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Description archivistique
Commission de Topographie des Gaules
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Exposer les travaux : le Musée gallo-romain

Né par décret impérial du 8 mars 1862 et abrité dans un palais à la haute valeur symbolique, le Musée gallo-romain, aujourd’hui musée d’Archéologie nationale, revêt d’emblée des singularités bien en marge des musées des beaux-arts contemporains. L’investissement de la Commission de topographie des Gaules dans la création de cette institution novatrice et dont plusieurs membres participent à la commission d’organisation, marque vivement la muséographie, ainsi que l’accueil des chercheurs et grand public. Conçu comme un centre de recherche qui vise à rendre accessibles « les archives archéologiques » de la France, ce musée s’impose comme un « musée documentaire » dans lequel photographies, rapports, moulages, estampages, maquettes, relevés archéologiques, dessins, cartes et bibliothèque, rassemblés sur les directives de la CTG, se voient accordés une place de même importance que celle des objets originaux.
Ni les sources sur la Commission de Topographie des Gaules (CTG), ni celles relatives au musée d’Archéologie nationale n’exposent explicitement les liens entre la CTG et le musée gallo-romain, aujourd’hui musée d’Archéologie nationale. Pourtant l’étude attentive de la conception du musée et de son élaboration montre l’empreinte forte et omniprésente de la commission fondée par Napoléon III. Nous retrouvons la CTG parmi les personnalités qui gravitent autour de la toute jeune institution muséale, mais aussi dans la formation des collections et jusqu’aux choix muséographiques.

Commission de Topographie des Gaules

Création et conception

Le musée gallo-romain de Saint-Germain-en-Laye est fondé le 8 mars 1862 par décret impérial. Il est non seulement une réponse aux demandes réitérées d’archéologues, mais aussi à la passion que nourrit Napoléon III pour l’archéologie. L’empereur décide qu’il sera installé dans le château de Saint-Germain-en-Laye, haut lieu historique de l’Ancien Régime. Un vaste chantier de restauration du bâtiment, mené par Eugène Millet (1819-1879), élève d’Eugène Viollet-le-Duc (1814-1879), s’engage dès 1862 pour s’achever dans les années 1910. Il s’agit d’effacer les traces des agrandissements de Jules Hardouin-Mansart sous Louis XIV, les marques de l’occupation par l’école de cavalerie de Napoléon Ier, et enfin, les stigmates laissés par le pénitencier militaire fermé en 1855.
À sa création, le musée de Saint-Germain dépend du service des Musées impériaux dirigé par Émilien de Nieuwerkerke (1811-1892), qui est intégré à la Maison de l’Empereur. Le musée est attaché à la deuxième Conservation, ce qui signifie qu’il est sous l’autorité du conservateur des Antiques du Louvre, Adrien de Longpérier (1816-1882). Cet assujettissement ne s’achève officiellement qu’en 1867, à la nomination d’Alexandre Bertrand comme conservateur du musée gallo-romain.
Le musée est inauguré par Napoléon III en personne le 12 mai 1867 en présence de Félicien de Saulcy, Jean-Baptiste Verchère de Reffye (1821-1880), Alexandre Bertrand (1820-1902), Édouard Lartet (1801-1871), Eugène Viollet-le-Duc, Alfred Maury (1817-1892), le comte de Nieuwerkerke, Adrien de Longpérier. Tous associés étroitement à la conception et à l’organisation de l’établissement. À cette occasion l’empereur offre au musée les deux premiers volumes de l’Histoire de Jules César, dont le tome I est dédicacé de sa main, montrant par-là l’extrême attention qu’il porte à la nouvelle institution.

Napoléon III

De Baye

S'agit-il du père ou fils De Baye ?

Lettre envoyée de Paris.

