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Analyse d'une lettre de sir Nicholas Throckmorton concernant les conditions dans lesquelles il est retenu en otage au château de Saint-Germain-en-Laye

« The chamber in the tower where he lies is hung with tapestry and the bedding which he and his folks occupy is hired by him, and so are all the things that he needs. In the morning, he is suffered (accompanied by three or four of his guard) to walk in the park of Saint Germain an hour, and in the daytime to walk when he wills in the gallery of the house with the keeper, and towards the evening is suffered to walk in the garden. Adjoining his chamber is a great one, where he has liberty all day to walk, and a smaller to dine and sup in. Some officers accompany him at meals. Twice in the day two of his folks are suffered to go in Saint Germain to buy his victuals. About 6 p. m. he with one of his servants is locked in his chamber, and the rest of his folks in another, and the guards lie upon a pallet at his chamber door. When Smith writes let his messenger come to the sign of “Our Lady” in Saint Germain, where, before diner and supper, one of his folks is suffered to go to to fetch his wine.
The captain of the castle has written to the King to have him to his own house at a village called Carriere.
Castle of Saint Germain, 25 August 1563 »

Throckmorton, Nicholas

Analyses, documentation

Les analyses sont classées par origine des sites : Saint-Denis (2006-2008) ; Gorge-Meillet (1971-2010) ; Bergères-les-vertus (2014) ; Vitry-la-ville (2015-2016) ; Saint-Etienne-au-temple (2015-2016) ; Châtillon (2016-2018) ; Sainte-Colombe-la-butte (2016) ; Apremont (2017) ; Tombes à char celtiques de l’Est (2017) .
Photographies, croquis, inventaire d’objets, articles scientifiques, fiche de restauration, rapport d’étude, documentation (1971-2017).
Formation sur les restes organiques.- stage de tissage : photographies (2009).
Articles scientifiques, vademecums, mémoire universitaire, notices, rapport de recherche, article de presse, brochures (1984-2019).

Anatolian Expedition : journal d'expédition, journal de fouilles et rapports

Documents de terrain et rapports de l'expédition en Anatolie
Dossier n° 1. - journal d'expédition de l'A.S.P.R. (partie 1 : 24 avril au 5 juin 1938), 35 feuillets
Dossier n° 2. - journal d'expédition de l'A.S.P.R. (partie 2 : 6 juin au 3 juillet 1938), 35 feuillets
Dossier n° 3. - journal de fouilles "Diary" de D. Garrod (6 juin au 16 juillet 1938), 18 feuillets
Dossier n° 4. - notes sur des sites turques, 2 feuillets
Dossier n° 5. - "Liste of plates sent to Dr. MacCurdy", 2 feuillets
Dossier n° 6. - rapport de mission, version intermédiaire manuscrite, 29 feuillets
Dossier n° 7. - "A.S.P.R. Preliminary Report II", 6 feuillets
Dossier n° 8. - "Report of the A.S.P.R. Expedition tu Anatolia, 1938", version intermédiaire (tapuscrit corrigé), 26 feuillets

André Perrin

Courrier de Monsieur A. Perrin, de Chambéry, daté du 12 avril 1872 sur papier à en-tête du musée départemental de Chambéry (Savoie).

Perrin, André

Annonce de la vente de photographies du château de Saint-Germain-en-Laye

« Château de Saint-Germain
Restauration de M. Eugène Millet, architecte
Nous nous empressons de signaler à tous ceux qui aiment l’art et la gloire de notre cité de belles photographies qui sont déposées chez le concierge du château. Elles reproduisent quatre vues isolées, il est vrai, mais qui suffisent pour faire comprendre l’ensemble de la restauration du château François Ier.
Le voilà bien ce château rajeuni avec la conscience de la vérité, avec la passion d’un grand artiste, le voilà tel que le « Roi-Chevalier » l’avait conçu, tel que Napoléon III l’a voulu, avec ses arceaux gracieusement courbés, ses longes pilastres, ses larges terrasses, ses cheminées estampées de glorieuses initiales, ses vitraux sur lesquels on serait tenté de lire : « Souvent femme varie ». Le voilà coquet, frais, séchant la sueur du moellon, plus encore la sueur du « maître de l’œuvre », le voilà revêtu encore de ses échafaudages, de ses engins de labour et de sûreté… c’est une date, c’est une chronologie.
Et qui a fait pour nos souvenirs ces belles pages de l’histoire de l’art au XIXe siècle ? un rayon fugitif de soleil, épié, surpris par l’habile photographe des musées impériaux, Ch. Marville.
Ecrire avec un peu de poussière une grande histoire sr une grande toile ou avec la même poussière écrire un bon poème ; dérober un ciel et fixer avec quelques signes des mélodies enivrantes, ou donner à la pierre la vie, la parole, l’harmonie, tel est l’art dans ses diverses expansions et ses diverses formes. Heureux et trois fois béni celui sur l’âme de qui ce rayon de Dieu est descendu !... »

