Union des Amis de l’Antiquité des pays du Rhin
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Union des Amis de l’Antiquité des pays du Rhin
Vaillant, Jean-Baptiste Philibert
Maréchal de France (1851), ministre de la Guerre (1854-1859), ministre de la maison de l’Empereur (1860-1870), ministre des Beaux-arts (1863-1870).
Vallentin du Cheylard, Ludovic
Juge d'instruction, historien et numismate. Réside à Montélimar.
Négociant, numismate, archéologue et collectionneur dauphinois.
Graveur. Il a travaillé en association avec ses frères Amédée Varin (1818-1883) et Adolphe Varin (1821-1897).
Professeur de langue et littérature françaises au Royal College de Londres.
Verchère de Reffye, Jean-Baptiste Auguste Philippe Dieudonné
Officier d'ordonnance de Napoléon III.
Directeur de l'atelier d'étude d'artillerie de l'empereur à Meudon.
Vieilleville, François de Scepeaux (seigneur de)
Maréchal de France. Ses mémoires sont reconnues aujourd'hui comme en large partie apocryphes.
Ville de Saint-Germain-en-Laye
Robert le Pieux, roi de 996 à 1031, fit élever un monastère en l'honneur de saint Germain, qui devint ensuite un prieuré rattaché à l'abbaye de Coulombs. Vers 1124, le roi Louis VI le Gros y fit construire une résidence à l'emplacement de l'actuel Château-Vieux. La grande majorité des rois de France viendront y séjourner jusqu'en 1682, date à laquelle Louis XIV abandonne définitivement Saint-Germain-en-Laye pour Versailles.
Dans la première moitié du XIIe siècle le hameau s'organise progressivement. L'abbé Roger nomme le maire, un certain Rahier, et lui confie le majorat de Saint-Germain-en-Laye. A ce titre il convoque les habitants à l'audience du prieur, exerce la haute-justice et veille au respect des mesures en vigueur pour la ville.
À l’époque moderne, Saint-Germain est représenté par un syndic à la nomination bisannuelle des habitants. La ville est placée sous la tutelle de l'autorité royale qui désigne la hiérarchie administrative : le prévôt, le lieutenant de police et le procureur du roi.Un arrêt du Conseil d’État du 13 avril 1758 prévoit un conseil de la ville composé de vingt-cinq membres, présidé par le prévôt. Un édit de 1771 remplace ce conseil par un corps municipal composé d’un maire, de quatre échevins, du procureur du roi, d’un secrétaire-greffier et d’un receveur. En 1783 celui-ci est remplacé à nouveau par un conseil de la ville, puis en 1789 par un comité municipal provisoire de 24 membres élus par les habitants et dont le président change tous les quinze jours.
Une loi du 14 décembre 1789 compose les municipalités d’un maire, d’officiers municipaux et de notables élus pour deux ans par les citoyens actifs. Le maire et les officiers municipaux forment le conseil municipal, et qui, avec les notables, forment le conseil général pour les affaires importantes.
Le 7 janvier 1790, l’Assemblée nationale fixe la nouvelle carte administrative. La France est alors divisée en 83 départements. Saint-Germain devient le chef-lieu de l’un des neuf districts du nouveau département de Seine-et-Oise – Versailles étant désigné chef-lieu du département.
Saint-Germain est à la fois district du département et canton de ce même district, puis arrondissement.
En tant que district, Saint-Germain est le siège d’un tribunal. Son ressort territorial rassemble 63 municipalités réparties en 6 cantons. Le décret du 24 août 1790 installe deux justices de paix à Saint-Germain : une première pour la ville même, une seconde pour les autres municipalités de son ressort territorial. La constitution du 5 fructidor an III (22 août 1793) supprime les districts, il ne reste plus qu’un tribunal civil à Versailles. Néanmoins le décret du 19 vendémiaire an IV (13 octobre 1795) installe à Saint-Germain un tribunal correctionnel.
En tant que canton, Saint-Germain administre 14 communes : Chatou, Chavenay, Croissy, Faucherolles, Fourqueux, Lanluet, l’Etang-le-Ville, Maisons, Mareil, le Mesnil, le Port au Pecqu, Saint-Légers, Saint-Nom et Saint-Germain.
La loi du 28 pluviôse an VIII (17 février 1800) restructure la France en département, cantons, municipalités, arrondissements et communes. Le décret du 3 brumaire an X (25 octobre 1801) constitue le canton de Saint-Germain-en-Laye appartenant au 3e arrondissement de Seine-et-Oise. Le territoire se compose d’une Justice de paix et 12 communes : Achères, Aigremont, Chambourcy, Chatou, Croissy, Fourqueux, Maison-Laffitte, Mareil-Marly, Mesnil-le-Roi, Le Pecq (depuis le 8 juin 1875) et Saint-Germain.
Saint-Germain-en-Laye, seconde ville du département de Seine-et-Oise, est restée simple chef-lieu de canton à cause de sa proximité avec la Préfecture de Versailles.
Le 7 novembre 1962 est créé l'arrondissement de Saint-Germain-en-Laye avec comme chef-lieu la ville du même nom.
Maison parisienne d’édition de cartes postales illustrées située au 73 bis boulevard de Clichy. La maison est active autour de 1910 même si ses dates d’existence ne sont pas connues. On note le fait que cette maison a repris une photographie signée ND (Neurdein frères) pour l’exemplaire conservé dans ce corpus, ce qui pourrait signifier que comme la maison Le Deley, cette maison réédite des photographies prises par des photographes d'autres maisons.
Fils d’Émile Vouga, instituteur et archéologue, et de Marie-Valérie Jahn. Epouse en 1906 Marie-Louise Billeter, fille d'Otto, professeur de chimie à l'université de Neuchâtel. Études de lettres à Neuchâtel (licence en 1902, doctorat en 1905), Florence et Berne. Professeur à l'école supérieure de commerce de Neuchâtel (1906-1940), privat-docent (1909-1919), puis professeur extraordinaire (1919-1940) de préhistoire à l'université. Conservateur des collections archéologiques du Musée d'histoire de Neuchâtel (dès 1909) et responsable des fouilles cantonales. Président de la Société suisse de préhistoire (1934-1937), collaborateur de plusieurs revues, V. est connu pour ses fouilles à La Tène, pour l'établissement de la première chronologie stratigraphique du Néolithique en Suisse et pour l'utilisation de la photographie aérienne dans la prospection archéologique.
Conservateur du musée départemental des Vosges, archéologue.
Membre du CTHS
Membre de la Société nationale des antiquaires de France.
Architecte et inspecteur des travaux des Monuments historiques.
Correspondant CTG pour les Bouches-du-Rhône. Correspondant de la CGHAF.
Waléry (studio de photographies)
Studio de photographies tenu par Stanislas Julien Ostrorog dit Waléry (photographe, 1863-1929) puis par Lucien Charles Auguste Varsavaux (photographe, 1866-1935)
Conseiller de la Chambre des pensions du Wurtemberg, Chamberlain et fonctionnaire de la Cour. Voyageur.
Propriétaire du terrain sur lequel fut découvert le site de Corcelettes (Suisse, canton de Vaud) et collectionneur. Sa collection fut acquise en 1881 par le Docteur Gross.