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Description archivistique
Médiathèque du patrimoine et de la photographie Pièce
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Lettre de l’architecte Lafollye concernant la flèche de la chapelle du château de Saint-Germain-en-Laye

« Saint-Germain-en-Laye, le 9 juillet 1883
Monsieur le Ministre,
J’ai l’honneur de vous adresser ci-joint un projet relatif à l’achèvement de la couverture en plomb de la flèche de la chapelle du château de Saint-Germain.
La charpente de la flèche établie en 1868 a été seulement voligée. La volige, exposée depuis cette époque à toutes les intempéries, est aujourd’hui en partie pourrie. Il est urgent de la remplacer pour protéger la charpente. De plus, le pavillon du bâtiment sur la rue Thiers qui touche à la chapelle étant terminé, le moment est venu de finir la flèche restée inachevée et qui par suite fait un mauvais effet au milieu de constructions complètement achevées, par la pose des plombes qui doivent protéger les bois et les décorer.
La chapelle est classée et jusqu’à présent le département des Monuments historiques a participé pour moitié dans les dépenses des travaux exécutés à ce moment. Il y a lieu, en présentant le projet à la commission des Monuments historiques, de lui demander ce même concours pour l’exécution du projet ci-joint.
Bien que les travaux de plomberie ne pourront être commencés que dans le prochaine exercice 1884, l’adoption du projet nous presse. Il faut que tous les motifs d’ornementation soient étudiés et dessinés bien à l’avance, pour que l’on puisse faire en temps utile les modèles et les moulages à livrer au plombier.
La dépense relative à ces travaux s’élèvera à 48912 f. Elle peut être répartie en deux exercices et s’élèvera annuellement à environ 12000 f. pour chaque département, Monuments historiques et Bâtiments civils.
J’ai l’honneur d’être avec respect, Monsieur le Ministre, votre très dévoué serviteur.
A. Lafollye »

Lafollye, Joseph-Auguste

Rapport concernant les peintures de la voûte de la chapelle du château de Saint-Germain-en-Laye

« Rapport de la commission par M. du Sommerard, directeur du musée de Cluny, sur des peintures exécutées par Simon Vouet pour la décoration de la chapelle du château de Saint-Germain
Une note émanant de la direction des Beaux-Arts et qui était adressée au bureau des Monuments historiques appelait l’attention de la commission sur les vestiges des peintures exécutées par Simon Vouet pour la décoration de la chapelle du château de Saint-Germain.
D’après cette note, M. Lafollye, architecte du monument, aurait signalé trois de ces peintures consistant en grands médaillons entourés d’arabesques sur fond d’or et représentant des scènes de l’Ancien et du Nouveau Testament comme étant encore en bon état de conservation, et il aurait ajouté que, ces médaillons devant disparaitre par suite des travaux entrepris pour la restauration de la chapelle, il conviendrait d’en assurer la conservation. M. le directeur des Beaux-Arts pensait dès lors qu’en raison de l’intérêt historique que présentent ces restes d’une œuvre considérable du premier peintre de Louis XIII, il y aurait lieu d’examiner s’il ne serait pas possible d’enlever ces médaillons et de les transporter au musée de Cluny, le musée du Louvre ayant, par un rapport en date du 7 août, refusé l’offre qui lui était faite de ces restes intéressants.
La note de la direction des Beaux-Arts m’ayant été transmises afin que j’en face l’objet d’un rapport à la commission, j’ai vu immédiatement M. Lafollye pour m’entendre avec lui sur les moyens d’exécution. Mais M. l’architecte du château de Saint-Germain-en-Laye m’a déclaré de prime abord qu’il était matériellement impossible d’enlever les peintures qui sont adhérentes à la muraille, que pour le tenter, il faudrait faire des frais considérables, lesquels ne donneraient qu’un résultat insignifiant, les peintures se trouvant dans un état déplorable. Ce ne sont plus que des traces qui, à son avis, ne pourraient supporter l’opération difficile qu’il faudrait leur faire subir pour les détacher du mur. Il s’occupe de relever ce qui est encore visible et d’en former un ensemble de copies qui rappelleront l’état actuel, tout en conservant en place, s’il lui est possible, ce qui a pu échapper à l’effet du temps.
En présence de cette déclaration de M. Lafollye, j’estime qu’il y a lieu de laisses les choses en l’état et de ne pas tenter un déplacement aussi délicat qu’il serait dispendieux et dont la réussite serait problématique dans l’état où se trouvent aujourd’hui les peintures.
E. du Sommerard »

