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Ministère de l'Instruction publique Pièce
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Rapport concernant les travaux au château de Saint-Germain-en-Laye

« Ministère de l’Instruction publique et des Beaux-Arts
Sous-secrétariat d’Etat des Beaux-Arts
Paris le 20 mai 1905
Rapport de l’inspecteur général de la 1ère division des Bâtiments civils à monsieur le sous-secrétaire d’Etat des Beaux-Arts (bureau des Bâtiments civils et des Palais nationaux)
Par votre lettre du 19 mai, vous me faites l’honneur de me demander mes observations et mon avis au sujet de la lettre en date du 4 mai courant par laquelle M. l’architecte Daumet signale les inconvénients qu’il y aurait à ce que la somme allouée pour les travaux de restauration du château de Saint-Germain en 1905 fût diminuée du rabais consenti par les entrepreneurs, ce qui réduirait à peu près à 85000 francs le chiffre de la dépense pouvant être effectuée cette année.
Il est certain que l’économie de 15000 francs qu’on croirait réaliser par ce moyen ne serait qu’illusoire, car M. Daumet ne fait ni plus ni moins que ce qu’il faut faire pour la restauration qui lui est confiée, et s’il est possible pour certaines constructions neuves de prévoir assez exactement la dépense à faire, à la condition toutefois qu’on n’oblige pas l’architecte, comme il arrive trop souvent, de dresser en quelques jours un projet avec devis pour des travaux dont la dépense doit être de plusieurs millions, il est impossible pour des travaux de nature spéciale, tels que ceux de restauration du château de Saint-Germain qui sont archéologiques autant qu’artistiques, de fixer à l’avance le chiffre des dépenses. Retirer à M. Daumet l’autorisation pour ses travaux d’utiliser les rabais comme il l’a fait jusqu’ici ne serait donc, comme on ne peut pas faire pour 85000 francs ce qui doit coûter 100000, que retarder, ce qui serait fort regrettable, l’achèvement de la très intéressante opération entreprise à Saint-Germain. Je suis donc d’avis que M. Daumet doit utiliser les rabais pour la restauration qu’il a si bien dirigée pour l’honneur de l’art français.
C. Moyaux »

Ministère de l'Instruction publique

Rapport concernant le mode de sélection des entrepreneurs du château de Saint-Germain-en-Laye

« Ministère de l’Instruction publique et des Beaux-Arts
Beaux-Arts
Paris, le 19 mai 1904
Rapport à monsieur le ministre de l’Instruction publique et des Beaux-Arts par l’architecte du château de Saint-Germain
Monsieur le Ministre,
Vous me demandez par votre lettre du 18 courant quels sont les motifs pour lesquels je vous propose de déroger à la règle générale des adjudications publiques pour les travaux d’achèvement de la restauration du château de Saint-Germain, travaux dont le montant s’élève suivant devis extrait du devis général à 186000 francs à dépenser en trois exercices. Ces motifs sont la recherche d’entrepreneurs dressés par les architectes des Palais nationaux et des Monuments historiques pour exécuter des travaux nécessitant des appareilleurs capables de tracer des épures délicates de coupe de pierre, de diriger avec sûreté la teille compliquée de la pierre avant la mise en place définitive. Ces obligations sont au château de Saint-Germain de pratique constante depuis l’origine des travaux. Pour ces causes particulières, les entrepreneurs qui se sont succédés ont eu des marchés sur séries de prix spéciales impliquant des soins incessants que justifie la nature du travail. Depuis une année, les prix applicables sont ceux de la série des Bâtiments civils, édition de 1900, afin de simplifier la vérification et l’exercice du contrôle. A cette série a été annexé un bordereau de prix différentiels pour les ouvrages qui sortent d’une pratique usuelle. C’est sur ces bases que l’adjudication restreinte devra être prononcée.
Telles sont, Monsieur le Ministre, les raisons majeures d’application aux travaux de maçonnerie du château de Saint-Germain de l’exception prévue par l’art. 18 du décret du 18 novembre 1882, comme je l’expliquais dans mon dernier rapport du 16 courant à monsieur le directeur des Beaux-Arts.
Daumet »

Ministère de l'Instruction publique

Rapport concernant la restauration de la porte d’entrée du château de Saint-Germain-en-Laye

