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- Person
- 1289 - 1316
Roi de France du 29 novembre 1314 au 5 juin 1316
Roi de Navarre du 4 avril 1305 au 5 juin 1316
Comte de Champagne du 4 avril 1305 au 5 juin 1316
Roi de France du 29 novembre 1314 au 5 juin 1316
Roi de Navarre du 4 avril 1305 au 5 juin 1316
Comte de Champagne du 4 avril 1305 au 5 juin 1316
Sculpteur, graveur et archéologue français.
Technicien de renommée mondiale du Musée des Antiquités nationales.
Reine de France.
Fille du roi d'Espagne Philippe IV (1605-1665) et de Elisabeth de France (1602-1644). Nièce d'Anne d'Autriche, reine de France (1602-1666). Épouse Louis XIV en 1660
Fils d'Armand René du Châtellier et propriétaire du château de Kernuz, en Pont-l'Abbé, Paul du Chatellier mène de nombreuse campagnes archéologiques en Bretagne. Il transforme une partie de son château en musée afin d'accueillir sa collection.
Il fut fondateur et président de la Société archéologique du Finistère, et publia de nombreux ouvrages et articles, comme Exploration sur les montagnes d'Arrhées.
Académie des inscriptions et belles-lettres :Il fut également membre correspondant de l'Académie des inscriptions et belles-lettres, membre non résidant (1886-1907) du Comité des travaux historiques et scientifiques, membre fondateur de la Société préhistorique française en 1904.
Son fils , Armand du Chatellier, vendit une grande partie de sa collection au Musée des Antiquités Nationales (Musée d’archéologie nationale) à Saint-Germain-en-Laye.
Général. Directeur du Service géographique de l'armée dans les années 1880.
Directeur du Musée de l'armée.
Membre de la CTG
Correspondant CTG (?)
Société archéologique et historique de Tarn-et-Garonne
Graveur. Conservateur du musée de Moulins de 1862 à 1891 dont il publie le premier catalogue, illustré de ses eaux-fortes.
Vallentin du Cheylard, Ludovic
Juge d'instruction, historien et numismate. Réside à Montélimar.
Ingénieur civil. Membre de la Société des ingénieurs civils. Membre de la Société des amis des monuments parisiens en 1887-1888. Collectionneur.
Il devient directeur des travaux publics de la ville d'Alès en 1819. Entre le 16 avril 1825 et 1849, il est architecte attaché au conseil des Bâtiments civils du département du Vaucluse ; pendant cette période, il a notamment dirigé les travaux de restauration de l'arc romain d'Orange (1826-1829), sous les ordres d'Augustin Caristie. Il fut membre de la Société française d'archéologie à partir de 1842, et architecte attaché à la Commission des monuments historiques de 1843 à 1849. Travaille à la cathédrale d'Avignon avant 1848. Architecte diocésain d'Avignon de 1849 au 5 février 1851, date de sa démission.
Musée d’Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye
Horloger-bijoutier. Premier directeur du musée de Châtillon-sur-Seine (1887).
Collaborateur de J.-B. Leclère pour son ouvrage sur L’Archéologie celto-romaine de l'arrondissement de Châtillon-sur-Seine. Il le signale comme un « dessinateur » et un « amateur éclairé de l'antiquité ».
Il acquiert en 1875 un ensemble de bois gravés d’images populaires à la vente de la dynastie Cornillac d’imprimeurs-éditeurs (aujourd’hui conservés au musée du Châtillonnais).
Historien, spécialiste de Jeanne d'Arc et de l'Orléanais.
Fondateur du journal d'opposition "L'Orléanais" en 1830.
Né le 9 septembre 1815 à Laon (Aisne), Édouard Husson dit Édouard Fleury est un journaliste, archéologue et historien français, spécialiste du département de l’Aisne. Issu d’une petite bourgeoisie de province qui prend son essor lors de la Restauration, il passe la majeure partie de sa vie à Vorges, près de Laon. Il y officie en tant que rédacteur en chef du Journal de l’Aisne (première publication en 1808), dont il est également le propriétaire depuis le rachat de celui-ci par son père en 1841. Son frère, l’écrivain Jules Husson dit Champfleury, a, de même, commencé sa carrière au Journal de l’Aisne.
