Affichage de 643 résultats

Description archivistique
Archives départementales des Yvelines Saint-Germain-en-Laye
Aperçu avant impression Affichage :

461 résultats avec objets numériques Afficher les résultats avec des objets numériques

Plainte de Frances Talbot, duchesse de Tyrconnell,à Saint-Germain-en-Laye

« A monsieur le prevost de Saint Germain en Laye ou son lieutenant
Suplie humblement dame Françoise de Jenins, duchesse de Tirconnelle, premiere dame d’honneur de la reyne d’Angleterre, estant prez Leurs Majestez britanniques en ce lieu de Saint Germain en Laye, disant qu’elle a le deplaisir de se veoir nommée avec l’un des hommes le plus indigne et le plus misérable du monde dans la poursuitte qu’elle fait contre luy pour le faire punir d’un crime que sa malice, son insolence et sa témérité luy ont fait commettre par un attentat à la vertu, à l’honneur et à la réputation de lad. dame, dont le ressentiment auroit eu un autre effet sy l’action avoit esté commise à une personne qui n’auroit pas eu sa modération pour faire ressentir à ce criminel le chastiment qui luy estoit deub pour une pareille imposure et une offense aussy sensible que celle qu’il a entrepris de faire à ladite dame, mais qu’elle a mieux aymé defferer aux regles de la justice et à la severité des loix, pour faire suporter à sa partie les peines qu’elles imposent pour l’expiation des crimes de la nature de celuy dont il s’agist, qu’elle espere obtenir de vostre justice et de l’execution des ordonnances de Sa Majesté.
Pour donner une veritable idée du fait dont est question, de la qualité du crime, du merite et de la distinction de la personne offensée et du caractere du criminel, il est necessaire d’observer que Jacques Archbold, accusé, ayant esté choisy par monsieur le comte de Limerick pour estre auprès de monsieur le comte de [vide], son fils, il luy auroit rendu quelques services, l’ayant servy à la campagne en laquelle le combat pour le passage de la riviere de Boyne en Irlande s’est donné, dans lequel led. sieur comte de [vide] fust tué. Cela auroit donné lieu aud. sieur comte de Limerick de procurer audit Archbold quelque employ prez monsieur le duc de Tirconnell, qui par cette recommandation auroit eu quelques estimes pour Archbold. Mais la mort de mondit sieur le duc de Tirconnell estant arrivée, cela auroit fait changer de face aux affaires d’Irlande en faveur de Leurs Majestez britanniques, en sorte que led. sieur comte de Limerick et sa famille auroient passé en France et se sont rendus prez Leursdites Majestez.
Archbold, qui n’avoit d’autres ressources ny d’autre sort à suivre que la fortune dudit sieur comte de Limerick, auroit aussy passé en France et se seroit rendu à la cour d’Angleterre. Mais, se trouvant sans employ, denué de moyens et dans une derniere indigence, il auroit imploré le secours de la dame comtesse de Limerick pour luy faire donner quelque employ capable d’ayder à sa subsistance, ce qui auroit porté ladite dame comtesse de Limerick, par un bienveillance qui luy est naturelle, à chercher les moyens quy pouvoient ayder led. Archbold, en sorte que, s’estant rappellée le souvenir qu’il avoit receu quelques ordres de feu monsieur le duc de Tirconnell (quoyqu’il s’en fust tres indignement acquitté par ses infidelitez qui se sont depuis descouvertes), elle l’auroit presenté à ladite dame duchesse de Tirconnelle affin que, si elle le jugeoit digne de luy faire quelques commissions et rendre des services selon sa portée, elle put les luy confier, veu mesme que feu monsieur le duc de Tirconnell l’avoit eu en quelque consideration.
Cette seulle recommandation, et nul autre merite dudit Archbold, qui avoit esté jusques alors inconnu à ladite dame duchesse, luy auroit suffit pour regarder cet homme, en la scituation qu’il estoit, capable de luy faire quelques commissions pour la ville de Paris.
