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Louis XIII Français
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Lettre concernant la punition au fouet du dauphin à Saint-Germain-en-Laye

« Monsieur,
La Reyne est aucunement en peine de ce que [f. 275v] monsieur de Monglat luy a dict que monseigneur le Dauphin se remettoit en ses opiniastretez accoustumées et qu’il ne se soucioit plus ny du maçon ny de toutes les menaces que l’on luy scavoit faire, et sur cela led. sieur de Monglay demande permission à la Reyne pour madame de Monglat de le fouetter quand ces humeurs là le tiendront. Là-dessus Sa Majesté escrit à lad. dame de Monglat qu’elle trouve bon qu’elle le fouette, mais que ce soit avec tant de circonspection que la colere qu’il en pourroit prendre ne luy engendre aucune maladie. Sa Majesté, estant un peu faschée de cette nouvelle, m’a commandé de vous en escrire particulierement et vous dire de sa part que vous luy ferez plaisir de luy mander à Elle mesme ou à moy pour luy representer ce qui en est, et si mond. seigneur est si opiniastre et si vous jugez à propos que l’on le fouete, ou bien comme quoy vous voulez qu’on le traicte pour ce regard, Sa Majesté m’ayant tesmoigné qu’elle recevra avec beaucoup de contentement les nouvelles qui en viendront de vous et le remere que vous mesmes y jugerez le plus convenable, et mesmes Elle n’a trouvé à propos de vous en escrire elle mesme, mais m’a commandé de le faire en mon nom, affin que mad. dame de Monglat n’en prenne ombrage. J’attendray donc sur cela de vos nouvelles pour les presenter à Sa Majesté etc. »