Annonce de la visite de la reine Victoria à Saint-Germain-en-Laye

« Au moment où nous écrivons, il se prépare, à bien peu de distance de nous, un de ces grands spectacles qu’il n’est donné aux populations de voir qu’à de bien rares intervalles. La grande ville, si avide de pompes et de cortèges, et, cette fois, attirée par un intérêt facile à comprendre et une juste curiosité, se dispose à courir toute entière au-devant de la reine d’Angleterre venant la visiter en alliée et amie, et voulant aussi paraître à ce grand rendez-vous donné dans ses murs à tout ce que les arts, l’industrie et le progrès civilisateur peuvent produire de neuf, de grand et de beau dans toutes les parties du monde.
Nous sommes heureux d’annoncer que, comme nous avions osé l’espérer, grâce à l’attrait puissant de ses souvenirs historiques et de son admirable situation, notre petite ville jouira aussi de la présence de l’hôte illustre que Paris va posséder pendant quelques jours.
Si nous devons nous en rapporter, d’abord à la rumeur publique, puis à des renseignements qui nous parviennent de bonne source, et enfin à des articles insérés dans la Patrie et reproduis du Morning Post dans le Constitutionnel, S. M. la reine d’Angleterre viendrait samedi prochain 25 août faire une excursion à Saint-Germain.
Après une promenade à cheval en forêt, où elle s’arrêterait à la Muette, S. M. viendrait en ville où elle visiterait le tombeau de Jacques Stuart, dont on complète en ce moment l’entière décoration par l’achèvement d’une nouvelle et belle fresque de M. Amaury Duval représentant un saint Georges, l’un des patrons d’Angleterre. On dit encore, mais nous n’avons rien de très positif à cet égard, qu’on serait en ce moment même occupé à remettre en état, au château, la chambre occupée jusqu’à sa mort par le roi Jacques II ; toujours est-il qu’il a été impossible à l’administration de la Liste civile de permettre, comme on l’avait espéré d’abord, que la grande cour fût livre pour y installer l’un des concours d’orphéons ou de musiques militaires qui doivent avoir lieu demain.
La reine partirait à onze heures du matin de Saint-Cloud, pour y être de retour à trois heures. »

Annonce de l’inauguration du musée gallo-romain à Saint-Germain-en-Laye

« Inauguration du musée impérial
Le maire aux habitants
Mes chers concitoyens,
Grâce à la haute sollicitude de l’Empereur pour tout ce qui touche aux développements de l’esprit humain, Saint-Germain a vu renaître pour son vieux château les temps de sa splendeur passée.
Les tristes cellules d’un pénitencier ont fait place à un musée consacré aux monuments les plus antiques qui soient sortis de la main des hommes, et un nouveau champ d’étude, jusqu’ici inexploré, a été ouvert à la science.
La création du musée de Saint-Germain est pour le pays tout entier une œuvre nationale ; pour la ville, à laquelle elle a assuré la conservation d’un monument si intimement lié aux souverains de l’histoire, cette création est un bienfait dont elle ne saurait se monter trop reconnaissante.
Le jour fixé par Sa Majesté pour venir apprécier par elle-même le résultat des travaux dont Elle a suivi l’exécution avec une constante sollicitude est le dimanche 12 mai.
L’administration municipale a considéré comme un désir de solenniser un jour dont le souvenir doit vivre à jamais dans les annales de la cité.
Elle espère que les habitants seront heureux de l’occasion qui leur est offerte de témoigner avec elle à l’Empereur leur gratitude pour son bienfait, et pour la gracieuse visite dont il daigner les honorer.
Vive l’Empereur !
Le maire, chevalier de la Légion d’honneur
De Breuvery

