (APD) qui comporte des plans détaillés des parties concernées, la définition des moyens et techniques employés, l’estimation définitive des travaux.

Le marché public se compose de plusieurs pièces :

  • l’appel d’offre est la procédure de mise en concurrence et d’attribution de marché comporte le dossier de consultation des entreprises (DCE), le rapport d’analyse des offres et le procès-verbal de la commission d’ouverture des plis ;
  • l’acte d’engagement : document dans lequel l’entreprise, candidate à un marché public, présente son offre et adhère aux clauses définies par l’acheteur. Cet acte est signé par les deux parties ;
  • bordereau de prix : pièce écrite énumérant de façon détaillée les prix des différents articles ;
  • devis descriptif : description technique de l’ensemble de l’ouvrage et des modes d’exécution, les contraintes techniques et les matériaux utilisés ;
  • devis estimatif : montant estimé des travaux ;
  • devis quantitatif : liste des éléments d’ouvrages (fournitures) ;
  • cahier des clauses administratives particulières (CCAP) : pièce contractuelle rappelant les règles administratives et les pénalités encourues en cas de non-respect du contrat ;
  • cahier des clauses techniques particulières (CCTP) : pièce contractuelle détaillant les fournitures et de leur mise en œuvre ;
  • avant-métré ;
  • documents graphiques.

Le suivi des travaux :

  • l’ordre de service : document enjoignant une entreprise à réaliser les travaux pour lesquels l’accord a été passé ;
  • situation de travaux : pièce établie périodiquement par le maître d’œuvre, indiquant les quantités d’ouvrages (matériaux) et les prix correspondant ;
  • comptes rendus de réunion de chantier ;
  • attachement : document écrit ou graphique réalisé au cours des travaux ou dès la fin servant à l’établissement de mémoires, et permettant la vérification des travaux ;
  • mémoire : état détaillé des travaux exécutés et des sommes dues, dressé par l’entrepreneur ou le maître d’œuvre, à la fin de travaux en vue du règlement ;
  • garantie décennale : garantie due par les constructeurs au maître d’ouvrage pendant dix ans à compter de la réception des ouvrages.

La création du dossier documentaire des ouvrages exécutés (DOE ou DDOE) ou rapport de restauration.

L’initiative du lancement d’une procédure appartient soit à l’administrateur du Domaine, soit aux services dépendant de la direction du patrimoine. Au cours des visites pluriannuelles faites par l’ABF, l’ACMH ou le CRMH, l’administrateur constate avec l’aide de ce dernier les désordres. Si ceux-ci sont de faible importance, il voit avec l’ABF comment les réduire, éventuellement sur des crédits d’entretien. S’ils sont importants, l’ABF saisit, en liaison avec l’administrateur, le CRMH du problème. Celui-ci, accompagné de l’ABF et de l’ACMH, prend la mesure des travaux à mener. Le CRMH, après consultation de l’administrateur sur une éventuelle priorité, commande à l’ACMH une étude préalable. La durée de l’étude préalable est de six mois. À la réception de l’étude, le CRMH demande obligatoirement l’avis de l’inspection des monuments historiques et de l’inspection générale des monuments historiques territorialement compétentes. Cet avis est réputé favorablement dans un délai de deux mois, avant de passer à la phase suivante de mise au point du projet de restauration par la commande d’un PAT. Le délai est de sept mois au minimum après la réception de la commande par l’ACMH du PAT. On peut considérer qu’à partir du moment où la commande d’étude préalable a été passée à l’ACMH, un délai moyen de deux ans est inévitable avant le commencement des travaux, compte-tenu des contraintes d’avis, de marchés, de gestion comptable, etc. Le CRMH engage les crédits et parallèlement, passe commande du PAT, prépare les marchés et les appels d’offre, passe les marchés. L’ACMH signe alors les ordres de services aux entreprises et suit le déroulement des travaux. Il importe que le règlement du chantier soit élaboré en concertation entre l’ACMH et l’administrateur. Chaque réunion de chantier doit se faire en présente de l’administrateur. La réception des travaux est réalisée par l’ACMH, l’administrateur et le CRMH.

