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Description archivistique
Commission de Topographie des Gaules Avec objets numériques
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Dessins de fibules trouvées à Flassigny et dessin d'une tombelle

Dessins au crayon par Félix de Liénard de fibules en bronze découvertes en 1865 dans 14 tombelles carrées mis au jour au lieu-dit Wargivilliers, commune de Flassigny. "Ces tombelles renfermaient une urne remplie des cendres et ossements calcinés du défunt, divers petits vases en terre et en verre et quelques monnaies de Marcus Agrippa, Tibère et Caligula, tant d'objets qui sont conservées au musée de Verdun"
Dessin au crayon d'une de ces tombelles par Félix de Liénard,membre non résident du CTHS, président de la commission du musée de Verdun et correspondant de la CTG depuis décembre 1865 (feuillet Cotteau).

Commission de Topographie des Gaules

Dessins de haches celtiques en bronze conservées au musée de Lons-le-Saulnier

Dessins à la plume en grandeur naturelle de haches en bronze (vues de face et de profil, poids respectif 266 g et 570 g) , découvertes sur la commune d'Equevillon et conservées au musée de Lons-le-Saulnier (numéros 10 et 236 du catalogue). Les dessins ont été exécutés par Zéphirin Robert, archiviste et archéologue, conservateur du Musée de Lons-le-Saulnier et correspondant de la CTG, et envoyés à la Commission des Gaules.

Commission de Topographie des Gaules

Dessins de haches réalisés par Garnier

Dessins réalisés par Garnier de deux haches découvertes pour l'une à Hénencourt avec un silex taillé, et l'autre au Hamel en 1837 (hache emmanchée dans une corne de cerf), deux communes situées dans le canton de Corbie, arrondissement d'Amiens.

Commission de Topographie des Gaules

Dessins de haches, pointes de lances et épées

Dessins réalisés par Longuemar de haches, pointes de lances et épées, provenant du musée de Poitiers
Dessins de haches provenant de la région de Poitiers et de Saumur réalisés par Longuemar
Une fiche issue du projet de classification des haches en bronze par Gabriel de Mortillet, réalisée à partir d'un décalque d'un dessin de Longuemar

Commission de Topographie des Gaules

Dessins de l'inscription CIL, XIII, 844 et d'un bas-relief

Dessin de l'autel funéraire CIL, XIII, 844 ainsi que d'un bas-relief en provenance de Bordeaux, les deux dessins ont été réalisés par Pierre-Emile Bernède, peintre, un des membres fondateurs de la société archéologique de Bordeaux et correspondant de la Commission. L'ensemble de dessins (voir aussi la pièce suivante) a été donné par l'auteur et par Pierre Sansas, également correspondant de la Commission (feuillet Cotteau).

Commission de Topographie des Gaules

Dessins des inscriptions CIL, XIII, 751 et 827

Dessins de deux autels funéraires CIL, XIII, 751 et 827 en provenance de Bordeaux, les deux dessins ont été réalisés en 1867 par Pierre-Emile Bernède, peintre, un des membres fondateurs de la société archéologique de Bordeaux et correspondant de la CTG et donnés au musée par l'auteur lui-même et Pierre Sansas, également correspondant de la Commission (feuillet Cotteau)

Commission de Topographie des Gaules

Dessins et photographies d'objets trouvés à Nasium et dessin d'anneaux provenant de Nantois

Dessin d'un bracelet et d'une fibule en bronze trouvés à Nasium, respectivement en 1818 et en 1855, dessins réalisés par Félix de Liénard
Photographie d'un objet zoomorphe et d'une fibule en bronze (numéros d'inventaire 7586 et 7582)
Dessin d'anneaux provenant de Naix ou Nantois par Gabriel de Mortillet.

Commission de Topographie des Gaules

Deux dessins de haches de la collection Jullien

Dessin en grandeur naturelle d'une petite hache en serpentine verte, à tranchant très poli, trouvée à Entrains et appartenant à la collection Jullien
Dessin en grandeur naturelle d'une hache en silex jaune, taillée à éclats, trouvée au Chagnot, appartenant à la collection Jullien.
Les deux dessins ont été réalisés et donnés par Héron de Villefosse.

