Aperçu avant impression Fermer

Affichage de 191 résultats

Description archivistique
Ministère des Travaux publics
Aperçu avant impression Affichage :

14 résultats avec objets numériques Afficher les résultats avec des objets numériques

Lettre annonçant l’envoi d’une copie de la convention arrêtée entre la Liste civile et la compagnie du chemin de fer de Paris à Saint-Germain-en-Laye

« Ancienne Liste civile
Domaine privé
Contentieux
République française
Liberté, égalité, fraternité
Paris, le 2 février 1849
Le représentant du peuple, liquidateur général de l’ancienne Liste civile, du Domaine privé, etc.
M. le ministre des Travaux publics
Monsieur le ministre et cher collègue
D’après le désir exprimé dans la lettre que vous m’avez fait l’honneur de m’écrire le 18 de ce mois, je m’empresse de vous envoyer copie des conventions arrêtés entre l’administration de l’ancienne Liste civile et la compagnie du chemin de fer atmosphérique et qui se trouvent consignées dans une lettre du directeur de cette compagnie en date du 24 février 1847.
Je ne puis d’ailleurs, en ce qui concerne l’indemnité de 50000 f. qui devait être payée par la compagnie à l’ancienne Liste civile, que me référer aux réserves que j’ai faites à ce sujet dans la lettre que j’ai eu l’honneur de vous écrire le 7 décembre dernier.
Agréez, Monsieur le Ministre et cher collègue, l’assurance de ma haute considération.
Vavin »

Ministère des Travaux publics

Lettre concernant la vente des arbres abattus dans les jardins du château de Saint-Germain-en-Laye

« Ministère des Travaux publics
6e division, 1er bureau
Paris, le 19 février 1849
Le ministre à M. le ministre des Finances
Monsieur le Ministre et cher collègue,
Le passage du chemin de fer atmosphérique sur le domaine national de Saint-Germain-en-Laye a nécessité divers changements dans la disposition du parterre auquel une petite partie de la forêt a été réunie. Par suite de ces changements, 15 ou 16 marronniers et 6 chênes ont été abatus et 70 tilleuls doivent aussi être arrachés. Le besoin de continuer les travaux entrepris sur ce point exige qu’il soit procédé le plus promptement possible à la vente des bois à provenir de ces arbres, et je viens, Monsieur et cher collègue, vous prier de vouloir bien donner dans ce but vos instructions à MM. les agents de l’administration des Domaines, à qui il appartient de procéder à cette vente.
Il devra être prescrit à l’adjudicataire d’enlever dans le plus court délai les arbres abatus, qui embarrassent la promenade publique, et quant aux 70 tilleuls à supprimer, je pense qu’il convient de les vendre sur pied, à la charge par l’acquéreur de les faire arracher et enlever et de combler les trous d’extraction dans les quinze jours qui suivront celui de l’adjudication, en réservant à l’administration la faculté de pourvoir à l’exécution de ces conditions aux frais de l’adjudicataire s’il n’y avait pas satisfait lui-même dans le délai indiqué.
M. Cailloux, architecte du parterre de Saint-Germain, chargé de la direction des travaux dont il s’agit, s’entendra au surplus avec l’agent que vous aurez désigné, aussitôt que vous aurez bien voulu me le faire connaître, sur les mesures à prendre à ce sujet.
Agréez etc. »

Ministère des Travaux publics

Lettre demandant le paiement des travaux dans les jardins du château de Saint-Germain-en-Laye