Récit de l’hommage rendu au roi pour le duché de Bar à Saint-Germain-en-Laye

« Relation de ce qui s’est passé en l’hommage rendu au roy Louys XIII par le duc Charles de Lorraine pour le duché de Bar à Saint Germain en Laye au mois d’avril 1641
Le mardi deuxieme avril 1641, le Roy donna ordre au sieur de Chavigny, secretaire d’estat, de proposer au duc Charles de Lorraine de rendre la foy et hommage qu’il estoit tenu de faire à Sa Majesté à cause de son duché de Bar mouvant de sa couronne, suivant le troisieme article qu’il venoit de faire avec Sadite Majesté le 29 mars precedant. Sur quoy ledit duc Cahrles dit audit de Chavigny qu’il estoit prest de rendre la foy et hommage pourveu que l’on adjoustast en la forme de l’acte que l’on luy avoit fait voir qu’il rendoit cette foy et hommage comme avoient fait les ducs de Lorraine ses predecesseurs, ce que Sa Majesté trouva bon. Neantmoins, estans en son cabinet et attendant que ledit duc fust venu pour rendre cette foy et hommage, ainsi qu’il estoit demeuré d’accord, il pria ledit de Chavigny de faire scavoir à monsieur le chancelier qu’il desiroit luy proposer quelques difficultez sur la prestation de ladite foy et hommage, ce qui donna sujet audit chancelier de venir trouver ce duc, qui estoit proche la porte du cabinet du Roy, où estant il luy dit qu’il ne scavoit ce que l’on desiroit de luy, qu’il n’avoit aucune connoissance de la forme de la foy et hommage que ses predecesseurs avoient rendue pour le duché de Bar et qu’il doutoit mesme s’il estoit obligé de la rendre en la forme que l’on proposoit, qu’il avoit ouy dire autresfois à ses officiers que les trois derniers ducs ses predecesseurs n’avoient fait aucune foy et hommage, qu’il avoit en son duché de Bar tous les droicts regaliens et que mesme il pouvoit faire des loix, suivant lesquelles le parlement de Paris estoit obligé de juger en cas d’appel de ses juges, qu’il n’avoit aucune personne de conseil aupres de luy pour prendre resolution de ce qu’il devoit faire sur ces difficultez, neantmoins qu’il estoit prest de rendre obeyssance aux commandemens du Roy et de faire tout ce qu’il luy ordonneroit. Sur quoy le chancelier luy representa que lrosqu’il avoit fait le traité, il avoit proposé les mesmes difficultez et que l’on luy avoit fait voir que les ducs de Lorraine estoient hommes liges du Roy à cause du duché de Bar, mouvant de la couronne de France, que jamais la mouvance n’avoit esté revoquée en doute par les ducs ses predecesseurs, qui en avoient rendu la foy et hommage lige aux roys de France, que si les roys Charles IX et le roy Henry III avoient donné aux ducs ses predecesseurs les droits regaliens, cela ne les exemptoit pas de la foy et hommage, d’autant que [p. 674] par les lettres patentes verifiées à la requeste mesmes des ducs ses predecesseurs, les roys de France se reservent le ressort et la souveraineté et l’hommage lige, et est porté par lesdites lettres que le duc de Lorraine qui estoit lors en avoit fait la foy et hommage ; qu’il estoit vray que les appellations de ses juges ressortissoient aux cas du presidial au bailliage de Sens et autres cas en la cour de parlement, qui juge suivant les coustumes du Barrois qui ont esté verifiées en ladite cour de parlement, que les ducs de Lorraine, comme ducs de Bar, ne pouvoient changer les coustumes ny donner de nouvelles loix à leurs sujets sans verification du parlement, qui estoient des marques asseurées de souveraineté et que, partant, il ne devoit faire aucune difficulté de rendre la foy et hommage lige, ainsi qu’il estoit porté par l’acte qui luy avoit esté presenté ; que les roys d’Angleterre, les ducs de Bretagne, les ducs de Bourgongne, l’archiduc d’Austriche l’avoient rendue autresfois aux roys de France pour les terres qu’ils possedoient mouvantes de la couronne en la mesme forme que l’on desiroit de luy, neantmoins que s’il faisoit quelque difficulté, il representeroit au Roy ce qu’il luy avoit dit pour recevoir sa volonté. Ensuite de quoy ledit chancelier estant venu trouver le Roy et luy ayant fait entendre les difficultez proposées cy dessus par ce duc, Sa Majesté luy commanda de luy faire scavoir qu’Elle ne vouloit point le presser, qu’Elle desiroit qu’il prist du temps pour s’instruire de ses droicts et que l’on luy feroit voir par bons titres l’obligation qu’il avoit de rendre cette foy et hommage lige. Ce qu’ayant esté rapporté par le chancelier audit duc, il dit que la difficulté qu’il avoit proposée n’estoit pas qu’il eut dessein de differer de rendre la foy et hommage, au contraire qu’il estoit prest ainsi qu’il avoit dit de rendre l’obeyssance aux commandemens du Roy et de se jetter à ses pieds, qu’il prioit Sa Majesté de luy accorder cette grace qu’il le fist. Et, de fait, s’estant approché de Sa Majesté, il luy auroit dit que la difficulté qu’il avoit faite n’estoit pas pour differer de rendre la foy et hommage et l’auroit prié par trois et quatre fois, avec grande instance, de luy permettre de la rendre et qu’il vouloit obeyr à ses commandemens. Sur quoy Sa Majesté luy auroit fait reponse qu’Elle avoit resolu de luy donner du temps pour connoistre ses droicts et que dans huit jours il pourroit, estant bien informé, faire la foy et hommage, et que l’on luy feroit voir les actes qui justifient les droicts de sa couronne. Huit jours apres, les difficultez pour l’hommage de ladite duché de Bar estans levées, le Roy commanda au comte de Brullon, un des introducteurs des princes estrangers et ambassadeurs, de mener ledit sieur de Lorraine, lequel l’attendit dans son cabinet, sans se mouvoir ny oster son chapeau, ayant le chancelier à costé de luy. Ce duc estant en bas dessous, se mit à genoux sur un carreau qui luy estoit preparé, et ses mains nues entre celles du Roy, fit hommage lige pour la duché de Bar, avec ses dependances, selon les formes ordinaires pratiquées en semblables occasions. Peu de jours apres, il fit ses adieux, et se retira comblé d’honneurs et de bienfaits de Sa Majesté. »