« Ministère de l’Instruction publique et des Beaux-Arts
Beaux-Arts
Minute de lettre du 12 juin 1903
Paris, le 27 mai 1903
Rapport à monsieur le ministre de l’Instruction publique et des Beaux-Arts
Monsieur le Ministre,
Au moment de donner suite aux travaux de restauration de la porte d’entrée au musée des Antiquités nationales de Saint-Germain, le soussigné expose ses préoccupations sur le parti à adopter pour la décoration de cette partie importante du château.
On est en présence aujourd’hui d’un état ancien dont les constructions de diverses époques sont très dégradées. Suivant le projet dressé par M. Millet pour la restauration de l’ensemble du château, ces constructions devaient être remplacées par une architecture reproduisant celle de l’ancien chemin de ronde de Charles V. Déjà, une amorce de cette architecture a été édifiée en même temps qu’une tourelle d’escalier attenant au donjon situé à l’angle nord-ouest du château.
Actuellement, l’entrée au château a lieu par une porte établie entre des constructions datant du XIVème siècle, surélevées au XVI d’une loge avec balcon en fer surmontée d’une terrasse à hauteur de la salle de Mars et communiquant avec cette salle par une porte d’un caractère délicat, au-dessus de laquelle au XVII s. on a ajouté l’abondante décoration du cadran d’une horloge.
Suivant le projet approuvé, ces restes d’époque diverses devaient disparaître pour y substituer une architecte d’un caractère défensif.
Les dispositions approuvées au projet faisaient supposer que sous le pont actuel on trouverait des fondations correspondant à ce projet. Une fouille opérée dernièrement a fait connaître que, pour soutenir les deux piédroits devant accompagner la nouvelle entrée, il faudrait établir des fondations ou construire ces piédroits avec un encorbellement de 0,85 c. de saillie sur l’ancien mur. Convient-il de substituer à des restes encore d’un certain intérêt architectonique une façade nouvelle d’un caractère d’art antérieur à ce qui subsiste actuellement ?
Le projet approuvé comprend toutes les dispositions d’un pont-levis. Ce pont est indiqué par Du Cerceau et aussi par un dessin qui fait partie des archives de l’agence des travaux, pont qui a fait place à celui praticable actuellement et dont la construction doit dater de l’occupation du château comme habitation royale. Convient-il de rétablir un pont-levis que l’usage immobiliserait, c’est indubitable, ou doit-on le reconstruire, celui actuel état très dégradé ?
Telles sont sommairement les questions à résoudre.
Le soussigné propose que messieurs les inspecteurs généraux des deux services des Bâtiments civils et des Monuments historiques, après avis de M. l’inspecteur général Moyaux, dans la division duquel est le château de Saint-Germain, examinent les diverses pièces ci-jointes et les objections faites en vue des solutions à déterminer par eux.
Ci-joint les autocopies indiquant :
Feuille 1 : état actuel de l’entrée au château
2, 2 bis et 2 ter : projet d’achèvement suivant projet dressé par M. Millet en 1860
3 : projet d’achèvement en conservant l’entrée actuelle
4 : variante à ce projet
3 photographies, état ancien et actuel
Daumet »

Ministère de l'Instruction publique

Rapport concernant des travaux de sculpture à réaliser au château de Saint-Germain-en-Laye

« Ministère de l’Instruction publique, des Beaux-Arts et des Cultes
Sous-Secrétariat d’Etat des Beaux-Arts
Paris, le 2 octobre 1907
Rapport de l’inspecteur général de la 1ère division des Bâtiments civils à monsieur le Sous-Secrétaire d’Etat des Beaux-Arts (bureau des Bâtiments civils et des Palais nationaux)
En réponse à votre lettre du 30 septembre dernier relative à quelques travaux de sculpture que M. l’architecte Daumet désire faire exécuter au château de Saint-Germain au moyen d’un bon réalisé sur des travaux de chauffage, j’ai l’honneur de vous faire savoir que je suis d’avis de donner satisfaction à M. Daumet, qui n’a pas l’habitude de proposer des travaux dont l’utilité serait douteuse. M. Daumet étant absent, je ne sais pas exactement de quelle sculpture il s’agit, mais je suis certain qu’elle ne sera faite que pour le bien du château. La dépense doit être de 1770 francs 87 centimes, soit le reste disponible des 4890 francs d’économie réalisée et sur lequel 3120 francs sont déjà attribués à la réfection de l’horloge. »

Ministère de l'Instruction publique

Procès-verbal d’une séance du conseil municipal de Saint-Germain-en-Laye concernant l’appartement du conservateur du musée au château