« Département de Seine-et-Oise
Arrondissement de Versailles
Mairie de Saint-Germain-en-Laye
République française
Liberté, égalité, fraternité
Saint-Germain, le 4 mars 1849
A monsieur le ministre des Travaux publics
Monsieur le Ministre,
Vous avez eu la bonté, suivant l’avis que vous m’avez fait l’honneur de m’en donner par votre lettre du 18 janvier dernier, de prescrire la reprise des travaux du parterre de Saint-Germain afin de procurer du travail aux nombreux ouvriers de cette ville depuis si longtemps privés d’ouvrage et dont la conduite a été si recommandable, quoiqu’éprouvants les besoins les plus impérieux par suite de l’épuisement de toutes leurs ressources.
Ces travaux consistants en terrassements ont été entrepris et sont terminés depuis quelque temps déjà sans que les ouvriers qui les ont exécutés aient encore reçu le moindre à compte sur le salaire qui leur est acquis. La détresse dans laquelle ils se trouvent par suite du défaut d’occupation excitant de nombreuses réclamations à fin de paiement, j’ai cru devoir recourir directement à votre obligeance et à votre justice, Monsieur le Ministre, et vous prier de vouloir bien donner des instructions que vous jugerez les plus convenables pour que ces malheureux ouvriers soient payés dans le plus bref délai possible et de manière à faire cesser les plaintes que leur inspirent les besoins qu’ils éprouvent.
J’ai l’honneur d’être, Monsieur le Ministre, votre très humble et très obéissant serviteur.
Le maire de Saint-Germain-en-Laye
Quentin de Villiers »

Ministère des Travaux publics

Lettre concernant la remise le jardin dit de la couronne à Saint-Germain-en-Laye

« Ministère des Travaux publics
6ème division, 1er bureau
Paris, le 15 mars 1849
Le ministre à M. le ministre des Finances
Monsieur le Ministre et cher collègue,
Au nombre des immeubles qui composent le domaine de l’Etat à Saint-Germain-en-Laye, il se trouve un terrain, dit jardin de la Couronne, d’environ 2000 m de superficie et clos de mur, lequel est contigu, d’un côté, au pénitencier militaire et longe, de l’autre, le parterre sur lequel il a son entrée.
Dans une des séances de la commission chargée d’examiner la destination à donner aux immeubles de l’ancienne Liste civile, ce terrain, dont l’utilité pour le service n’avait point été signalée, fut rangé dans la catégorie de ceux qui devront être remis à l’administration du Domaine pour être aliénés ou mis en location. Mais aujourd’hui l’architecte de la terrasse de Saint-Germain m’adresse, contre cette détermination, des observations qui me paraissent fondées.
En effet, ce terrain qui forme enclave dans le domaine de l’Etat ne pourrait être aliéné sans qu’il ne dût en résulter de véritables inconvénients soir pour le pénitencier, dont il n’est séparé que par un mur de clôture, soit pour le parterre, sur lequel il n’existe déjà que trop de propriétés particulières. Il ne pourrait, non plus, être loué sans qu’une partie de ces inconvénients ne se produisît. Il offrirait au contraire une véritable utilité au service de mon administration, en l’affectant à un lieu de dépôt pour les matériaux et à un fleuriste pour la culture des plantes destinées à l’entretien du parterre.
La valeur locative de ce terrain n’excède pas 100 f. Son aliénation ou sa mise en location serait donc sans aucun intérêt pour l’Etat, tandis que l’emploi vraiment essentiel au service qu’il m’est proposé d’en faire produirait incontestablement, dans les dépenses de mon administration, une économie de beaucoup supérieure à l’avantage de tout autre parti qu’on pourrait en tirer. Je regrette que les observations de l’architecte à ce sujet aient été si tardives, mais elles n’en sont pas moins justes et je viens en conséquence, Monsieur et cher collègue, vous prier de décider que le terrain dont il s’agit sera retranché de l’état des immeubles à aliéner et considéré comme une dépendance utile du parterre.
Agréez etc. »