Programme de la fête
La fête sera annoncée la veille et le jour par des salves d’artillerie
Le dimanche 12 mai, à sept heures du matin, distribution extraordinaire de secours aux indigents, par les soins de MM. les administrateurs et de MM. les commissaires adjoints du bureau de bienfaisance.
A deux heures, cérémonie officielle de l’inauguration du musée, pendant laquelle la musique municipale exécutera, sur la place du Château, des morceaux d’harmonie. Des salves d’artillerie annonceront le commencement et la fin de cette cérémonie.
A sept heures et demie du soir, au kiosque lumineux établi sur l’esplanade du château, concert par la musique, sous la direction de M. Allard.
A neuf heures et demie, bal gratuit sous la tente Choteau, rue Grande-Fontaine.
Les édifices publics seront illuminés. Les habitants sont invités à pavoiser et à illuminer la façade de leurs maisons.
Chemin de fer (gare Saint-Lazare), trains directs et supplémentaires. Dernier départ à onze heures du soir.
A l’hôtel de ville, le 9 mai 1867.
Le maire, chevalier de la Légion d’honneur
De Breuvery

[…]
Les préparatifs pour la réception de l’Empereur et pour la fête civique dont elle sera l’occasion se poussent avec activité sous la direction intelligente de l’architecte de la ville, M. Fauval. La cérémonie aura encore plus d’éclat qu’on ne l’avait d’abord pensé ; car par suite d’une dépêche reçue jeudi soir de la Préfecture, le cortège sera augmenté de la présence des maires, des compagnies de pompiers et des députations des médaillés de Sainte-Hélène de toutes les communes du canton de Saint-Germain.
Le kiosque lumineux dont il est parlé au programme, et qui sera occupé par la très bonne musique civile sous la direction de M. Carlos Allard, sera établi, pour le concert du soir, sur l’esplanade du château, au pied de l’aile restaurée consacrée au musée et fera face au parterre, et par conséquent au feu d’artifice de Ruggieri placé en avant de la grille de l’avenue des Loges. Après les dernières notes du concert, le public, sans déplacement, sans encombrement, n’aura donc qu’à faire volte face pour assister à ces brillants effets pyrotechniques, si chers à la foule.
Enfin, nous apprenons qu’en dehors du programme officiel, et en outre du bal gratis donné à la salle de la rue Grande-Fontaine, la direction du bal de Tivoli a été autorisée à élever sa belle tente à sa place habituelle sous les quinconces du parterre ; la nuit n’aura donc rien à envier à la splendeur, à l’animation et à l’entrain de la journée. »

Annonce de l’installation d’une maison de retraite des Légionnaires au château du Val

« Une exquise résidence du XVIIe siècle va devenir la maison de retraite des Légionnaires
Si vous longez l’admirable terrasse de Saint-Germain puis vous enfoncez dans la forêt, vous trouvez, à flanc de coteau, dominant la vallée de la Seine, entre Saint-Germain-en-Laye et Maisons-Laffite, le château du Val, aux lignes pures et belles. Mansart le construisit ; Desjardins et Le Hongre le décorèrent ; Le Nôtre, alentour, dessina un parc à la française. La beauté simple de la façade se révèle aux yeux du promeneur à travers une merveilleuse grille.
C’est en 1669 que Louis XIV fit construire cette demeure. En cet endroit, jadis, Henri Iv se plaisait à chasser et Louis XIIII y fit plus tard élever un pavillon pour y reposer sa santé compromise.
Pendant des années, dans ce château qui abritait sa magnificence parmi les frondaisons magnifiques de la forêt de Sainte-Germain, la société la plus brillante se donna rendez-vous. Tour à tour, sous Louis XV et sous Louis XVI, il fut la résidence préférée des grands favoris : la Pompadour, les Brancas, les Lamarck, plus tard le maréchal et la maréchale de Beauvau. Les salons entendirent bien des confidences, sinon des propos brillants ; les pavanes et les gavottes y retentirent, et aussi les conversations profondes des philosophes, car Rousseau, Voltaire, d’Alembert, Turgot, Necker, Condorcet, Malesherbes en furent les familiers. Sous l’Empire, Napoléon y donna, avec sa cour, des fêtes brillantes.
Et, depuis lors, riche d’un grand passé, le château du Val a conservé son caractère et son charme. Il le conservera désormais. M. Lacoste, le dernier propriétaire, en a très généreusement fait don à la Société de la Légion d’honneur afin d’y installer une maison de retraite pour les légionnaires les plus méritants.
Une merveille d’architecture qui eût peut-être été dégradée ou délaissée sera ainsi préservée. Dans le parc, les grottes de Francini seront conservées, et rien ne sera détruit de ce qui fait le charme, la poésie et la douceur de ce coin d’Ile-de-France.
Ceux qui auront bien mérité le ruban rouge et que la vie aura éprouvée pourront y venir achever une vieillesse heureuse, sur ces hauteurs que l’on nommait, au XVIIIe siècle, la « Montagne Bon Air ».
Cinquante chambres sont prévues. La Société de la Légion d’honneur paiera une partie des frais de la pension et la légionnaire l’autre partie. On songe à réserver quelques chambres aux légionnaires les plus éprouvés et qui vivraient là gratuitement. La maison que l’on aménage sera confortable et moderne à souhait, et un immense parc sera réservé aux pensionnaires.
Tous ceux qui voudraient y être admis peuvent écrire au secrétaire général de la « Société de la Légion d’honneur, 1, rue de Solférino. Heureux seront les cinquante légionnaires qui pourront, dans un site aussi merveilleux, connaître les loisirs et le repos qu’ils auront chèrement gagnés.
Jean Delage »