Au-delà de ses activités strictement professionnelles, Édouard Fleury est archéologue (son champ d’étude spécifique reste l’archéologie dans le département de l’Aisne), mais aussi historien spécialiste de la Révolution. Ses recherches, très situées, en archéologie l’amèneront à devenir membre de la Société historique de Haute-Picardie, qu’il présidera à partir du 5 novembre 1861, jusqu’en 1864.
Il laisse derrière lui un nombre considérable de travaux sur le département de l’Aisne et la ville de Laon. Il rédige par exemple un très complet Antiquités et monuments du département de l'Aisne (1877) en 4 volumes, illustré par lui-même de plusieurs centaines de gravures. Ce travail représente un ensemble de comptes-rendus de fouilles effectuées dans la région (celles de Nizy-le-Comte, par exemple, entre 1851 et 1855). Il s’attache de même à des objets de recherche plus précis, tels qu’une histoire des vignobles dans le Laonnois (Les vignobles et les vins du Laonnois : jadis et aujourd’hui, 1873), une Étude sur le pavage émaillé dans le département de l’Aisne (1855), ou bien encore à une description des habitats troglodytiques dans l’Aisne (Les villages souterrains dans le département de l’Aisne, 1872).
Édouard Fleury s’intéresse également au département de la Marne et plus particulièrement à la ville de Reims : il communique par exemple en 1861 sur une mosaïque gallo-romaine reimoise, à l’Académie des Inscriptions et des Belles-Lettres. Dessinateur et photographe amateur, l’ensemble de ses documents iconographiques (11000 documents dessinés, gravés ou photographiés) sont légués, à sa mort le 4 juillet 1883, au Cabinet des estampes de la Bibliothèque nationale de France.
Archéologue et numismate italien. Il travaille dans un premier temps au département de numismatique du Musée archéologique de Naples. Inspecteur des fouilles de Pompéi, il est emprisonné pour ses opinions libérales puis nommé professeur d’archéologie à Naples tout en retrouvant sa fonction d’inspecteur des fouilles de Pompéi. De 1863 à 1875, il est à la tête de la surintendance des fouilles, avant d’occuper un poste à la direction générale des Antiquités et des Beaux-arts du royaume d'Italie. Il s’évertue à poser les fondements de la protection du patrimoine italien.
Ouvaroff, Alexeï Sergueïevitch
Archéologue, membre honoraire de l'Académie impériale des sciences de Saint-Pétersbourg (1857), qui fut à l'origine des congrès archéologiques et l'un des fondateurs de la Société archéologique de Moscou (1864) et du Musée historique de Moscou (1872-1884) dont il est le premier directeur en 1881.
Docteur. Médecin à Marvejols (Lozère). Préhistorien, membre de plusieurs sociétés savantes d'anthropologie. - Considéré comme le père de la paléopathologie.
Conservateur du musée départemental des Vosges, archéologue.
Membre du CTHS
Membre de la Société nationale des antiquaires de France.
Magistrat et historien. Conseiller à la Cour impériale.
Membre correspondant de l'Académie de Strasbourg et de la Société des antiquaires de France.
Fondateurs de la Société d'archéologie de Lorraine.
Fils d'un riche négociant en vins d'Auxerre, Edme-Antoine Durand se prend de passion pour l'archéologie et devient antiquaire et collectionneur. Une première partie de sa collection est vendue en 1825 et rejoint au Louvre les collections du musée Charles X.
Inspecteur des Monuments historiques de l'Ardèche. Préhistorien français.
Professeur de dessin à Chambéry. Il est conservateur du musée départemental de 1879 à 1890.
Correspondant de l'Académie impériale des sciences, des belles-lettres et des arts de Savoie.
Correspondant de la CTG (1866)
Sculpteur français. Il est l'auteur du groupe en marbre dit La Défense du foyer, présenté au salon de 1887 et installé dans le square Ajaccio à Paris.
Sculpteur et peintre français. Il est l'auteur du Monument à Vercingétorix présentant une statue équestre de Vercingétorix installée à Clermont-Ferrand et inaugurée le 12 octobre 1903.