Ministère des Travaux publics

Lettre concernant l’arrêt des travaux au château de Saint-Germain-en-Laye

« Ministère des Travaux publics
Division des Bâtiments civils
Château de Saint-Germain-en-Laye
Bureau de l’architecte
Paris, le 16 août 1871
A monsieur le ministre des Travaux publics
Monsieur le Ministre,
J’ai l’honneur de vous adresser sous ce pli un devis estimatif concernant les ouvrages d’entretien de l’exercice 1871 du château de Saint-Germain-en-Laye.
Par suite de la cessation de tout travail dans le chantier, la citerne de la cour est sans cesse pleine. Elle déborde et je suis obligé de la faire vider au moyen de pompes d’épuisement. L’eau de cette citerne pourrait être utilisée pour l’arrosage des jardins bas des fossés et j’ai l’honneur, cette année, de vous proposer l’établissement d’une conduite pour amener les eaux dans le jardin de la face nord, vers le parterre.
Je suis avec un profond respect, Monsieur le Ministre, votre très humble et très obéissant serviteur.
Eugène Millet »

Ministère des Travaux publics

Lettre concernant la possible installation d’une ambulance militaire au château de Saint-Germain-en-Laye

« Château de Saint-Germain-en-Laye
Ce 7 octobre 1871, samedi
Cher Maître,
Encore des militaires, et pour le château cette fois. En arrivant à Saint-Germain, j’ai trouvé l’intendant général et le sous-intendant de la place venant pour étudier l’installation d’une ambulance dans les salles à peu près achevées. Il y a un mois, lorsqu’il s’agissait de la vénerie, on m’avait dit que c n’était pas pour un temps passager mais pour longtemps. Aujourd’hui, on dit qu’il s’agit d’une installation tout à fait provisoire. Il n’y a pas de fosses d’aisances. On mettra des baquets dans les salles. Il faut un promenoir mais, dit-on, les malades et les convalescents se promèneront dans les fossés et parmi les ouvriers. Sur mon observation que mes entrepreneurs se plaindraient du temps perdu par leurs ouvriers par suite des conversations, on affirme que tour cela peut s’arranger.
J’ai tout montré sans exception. J’ai aidé à compter le nombre de lits qu’on peut placer dans ces salles à l’angle nord-est. On espérait pouvoir placer 300 lits et on trouve qu’on en mettra à peine 120.
Tout cela provient de ce que l’asile du Vésinet voudrait reprendre ses locaux et se débarrasser des militaires à notre profit. Le Vésinet est un établissement de 500 à 600 lits dit-on. Il est tout organisé pour le service d’ambulance. Il serait triste, triste, de voir abimer toutes nos salles. Le mélange forcé des ouvriers et des malades me semble tout à fait impossible et lundi matin, cher Maître, je chercherai à vous voir à cet égard.
Je suis votre tout dévoué architecte et serviteur.
Eugène Millet »

Ministère des Travaux publics

Lettre concernant la possible installation d’une ambulance militaire au château de Saint-Germain-en-Laye