Procédure pour les travaux d’entretien. L’entretien correspond à l’action préventive ou curative, qui, avec des moyens réduits, empêche l’apparition d’un désordre, le supprime ou en arrête l’extension. L’administrateur a le devoir de veiller au bon état du monument. Cette action préventive consiste essentiellement en balayage, nettoyage des créneaux et fossés, émoulage, dégorgement, etc. Elle est l’entière responsabilité de l’administrateur. L’ABF doit au cours de ses visites d’inspection pluriannuelles, le lui rappeler. L’action curative, quant à elle, appartient à l’ABF en concertation avec l’ACMH et l’administrateur. L’ABF est obligatoirement le maître d’œuvre de ces travaux. Il dispose d’un crédit annuel dont il assume la programmation. L’ordre de service des travaux d’entretien est établi suivant un modèle défini. Une copie est adressée au conservateur régional ainsi qu’à l’ACMH. L’ABF signe le permis de feu autorisant l’entreprise à entreprendre des travaux.

Procédure pour les travaux neufs. Dans certains cas, des travaux d’investissement doivent être menés afin d’aménager dans le monument un accueil, des locaux professionnels, voire des bureaux ou des logements. Lorsque ces travaux ne modifient pas les parties sensibles du monument, le régime des travaux sur les immeubles classés parmi les monuments historiques ne s’applique plus. Il faut alors appliquer les textes sur l’ingénierie.Le maître d’ouvrage, conservateur régional attaché à la DRAC, SNT ou CMN, peut, pour assurer la maîtrise d’œuvre de l’opération, faire appel soit à un architecte libéral, soit à l’ACMH, soit à l’ABF. Dans la plupart des cas l’initiative appartient à l’administrateur qui doit faire connaître, au travers de son rapport d’activité annuel, ses besoins en matière de travaux d’amélioration : de l’accueil du public, des conditions de travail de ses agents, des logements de service. Un programme détaillé de l’opération doit alors être effectué en liaison avec le utilisateurs du monument, l’ABF, l’ACMH, le conservateur régional et le CMN afin de vérifier la nécessité et la faisabilité du projet au regard des exigences des biens et du publics, et du respect du monument.

La protection des abords. Selon la loi de 1943, sont protégés les abords des monuments, donc tout immeuble placé dans un périmètre de 500 mètres. Toute destruction construction, restauration doit obtenir l’accord préalable de l’ABF ou de l’ACMH.

L’accueil et la surveillance d’un Domaine national

La direction du patrimoine fait appel à un corps d’agents spécifiques pour la gestion des monuments historiques. Ces agents interviennent essentiellement en qualité de gardiens ou de jardiniers et sont placés sous la responsabilité de l’administrateur du Domaine :

  • les agents de surveillance et de magasinage appartiennent au corps des techniciens des services culturels et des bâtiments de France, et se composent des agents techniques de surveillance et de magasinage, des agents chefs de surveillance et de magasinage et des techniciens des services culturels ;
  • les jardiniers appartiennent au corps des techniciens d’art et se composent de maîtres-ouvriers, d’ouvriers professionnels, de techniciens d’art et de chefs de travaux d’art ;
  • les aides-jardiniers appartenant au corps des ouvriers professionnels ;
  • les agents de service appartenant au corps des agents techniques.
    Les agents d’un Domaine national sont gérés au niveau des DRAC (notation, propositions d’avancement), de la direction du patrimoine et de la direction de l’administration générale.