Commission de géographie historique de l'ancienne France

Planches de dessins d'objets

Deux planches représentant les mêmes objets issus des tumulus de la Vie de Baigneux et de Monceau-Laurent. La deuxième planche mentionne ce texte : " Dessin original fait pour les autographies annexées au tiré-à-part de mon récit des Fouilles de Magny-Lambert publié dans la Revue Archéologique, livraison de décembre 1872 et de février 1873".

Flouest, Edouard

Relevés des mégalithes sur la commune de Pluneret

1 relevé numéroté de monuments mégalithiques se trouvant sur la commune de Pluneret. L'ensemble réalisé par Louis Galles (cousin de René Galles, membre de la CTG), se compose de 2 cartes (canton d'Auray et canton de Quiberon) et d'une série de relevés de mégalithes numérotés par commune.

Commission de Topographie des Gaules

Carte d'implantation des vestiges mégalithiques pour le canton de Quiberon

Carte réalisée par Louis Galles, cousin de René Galles (directeur du musée départemental d'archéologie du Morbihan et membre de la CTG) et présentant l'emplacement des différents mégalithes relevés sur le territoire du canton de Quiberon. L'ensemble se compose de deux cartes (canton d'Auray et canton de Quiberon) ainsi que de fiches numérotées réalisées pour chaque monument par commune.

Commission de Topographie des Gaules

Harold de Fontenay

Courrier de Monsieur Harold de Fontenay, d'Autun, ancien élève de l’École des Chartes, ancien correspondant de la Commission de Topographie des Gaules, daté du 19 mars 1880 sur papier à en-tête de la Société éduenne des lettres, sciences et arts.

Commission de Topographie des Gaules

Bedeilhac et Aynat

Planches de Félix Garrigou et Henri Filhol, préhistoriens, relatives à l'"Age de la pierre polie dans les cavernes des Pyrénées Ariégeoises", dépôt légal. Don du Ministère de l'Instruction publique, 28 juillet 1875.

Filhol, Henri

Eugène Grésy

Courrier de Monsieur Grésy, de Paris, président de la Société d'archéologie de Seine-et-Marne, section de Melun, daté du 18 décembre 1865.

Commission de Topographie des Gaules

Auguste Théodore de Girardot

Courrier de Monsieur Girardot, de Nantes, daté du 21 juin 1866 sur papier à en-tête de la préfecture de la Loire-inférieure, Cabinet du secrétaire général.

Ministère de l'Instruction publique

Dessin aquarellé d'une rouelle gauloise

Dessin aquarellé par Eugène Hucher d'une rouelle gauloise trouvée dans la Sarthe, décorant un instrument ou destinée à servir d'amulette sur une coiffure. L'objet est conservé au musée d'archéologie du Mans.

Commission de Topographie des Gaules

Dessin aquarellé d'une poterie micacée

Dessin aquarellé d'une poterie micacée datée du VIIIe au XIe siècle trouvée au Mans et conservée au musée du Mans. "Cette parcelle offre l'empreinte d'une rouelle sur le plat de la margelle." Dessin vraisemblablement réalisé par Eugène Hucher qui l'adresse à la Commission de la Topographie des Gaules.

Commission de Topographie des Gaules

Dessin d'une épreuve de lance en alliage tendre

Dessin aquarellé, réalisé par Louis Revon d'après nature, d'une épreuve de lance en alliage tendre (plomb 70, étain 18, arsenic 3, traces de fer et de cuivre - analyse Bischoff), pêchée par M. Carrard, dans la station du port de Thonon. L'objet est conservé au musée de Lausanne.

Commission de Topographie des Gaules

Dessin d'une hache en jadéite

Dessin d'une hache en jadéite en deux morceaux trouvés au même endroit à plusieurs années de distance, sur la limite du territoire d'Andelot, entre cette commune et celle de Siguéville vers 1866. Mention "on distingue dans la cassure le poli du trou". L'objet appartient à la collection Poutou d'Auri (illisible). Le dessin a été réalisé par Héron de Villefosse.

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