« Ministère de l’Instruction publique et des Cultes
Château de Saint-Germain
Musée des Antiquités nationales
Château de Saint-Germain, le 11 octobre 1871
Monsieur le Directeur,
Le musée de Saint-Germain est, de nouveau, menacé d’un envahissement partiel par l’administration de la Guerre, qui demande à installer une ambulance dans les salles que l’architecte doit nous livrer l’année prochaine. J’ai fait part de ce danger à M. Villot, qui m’a chargé de vous en donner avis immédiatement. Il se peut, en effet, qu’il y ait urgence. Repoussée du Vésinet après s’être vu refuser la Vénerie par le ministère des Travaux publics, qui a défendu cet établissement avec succès, l’Intendance se rejette sur le château, sous prétexte que le ministère de la Guerre en a déjà eu la jouissance, autrefois, et a pu y établir successivement sous le Premier Empire et sous le gouvernement de Juillet une école militaire et un pénitencier. L’administration de la Guerre semble ignorer que la restauration actuelle du château, à tire de monument historique, en a complètement modifié le caractère et que non seulement il serait tout à fait impropre aujourd’hui à servir de caserne ou d’hôpital, mais qu’il a reçu depuis bientôt dix ans une destination définitive et que le musée national qui y est installé et qui compte déjà quatorze salles ouvertes au public doit, un jour, sans être trop au large, en occuper la totalité. J’ajouterai que les deux salles particulièrement menacées nous sont, dès maintenant, indispensables : un grand nombre d’objets, et des plus curieux, sont encore dans nos tiroirs et attendent cet agrandissement pour que nous puissions les exposer aux regards du public. Il est d’ailleurs d’autres considérations tout à fait spéciales que l’architecte du château doit faire valoir auprès de vous, comme il les a fait valoir auprès du ministre des Travaux publics. La ville de Saint-Germain elle-même est très émue du projet de l’Intendance, et le maire doit faire, de son côté, une démarche auprès du ministre de l’Intérieur pour le prier de ne pas laisser installer, en pleine paix, un hôpital même provisoire à l’entrée de la ville et donnant directement sur les parterres du château, principale et unique promenade des habitants et des étrangers. Enfin, Monsieur le Directeur, ne serait-il pas surprenant que l’administration française n’hésitât pas à prendre une mesure devant laquelle les Prussiens eux-mêmes ont reculé puisque, malgré l’urgence de leurs besoins et le nombre de leurs malades, ils ont toujours scrupuleusement respecté tout ce qui, dans le château, était affecté au service du musée, dont tous leurs officiers ont reconnu l’importance comme établissement scientifique. M. Millet, architecte du château, a déjà l’assurance que le ministre des Travaux publics a pris l’affaire en main. Il serait désirable que le ministre de l’Instruction publique, dont le château relève comme musée, se joigne à son collègue pour couper court à ces tentatives qui se renouvellent, aujourd’hui, pour la troisième fois.
Veuillez agréer, Monsieur le Directeur, l’assurance de mes sentiments respectueux et dévoués.
Le conservateur du musée de Saint-Germain
Alexandre Bertrand »

Ministère des Travaux publics

Lettre concernant la possible installation d’une ambulance militaire au château de Saint-Germain-en-Laye

« Ministère des Travaux publics
Bâtiments civils
Paris, le 17 octobre 1871
Le ministre à monsieur le ministre de la Guerre
Monsieur le Ministre et cher collègue,
Je suis informé d’une visite qui aurait été faite dans le château de Saint-Germain par M. l’intendant militaire chargé du service des troupes casernées dans cette ville pour reconnaître la possibilité d’y installer provisoirement un hôpital.
Je m’empresse de vous faire connaître que je ne pourrais autoriser une semblable installation en présence de l’affectation du château à un musée historique. Depuis plusieurs années, mon administration fait exécuter des travaux considérables pour remettre en état un des édifices les plus intéressants de France au point de vue de l’art et de l’histoire, et déjà une partie des salles ont pu recevoir les précieuses collections du musée. D’autres salles sont sur le point d’être terminées et leur livraison est attendue avec impatience.
Ce sont ces dernières que M. l’intendant aurait désiré convertir en ambulance. Mais, indépendamment du peu de ressources qu’elles pourraient procurer, je ferai observer qu’elles ne présentent aucune des dispositions et des dépendances nécessaires, c’est-à-dire cuisine, pharmacie, fourneau, latrines etc. Ce défaut d’organisation n’est pas secondaire et je n’aurais pas élevé d’objections si le château n’avait pas aujourd’hui un caractère qui doit le mettre à l’abri de toutes les installations de nature à porter atteinte à sa conservation comme au développement des collections qu’il conserve.
Mon administration est venue jusqu’à ce jour en aide autant qu’il dépendait d’elle au ministère de la Guerre en lui laissant les bâtimens et terrains dont elle pouvait disposer, mais elle ne saurait abandonner le château de Saint-Germain sans s’exposer à des critiques sévères.
En conséquence, je vous serais obligé, Monsieur et cher collègue, de vouloir bien prescrire qu’il ne soit pas donné suite au projet d’ambulance.
Agréez etc. »