L’actuel instrument de recherche décrit l’ensemble des archives relevant du cœur de métier du double producteur, les architectes de l’État et l’administrateur. Trois fonctions ont été identifiées :

  • la conservation du Domaine est assurée principalement par les architectes de l’État, et coordonnée par l’administrateur, sous la tutelle du CRMH et en collaboration avec le SNT. La conservation comprend l’ensemble des travaux d’entretien dirigés par l’ABF et les gros ouvrages de restauration dirigés par l’ACMH.
  • l’accueil et la surveillance du Domaine est une fonction attribuée exclusivement à l’administrateur.
  • la gestion immobilière des propriétés, parcelles et concessions est assurée par l’administrateur sous la tutelle du CMN.
    Ces trois fonctions sont reproduites dans le plan général de l’instrument de recherche.
    La série « Conservation du Domaine » se décline en deux sous-séries : l’entretien et le gros œuvre. La sous-série « Entretien » respecte le double classement originel conçu par le producteur :
  • un classement chronologique annuel : seules les pièces récapitulatives par année ont été conservées. Les documents comptables (factures et devis) ayant dépassée leur durée légale de conservation de 10 ans, ainsi que les bordereaux d’envoi et de réception ont été éliminés.
  • un classement topographique en fonction des sites pour des actions d’entretien récurrentes.
    Ont été conservés :
  • la correspondance comportant des informations de premier ordre permettant d’éclairer le fonctionnement des travaux d’entretien et d’expliquer les motivations à enclencher les procédures de travaux ;
  • la correspondance sur les dotations budgétaires annuelles ;
  • les pièces de marchés ;
  • certains documents comptables lorsque aucune pièce récapitulative n’existe afin de garder trace des modes de fonctionnement de l’entretien sur toute la chronologique.
    La sous-série « Gros œuvre » suit la logique d’un classement topographique et rassemble toutes les typologiques de documents propre au métier d’architecte : études préalables, PAT, pièces de marché, DDOE, documents graphiques et attachements figurés.
    Gestion immobilière du domaine :
  • contrats et baux d’occupation ;
  • le suivi de l’achat des parcelles sous la Terrasse.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

Statuette féminine dite "Losange" (MAN 49281)

Cette statuette, sculptée dans de la stéatite verte, a été surnommée le « losange », en raison de sa silhouette, constituée d’un corps généreux, et d’une tête et de membres réduites. La plupart des statuettes féminines ou « Vénus » gravettiennes – d’il y a 25000 ans environ – s’inscrivent elles aussi dans un losange.
La tête est très étroite, de forme ovale, avec un sommet pointu, qui pourrait correspondre à une coiffure conique. Le mention est bien dessiné, à l’encontre du reste du visage. Le cou est dégagé, mettant en valeur des épaules larges et un torse plane. De ce torse, se détachent deux seins volumineux, écartés et aplatis, détourés par des incisions profondes. Les bras, extrêmement fins, sont à peine esquissés et plaqués contre le corps.
Comme la poitrine, le ventre est sculpté en fort relief, très proéminent et détouré par incision. Le sexe est fortement marqué, avec le détail de la vulve. Encadrant d’abord le ventre et le sexe, les jambes se réunissent ensuite pour former une pointe qui semble avoir été anciennement brisée. De chaque côté, les hanches et les fesses sont très saillantes.
Sur la face arrière, on peut voir le dos, très plat, les reins, à la cambrure peu marquée, et les fesses, à la fois écartées et aplaties. Seins, ventre et fesses ont ainsi été façonnés selon des mêmes techniques. Loin d’être réaliste, cette statuette féminine se révèle géométrisée et stylisée.