« Département de Seine-et-Oise
Arrondissement de Versailles
Ville de Saint-Germain-en-Laye
Extrait du registre des délibérations du conseil municipal
Séance du 27 octobre 1899
L’an mil huit cent quatre-vingt-dix-neuf, le vingt-sept octobre,
Les membres du conseil municipal se sont réunis au lieu ordinaire de leurs séances, à l’hôtel de ville, sous la présidence de M. Désoyer, maire
Etaient présents :
MM. Langbein, adjoint, Mathieu, Lacroix, Georget, Raux, de Nézot, Martin Barrois, Vuillerme, Decaux, Gilbert Ed., Raguier, Ratheau, Gilbert Em., Fortier, Beaune, His
M. Gilbert Em. fait remarquer que l’on va dépenser environ 30000 f. pour aménager au château de Saint-Germain de nouveaux appartements pour M. le conservateur. Cette somme devant être prélevée sur le crédit déjà si minime affecté à la restauration du château, on ne peut que regretter cette façon de procéder qui apportera un ralentissement préjudiciable aux travaux entrepris.
Le conseil, à l’unanimité, partageant l’opinion de M. Gilbert Em., prie M. le maire de transmettre ses protestations à monsieur le ministre de l’Instruction publique et des Beaux-Arts. »

Ministère de l'Instruction publique

Procès-verbal d’une séance du conseil général des Bâtiments civils concernant le logement du conservateur du château de Saint-Germain-en-Laye

« Ministère de l’Instruction publique, des Beaux-Arts et des Cultes
Conseil général des Bâtiments civils
Procès-verbal
Séance du 2 août 1899
Le procès-verbal de la séance précédente est lu et adopté.
Le Conseil s’occupe successivement des différentes affaires ci-après :
M. Moyaux, rapporteur, donne lecture de son rapport sur un avant-projet relatif à la construction d’une habitation pour le conservateur du musée de Saint-Germain. Il en propose l’acceptation. M. Daumet, auteur du projet, fournit au Conseil toutes les explications que comporte cette affaire.
Mais en ce qui concerne le point le plus important, qui est de savoir comment l’on prélèvera la somme nécessaire sur les crédits votés par le parlement pour le château de Saint-Germain, le Conseil désire entendre à ce sujet les renseignements que peut lui fournir le service des Bâtiments civils.
M. Caux, sous-chef du bureau des Bâtiments civils et des Palais nationaux, introduit dans la salle du Conseil, fait connaître que l’affaire dont il s’agit ne doit être considérée que comme un avant-projet au sujet duquel le ministre de l’Instruction publique et des Beaux-Arts devra prendre ultérieurement une décision de principe, fixant la question du crédit nécessaire à l’exécution. En conséquence, la combinaison mise en avant par M. Bertrand, d’après laquelle 50000 f. auraient été d’une part votés par le parlement et d’autre part 25000 f. devaient être prélevés, pour parfaire la somme de 750000 f., sur le crédit de 130000 f. alloué pour la restauration du château de Saint-Germain ne peut être considérée comme ferme.
Après un échange d’observations, le Conseil émet l’avis suivant :
Avis
Seine-et-Oise (Saint-Germain)
Château de Saint-Germain
Construction d’une habitation pour le conservateur du musée
Le Conseil, invité par M. le ministre de l’Instruction publique et des Beaux-Arts à examiner un avant-projet relatif à la construction d’une habitation pour le conservateur du musée de Saint-Germain,
Après avoir entendu M. Moyaux, inspecteur général des Bâtiments civils, et son rapport en date de ce jour et dans ses conclusions,
Vu les plans présentés,
Considérant que les dispositions générales du parti présenté sont satisfaisantes,
Conformément aux conclusions de M. le rapporteur,
Est d’avis que l’avant-projet dont il s’agit peut recevoir l’approbation de M. le ministre de l’Instruction publique et des Beaux-Arts et servir de base à un projet définitif. »

Ministère de l'Instruction publique

Procès-verbal d’une séance du conseil général des Bâtiments civils concernant la construction de dépendances au château de Saint-Germain-en-Laye