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Deux dessins de la même hache en bronze, vue de profil et de face

Deux dessins en grandeur naturelle de la même hache en bronze, vue de profil et de face, portant un n°1804. L'objet est conservé dans la collection Beaudon. L'écriture est celle de Gabriel de Mortillet, le document porte la mention « K du Projet de classification des haches en bronze, trouvée dans un sol marécageux à Mouy. Dessinée d'après Baudon »

Commission de Topographie des Gaules

Deux dessins de sarcophages en plâtre

Planche représentant au 1/20e des sarcophages en plâtre trouvés en janvier 1873 le long des murs de l'église de Nanterre. Ils ont été dessinés par Abel Maître et donnés au Musée de Saint-Germain par le maire de Nanterre. Le dessin porte le numéro d'entrée des deux sarcophages à l'inventaire en mai 1873 (don de M. Maurin, maire de Nanterre) : 20313.

Commission de Topographie des Gaules

Edouard Flouest

Courrier de Monsieur Ed. Flouest, de Chalon-sur-Saône, procureur impérial et membre de plusieurs sociétés savantes, daté du 16 avril 1866 sur papier à en-tête du Parquet, Tribunal civil de Chalon-sur-Saône et Cour d'Assises de Saône-et-Loire.

Flouest, Edouard

Emile Amé

Courrier de Monsieur Emile Amé, d'Aurillac, daté du 7 novembre 1868 sur papier à en-tête du Département du Cantal.

Amé, Émile

Enceinte près de La Croix Saint-Pierre (plan)

Plan de l'enceinte près de la Croix Saint-Pierre (commune de Saint-Just). Lande de Coujou, II (sic). Le document porte un numéro d'inventaire coupé et la signature d'Alfred Ramé ou d'Alexandre Bertrand (?).
Cf. Lande de Cojou, Revue archéologique, 1864, vol. 9, p 81.

Commission de Topographie des Gaules

Estampages

En archéologie, l'estampage est le relevé des inscriptions sur un papier fort non encollé et bien humecté, appliqué contre la surface et amené, à coups de brosse, à épouser tous les creux. Une fois sec, il se détache et donne une copie négative en relief. Un estampage rudimentaire peut être réalisé par simple frottis à la mine de plomb.

Les estampages ont été réalisés par les membres de la CTG ou envoyés par les correspondants de la CTG, tels que Charles Cournault, conservateur au Musée Lorrain à Nancy. On retrouve sur certains estampages l'écriture du général Creuly.
Les estampages sont très peu explicites : on trouve parfois des mentions de lieux (villes, bâtiments), de dates ou de correspondants qui les ont envoyés. Les lettres d’envois d’estampages à la CTG sont perdues quasi systématiquement. Certains estampages semblent représenter l'inscription dans son ensemble ; d'autres comportent des extraits.

On présente en objet numérique un échantillon de 10 estampages (9 recto et 1 verso).

Commission de Topographie des Gaules

Eugène Grésy

Courrier de Monsieur Grésy, de Paris, président de la Société d'archéologie de Seine-et-Marne, section de Melun, daté du 18 décembre 1865.

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Facture de la librairie Klincksieck

Facture datant du 20 décembre 1861 adressée par la librairie Klincksieck à Paris à la "Commission pour l'établissement de la carte des Gaules". Elle mentionne l'achat de neuf ouvrages pour un total de 226.55 Frs.

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Fiches du projet de classification des haches en bronze

7 fiches du projet de classification des haches en bronze, vraisemblablement réalisées par Gabriel de Mortillet, voir la pièce 1 et 3 (album noir 26 - planches 34 et 29) pour 3 fiches supplémentaires. Ces fiches rassemblent des haches trouvées dans la région de Poitiers mais aussi un exemplaire d'Agen et un autre de Saint-Lô. Elles ont été majoritairement réalisées à partir de décalques de dessins de Longuemar.

Commission de Topographie des Gaules

Fonds Louis Revon

  • 2019002
  • Fonds
  • 1860 - ?