Lettre concernant la flèche de la chapelle du château de Saint-Germain-en-Laye

« Du 18 janvier 1887
M. le directeur à M. Lafollye, architecte
M., La commission des Monuments historiques, à l’examen de laquelle j’ai soumis les deux nouvelles études que vous m’avez adressées en vue de la couverture de la flèche de la chapelle du château de Saint-Germain, a exprimé l’avis que, tout en adoptant le style de la décoration du XIIIe siècle, vous n’étiez pas entré suffisamment dans le caractère de la composition de votre prédécesseur, M. Millet. Elle a pensé en conséquence que le mieux étoit de développer votre idée personnelle, en continuant, bien entendu, à donner le caractère du XIIIe siècle à votre composition.
Je vous invite à vous conformer à cette opinion. »

Rapport concernant des fouilles entreprises au château de Saint-Germain-en-Laye

« Rapport de la commission par M. Selmersheim, inspecteur général, sur les fouilles faites au château de Saint-Germain-en-Laye
La visite faite par la sous-commission déléguée le 5 décembre 1888 à Saint-Germain-en-Laye pour examiner les fouilles faites par M. l’architecte Lafollye dans la cour du château n’a pas donné le résultat auquel on s’attendait :
L’architecte a remis au jour les substructions découvertes par feu Millet en 1873 dont nous avons l’honneur de communiquer le relevé et le plan, a déblayé plus complètement la partie centrale près du degré descendant aux caves, a trouvé quelques débris provenant d’une porte du XIVe siècle et des gargouilles qui se trouvaient placés dans une maçonnerie sous une marche, mais en somme n’a pas découvert dans la cour de traces pouvant faire supposer qu’un bâtiment existait en retour, au sud, derrière le chevet de la chapelle.
Par contre, une démolition pratiquée dans l’ébrasement de la 1ère fenêtre du rez-de-chaussée près la porte d’entrée dans le bâtiment ouest a mis en lumière une embrasure d’archère avec la trace de son glacis, ce qui tendrait à démontrer que les constructeurs de la Renaissance ont suivi de ce côté le périmètre de l’ancien château, dont ils auraient noyé les substructions dans les nouvelles maçonneries quand, pour le reste des bâtiments, ils ont abandonné complètement l’ancien plan.
Mais, pour se prononcer d’une manière certaine sur l’existence de cette aile occidentale, il faudrait faire des sondages dans les caves et en d’autres points du rez-de-chaussée de ce bâtiment. Il serait à désirer aussi que le plan des substructions existant sous le sol de la cour fût tracé, quand on fera le pavage, au moyen de pavés plus foncés.
Paris, le 6 décembre 1888.
Selmersheim »

Lettre concernant la photographie d’un plan des fouilles faites au château de Saint-Germain-en-Laye

