Projets pour un musée scientifique
- 6.1.2
- Dossier
- 1863-1865
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
136 résultats avec objets numériques Afficher les résultats avec des objets numériques
Projets pour un musée scientifique
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Projet d’organisation du musée de St Germain
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Verchère de Reffye, Jean-Baptiste Auguste Philippe Dieudonné
Note sur l'organisation du musée historique
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Verchère de Reffye, Jean-Baptiste Auguste Philippe Dieudonné
Lettre de la Commission royale des Monuments de Belgique
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Circulaire émanant de la Commission royale des monuments de Belgique demandant à ses correspondants des renseignements sur les monnaies gauloises découvertes sur le territoire belge.
Commission royale des monuments de Belgique
Facture de la librairie Klincksieck
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Facture datant du 20 décembre 1861 adressée par la librairie Klincksieck à Paris à la "Commission pour l'établissement de la carte des Gaules". Elle mentionne l'achat de neuf ouvrages pour un total de 226.55 Frs.
Commission de Topographie des Gaules
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Le musée gallo-romain de Saint-Germain-en-Laye est fondé le 8 mars 1862 par décret impérial. Il est non seulement une réponse aux demandes réitérées d’archéologues, mais aussi à la passion que nourrit Napoléon III pour l’archéologie. L’empereur décide qu’il sera installé dans le château de Saint-Germain-en-Laye, haut lieu historique de l’Ancien Régime. Un vaste chantier de restauration du bâtiment, mené par Eugène Millet (1819-1879), élève d’Eugène Viollet-le-Duc (1814-1879), s’engage dès 1862 pour s’achever dans les années 1910. Il s’agit d’effacer les traces des agrandissements de Jules Hardouin-Mansart sous Louis XIV, les marques de l’occupation par l’école de cavalerie de Napoléon Ier, et enfin, les stigmates laissés par le pénitencier militaire fermé en 1855.
À sa création, le musée de Saint-Germain dépend du service des Musées impériaux dirigé par Émilien de Nieuwerkerke (1811-1892), qui est intégré à la Maison de l’Empereur. Le musée est attaché à la deuxième Conservation, ce qui signifie qu’il est sous l’autorité du conservateur des Antiques du Louvre, Adrien de Longpérier (1816-1882). Cet assujettissement ne s’achève officiellement qu’en 1867, à la nomination d’Alexandre Bertrand comme conservateur du musée gallo-romain.
Le musée est inauguré par Napoléon III en personne le 12 mai 1867 en présence de Félicien de Saulcy, Jean-Baptiste Verchère de Reffye (1821-1880), Alexandre Bertrand (1820-1902), Édouard Lartet (1801-1871), Eugène Viollet-le-Duc, Alfred Maury (1817-1892), le comte de Nieuwerkerke, Adrien de Longpérier. Tous associés étroitement à la conception et à l’organisation de l’établissement. À cette occasion l’empereur offre au musée les deux premiers volumes de l’Histoire de Jules César, dont le tome I est dédicacé de sa main, montrant par-là l’extrême attention qu’il porte à la nouvelle institution.
Napoléon III
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Projet pour le règlement du musée archéologique de Saint-Germain
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Longpérier, Adrien (de)
Note d'Adrien de Longpérier au comte Émilien de Nieuwerkerke
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Dans cette note qu'il adresse au comte de Nieuwerkerke, surintendant des Beaux-Arts et directeurs des musées impériaux , Adrien de Longpérier, directeur du département des Antiques du Louvre, adressée ce que doit être pour lui un "musée gaulois".
Longpérier, Adrien (de)
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules