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Maison d’édition de cartes postales illustrées située à Paris au 56 rue des Tournelles puis au 6 rue Sevestre à partir de 1910.
Maison d’édition de cartes postales illustrées située à Paris au 56 rue des Tournelles puis au 6 rue Sevestre à partir de 1910.
Maison d'édition et impression de cartes postales illustrées, située à Saint-Germain-en-Laye. On ne connait pas les dates d'existence de la société toutefois on sait qu'elle est active en 1919 car elle couvre le traité de Saint-Germain dont la signature s'est effectuée dans la salle dite de "la Gaule avant les Métaux" au Musée d'archéologie nationale. Une des cartes composant le corpus porte la mention "Congrès de la paix , St Germain 10/09/19".
Phototypie A. Rep et Filliette
Maison d'édition de cartes postales illustrées située à Château-Thierry dans l'Aisne . On ne connait pas les dates exactes d'existence de cette société toutefois on sait qu'elle est active autour de 1913.
Maurice Piroutet est chargé d'une mission scientifique en Nouvelle Calédonie en 1901 puis en 1905-1906 et 1909. Préparateur de la chaire de paléontologie au Museum d'histoire naturelle de 1916-1918, il entreprend en parallèle une thèse de doctorat sur la géologie de la Nouvelle Calédonie qu'il soutient en 1917. Devenu professeur au collège de Salins (Jura), il consacre ses loisirs à des recherches archéologiques dans les environs. Il découvre la grotte des Planches, les stations préhistoriques de Marnoz, de Clucy, du Poupet et le camp de Mesnay. Il conduit des fouilles importantes dans les nécropoles tumulaires de la Forêt des Moidons et dans la cité hallstattienne de Château-Salins. Collaborateur de la carte géologique de la France et membre correspondant de la commission des monuments historiques (section de préhistoire), il est conservateur du musée archéologique de Lons-le-Saunier. Il termine sa carrière comme assistant de géologie appliquée à la Faculté d'Alger (1933).
Membre de la Société d'émulation du Jura, il est aussi membre de la Société d'agriculture, sciences et arts de Poligny, de la Société d'émulation du Doubs (1898-1939) et de la Société préhistorique française.
Médecin suisse, né à Bâle, formé à l'université de Montpellier.
Pocard du Cosquer de Kerviler, René Mathurin Marie
Correspondant CTG pour la Loire-Inférieure
Polenz, Karl Gottlob Ferdinand (von)
Correspondant CTG (?)
Société archéologique et historique de Tarn-et-Garonne
Géomètre à Fère-en-Tardenois. Il devient membre de la Société historique et archéologique de Château-Thierry en janvier 1874.
Député de Corse à l'Assemblée nationale. Adversaire de Napoléon, fut diplomate au service de la Russie à partir de 1803.
Préfecture du département de Seine-et-Oise
La loi du 28 pluviôse an VIII place un préfet à la tête de chaque département. Celui-ci s'entoure de services qui, constituant ce qu'on appelle la préfecture, instruisent les affaires et préparent les décisions qui sont de sa compétence. La préfecture de Seine-et-Oise sera supprimée en même temps que le département du même nom, le 1er janvier 1968, dans le cadre de la réorganisation territoriale de la région parisienne.
Prévôté de Saint-Germain-en-Laye
S'il est possible de déterminer la date de dissolution de la prévôté de Saint-Germain grâce au décret du 7 septembre 1790, il est en revanche impossible d'en préciser la date de début d'existence. Le principe apparaît vers le XIe siècle mais il semble difficile de croire qu'il y en ait eu une à Saint-Germain à ce moment-là. Sous réserve de nouvelles découvertes, on ne saura jamais à quelle date ni à quelle époque elle a été créée : quelque-part au Moyen Âge. Ce sont des sujets et une époque sur lesquels les données sont limitées.
Écrivain, chroniqueur et historien de la vie à la cour du roi de France.
Historien et archéologue. Erudit local messin.
Il travaille quelques années dans la banque Simon à Metz appartenant à sa famille et décide ensuite de vivre de ses rentes et de se consacrer à ses travaux de recherche. Habitant proche de Metz, il choisit en 1871 de rester français et déménage à Paris.
Héritier d'une famille d'érudits originaires de Sens, Maurice Prou devient élève de l’École des chartes où il rédige une thèse consacrée à l'édition et l’étude de la charte de franchise de Lorris-en-Gâtinais (1884). Après un passage par l'École française de Rome (1884-1885), il est nommé au cabinet des médailles de la Bibliothèque nationale puis professeur de diplomatique à l'École des chartes à la mort d'Arthur Giry en 1899. Il s'était déjà distingué par la publication d'un Manuel de paléographie conçu en complémentarité avec le Manuel de diplomatique de son prédécesseur et qui eut une extraordinaire influence. Manuel élémentaire dans ses deux premières éditions, cet ouvrage devient un important traité faisant la synthèse des recherches, notamment celles de l'école allemande de paléographie2.
À la mort de Paul Viollet, en 1916, il est chargé des cours d'histoire des institutions de l'École des chartes, jusqu'à ce que la chaire soit pourvue, en 1919. Il devient directeur de l'École des chartes en 1916, et le demeure jusqu'en 1930.
Il joue un grand rôle dans le renouveau de l’histoire du droit et des institutions à la fin du XIXe siècle. Il a longtemps été membre du comité de rédaction de la Revue historique de droit et de la Société d’histoire du droit.
Il est élu à l'Académie des inscriptions et belles-lettres le 11 février 1910.