« Ministère de l’Instruction publique et des Beaux-Arts
Direction des Musées nationaux
Musée de Saint-Germain
Château de Saint-Germain-en-Laye (Seine-et-Oise)
Le 19 juillet 1891
Monsieur le Ministre,
Etant chargé par monsieur le conservateur du musée de Saint-Germain de réunir les documents relatifs à l’histoire du château, j’ai l’honneur de solliciter la communication du plan du château de Saint-Germain remis à la commission des Monuments historiques par M. Lafollie, architecte. Ce plan, où sont consignés les résultats des fouilles faites pour retrouver les traces des constructions de Charles V, presque entièrement détruites aujourd’hui, serait remis à l’administration du musée, qui le ferait photographier dans ses ateliers, et vous serait restitué immédiatement. Les précautions les plus minutieuses seront prises pour assurer la conservation de ce document.
Veuillez agréer, Monsieur le Ministre, l’hommage de mon respectueux dévouement.
F. de Villenoisy
Attaché libre au musée de Saint-Germain »

Rapport de l’architecte Daumet concernant les travaux de restauration de la chapelle du château de Saint-Germain-en-Laye

« Paris, le 11 février 1897
Rapport à monsieur le ministre de l’Instruction publique, des Beaux-Arts et des Cultes
Monsieur le Ministre,
Chargé de diriger les travaux d’achèvement de la restauration de la chapelle du château de Saint-Germain, j’avais l’année dernière réclamé l’examen par la commission des Monuments historiques de propositions relatives à la reconstruction de la rose du pignon de la chapelle, pignon aujourd’hui masqué par des constructions datant de l’époque de François Ier et modifiées profondément au XVIIe siècle.
Ces constructions conçues sans préoccupation de conserver l’une des œuvres les plus intéressantes du Moyen Âge ont eu pour fâcheuses conséquences la dislocation de la rose, dont toutes les parties constitutives subsistent, mais ont été englobées dans le mur qui sépare la chapelle de la salle dite de Mars. Un des dosserets portant la voûte de cette salle a tranché les réseaux de la rose. Enfin le mur pignon correspondant à l’extrémité de cette salle et d’autres adjonctions ont achevé encore de mutiler un motif de décoration que Violet-le-Duc cite dans son Dictionnaire comme l’un des exemples les plus remarquables de l’art ogival.
J’avais proposé de dégager la rose en créant en avant et aux dépens de la salle de Mars un assez vaste espace, afin que les visiteurs du musée puissent juger de la beauté de l’œuvre reconstituée avec tous ses détails. Cette tentative était, je l’ai reconnu, d’une réalisation difficile. La proposition a été faite de s’en tenir au projet consistant à reconstruire la rose en l’isolant du mur qui l’aveugle, ce qui paraîtrait, peut-on craindre, un mode insuffisant de rendre à la rose toute sa valeur. La difficulté de réduire à une faible section le dosseret de voûte qui supporte l’arc doubleau de la voûte de la salle de Mars était aussi un motif pour rechercher une autre solution.
Malgré les remarques qui précèdent, la commission, après examen, a décidé qu’il y avait lieu de reconstituer la salle de Mars dans son état primitif, c’est-à-dire telle que l’indique le plan de Du Cerceau. Ce plan comportait à l’époque de la publication des « Plus excellents bâtimens de France » une déformation des deux dernières travées de voûte par la forte obliquité du mur ouest, obliquité qui a disparu lors de la construction au XVIIe siècle de tout un corps de bâtiment qui doit être démoli à son tour.