« Seine-et-Oise (château de Saint-Germain)
M. Phily, rapporteur, continue par la lecture de son rapport sur le devis joint au projet dressé par M. Lafollye, architecte du château de Saint-Germain, en vue du transfert et de l’établissement dans les terrains dits de la ville de Saint-Germain des logements du conservateur et des employés du musée et des ateliers.
Ce rapport étant adopté dans sa teneur et dans ses conclusions, l’avis suivant est approuvé :
Avis
Seine-et-Oise (château de Saint-Germain)
Constructions de dépendances destinées à contenir divers logements
Le conseil,
Vu le rapport de M. Questel, inspecteur général, et l’avis du conseil en date du 29 décembre 1883,
Après avoir entendu M. Phily, contrôleur, en son rapport sur le devis qui accompagne ce projet,
Considérant que cette pièce de comptabilité a donné lieu au redressement de nombreuses erreurs de calcul ayant pour résulter d’augmenter de 2066 f. 22 c. le montant des travaux détaillés et comme conséquence de 1686 f. 45 celui des imprévus et des frais de direction,
En conséquence, sous la réserve des observations qui précédent et de celles contenues au rapport de M. le contrôleur,
Est d’avis d’approuver le devis dont il s’agit et d’élever son total, fixé par l’architecte à 231000 f., à la somme de 234752 f. 67 c., comprenant les imprévus et les frais de direction d’usage.
L’inspecteur général, vice-président
Le secrétaire »

Ministère de l'Instruction publique

Procès-verbal d’une séance du conseil général des Bâtiments civils concernant la construction de dépendances au château de Saint-Germain-en-Laye

« Seine-et-Oise (château de Saint-Germain)
M. Questel, rapporteur, a la parole pour la lecture de son rapport sur le projet dressé par M. Lafollye, architecte du château de Saint-Germain, en vue du transfert et de l’établissement dans les terrains dits de la ville de Saint-Germain des logements du conservateur et des employés du musée et des ateliers.
Après examen et discussion, toutes les observations présentées par le rapporteur sont adoptées. En outre, le conseil demande que l’architecte soit invité à établir une cour anglaise prise sur le jardin pour éclairer la cuisine.
En conséquence, et après en avoir délibéré, le conseil, sous la réserve des observations qui précédent, approuve le projet et formule suivant :
Avis
Seine-et-Oise (château de Saint-Germain)
Constructions de dépendances destinées à contenir divers logements
Le conseil,
Invité par M. le ministre de l’Instruction publique et des Beaux-Arts à examiner le projet dressé par M. Lafollye, architecte du château de Saint-Germain, en vue du transfert et de l’établissement dans les terrains dits de la ville de Saint-Germain des logements du conservateur et des employés du musée et des ateliers,
Après avoir entendu M. Questel, inspecteur général, en son rapport,
Vu les plans, devis et toutes les pièces administratives qui les accompagnent,
Après examen et discussion,
Considérant que les dispositions générales de ce projet sont satisfaisantes, toutefois que l’architecte devra être invité à établir une cour anglaise prise sur le jardin pour éclairer la cuisine,
Sous la réserve de cette observation et de celles contenues au rapport de M. Questel,
Après en avoir délibéré,
Est d’avis que le projet dont il s’agit peut recevoir l’approbation de M. le ministre de l’Instruction publique et des Beaux-Arts.
Il renvoie le devis à l’examen de M. le contrôleur
L’inspecteur général, vice-président
Le secrétaire »

Ministère de l'Instruction publique

Procès-verbal de remise d’un abri sur la Grande Terrasse de Saint-Germain-en-Laye

« L’an mil huit cent quatre-vingt-dix-huit, le dix octobre
Monsieur Hocquet, président de l’Union des propriétaires fonciers de Saint-Germain-en-Laye et du Pecq, rive gauche, représentant la dite société, d’une part,
Et Monsieur Choret, inspecteur des travaux du château de Saint-Germain, représentant le service des Bâtiments civils et des Palais nationaux au lieu et place de M. Daumet, architecte du château de Saint-Germain-en-Laye, en congé, d’autre part,
Se sont réunis sur la terrasse de Saint-Germain au lieu dit « la demi-lune », sur lequel l’Union des propriétaires fonciers de Saint-Germain-en-Laye et du Pecq, rive gauche, a fait édifier à ses frais, avec l’autorisation de l’Etat, un abri pour les promeneurs.
L’examen auquel il a été procédé des travaux exécutés par les soins de l’Union des propriétaires fonciers de Saint-Germain-en-Laye et du Pecq, rive gauche, n’ayant pas donné lieu à observations, M. Hocquet, représentant l’Union des propriétaires fonciers de Saint-Germain-en-Laye et du Pecq, rive gauche, a fait alors au nom de cette société la remise de cet abri au service des Bâtiments civils et des Palais nationaux représenté par M. Choret, qui a accepté au nom de son administration la remise de cet abri, à charge d’entretien.
De cette opération, ils ont dressé le présent procès-verbal, qu’ils ont signé.
A. Hocquet
H. Choret, inspecteur des Bâtiments civils et des Palais nationaux »

Ministère de l'Instruction publique

Procès-verbal de remise de l’appartement du conservateur du musée au château de Saint-Germain-en-Laye