D’abord, Archbold s’offrit de faire tout ce qu’il y a de plus bas et qui se donne à un dernier vallet. Il en fust chargé et s’en acquitta avec soin. De ces basses occupations, il est monté à de plus haultes, ladite dame duchesse se fondant sur une probité apparente et sur la consideration de la personne par le canal de laquelle il luy avoit esté presenté. D’ailleurs, Archbold, ayant eu l’adresse de se faire recommander à ladite dame duchesse par madame la comtesse de Quingsland, sa fille, et par madame Oynel, niepce de feu mondit sieur duc de Tirconnell, toutes deux pres d’elle, cela l’auroit portée à tomber en quelque confiance avec led. Archbold, qui cependant n’auroient eu d’autres estendues que de luy confier une partie de sa vaisselle d’argent et quelques bijoux avec un pouvoir par escrit de les porter à Paris et d’emprunter sur leur valleur la somme de cinq mil livres, faisant entendre à lad. dame duchesse qu’il avoit des correspondances certaines et que le prest seroit fait à un interest modicque.
C’a esté par cette seulle confiance qu’Arcbold a conceu le dessein de commettre le crime dont il est convaincu, par un attentat à l’honneur et à la reputation de lad. dame duchsse. La maniere libre et ouverte avec laquelle elle luy avoit confié sa vaisselle d’argent, ses bijoux et son pouvoir luy auroit fait concevoir qu’il pouvoit aisement la surprendre et extorquer d’elle sa signature dans quelque intervale de papier, pour y faire faussement une promesse de l’espouzer, s’estant frappé l’imagination, par une extravagance et une temerité inouie, qu’il trouvoit occasion de reussir dans un dessein aussy esloigné de l’aparence qu’il estoit conceu visionairement et sans fondement. […].
Luy estant revenu qu’Archbold rependoit le bruit qu’il avoit un contract de ladite dame pour l’espouzer, elle n’auroit plus doutté qu’il l’avoit surprise, et que les termes injurieux, indescens, sales et pleins d’ordures avec lesquels il s’explicquoit dans ses lettres, tant pour elle que pour ladite comtesse de Limerick, ne luy donnoient plus lieu de douter qu’il luy avoit fait quelque friponnerie et que cette conduitte dereglée meritoit chastiment et une reparation publicque.
Dans ce dessein, elle en auroit porté sa plainte au roy et à la reyne d’Angleterre, ses souverains, quy, offensés du dereglement d’Archbold, auroient donné leurs ordres pour le faire arrester. Ce qu’ayant esté fait, et conduit devant Leurs Majestez, ladite dame duchesse, mandée avec les ministres d’Etat d’Angleterre et d’Irlande, et led. Archbold interrogé sur sa conduitte, auroit avec un air d’effronterie soustenu qu’il avoit une promesse de ladite dame pour l’espouzer, laquelle luy ayant esté ordonné de representer, il l’auroit fait, et ayant esté examinée sur le champ, la fausseté et la supposition de cette piece s’estant trouvée evidente et sautante aux yeux, Sa Majesté l’auroit remise à ladite dame duchesse avec une bague qu’Archbold auroit retenue du nombre des bijoux que ladite dame luy avoit confiés pour donner en gaige, et au mesme temps Sad. Majesté a donné ses ordres pour mener ledit Archbold prisonnier, ce qui fust executé, ayant esté constitué prisonnier en vos prisons.
Par ce commancement de cette justice que Leurs Majestez britanicques rendoient à ladite dame duchesse, elle avoit lieu d’espere que dans la suitte elle recevroit la satisfaction d’une punition exemplaire en la personne d’Archbold. Mais Leurs Majestez ayant consideré qu’Elles ne pouvoient exercer aucune jurisdiction sur leurs sujets en France, Elles sont laissé la liberté à ladite dame duchesse de Tirconnell de se pourvoir en justice et par les regles ordinaires de France pour y obtenir la satisfaction d’une injure si attroce. »