Ministère des Travaux publics

Rapport concernant les travaux au château de Saint-Germain-en-Laye

« Ministère des Travaux publics
Direction des Bâtiments civils
Château de Saint-Germain-en-Laye
Rapport à monsieur le ministre des Travaux publics
Monsieur le Ministre,
Par décision du 21 octobre dernier, vous avez alloué une somme de cent mille francs, imputable sur le crédit inscrit au chapitre 24 du budget, exercice 1871, pour continuer les travaux de restauration du château de Saint-Germain et d’appropriation de plusieurs salles au service du musée gallo-romain.
D’après les propositions de M. Milet, architecte du château, cette somme de 100000 francs serait employée ainsi qu’il suit :
1° achèvement des deux grandes salles à quatre croisées du 1er et du 2ème étage joignant l’escalier d’honneur et dépendant de l’angle nord-est du château, y compris le mobilier nécessaire pour livrer ces salles au service du musée gallo-romain.
2° continuation de l’escalier sis à l’est des bâtiments méridionaux.
3° continuation de la restauration et de la construction des contreforts et éperons de tout l’angle sud-est.
4° reprises en sous-œuvre dans les éperons sur la cour.
J’ai l’honneur de vous proposer, Monsieur le Ministre, de vouloir bien approuver cette répartition et autoriser l’exécution des travaux qu’elle comporte.
Veuillez agréer, Monsieur le Ministre, l’hommage de mon respectueux dévouement.
Le directeur des Bâtiments civils,
E. de Cardaillac »

Il est porté en marge : « Approuvé, Versailles, le 8 novembre 1871, le ministre des Travaux publics, Pour le ministre et par autorisation, le secrétaire général, G. de Boureuille »

Ministère des Travaux publics

Rapport concernant les travaux au château de Saint-Germain-en-Laye

« Ministère des Travaux publics
Direction des Bâtiments civils
Château de Saint-Germain-en-Laye
Rapport à monsieur le ministre des Travaux publics
Monsieur le Ministre,
Vous avez accordé, par décision du 15 octobre dernier, un crédit de 100000 francs pour continuer en 1871 les travaux de restauration du château de Saint-Germain-en-Laye.
Cette somme doit être spécialement affectée à l’appropriation au service du musée de plusieurs salles à droite du grand escalier d’honneur et à la restauration de la façade nord-est du château.
M. Millet, architecte du château, a prescrit les mesures nécessaires pour l’exécution de ces travaux et fait souscrire aux entrepreneurs les soumissions ci-jointes, que j’ai l’honneur de présenter à votre approbation,
Savoir :
Terrasse et pavage : M. Béché s’engage à exécuter ces travaux moyennant les prix de la série de la ville de Paris, exercice 1870, avec rabais de 5 p. %.
Maçonnerie : M. Morin-Bigle, même série, rabais 4 p. %
Charpente : M. Tellier, même série, avec rabais de 5 p. %.
Couvreur et plomberie : MM. Monduit et Bechet, même série, rabais 3 p. %.
Menuiserie : M. Berthier, mêmes série, rabais 5 p. %.
Serrurerie : M. Moutier, même série, rabais 5 p. %.
Peinture et vitrerie : M. Louis dit Larible, même série, rabais 6 p. %.
Sculpture : MM. Libersac et Corbel prix approuvés dans la soumission de 1870.
Ces soumissions, régulièrement rédigées, comprennent des travaux qui, à raison de leur nature spéciale, peuvent faire l’objet d’un marché de gré à gré, conformément aux dispositions de l’article 39 du règlement de comptabilité du 18 décembre 1867.
J’ai l’honneur, Monsieur le Ministre, de vous prier de vouloir bien les approuver et signer le présent rapport et l’arrêté ci-joint.
Veuillez agréer, Monsieur le Ministre, l’hommage de mon respectueux dévouement.
Le directeur des Bâtiments civils
E. de Cardaillac »

Il est porté en marge : « Approuvé, Versailles, le 24 novembre 1871, le ministre des Travaux publics, R. de Larcy »

Ministère des Travaux publics

Résultats 31 à 40 sur 191