Annotation de Louis XIV, sur un rapport de Louvois concernant les travaux de Versailles, ordonnant l’envoie de ses équipages à Saint-Germain-en-Laye

« L’on me promet que les escuries du chenil, les deux chenils et tous les logemens, hors ceux destinez pour monsieur de La Rochefoucault, seront achevez et rendus habitables de demain en huict jours. Il ne seroit pourtant pas impossible qu’il ne restast encore pour quelques jours d’ouvrage dans le corps de logis le plus proche de l’entrée du costé de la grande avenue, mais V. M. peut compter que les deux chenils, les deux grandes escuries, l’escurie double qui est vis à vis des chenils et les logemens d’au dessus seront assurement habitables pour la fin de la semaine prochaine et le reste deux ou trois jours apres, pourveu que le mauvais temps ne continue pas car, quoy que l’on puisse travailler dans ce lieu là à couvert, la menuiserie qui y manque vient de Paris et, quoy que l’on fasse, on a de la peine à faire marcher les chartiers par un aussi cruel temps que celui qu’il fait. »
Le roi a annoté : « L’esquipage ira à Saint Germain et viendra quand les lieux necessaires seront en estat ».

Louis XIV

Annotation du roi sur un rapport de Richelieu mentionnant des travaux dans son appartement au Château-Vieux de Saint-Germain-en-Laye

« On jugea hier les deffaultz contre M. de Lorraine et decreta on prise de corps contre luy. Les formes requierrent qu’on l’envoie chercher dans l’hostel de Lorraine et qu’on le crie par la ville à son de trompe. Madame de Lorraine voudroit bien qu’on peust esviter ces formalitez, mais comme c’est chose impossible, au moins supplie elle le Roy qu’elle s’absente de ceste ville pendant ce temps là. Elle desire aller au vieux chasteau de Saint Germain. Il plaira au Roy mander en quel appartement il aura agreable qu’elle loge et commander au premier gentilhomme de la chambre de le faire meubler, veu que ses meubles ne sont pas encore venus, Lefebvre, qui est à Nancy, aiant esté si mal advisé de ne les vouloir par laisser sortir sur l’ordre qu’en a eu M. de Brassas. On a redepesché exprez. »
Le roi a noté en marge : « J’envoye au marquis pour faire meubler, et me semble que vostre apartement est le plus propre parce que les peintres sont dans le mien. La lettre du marquis est dans ce paquet, que vous luy ferés tenir en son logis à Paris. [f. 50] Je seray tres aise que l’on luy face savoir que ses gens ne porte point d’arquebuze et qu’ils n’ailent point à la chasse. »