Prévôté de Saint-Germain-en-Laye

Etat des meubles au château du Val à Saint-Germain-en-Laye

« Etat et prisée des meubles appartenants à madame la comtesse de La Marck fait au Val de Saint Germain par les sieurs Capin et Moncouteaux
Antichambre
Un poêle de fayance avec ses tuyaux, 30 l.
Une grande échelle double, 12 l.
Salon de compagnie
Deux sophas à carreaux de plumes et couverts de toile d’orange, 192 l.
Deux veilleuses idem, 192 l.
Dix chaises à carreaux de plumes couverts idem, 150 l.
Trois gros oreillers de duvet couverts de mouchoirs à bordures, 60 l.
Deux cabriolets couverts en tapisserie, 40 l.
Un bout de pied de chaise longue couvert d’indienne, 8 l.
Trois rideaux en six parties de toile de coton blanche encadrée, 144 l.
Deux consoles peintes en petit jaune avec leurs tables de marbre, 36 l.
Deux paires de bras à six branches, dorés d’or moulu, 350 l.
Un feu doré d’or moulu avec pelle, pincette et tenailles, 72 l.
Un poêle et le marbre cassés, 48 l.
Cabinet à côté du salon
Deux encoignures garnis de leurs carreaux de plumes et couverts d’une toile d’orange, 100 l.
Un tête à tête couvert idem, quatre fauteuils à cabriolet et carreaux couverts idem, 120 l.
Une banquette couverte idem à carreaux, 30 l.
Un rideau en deux parties de toile de coton blanche et encadrée de toile d’orange, 48 l.
Une paire de bras à fleurs, 8 l.
Un feu doré d’or moulu, 45 l.
Deux encoignures de marqueterie garnies de leurs gradins, 96 l.
Ledit cabinet tendu en papier de la Chine garni de ses moulures, 108 l.
Cabinet de bibliothèque
Un petit canapé à carreaux couvert de toile d’orange, quatre fauteuils à carreaux couverts idem, 144 l.
Deux rideaux de toile de coton encadrés de toile d’orange, en quatre parties avec tringles et cordons, 96 l.
Un poêle de fayance à dessus de marbre garni d’un thuyau en dehors, 48 l.
Chambre de maître au premier n° 4
Une commode à dessus de marbre, 45 l.
Un feu de fer, pelle et pincette, 9 l.
Une toilette de bois de noyer non garnie en dedans, 18 l.
Une table à écrire couverte de maroquin noir, 6 l.
Un écran de papier de la Chine et deux grands fauteuils de damas, 24 l.
Un autre fauteuil à joues couvert de damas, 18 l.
Quatre chaises d’étoffe fond blanc à carreaux, 48 l.
Deux petits tabourets couverts de brocatelle, 6 l.
Un lit de damas à baldaquin, couchette à deux chevets, une housse de serge, courtepointe et soubassement, le tout en damas ; le coucher composé d’un sommier, deux matelats couverts de futaine, d’un lit de plumes avec son traversin, coutis de Bruxelles, d’un faux traversin rempli de crin et de deux couvertures ; quarante huit pieds de tapisserie de vieux damas à tulipe garnie de toutes ses baguettes ; un rideau en deux parties de vieux taffetas cramoisy et sa tringle, 600 l.
Une tablette fermant à cilindre, 3 l.
Un soufflet à vent, 2 l.
Deux petits flambeaux argentés, 5 l.
Un fauteuil de paille, 2 l. 10 s.
Un pot à eau, une cuvette et son verre, 1 l.
Garde robe de proprété
Une table de nuit de bois de noyer, 2 l. 10 s.
Un bidet, 3 l.
Une chaise percée et son sceau de fayance et son rondin, 4 l.
Une cruche de grais, deux pots de chambre, un petit flambeau de cuir jaune, un pot à l’eau et sa jatte, un récheaux de tôle et une bouillote, 6 l.
Une bassinoire, 6 l.
Une table à patin, 5 l.
Un grand miroir de toilette, 6 l.
Un fauteuil de paille et son carreau, 4 l.
Six pommes de portemanteau, 10 s.
Un lit de domestique composé de sa couchette, paillasse, de vieux matelats, traversin, une vieille couverture, un baldaquin de siamoise de Rouen bleu et blanc, vingt quatre pieds de tour de tapisserie de siamoise, y compris les petits rideaux, 130 l.
Chambre de domestique n° 5
Idem comme la précédente, évaluée à 130 l.
Une table à écrire de bois de noyer, 4 l.
Un pot à l’eau, deux pots de chambre, un flambeau de cuivre jaune, un réchaux et sa bouillote, quatre pommes de portemanteau, une chaise de paille, 6 l.