Autres statuettes sur la même image

Statuette féminine en stéatite verte
Stéatite verte
L. = 3.8 cm ; l. = 1.3 cm ; É. = 1.1 cm
Grottes des Balzi Rossi à Grimaldi (Italie)
Gravettien, vers -29000 / -22000 ans
Fouilles Louis Alexandre Jullien, 1883-1895
MAN 49280 bis

Statuette féminine en os dite « femme au goitre »
Os
L. = 4.5 cm ; l. = 1.4 cm ; É. = 0.9 cm
Grottes des Balzi Rossi à Grimaldi (Italie)
Gravettien, vers -29000 / -22000 ans
Fouilles Louis Alexandre Jullien, 1883-1895
MAN 49283

Tête humaine en stéatite verte
Stéatite verte
L. = 2.5 cm ; l. 1.5 cm ; É. = 2.5 cm
Grottes des Balzi Rossi à Grimaldi (Italie)
Gravettien, vers -29000 / -22000 ans
Fouilles Louis Alexandre Jullien, 1883-1895
MAN 49284

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

SN

Château de Saint-Germain-en-Laye, dessus de la porte remontée dans l’un des bureaux du premier étage, bois, vers 1682-1685.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 91311.093

MAN 91311.093. Parure. Grenat taillé et poli desserti d'une parure. Grenat. L : 15 mm. l : 10 mm. Collection privée Gauckler. 2013. Carthage. Époque punique. Archéologie comparée. Recto.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 91311.0102

MAN 91311.0102. Parure. Grenat en forme d'hexagone allongé, poli et taillé, probablement desserti d'une parure. Grenat. L : 7,4 mm. l : 4 mm. Collection privée Gauckler. 2013. Carthage. Époque punique. Archéologie comparée. Recto.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 91311.0121

MAN 91311.0121. Tête. Visage de profil ressemblant à ceux visibles sur les camées. Pâte de verre. L : 11 mm. l : 8 mm. Collection privée Gauckler. 2013. Carthage. Époque punique. Archéologie comparée. Profil gauche.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 91311.0122

MAN 91311.0122. Tête. Visage de profil ressemblant à ceux visibles sur les camées. Pâte de verre. L : 11 mm. l : 8 mm. Collection privée Gauckler. 2013. Carthage. Époque punique. Archéologie comparée. Profil droit.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 91311.0124

MAN 91311.0124. Perle. Perle ovale. Pâte de verre. D : 9 mm. E : 11 mm. Collection privée Gauckler. 2013. Carthage. Époque punique. Archéologie comparée. Recto.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 91311.0126

MAN 91311.0126. Perle.Perle ronde blanche aux reflets gris. Pâte de verre. D : 12 mm. E : 11 mm. Collection privée Gauckler. 2013. Carthage. Époque punique. Archéologie comparée. Recto.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 84563

Manuscrit Tamoul composé de feuilles de palme formant des ôles avec inscriptions en sanscrit ?, L. : 0,37 m ; l. : 0,25 m. Dépôt du musée du Louvre en 1908.
Détail du texte.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 6760

Antéfixe découvert sur le site de Troesmis (Roumanie) lors de la mission d’Ambroise Baudry et G. Boissère, 1865
Revers

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 27166.02

Anneau, alliage cuivreux, D. max. : 7 cm., prov. de Koban, Ossétie-du-Nord (Russie), début du Ier millénaire av. J-C.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 27166.03

Anneau, alliage cuivreux, D. max. : 6,9 cm., prov. de Koban, Ossétie-du-Nord (Russie), début du Ier millénaire av. J-C.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 27166.04

Anneau, alliage cuivreux, D. max. : 7,1 cm., prov. de Koban, Ossétie-du-Nord (Russie), début du Ier millénaire av. J-C.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 27167.09

Bracelet, alliage cuivreux, D. max. : 5,7 cm., prov. de Koban, Ossétie-du-Nord (Russie), début du Ier millénaire av. J-C.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 27168.01

Bracelet, alliage cuivreux, D. max. : 11,2 cm., provenant de Koban, Ossétie-du-Nord (Russie), début du Ier millénaire avant J-C.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 27168.11

Bracelet, alliage cuivreux, D. max. : 11,,4 cm., provenant de Koban, Ossétie-du-Nord (Russie), début du Ier millénaire avant J-C.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 27169.06