Louis XIII

Antelias Cave, Wady of Ksar Akil : photographies

Travaux scientifiques
Dossier n° 1. - Vue des fouilles de la grotte d'Antelias (1937), 15 photographies n. & b. (format 6X6). Présence de : Pose de l'équipe de fouille, imprimée sur cartes postales, 2 photographies (n. & b.) et vues de la grotte en cours de destruction en juillet 1964, 5 photographies (n. & b.).
Dossier n° 2. - Photographies de matériel archéologique du site de Ksar Akil, 4 photographies (format 18X24) ; présence de photographies de matériel archéologique de plusieurs sites du Liban (Antélias, Ras Beirut, Ras el-Kelb, Gotte de Djaita, Emireh), 12 photographies (format 18X24) ; présence de photographies de plans et de plans de coupes, de matériel archéologique de la grotte de Shanidar [pour publication ?], 11 photographies (format 18X24).

Antiquités du département de la Seine et de ses environs immédiats

« Tableau général » : 1 dossier, 1 tableau manuscrit (sans date).
« Ville de Paris […] 1er fascicule » : 1 dossier, 4 feuilles de notes manuscrites, 8 planches de dessins à l'encre et aquarellé (sans date).
« Port-Marly […] 2e fascicule » : 1 dossier, 1 feuille de notes manuscrites, 2 planches de dessins aquarellés (sans date).
« Clamart et Nanterre […] 3e fascicule » : 1 dossier, 1 feuille de notes manuscrites, 11 planches de dessins à l'encre et aquarellés (1872).
« Montmartre, Ivry et Pantin […] 4e fascicule » : 1 dossier, 1 feuille de notes manuscrites, 4 planches de dessins à l'encre et aquarellés (sans date).
« Montmartre […] 5e fascicule » : 1 dossier, 1 feuille de notes manuscrites, 1 planche de dessins : notes manuscrites, stratigraphie (sans date).
« Vanves […] 6e fascicule » : 1 dossier, 1 feuille de notes manuscrites, 1 planche de dessins (sans date).
« Paris à Meulan […] 7e fascicule » : 1 dossier, 1 feuille de notes manuscrites, 2 planches de dessins aquarellés (sans date).
« Levallois, Grenelle, Billancourt, Asnières, Nanterre, Sablières d’alluvions anciennes […] 8e fascicule » : 1 dossier, 1 feuille de notes manuscrites, 12 planches de dessins aquarellés (1872).
« Les animaux des races éteintes à Paris […] 9e fascicule » : 1 dossier, 1 feuille de notes manuscrites, 2 planches de dessins aquarellés et à l'encre (sans date).
« Les silex taillés à Paris […] 10e fascicule » : 1 dossier, 1 feuille de notes manuscrites, 4 planches de dessins à l'encre et aquarellés (1872).
« La pierre polie à Paris (silex taillés des dolmens) […] 11e fascicule » : 1 dossier, 1 feuille de notes manuscrites (sans date).
« Les haches polies à Paris […] 13e fascicule » : 1 dossier, 1 feuille de notes manuscrites, 5 planches de dessins : notes manuscrites, dessins à l'encre (sans date).
« Expériences aux abattoirs de La Villette […] 14e fascicule » : 1 dossier, 2 feuilles de notes manuscrites, 4 planches de dessins aquarellés, planches imprimées du Congrès international des orientalistes de 1873 (sans date).
« Époque mérovingienne, Nanterre […] 15e fascicule » : 1 dossier, 1 feuille de notes manuscrites, 5 planches de dessins à l'encre et aquarellés (sans date).
« Époque franque-mérovingienne, Suresnes […] 16e fascicule » : 1 dossier, 1 mémoire de fouilles [22 p.], 3 planches de dessins à l'encre et plan aquarellé (1887).
« Clichy, Grenelle […] 17e fascicule » : 1 dossier, 1 feuille de notes manuscrites, 1 mémoire sur l'anthropologie des dolmens des environs de Paris par le Docteur Jules Guégan [8 p.], 12 planches de dessins à l'encre et aquarellés (sans date).
« Antiquités des départements de la Seine et de Seine-et-Oise, époques celto-gauloise, mégalithique, gallo-romaine et franque-mérovingienne […] 18e fascicule » : 1 dossier, 1 planche aquarellé (sans date).
« Le Pecq […] 19e fascicule » : 1 dossier, 1 feuille de notes manuscrites, 1 planche de dessin aquarellé (1872).

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