En étudiant la solution dans le sens de la décision prise de rétablir la salle avec ses déformations, j’ai dû rechercher si on pouvait le faire avec sûreté. Les murs, les voûtes ont été refaits, on est donc en présence que de gravures très précieuses en ce qui concerne le plan, mais très vagues pour la façade. Doit-on refondre un bâtiment dont la plupart des éléments ont disparu ? Doit-on rétablir des déformations qui, si elles existaient, seraient à respecter, mais qui ne donneraient que des effets d’irrégularité sans charme ? Doit-on passer à l’exécution sans examiner une hypothèse consistant à limiter la longueur de la salle de Mars aux travées intactes et d’origine de cette salle, en ne reconstruisant par les deux travées frappées de déformation.
A mon avis, Monsieur le Ministre, il faudrait renoncer à rétablir ces deux travées. Un grand avantage résulterait de la limitation de la longueur de la salle de Mars : le mur d’extrémité de cette salle formerait façade de retour, il tiendrait lieu d’un mur de refend percé d’arcades et de portes prévues au projet approuvé.
On a déjà renoncé à reconstruire à neuf sur un tout autre plan l’énorme bâtiment du XVIIe siècle qui doit disparaître. La limitation en longueur de la salle de Mars réduite à ses travées d’origine et subsistant encore ainsi que le renoncement à refaire un bâtiment tronqué d’obliquité aurait pour conséquence de rendre apparente la façade de la chapelle, par conséquent aussi la rose en son entier, enfin tout le pignon que la forme du comble détermine sûrement. On remettrait enfin en honneur une façade dont les principaux sont encore en place et qui, restaurée ou plus exactement reproduite, donnerait un intérêt très vif à cette partie du château.
Le mur prévu aux dessins dressés par M. Millet pour limiter la salle de Mars comportait une cheminée monumentale. Le plan de Du Cerceau ne renseigne pas à cet égard. Il serait plus simple de faire ce mur plein pouvant recevoir une décoration picturale ou le tableau représentant « l’Age de pierre » de Cormon dont le sujet est si bien approprié au musée gallo-romain à la place qu’il occupe déjà.
Je dois ajouter, Monsieur le Ministre, que les propositions qui précèdent sont simplificatives, si elles adoptées un amoindrissement de dépense considérable en résulterait. Les pièces servant au musée sont déjà nombreuses, les restaurations des étages inférieurs à la salle de Mars ajouteront des surfaces considérables à celles déjà disponibles et on peut prévoir qu’elles suffiront amplement à contenir les objets qui s’ajoutent aux collections et s’y ajouteront dans l’avenir.
Afin de rendre sensibles les propositions que je croix devoir faire, je joins au présent rapport des dessins comparatifs entre ce que serait le château restauré en prenant les indication de l’ouvrage de Du Cerceau comme devant être reproduites, et les modifications que des études attentives m’ont suggérées.
J’espère, Monsieur le Ministre, que la commission des Monuments historiques ne verra dans ma nouvelle proposition que le désir de voir remettre en évidence et telle qu’elle a été conçue la rose de la chapelle de Saint-Germain, œuvre remarquable, d’un caractère authentique indiscutable, et non une reconstitution problématique de l’extrémité de façade dont tout vestige a disparu. Si vous en jugez ainsi, je vous propose, Monsieur le Ministre, de renvoyer l’examen des dessins et des motifs marqués à la commission, qui pourrait m’entendre avant de prendre une décision sur une question dont la solution imposé à la suite des travaux en cours d’exécution.
J’ai l’honneur d’être, Monsieur le Ministre, votre dévoué serviteur.
Daumet
L’architecte du château de Saint-Germain »