Mentions dans le registre paroissial de Saint-Germain-en-Laye du convoi funéraire de Louis XIII

« Le dix neufiesme jour de may mil six cents quarente trois, le corps du feu Roy, que Dieu absolve, (ayant demeuré en son lict de parade dressé en son chasteau neuf de Saint Germain en Laye pour estre veu et visitté de tous ses sujets, comme il fut faict tant de tous les habitants dud. lieu que de tous les lieux circonvoisins, de tous estats et conditions, sexes et aages, avec pleurs et larmes de regrets d’une telle perte, et avec devotes prieres pour le repos de son ame, la liberté n’en estant interdite à aucune personne depuis le jour du deces de Sa Majesté jusques aud. jour sur les quatre à cinq heures du soir, pendant lequel temps furent faictes continuelles prieres à son intention, tant de jour que de nuict, et journellement celebrées quantité de messes tant par plusieurs prelats et evesques que par messieurs les aumosniers et chantres de la chapelle de Sa Majesté, comme aussi par une grande quantité de religieux de tous les ordres mandiants de Paris qui y avoient esté mandez à cest effect, sans obmettre monsieur le curé de ced. lieu, qui y fut aussi mandé des premiers avec son clergé, qui y rendirent leurs debvoirs non avec moindre devotion que tous les autres) fut enlevé, selon qu’il avoit pleu à Sa Majesté de l’ordonner par son testament et derniere volonté, sans pompe funebre (telle qu’elle eus testé bien requise pour la mémoire d’un si grand prince) dans un char de dueil tiré par six chevaux, enharnachez de mesme pareure, pour estre porté à Saint Denis, lieu de la sepulture des roys de France, et ledict char accompagné de quantité de prelats et aumosniers revestus de leurs surplis et bonnets quarrez, de plusieurs princes, seigneurs et officiers tous revetus de dueil, des compagnies ordinaires de la garde de Sa Majesté comme de gendarmes, gardes du corps, chevaux légers et mousquetaires à cheval, et conduict par led. sieur curé de ce lieu, assisté de son clergé, des peres recollets en corps et de tous les paroissiens avec cierges en main allumez, depuis ledict chasteau neuf jusques à la porte du parcq, lieu qui faict la separation des territoires de Saint Germain et du Pecq, où monsieur le curé dud. lieu du Pecq se trouva pour le recevoir et le conduire jusques aux fins et limittes de sa paroisse, et fut ainsi receu et conduict de paroisse en paroisse jusques aud. lieu de Saint Denis. »

Mentions dans le registre paroissial de services donnés dans l’église de Saint-Germain-en-Laye pour le repos de l’âme de Louis XIII

« Le quinziesme jour de may mil six cents quarente trois, fut faict de devotion par moy curé, pour le repos de l’ame du feu Roy, un service complet avec vigiles, recommendasses, trois messes haultes, le libera à la fin avec les autres suffrages accoustumez, les messes chantées par messieurs Bailly, Lucas et moy curé.
[…]
Le 18e jour de may 1642, furent chantées solemnellement les vespres à vigilles des morts, et le lendemain une messe haulte de requiem par monsieur le curé à l’intention du feu Roy, le tout par devotion.
[…]
Le vingtiesme jour de may mil six cents quarente trois, fut faict un service complet de la confrairie dela charité pour le repos de l’ame du Roy deffunct, les messes chantées par messieurs Bailly, Garoche et monsieur le curé. »