Une table de nuit de bois de noyer, 2 l. 10 s.
Un bidet, 3 l.
Une chaise percée, son sceau et son rondin et une petite cruche de grais, 5 l.
Chambre de maître n° 5
Un petit canapé de 4 pieds en vieux damas vert, 36 l.
Deux chaises à châssis, 12 l.
Un petit fauteuil de paille à carreaux, 6 l.
Un fauteuil de paille, 2 l. 10 s.
Deux tabourets, 6 l.
Une toilette de bois de noyer ancienne, 18 l.
Une table à écrire couverte de maroquin, 6 l.
Une petite bibliothèque à deux tablettes, 4 l.
Un feu de fer, pelle et pincette, 12 l.
Deux petits flambeaux argentés, 5 l.
Un pot à l’eau et sa cuvette, 1 l.
Un lit de 4 pieds à baldaquin de vieux damas vert avec sa housse de camelot, courtepointe et soubassement de damas, deux couvertures, un sommier de crin, deux matelats couverts de futaine, un lit de plumes et deux traversins ; trente pieds de tapisserie au pourtour de laditte chambre de vieux damas vert garnye de ses baguettes ; un rideau de vieux taffetas vert en deux parties, 540 l.
Un soufflet, 2 l.
Un feu à pommes de cuivre garni de pelle, pincette et tenailles, 18 l.
Un soufflet, 1 l. 10 s.
Un pot à l’eau et sa cuvette, 1 l.
Deux flambeaux argentés, 5 l.
Une paire de bras à une bobèche à fleurs, 4 l.
Une commode à dessus de marbre, 60 l.
Un écran de taffetas vert, 6 l.
Une petite table à écran, 5 l.
Un secrétaire à armoire à dessus de marbre, 48 l.
Un fauteuil de paille, 2 l. 10 s.
Un grand canapé à matelats et couvert de vieille moere garni de ses deux rondins ; quatre vieilles chaises de même ; un vieux fauteuil à dossier quarré, 100 l.
Un lit de quatre pieds et demi à niche garni de son châssis et pentes, tapisserie au pourtour, et deux rideaux d’alcôve, courtepointe et soubassement, le tout en vieille moere rayée ; le coucher composé d’un sommier, de deux matelats couverts de futaine, d’un lit de plume et traversin, un autre traversin en crin, deux couvertures ; trente deux pieds de tapisserie au pourtour de laditte chambre garnie de ses baguettes dorées ; deux rideaux de croisée de taffetas flambé avec tringles et cordons à poulies, 550 l.
Garde robe de proprété
Une table de nuit de bois de noyer, 2 l. 10 s.
Un bit, 3 l.
Une chaise percée avec son sceau, 5 l.
Trois pots de chambre et une cruche, 1 l.
Un petit réchaux et sa bouillotte, 3 l.
Un miroir de toilette, 6 l.
Un flambeau de cuivre jaune, 1 l.
Chambre de domestique ou garde robe
Une bassinoire, 6 l.
Un petit rideau à la porte vitrée, 1 l.
Une vieille chaise garnie, 5 l.
Quatre pommes de portemanteau, 10 s.
Un lit à tombeau de siamoise garni d’une paillasse, de deux matelats, d’un traversin et d’une couverture ; laditte chambre tendue en vieille tapisserie de brocatelle, deux vieux rideaux de damas, 92 l.
Chambre des bains
Un petit poêle de fayance, 15 l.
Une baignoire de cuivre avec ses deux réservoirs, son cilindre et deux robinets et autres accessoires, 300 l.
Dans une chambre donnant à la basse cour
Un feu de fer avec pelle et pincette, 10 l.
Un pot à l’eau et sa cuvette, deux petits flambeaux argentés, 16 l.
Une chaise percée en canne et un bidet, 18 l.
Deux chaises et un fauteuil couverts d’indienne, 30 l.
Une table de nuit de bois de noyer, 2 l. 10 s.
Un lit de bains, la couchette à la turque, le tout de toile de coton, encadrée de perse ; le coucher composé d’un faux fonds garny de crin, deux matelats couverts de futaine, un lit de bazin et duvet, un traversin idem, un second traversin remply de paille, deux couvertures de ratinne, deux rideaux de toile de coton et encadrés de perse, 350 l.
Quatre rideaux de siamoise de Rouen d’un leg chaque avec la tapisserie de siamoise, 36 l.
Un soufflet et une vieille table de sapin, 3 l.
[Total :] 5630 l.
Plus deux grands fauteuil du salon de compagnie, couverts de toile d’orange, estimés la somme de 40 l.
[Total :] 5670 l.
Je certifie avoir arêtté les articles si dessus
Capin, Moncouteaux »