« Ministère de l’Instruction publique et des Beaux-Arts
Beaux-Arts
Bureau des Bâtiments civils et des Palais nationaux
République française
Château de Saint-Germain
Procès-verbal de la réception des travaux exécutés dans l’appartement du conservateur des Antiquités nationales
Le 19 juillet 1900, à 10 heures du matin,
Le conservateur du musée de Saint-Germain,
Le chef du bureau des Bâtiments civils et des Palais nationaux,
Soussignés,
Ont procédé à la réception des travaux exécutés au château de Saint-Germain dans l’appartement du conservateur des Antiquités nationales situé dans le bâtiment sud et qui comprend :
1° à rez-de-chaussée :
1 pièce de débarras contiguë au chevet de la chapelle
2° à l’entresol
1 lingerie
2 chambres de domestiques
1 cuisine
1 office avec monte-plats desservant la salle à manger située au 1er étage
1 cabinet d’aisances
3° au 1er étage
1 galerie
1 chambre à coucher
1 cabinet d’aisances
1 salle à manger
1 salon renfermant les deux tapisseries récemment fournies par la manufacture des Gobelins
1 débarras situé au-delà de l’escalier carré
Il y a lieu de mentionner en outre la bibliothèque du musée, le cabinet du conservateur et un cabinet d’aisances en dépendant qui sont à la suite et en contiguïté de l’appartement, et que le mobilier destiné à ces pièces doit fait l’objet de fonds spéciaux demandés par M. le conservateur.
4° au 2e étage
1 dégagement
1 chambre à coucher
1 cabinet d’aisances
1 chambre à coucher avec petit débarras
5° 1 cave située à l’angle nord-ouest du château sous le donjon
Après une visite complète de ces locaux sous la conduite de M. l’architecte du château de Saint-Germain, les soussignés ont déclaré que les travaux ne laissent rien à désirer et qu’ils répondent parfaitement à leur destination.
Aucune observation n’ayant été formulée au sujet de la nouvelle installation, les soussignés ont déclaré que la remise du dit appartement pouvait être faite à la direction des Musées nationaux, qui l’a acceptée.
Enfin, ils ont décidé qu’un procès-verbal constatant le résultat de leurs opérations serait rédigé en double expédition pour l’une être conservée dans les archives de la direction des Musées nationaux et l’autre dans celles de la direction des Beaux-Arts.
Le chef du bureau des Bâtiments civils et des Palais nationaux
Picot
Le conservateur du musée de Saint-Germain
Alexandre Bertrand, membre de l’Institut »

Ministère de l'Instruction publique

Planches du dictionnaire - relevés de Gavrinis

6 planches de dictionnaires correspondant aux relevés du site de Gavrinis, la première planche comporte des vues générales du site, les planches suivantes le relevé des pierres gravées. La planche 137 ne semble pas aboutie. L'ensemble se lie à la pièce 2 : dessins préparatoires.

Commission de Topographie des Gaules

Planches de dessins d'objets

Deux planches représentant les mêmes objets issus des tumulus de la Vie de Baigneux et de Monceau-Laurent. La deuxième planche mentionne ce texte : " Dessin original fait pour les autographies annexées au tiré-à-part de mon récit des Fouilles de Magny-Lambert publié dans la Revue Archéologique, livraison de décembre 1872 et de février 1873".

Flouest, Edouard

Planche de l'album archéologique de M. Morel représentant des objets trouvés dans le cimetière gaulois de Somme-Bionne

Planche tirée de l'album archéologique de M. Morel représentant des objets trouvés le cimetière gaulois de Somme-Bionne. Le document porte diverses annotations notamment un titre "Champagne souterraine - 2e livraison" et la mention d'une lettre "voir lettre de M. Morel, le 7 février 1877". M. Morel, percepteur à Somsois, puis receveur des finances à Nyons (Drôme) et à Carpentras (Vaucluse) est l'un des correspondants de la CTG (cf. feuillet Cotteau).

Commission de Topographie des Gaules

Planche de dessins d'objets

Planche de dessins : Lettres en bronze doré – Fibule – Emaux – Clé – Epingle – Stylet – Inscriptions
Dessins envoyés par M. Cournault à la Commission de la Gaule

Commission de Topographie des Gaules

Planche de dessin d'armes en bronze

Armes en bronze du Musée de Sens (épée à tranchants, poignard, hache et lame). Croquis communiqué par M. Julliot, correspondant de la Commission de la topographie des Gaules
Don de la Commission des Gaules

Commission de Topographie des Gaules

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