Acte de décès de Louis XIII à Saint-Germain-en-Laye

« Le quatorziesme jour de may mil six cents quarente trois, feste de l’Ascension de Nostre Seigneur, à deux heures apres midy, au grand regret, perte et trop tost pour le bien de toute la France, apres une longue et langoureuse maladie, mourut dans le chasteau neuf de Saint Germain en Laye tres puissant, tres victorieux et tres chrestien prince Louys de Bourbon, treiziesme du nom, surnommé le juste, fils aisné de l’Eglise, aprest avoir receu pendant sad. maladie les saints sacrements de penitence eucharistique et extreme onction avec une tres grande et exemplaire devotion, aagé de quarente deux ans sept mois dix sept jours, ayant regné heureusement trente trois ans entiers tout juste, roy de France et de Navarre, laissant pour successeur en la place tres illustre prince Louis de Bourbon, quatorziesme du nom, surnommé Dieudonné, son fils aisné, Daulphin de France, aagé de quatre ans huict mois neuf jours seulement, qui fut tout aussitost conduit en la chapelle du viel chasteau, où il fut recognu, honoré et proclamé Roy par la Reyne regente, sa mere, premierement, puis ensuitte par messieurs les ducs d’Anjou, son frere unique, d’Orleans, son oncle, monsieur le Prince, et generallement par tous les autres princes, prelats, seigneurs et officiers estants pour lors en cour, en fort grand nombre, avec toutes les protestations de service et obeissance deues à Sa Majesté. »

Récit de l’hommage rendu au roi pour le duché de Bar à Saint-Germain-en-Laye

« Narré de ce qui s’est passé à l’entrée et reception du duc Charles de Lorraine faite par moy comte de Brulon, introducteur des princes estrangers et ambassadeurs, l’an 1641
Aussitost que l’on sceut à la cour que le duc de Lorraine quittoit le party d’Espagne pour se ranger à son devoir et venir trouver le Roy, je fus commandé par Sa Majesté d’aller au devant de luy jusques à La Ferté sous Yerre, avec un maistre d’hostel, deux gentilshommes [p. 810] servans, controlleur general et autres officiers pour le traiter, et luy presenter les carrosses du Roy et de la Reyne pour le conduire. Luy ayant presenté lesdits officiers, et dit comme la France se resjouyssoit de le voir aux bonnes graces du Roy, dont il recevroit des temoignages si grands qu’à la confusion de ses ennemis l’on verroit que le seul moyen de vaincre le Roy estoit de se soumettre à sa bonté. Il me repartit qu’il n’avoit jamais eu repos en son esprit que apres avoir pris la resolution de reparer ses fautes par son sang en servant un prince si bon et si grand, que ses actions serviroient d’exemple à la posterité pour justement et genereusement regner. Ces paroles finies, l’on monta en carrosses pour venir coucher à Meaux, où le presidial et la Maison de ville le vint saluer. Le lendemain, l’on vint disner à Chelles. Puis en arrivant au Bois de Vincennes, le comte de Harcourt le vint trouver avec plusieurs carrosses à six chevaux ; fut conduit à l’hostel d’Espernon, meublé aux depens du Roy. Le lendemain, contre la coustume, qui est que la premiere visite se fait au Roy, fut au logis du cardinal de Richelieu, où la forme de la reception avec le Roy fut conclue. Le lendemain, le duc de Chevreuse et moy le menames trouver le Roy, les gardes suisses en leurs ordres, les suisses du corps du long du degré. Nous le conduisimes en la chambre du Roy, lequel estant dedans sa chaire dans la ruelle de son lict, voyant le duc Charles approcher du balustre, se leva pour l’aller embrasser. Son Altesse au contraire se jetta à genoux devant luy, luy demandant pardon de ses fautes passées. Le Roy, en le relevant, l’embrassa et le voulant approcher de son lict, il se jetta derechef à genoux, luy redemandant encore pardon. Le Roy l’embrassant pour la seconde fois, le retirant vers son lict, et le voulant faire couvrir, iol se jetta pour la troisieme fois à genoux, disant que c’estoit la posture qui luy estoit la mieux seante. Neantmoins, le Roy luy mit son chapeau sur la teste, le prenant par la main, le menant dans son cabinet, où, apres une heure ou deux d’entretien, il me commanda de le mener à la chambre de la Reyne, et de là le mener voir sa famille, c’est-à-dire messeigneurs ses enfans.
Revenant à Paris, il fut en ceremonie visiter ledit cardinal, où il luy ceda la main et la porte. Quelques jours se passerent ensuite à faire le traité, par l’evenement duquel on verra qu’au Roy seul appartient, Parcere subjectis et debellare superbos. Le mardy des feries de Pasques, le Roy prit jout de luy donner à disner, et prester le serment d’entretenir le traité du vingt neufieme mars fait entre le susdit cardinal et Son Altesse, et ratifié par le Roy. Le matin du mesme jour, le Roy s’assist en son lieu et chaire ordinaire, Son Altesse trois places plus bas sur un escabeau pliant, du mesme costé, servy par le controlleur general Parfait. Apres les tables levées, et la visite de la Reyne, je le menay dans la chapelle. Vespres estant dites, l’evesque de Meaux, estant revestu de ses habits pontificaux, apporta le livre des Evangiles au Roy, qui se mettant à genoux dessus son banc, il jura l’observation du traité. Le duc de Lorraine, à genoux à costé sur le tapis du Roy, fit le mesme serment en presence dudit cardinal, [p. 811] du chancelier et de plusieurs princes et seigneurs de la cour. Huit jours apres, les difficultez pour l’hommage de la duché de Bar estans levées, le Roy me commanda de mener ledit sieur de Lorraine dans son cabinet, où il l’attendit sans se mouvoir ny oster son chapeau, ayant le chancelier à costé de luy. Ledit duc de Lorraine, estant en bas dessous, se mit à genoux sur un carreau qui luy estoit preparé, ses mains nues entre celles du Roy, fit hommage lige pour la duché de Bar, avec ses dependances, selon les formes ordinaires pratiquées en semblable occasion. Peu de jours apres, il fit ses adieux au Roy et à la Reyne, et tout le monde, et se retira en son pays, comblé d’honneurs et de biensfaits de Sa Majesté. »