Noailles, Marie-Anne-Françoise (de), comtesse de La Marck

Marché pour l’attique du château du Val à Saint-Germain-en-Laye

« Nous Louis Engilbert, comte de La Marck, du Saint Empire et de Schleiden, baron de Lumey et de Soraing, seigneur de Kerpon, Castelbourg, Saffembourg et autres lieux, hautvoué héréditaire du marquisat de Franchimont, grand d’Espagne de la première classe, lieutenant général des armées du Roy, gouverneur de la ville et citadelle de Cambray et du Cambrésis, colonel d’un régiment d’infanterie allemande de notre nom, d’une part, et Philippe Jérosme Sendrié de Morcourt, architecte, d’autre part, sommes convenus de ce qui suis, savoir que moy Sendrié reconnoit avoir entrepris de faire faire la reconstruction et élévation d’un attique au château royal du Val, conformément au plan et devis que je remettray, signé de moy à mond. seigneur le comte de La Marck avec celuy des écuries, remises, greniers et logemens des domestiques que je signeray également et que je dois y faire construire le plus promptement qu’il me sera possible, ainsi qu’une cave. Pour raison desd. bâtimens, moy comte de La Marck, m’oblige de payer aud. sieur Sendrié une somme de dix mille livres en espèce dans le courant de l’élévation desdits bâtimens, et le surplus à raison de quatre mille huit cens livres par chaque année à compter du premier janvier prochain jusqu’au parfait payement, savoir douze cent livres de trois en trois mois ou de mois en mois à raison de quatre cent livres comme il conviendra aud. sieur Sendrié, et attandu que, suivant les devis et estimation que led. sieur Sendrié a faites desd. bâtimens, il compte qu’ils n’excéderont pas la somme de trente six mille livres, dans le cas contraire led. seigneur comte de La Marck continuera à en payer le surplus aux conditions cy dessus ennoncés à raison de quatre mille huit cent livres par an.
Fait et arrêté double entre nous à Paris le vingt novembre mil sept cent soixante un
Le comte de La Marck
Philippe Jérose Sandrié de Morlour
Le 27 août 1764, mis au bas du marché du sieur Sendrié ma soumission pour luy payer, à compter du 1er janvier 1765, la somme de 6000 l. par an jusqu’au parfait payement au lieu de 4800 l. »

La Marck, Louis-Engelbert (de)

Résultats 151 à 200 sur 643