Armes trouvées dans les fossés de César à Alise
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- Pièce
- sans date
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
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Armes trouvées dans les fossés de César à Alise
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Fragment d'inscription et dessin d'une glaive et son foureau, musée d'Alise
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Album "Fouilles d'Alise-Sainte-Reine"
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Cet album réunit plus de 100 pièces d'archives de fouilles exécutées autour du Mont-Auxois, à la demande de Napoléon III. Ces travaux, dirigés par la Commission de Topographie des Gaules, étaient destinés à retrouver les traces archéologiques des lignes du siège d'Alésia édifiées par Jules César.
L'ouvrage rassemble des cartes, des relevés, des plans et coupes réalisés pour la plupart par l'ingénieur topographe Paul Millot entre mai 1861 et septembre 1862.
Une dédicace de Félicien de Saulcy, président de la CTG, atteste du don de ce volume au Musée de Saint-Germain.
Recueil sur la question d'Alésia
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Les albums sur la question d'Alésia rassemblent des coupures de presse, rapports et cartes sur les fouilles.
L'objet documentaire numérique propose un échantillon de ces albums.
Lettre de Monsieur Creuly à Monsieur Maury relative aux fouilles d'Alésia
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Creuly, Casimir
Lettre de Monsieur Creuly à Monsieur Maury relative à une épée trouvée lors des fouilles d'Alésia
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Creuly, Casimir
Armes et umbones d'Alésia et dessin d'épée romaine ou gauloise
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Dessins tirés de la Revue Archéologique, 1867 et du Dictionnaire des Gaules. L'épée a été dessinée par le général Creuly.
Ministère de l'Instruction publique
Dessin aquarellé représentant des armes d'Alise
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Dessin aquarellé par Flouest des armes recueillies dans la plaine au dessous d'Alise, principalement dans la fausse rivière de la ferme de l'Epineuse, lors des fouilles ordonnées par Napoléon III de 1860 à 1861.
Commission de Topographie des Gaules
Plan de la Côte-d'Or sous le proconsulat de César
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
"Pour être annexé au rapport du 20 mars 1861 demandé ou soussigné par la Commission de la topographie des Gaules. Le correspondant du ministère pour les travaux historiques (... illisible) à la cour impériale de Dijon."
Fait partie de Projet EUROPEANA Archaeology
Coupe à décor végétal, dit canthare d’Alésia
Découverte à Alise-Sainte-Reine en septembre 1862
Don Napoléon III
Musée d’Archéologie nationale et Domaine national de Saint-Germain-en-Laye, MAN 7564
Cette coupe est l’un des objets les plus emblématiques des activités archéologiques de Napoléon III. Il a en effet été découvert en septembre 1862 lors des fouilles financées par Napoléon III et conduites par le commandant Stoffel sur le site de la bataille d’Alésia, à Alise-Sainte-Reine, dans la plaine des Laumes. Encore pris dans sa gangue de terre, ce précieux vase à boire aurait été emballé et envoyé à Biarritz, où se trouvait le souverain, afin de lui laisser le privilège de le déballer lui-même. Il le conserva ensuite pendant plus de quatre ans dans son cabinet de travail au Palais des Tuileries, avant de l’envoyer le 8 avril 1867 au musée des Antiquités celtiques et gallo-romaines, en vue de son inauguration le mois suivant. La datation de la coupe, peut-être fabriquée en Italie du sud, est, depuis 1862, objet de controverse. Des environs de 75 avant J.-C. pour certains (ce qui a autrefois permis aux plus audacieux de voir en César son propriétaire) elle pourrait dater de l’époque augustéenne au moins pour d’autres. Sa présence dans le sol de la plaine des Laumes ne signifie pas nécessairement qu’elle ait été perdue lors de la bataille de 52 avant J.-C., car Alésia fut aussi une importante ville à l’époque romaine, où un vase de luxe ancien a pu être utilisé et enfoui ou perdu. Les trois graffites gravés à la pointe sous le pied ne permettent pas de clore le débat. Une marque pondérale suggère que la coupe pouvait partie d’une paire et les deux autres inscriptions, en caractères grecs, livreraient le nom de l’orfèvre et celui d’un propriétaire