L’instrument de recherche s’arrête à l’article, l’unité matérielle communicable, c’est-à-dire l’album dans le cas présent. Pour faciliter les recherches sur le contenu même des albums, un inventaire détaillé a été réalisé sur tableur proposé en annexe. Les lieux de provenance et de conservation des objets ont été reportés en note dans l’instrument de recherche – avec le nombre de planches concernées - et dans la liste donnée ci-dessous.
Les dessins ont été réalisés sur du papier, en majorité du papier Canson Frères produit à Vidalon-lès-Annonay (Ardèche). Trois techniques sont visibles : le dessin au crayon à papier, le dessin à l’encre de chine, et l’aquarelle qui rehausse certains dessins au crayon à papier. Dans ses lettres, Louis Revon mentionne souvent ses dessins « aquarellisés », qu’il juge plus dignes que ses croquis au crayon ou à l’encre et les seuls susceptibles d’être accrochés aux murs du musée. Dans son éloge funèbre, Camille Dunant décrivait ainsi les dessins de Louis Revon : « Ses dessins, sous une apparence un peu négligée, rendent très exactement et d'une manière pittoresque la forme, l'aspect fruste des antiquités antéhistoriques, et les mettent en quelque sorte dans la main du lecteur ». Le dessinateur attachait beaucoup d’importance à la forme et écrivait à Gabriel de Mortillet le 3 août 1870 : « comme j’ai horreur de l’a-peu près, je ne dessine presque jamais un objet antique sans le poser sur la feuille pour en tracer exactement les contours ».
Les dessins ont été collés sur planches pour former les deux premiers albums. Ceux-ci ont été intitulés : « Album Revon – Savoie & Dauphiné – Commission de la Topographie des Gaules ». L’indication du secteur géographique n’est pas représentative du contenu. En effet, la région historique de la Savoie comprend les départements de Savoie et de la Haute-Savoie, tandis que le Dauphiné couvre les départements de la Drôme, de l’Isère et des Hautes-Alpes. Les dessins, quant à eux, concernent principalement la Haute-Savoie, les Hautes-Alpes et l’Isère, au détriment des autres départements constituant la Savoie et le Dauphiné. En revanche, il faut ajouter l’Ain, les Basses-Alpes et également deux pays et régions étrangers : la Suisse et la Bavière. Les dessins sur la Haute-Savoie – les plus nombreux – sont les seuls à avoir le département indiqué en en-tête, en haut à droite. Les dessins sur la Suisse sont aussi très nombreux : originaire de Genève, Louis Revon y passait ses vacances et rayonnait depuis ce point vers les autres villes de Suisse. Les dessins sur les Basses-Alpes et les Hautes-Alpes sont peut-être plus tardifs. Vers 1872 le conservateur du musée d’Annecy demande en effet une nouvelle subvention pour aller dessiner à Aoste, Grenoble, Vienne, Lyon et explorer les Hautes-Alpes et les Basses-Alpes. Tout en étant force de propositions pour les musées qui conservent des objets provenant de Haute-Savoie, il laisse souvent libre choix à Gabriel de Mortillet sur les destinations : « Envoyez-moi où bon vous semblera, en désignant les coins où il y a des collections à noter et dessiner, et où les correspondants oublient de correspondre » lui écrit-il le 26 mars 1873.
Les planches des deux premiers albums sont classées par ordre alphabétique de communes de provenance des objets et sites représentés. Le contenu des planches montre en effet un réel attachement à l’objet archéologique, représenté le plus souvent de manière isolée. De rares vues de sites, essentiellement des monuments mégalithiques, sont incluses dans les deux premiers albums. Les sujets concernent surtout la Préhistoire et la Protohistoire.
Le troisième album présente en revanche une conception différente bien que la provenance des dessins soit similaire. Ils ont été reliés tels-quels, sans être collés sur planches et sans ordre apparent de classement. L’album est plus varié tant d’un point de vue typologique (dessins d’objets, plans de fouilles, photographie de paysage, notes, estampages) que chronologique (présence d’objets d’époque gallo-romaine et du premier Moyen Âge).
Tous les dessins sont légendés : identification des objets et du matériau ; site de provenance ; lieu de conservation ; parfois la période chronologique (âge du Renne ; âge de la Pierre ; âge du Bronze ; premier âge du Fer ; époque gallo-romaine) ; ou des informations sur la date de découverte, l’inventeur et les objets associés. Il n’y a pas de planches concernant plusieurs sites mais la planche 14 de l’album 1 est consacrée à un site pour lequel les objets représentés ont été dispersés entre trois collections publiques et privées. La signature est systématique : « Louis Revon », « Louis Revon ad nat. » ou « Louis Revon ad nat. del ». En revanche, les dessins sont rarement datés : 5 planches sur 131 portent une date, les 14 et 15 octobre 1866. On peut parfois obtenir un terminus post quem car Louis Revon mentionne régulièrement l’année de découverte des objets.
Plusieurs planches ont des annotations manuscrites postérieures, à l’encre ou au crayon à papier, notamment de Gabriel de Mortillet (album 1, pl. 6)

Revon, Louis

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