Daumet, Pierre-Gérôme-Honoré

Lettre de l’architecte Daumet concernant les travaux de restauration de la chapelle du château de Saint-Germain-en-Laye

« M. Paté, chef du bureau des Monuments historiques
Paris, le 17 août 1897
Cher Monsieur,
J’ai fait faire des calques des dessins que vous avez bien voulu me confier et qui étaient joints à mon rapport du 11 février dernier proposans des modifications à l’achèvement de la restauration de la chapelle du château de Saint-Germain.
Voulez-vous bien recevoir mes remerciements et joindre ces dessins à mon rapport.
Votre bien dévoué,
Daumet »

Daumet, Pierre-Gérôme-Honoré

Lettre de l’architecte Daumet concernant les travaux de restauration de la chapelle du château de Saint-Germain-en-Laye

« Saint-Germain-en-Laye, le 13 novembre 1898
Monsieur le Ministre,
Permettez-moi de rappeler qu’à la date du 17 février 1897, j’ai demandé, par un rapport motivé, accompagné de dessins, qu’une décision soit prise à propos du dégagement de la façade de la chapelle.
J’ai renouvelé cette demande à la date du 26 mai 1898.
Je pense, Monsieur le Ministre, qu’il est nécessaire et de plus urgent, à cause de l’état d’avancement des travaux, avant de présenter un rapport à la commission des Monuments historiques, qu’une conférence ait lieu entre les inspecteurs généraux des Bâtiments civils et des Monuments historiques, afin d’examiner les propositions que je fais sur la très importante décision à prendre au sujet de la suite à donner aux travaux.
J’ai l’honneur d’être, Monsieur le Ministre, votre dévoué serviteur.
Signé : Daumet »

Daumet, Pierre-Gérôme-Honoré

Lettre de l’architecte Daumet concernant les travaux de restauration de la chapelle du château de Saint-Germain-en-Laye

« Saint-Germain-en-Laye, le 27 avril 1899
Monsieur le Ministre,
Permettez-moi, à l’approche du moment où les travaux de restauration du château de Saint-Germain vont pouvoir être repris, de vous rappeler la demande que j’ai faite le 17 février 189 d’un examen nouveau des questions de principe relativement au maintien de l’état actuel de constructions anciennes remaniées qui masquent la rose de la chapelle du château ou au dégagement de cette partie très belle et très décorative de la chapelle afin de lui rendre l’aspect extérieur qu’elle a eu à son origine.
Une résolution prise à ce sujet au cours d’une visite sur place des inspecteurs généraux des Bâtiments civils et des Monuments historiques, puis soumise à la commission, permettrait de donner au travail d’achèvement de la chapelle l’impulsion qu’a réclamée cette année M. le rapporteur du budget des Beaux-Arts.
J’ai l’honneur d’être, Monsieur le Ministre, votre dévoué serviteur.
Signé : Daumet »

Daumet, Pierre-Gérôme-Honoré

Lettre de l’architecte Daumet concernant les travaux de restauration de la chapelle du château de Saint-Germain-en-Laye

« Monsieur le directeur des Beaux-Arts
Saint-Germain-en-Laye, le 30 mai 1899
Monsieur le Directeur,
Vous avez bien voulu fixer au 11 juin prochain votre visite au château de Saint-Germain, en invitant messieurs les inspecteurs généraux des Bâtiments civils et des Monuments historiques à vous accompagner pour l’examen des questions soumises à votre administration à propos de la chapelle de ce château. J’ai l’honneur de vous rappeler que l’heure du départ de la gare Saint-Lazare a été fixée à 9 heures 50 pour arriver à Saint-Germain à 10.34 et qu’après l’examen des travaux en cours, j’aurai le très grand plaisir, ainsi que madame Daumet, de vous recevoir à déjeuner avec mes confrères.
Je vous ai proposé, Monsieur le Directeur, de revenir vers Paris en prenant le train du chemin de fer de Saint-Germain à la place de l’Etoile en vous arrêtant à Marly-le-Roi afin de juger de l’urgence de travaux à faire pour rétablir en état de conservation l’abreuvoir si justement célèbre. […]
Je vous rappelle enfin, Monsieur le Directeur, que M. l’inspecteur général M. Selmersheim n’étant pas présent après la séance du conseil où ses collègues ont été avisés du rendez-vous fixé par moi et qu’il serait utile d’adresser aux inspecteurs généraux une convocation régulière.
Veuillez recevoir, Monsieur le Directeur, l’expression de mes sentiments les plus dévoués.
L’architecte du château et des parterres de Saint-Germain
Daumet »

Une note jointe à une autre lettre dans le même carton porte : « Pièces à réintégrer dans le dossier de Saint-Germain, la solution de la restauration de l’angle sud-ouest du château ayant été décidée sur place le 11 juin 1899 par les inspecteurs généraux des Bâtiments civils t des Monuments historiques en conformité au projet Millet ».

Daumet, Pierre-Gérôme-Honoré

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