Bracelet, alliage cuivreux, D. max. : 14,2 cm., provenant de Koban, Ossétie-du-Nord (Russie), début du Ier millénaire avant J-C.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 27165

Torque, alliage cuivreux, D. max. : 13,6 cm., provenant de Koban, Ossétie-du-Nord (Russie) (Russie), début du Ier millénaire avant J-C.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 27168.13

Bracelet, alliage cuivreux, D. max. : 12,2 cm., provenant de Koban, Ossétie-du-Nord (Russie), début du Ier millénaire avant J-C.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 27169.04

Bracelet, alliage cuivreux, D. max. : 11,5 cm., provenant de Koban, Ossétie-du-Nord (Russie), début du Ier millénaire avant J-C.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 27132.01 ; MAN 27132.02

Lot de 2 coquilles, L. : 1,9 cm, provenant de Koban, Ossétie-du-Nord (Russie), début du Ier millénaire avant J-C.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 27161.16

Anneau à enroulements, D. max : 2,2 cm, provenant de Koban, Ossétie-du-Nord (Russie), début du Ier millénaire avant J-C.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 26942.01

Pendeloque, alliage cuivreux, L. : 3,4 cm, provenant de Koban, Ossétie-du-Nord (Russie), début du Ier millénaire avant J-C.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 27210.01

Pierre à aiguiser, pierre, provenant de Koban, Ossétie-du-Nord (Russie), début du Ier millénaire avant J-C.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 27142.05

Chaînette, alliage cuivreux, L. : 18,8 cm, provenant de Koban, Ossétie-du-Nord (Russie), début du Ier millénaire avant J-C.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 26959.01

Anneau ouvert, alliage cuivreux, D. max : 4,8 cm, provenant de Koban, Ossétie-du-Nord (Russie), début du Ier millénaire avant J-C.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 26959.02

Anneau ouvert, alliage cuivreux, D. max : 5 cm, provenant de Koban, Ossétie-du-Nord (Russie), début du Ier millénaire avant J-C.
Vue avec rotule

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 26959.03

Anneau ouvert, alliage cuivreux, D. max : 5,3 cm, provenant de Koban, Ossétie-du-Nord (Russie), début du Ier millénaire avant J-C.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 25814 ; MAN 25814*

Diplôme militaire (face B) avec inscription gravée en latin relative à la flotte de Ravenne, bronze, 249-250 ap. J.-C., prov. de l’église de San Martino à Bordonchio (Italie), acheté en 1862 pour l’empereur Napoléon III aux héritiers du Dr Antonio Bianchi. l. : 14,7 cm ; ép. : 0,25 cm. Avec un moulage de la face B.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 77697

Fragment peint de paroi de la grotte de Las Batuecas, province de Salamanque (Espagne), quartz. L. : c. 17,5 cm max. ; l. : c. 13 cm max. ; ép. : c. 9,8 cm max. Néolithique. Don Henri Breuil, 1939.
Verso avec mire. Face latérale avec mire.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 91311.0104b

MAN 91311.0104 b. Sculpture. Tête féminine hellénistique en terre cuite.. Terre cuite. L : 41 mm. l : 27 mm. Collection privée Gauckler. 2013. Italie du Sud. Époque romaine, 3ème siècle av. J.-C.Archéologie comparée. Profil gauche.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 23879 ; MAN 23880

Bracelet ouvert et 5 enroulements de fils épais, en or. Achat en 1877. Prov. d’Heidolsheim (Bas-Rhin). Âge du Bronze.
Avec mire.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 23879 ; MAN 23880

Bracelet ouvert et 5 enroulements de fils épais, en or. Achat en 1877. Prov. d’Heidolsheim (Bas-Rhin). Âge du Bronze
Vue d’ensemble avec mire, fond noir.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 77538