Maurice Prou a par ailleurs présidé la Société archéologique de Sens, suivant ainsi l'exemple de son grand-père, Jean-Louis Prou.
Docteur. Médecin à Marvejols (Lozère). Préhistorien, membre de plusieurs sociétés savantes d'anthropologie. - Considéré comme le père de la paléopathologie.
Neveu de Pierre Puiggari, érudit local.
Polytechnicien (1833), Ecole d'application de Metz.
Sert en Afrique où il apprend l'arabe et développe une passion pour l'archéologie orientale. Chargé des chefferies de Prats-de-Mollo et Fort-les-Bains (1841-1848).
Campagne de Rome.
Chef du Génie à Perpignan (1850) et à Narbonne. Chef de bataillon à Montpellier. Directeur des fortifications à Perpignan (1867-1875).
Archiviste départemental de l'Yonne (1833-1879).
Conservateur de la bibliothèque municipale d'Auxerre (1849-1880).
Conservateur – sans le titre – du musée d'Auxerre dont il publie un catalogue raisonné en 1883, et au sein duquel il s’occupe de la collection d’Eckmühl (1882-1891).
Graveur. Conservateur du musée de Moulins de 1862 à 1891 dont il publie le premier catalogue, illustré de ses eaux-fortes.
Diplômé archiviste-paléographe de l'École des chartes en 1837, il est professeur d'archéologie médiévale dans cette même école de 1847 à 1878 et professeur de diplomatique de 1849 à 1870. Membre du Comité des Travaux historiques en 1858 et membre de la commission des monuments historiques en 1871, il devient directeur de l'École des chartes de 1871 à 1882.
Peintre amateur, numismate. Membre (1862), secrétaire-adjoint (1869-1881), vice-président (1888-1899) puis président (jusqu’en 1908) de la Société d'archéologie Lorraine.
Fils de Louis Rabut, orfèvre.
Professeur d'histoire à Chambery. Archéologue , sigillographe, et numismate. Conservateur du musée d'histoire naturelle de Chambéry.
Membre de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Savoie et de la Société savoisienne d'histoire et d'archéologie.
Correspondant de la CTG pour la Savoie.
Professeur de dessin à Chambéry. Il est conservateur du musée départemental de 1879 à 1890.
Correspondant de l'Académie impériale des sciences, des belles-lettres et des arts de Savoie.
Correspondant de la CTG (1866)
Rabutin-Chantal, Marie (de), marquise de Sévigné
Historien et archéologue. Archiviste à Rennes.
Correspondant CTG pour l'Ille-et-Vilaine et la région toulousaine.
Membre de la Société nationale des Antiquaires de France (1883).
Membre du CTHS (1847).
Géologue et archéologue, il a principalement travaillé sur le Massif central. Pharmacien de profession ayant exercé à Aurillac. Après ses études à Toulouse et pendant près de 10 ans il va arpenter le territoire cantalien et échantillonner les principales formations géologiques du Cantal. De ce travail de terrain sortira en 1873 « Géogénie du Cantal », ouvrage dans lequel il décrit pour la première fois les grandes étapes de l’histoire géologique de ce département. Il réalisera aussi une carte géologique en relief du Cantal qui sera présentée à l’Exposition Universelle de Paris de 1878. Passionné de géologie, il entretiendra pendant de nombreuses années, une correspondance avec Gaston de Saporta l’un des pères de la paléobotanique et secondera sur le terrain le grand pétrographe parisien Ferdinand Fouqué, alors en charge des cartes géologiques au 1/80000 du Cantal. J-B Rames s’intéressera également à la botanique et à la préhistoire. Il découvrira notamment des silex façonnés ou « éolithes », sur le site du Puy Courny près d’Aurillac. Ses découvertes alimenteront l’un des grands débats de la préhistoire de cette fin du XIXème siècle, à savoir l’existence ou non d’un ancêtre de l’Homme au Miocène.
Quelques années après sa mort, sa veuve vendra ses collections géologiques, livres et cartes en relief et à plat, à la municipalité d’Aurillac. Elles seront à l’origine de la création du Musée Rames en 1902, ancêtre des musées actuels.
Archiviste paléographe (promotion 1857). Archiviste du département des Basses-Pyrénées.
De son patronyme Paul-Raymond Lechien, obtint l'autorisation de porter le nom de Paul Raymond (en 1864).
Membre correspondant du CTHS (1863-1877).
Membre, secrétaire (1871-1877) puis président (1877-1878) de la Société des sciences, lettres et arts de Pau et du Béarn.
Correspondant de la CTG pour les Basses-Pyrénées.
Compositeur, critique musical et écrivain allemand.
Docteur en médecine (Paris, 1889), elle est l'assistante et l'épouse de Salomon Reinach
Ancien membre de l'Ecole française d'Athènes (1880-1882), il est nommé attaché au musée de Saint-Germain-en-Laye en 1886, puis conservateur adjoint en 1893. Après le décès d'Alexandre Bertrand, il occupe les fonctions de directeur du musée des Antiquités nationales, de 1902 à 1932.
Il devient directeur des travaux publics de la ville d'Alès en 1819. Entre le 16 avril 1825 et 1849, il est architecte attaché au conseil des Bâtiments civils du département du Vaucluse ; pendant cette période, il a notamment dirigé les travaux de restauration de l'arc romain d'Orange (1826-1829), sous les ordres d'Augustin Caristie. Il fut membre de la Société française d'archéologie à partir de 1842, et architecte attaché à la Commission des monuments historiques de 1843 à 1849. Travaille à la cathédrale d'Avignon avant 1848. Architecte diocésain d'Avignon de 1849 au 5 février 1851, date de sa démission.