Lettre de Marie de Médicis concernant la punition au fouet du dauphin à Saint-Germain-en-Laye

« Madame de Monglat,
J’ay appris par le sieur de Monglat que mon fils le Dauphin commence à rentrer en ses opiniastretez accoustumées et qu’il ne se soucie plus du maçon ny de toutes les menaces que l’on luy peult faire. Si cela est et que l’on le juge qu’en luy donnant un peu le fouet, cela luy fasse passer son opiniastreré, je trouveray plus à propos que l’on en vienne là que de le retrouver en cette mauvaise humeur. Mais je suis d’advis que ce soit avec tant de circonspection que la collere qu’il en pourroit prendre ne luy engendre aucune maladie. En quoy je scay que vous apporterez tant de prudence que je m’en remets bien à vous, et ne vous en veux faire plus particulire recommandation, seullement je vous diray que vous me ferez tousjours plaisir de me mander souvent des nouvelles de luy et des autres. Sur ce je prie Dieu etc. »

Marie de Médicis

Acte de baptême de Louis Le Boulanger de Montigny dans la chapelle du Château-Vieux de Saint-Germain-en-Laye, le roi étant son parrain

« Le vingt cinquiesme jour de janvier 1642, furent suppléées les ceremonies du saint sacrement de baptesme dans la chapelle du viel chasteau à Louys, filz de noble homme [vide] Congis, cappitaine des Thuilleries du Louvre à Paris, par messire de Bernage, aumosnier du Roy, en ayant esté requis par M. le curé de Saint Germain en Laye et y assistant pour led. sieur curé moy soubz signé Bailly son vicaire, et ledict filz aagé de dix à onze ans ou environ, le parrein desdictes ceremonies tres hault et tres puissant monarque Louis de Bourbon, roy de France et de Navarre, la marreine Anne Marie Louise de Bourbon d’Orleans, fille de Monsieur, frere unique de Sa Majesté.
Bailly »

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