Épée en bronze de type Erbenheim provenant du dragage de la Saône à Saint-Jean-de-Losne (Côte d'Or), Age du bronze final (XIe siècle). 71,7 x 4 x 0,8 cm.
Recto sans échelle

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 77538

Épée en bronze de type Erbenheim provenant du dragage de la Saône à Saint-Jean-de-Losne (Côte d'Or), Age du bronze final (XIe siècle). 71,7 x 4 x 0,8 cm.
Détail de la pointe avec échelle

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 77538

Épée en bronze de type Erbenheim provenant du dragage de la Saône à Saint-Jean-de-Losne (Côte d'Or), Age du bronze final (XIe siècle). 71,7 x 4 x 0,8 cm.
Détail de la pointe sans échelle

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 77538

Épée en bronze de type Erbenheim provenant du dragage de la Saône à Saint-Jean-de-Losne (Côte d'Or), Age du bronze final (XIe siècle). 71,7 x 4 x 0,8 cm.
Vue d'ensemble de profil à la verticale

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 83901

Mobilier de la sépulture 115 de la Saulsotte, le Bois Pot de Vin, près de Courtavant dans l' Aube, collection Lamarre, constitué d'un anneau en or, d'un vase, de rivets, de dents. Âge du Bronze. (BPV-HL-115). Vue d'ensemble avec dents et mire.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 83901

Rasoir en bronze, partie du mobilier de la sépulture 1 de Barbuise, les Grèves de Frécul, près de Courtavant (Aube). Collection Lamarre. Âge du Bronze. (GDF-HL-1).
Face sans mire.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 83901

Rasoir en bronze, partie du mobilier de la sépulture 1 de Barbuise, les Grèves de Frécul, près de Courtavant (Aube). Collection Lamarre. Âge du Bronze. (GDF-HL-1).
Revers avec mire.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 83901

Mobilier de la sépulture 31 de Barbuise, les Grèves de Frécul, près de Courtavant dans l'Aube (collection Lamarre) constitué d'un bracelet et de perles à spirale. Âge du Bronze. (GDF-HL-31).
Recto avec mire.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 18697

Bracelet ouvert en or, identifié par Léon Maître comme provenant de Crossac (Loire-Atlantique). D. : 8,5 cm. Bronze moyen. Don de Napoléon III, inscrit à l'inventaire en 1872, anc. N° d'inventaire 4465.
Revers sans mire.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 91907

MAN 91907. Figurine zoomorphe (truie ?) en terre cuite, provenant de la collecte Rabut dans le lac du Bourget-Grésine à Brison-Saint-Innocent (Savoie). D. : L. : 6 cm ; l. : 2,4 cm ; P. : 31 g. Bronze final.
Dessus avec mire

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 91907

MAN 91907. Figurine zoomorphe (truie ?) en terre cuite, provenant de la collecte Rabut dans le lac du Bourget-Grésine à Brison-Saint-Innocent (Savoie). D. : L. : 6 cm ; l. : 2,4 cm ; P. : 31 g. Bronze final.
Trois-quart gauche avec mire

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 7602 ; MAN 7605 ; MAN 7608 ; MAN 7761 ; MAN 8644 ; MAN 9423.2 ; MAN 9428 ; MAN 16300 ; MAN 16301.1 ; MAN 16301.2 ; MAN 16310 ; MAN 16323.1 ; MAN 16335.A ; MAN 16335.B ; MAN 16346 ; MAN 16358.1 ; MAN 16358.2 ; MAN 16358.3 ; MAN 16382 ; MAN 16383 ; MAN 16392.A ; MAN 16422 ; MAN 16430 ; MAN 16436 ; MAN 16489.1 ; MAN 16489.2 ; MAN 16489.3 ; MAN 16489.4 ; MAN 16489.5 ; MAN 16500 ; MAN 16527.D ; MAN 16540.A ; MAN 16559.A ; MAN 16560 ; MAN 16562.1 ; MAN 16567.A ; MAN 16569 ; MAN 16570 ; MAN 17108 ; MAN 17110 ; MAN 17111 ; MAN 17112 ; MAN 17114 ; MAN 20935 ; MAN 26522 ; MAN 26528

Ensemble de pièces provenant de la collecte Rabut dans le lac du Bourget (Savoie), à savoir : 1 coupelle en terre cuite (MAN7608), 2 bracelets (MAN7761 et MAN8644) et 2 épingles (MAN16335.A et B) en alliage cuivreux, un morceau d'andouiller de cerf (MAN16422) provenant de Châtillon-sur-Cluses, un ruban torse (MAN26528), 1 pointe de lance (MAN16300), 2 pointes de lance à douille (MAN16301.1 et 2), une pendeloque (MAN16310) en alliage cuivreux, une perle en ambre (MAN16382), une perle en stéatite (MAN16383), 5 fusaïoles (MAN16489.1 à 5), 1 vase miniature (MAN16527.D), 1 demi-vase en bulbe d'oignon (MAN16540.A), 2 vases à fond plat (MAN16559.A et MAN16567.A), 1 assiette (MAN16562.1) en terre cuite, provenant de Brison-Saint-Innocent ; 2 écuelles (MAN7602 ; MAN7605) et 1 vase à fond plat en terre cuite (MAN16560), une épingle en alliage cuivreux (MAN16323.1) provenant de Tresserve; 1 couteau à douille en alliage cuivreux (MAN16346), 1 moule à anneaux en molasse (MAN16392.A) provenant de Conjux ; un moulage en plâtre d'un élément de bois travaillé "Lac du Bourget - M. Rabut" (MAN9423), un fuseau en bois (MAN9428), un morceau de bois (MAN9430), un pilotis en bois avec entaille à queue d'aronde (MAN16430), des glands (16436), trois fragments de couteaux (MAN16358.1 à 3), une rondelle (MAN17108), une hache à douille et anneau (MAN17110), deux anneaux imbriqués (MAN17111), une épingle (MAN17112) en alliage cuivreux, un poids de filet en pierre (MAN17114), un fragment de sol de four ? (MAN16500), 1 fragment de poterie d'un grand vase avec décor de cordon digité (MAN20935), une assiette (MAN26522), 1 vase à fond plat, décor ligne poinçonnée à l'encolure (MAN16570) en terre cuite, provenant de la station lacustre du lac du Bourget. Bronze final.
Vue d'ensemble sans mire.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 91907

MAN 91907. Figurine zoomorphe (truie ?) en terre cuite, provenant de la collecte Rabut dans le lac du Bourget-Grésine à Brison-Saint-Innocent (Savoie). D. : L. : 6 cm ; l. : 2,4 cm ; P. : 31 g. Bronze final.
Dos debout

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 17118 ; MAN 26525 ; MAN 26526 ; MAN 26527

MAN 17118 ; MAN 26525 ; MAN 26526 ; MAN 26527 . Ensemble de pièces en terre cuite issues de la collecte Rabut dans le lac du Bourget (Savoie), à savoir une miniature en céramique (MAN 17118), d'une moitié de roue (MAN 26525) et de deux fragments de roue (MAN 26527) provenant de Brison-Saint-Innocent, et d'une moitié de roue (MAN 26526) provenant de Châtillon. Bronze final.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 91904.5 ; MAN 91904.6 ; MAN 91904.7 ; MAN 91904.8 ; MAN 91904.9

Dépôt de Lannilis (Finistère) : ensemble de 5 épingles à tête en disque en alliage cuivreux originaires d'Europe Centrale ou de la zone Nord-Alpine découvertes près de Lannilis (Finistère). Âge du Bronze ancien (2000-1800 avant notre ère)
(5 pièces de 12 cm à 6 cm de long).
Recto avec mire.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

Résultats 1 à 50 sur 2072