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Notice d'autorité

Dumée, Guillaume

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  • Personne
  • 1571 - 1646

Peintre, notamment auteur de cartons de tapisseries.

Dutasta, Henri

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  • Personne
  • 1843 - 1889

Henri Dutasta naît à Bordeaux le 12 octobre 1843. Son père, Jean-Baptiste Eugène Dutasta, est directeur de l’hôpital Saint-Jean à Bordeaux.
Après un cursus à l’École normale supérieure de Paris, il est nommé professeur de philosophie au lycée de Cahors en octobre 1866 et entreprend des recherches sur l’histoire de la région. Le 29 mars 1867, il donne une conférence à l’hôtel de ville de Cahors, intitulée « De la science ». À la fin de l’année 1867, il accompagne Étienne Castagné sur le site de Murcens et adresse un rapport au préfet Louis Charles de Lespinasse de Pebeyre le 3 février 1868 dans lequel il décrit le site, en regard de l’Histoire de Jules César, et annonce les résultats positifs des premiers sondages réalisés.
Henri Dutasta ne reste que deux années au lycée de Cahors, il est ensuite muté au lycée de Toulon. Il mène une carrière politique, entre au conseil municipal de Toulon en 1871 et en est maire de 1878 à 1888.
Henri Dutasta décède le 14 juillet 1889.

Durand, Edme-Antoine

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  • Personne
  • 1768 - 1835

Fils d'un riche négociant en vins d'Auxerre, Edme-Antoine Durand se prend de passion pour l'archéologie et devient antiquaire et collectionneur. Une première partie de sa collection est vendue en 1825 et rejoint au Louvre les collections du musée Charles X.

Elisabeth-Charlotte de Bavière

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  • Personne
  • 1652 - 1722

Fille du comte-électeur Charles Ier Louis du Palatinat, elle épousa Philippe, duc d’Orléans et frère cadet de Louis XIV.

Déchelette, Joseph

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  • Personne
  • 1862 - 1914

Archéologue.
Conservateur du musée de Roanne.

Fer, Nicolas (de)

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  • Personne
  • 1647 ? - 1720

Éditeur et marchand de cartes et d'estampes ; graveur. - Géographe (ordinaire) de Sa Majesté catholique (1702) et de Monseigneur le Dauphin 1690) ; géographe des Enfants royaux. - Fils du marchand d'estampes Antoine de Fer. Dit âgé de 12 ans lors de son entrée en apprentissage chez le graveur Louis Spirinx (mai 1659). Travaille avec son père jusqu'à la mort de ce dernier en juin 1673, puis avec sa mère jusqu'en 1687, année où celle-ci lui cède son commerce (8 nov. 1687). Ingénieur et cartographe. A sans doute exercé l'art de la gravure mais aucune œuvre à son nom ne semble avoir subsisté. Emploie plusieurs graveurs qui emportent l'ouvrage dans leur atelier. Inventaire après décès 6 nov. 1720. Faute d'acheteur, ses trois gendres, le papetier Guillaume Danet, les graveurs Rémy Richer et Jacques-François Bénard, se partagent l'affaire en trois lots égaux. Seuls G. Danet et J.-F. Bénard continuent le commerce.

Fiorelli, Giuseppe

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  • Personne
  • 1823 - 1896

Archéologue et numismate italien. Il travaille dans un premier temps au département de numismatique du Musée archéologique de Naples. Inspecteur des fouilles de Pompéi, il est emprisonné pour ses opinions libérales puis nommé professeur d’archéologie à Naples tout en retrouvant sa fonction d’inspecteur des fouilles de Pompéi. De 1863 à 1875, il est à la tête de la surintendance des fouilles, avant d’occuper un poste à la direction générale des Antiquités et des Beaux-arts du royaume d'Italie. Il s’évertue à poser les fondements de la protection du patrimoine italien.

Fitz-James, Jacques

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  • Personne
  • 1670 - 1734

Fils naturel de Jacques II, roi d'Angleterre. Duc de Berwick, maréchal de France.

Famille d'Este

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  • Famille
  • 1288 - 1796

La famille d'Este, seigneur de Ferrare, devint également seigneur de Modène en 1288, où elle conserva le pouvoir jusqu'en 1796.

Fürst, Georg (von)

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  • Personne
  • ? - ?

Gentilhomme de Silésie ayant vécu au XVIIIe siècle.

Marie-Thérèse d'Autriche

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  • Personne
  • 1638 - 1683

Reine de France.
Fille du roi d'Espagne Philippe IV (1605-1665) et de Elisabeth de France (1602-1644). Nièce d'Anne d'Autriche, reine de France (1602-1666). Épouse Louis XIV en 1660

Milet, Ambroise

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  • Personne
  • 1829 - 1916

Fils et petit-fils de potier, Ambroise Milet entre à la manufacture de Sèvres où il est nommé successivement « directeur des fours et des pâtes » puis « chef de fabrication » avant de quitter la manufacture en 1883. Historien, il devient ensuite conservateur du Musée et de la Bibliothèque de Dieppe.

Merula, Paul

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  • Personne
  • 1558 - 1607

Ministère de l'Intérieur. Direction des Beaux-Arts

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  • Collectivité
  • 1834 - 1852
  • Direction des Beaux-Arts

En 1834, la direction des Beaux-Arts quitte le ministère du Commerce et des Travaux publics pour rejoindre le ministère de l'Intérieur où elle avait vu le jour dès 1789.
La direction des Beaux-Arts voit ses attributions modifiées en 1848 et récupèrent la gestion des musées nationaux.
D'octobre 1848 à décembre 1851, deux commissions permanentes sont créées : la commission des Beaux-Arts et la commission des théâtres. La commission permanente des Beaux-Arts est chargée de donner son avis sur l’emploi et la répartition des crédits, sur les répartitions d’ouvrages d’art, sur les écoles d’art et sur les expositions.
Le nom du service change peu : il devient tour à tour « direction » et « division ».

  • Bureau des Monuments historiques

La fonction de conservation des monuments historiques est assurée par le département Beaux-Arts, qui voit le jour dès 1789 avec la nomination de François-Emmanuel Guignard de Saint-Priest comme ministre de la Maison du roi.
Aucun service n’est véritablement dédié aux monuments historiques, mais dès 1819 le ministère de l’Intérieur consacre un budget à "la conservation des anciens monuments".
Le 23 octobre 1830, un poste d’inspecteur général des monuments historiques est créé sur ordonnance royale au sein du bureau des Beaux-Arts. François Guizot, ministre et secrétaire d’État au département de l’Intérieur, propose au roi Louis-Philippe de nommer Ludovic Vitet comme premier inspecteur. Il est remplacé en 1834 par Prosper Mérimée. L'inspecteur général a pour mission de veiller à la conservation des monuments historiques.
Le 29 septembre 1837, une commission des Monuments historiques est créée au ministère de l’Intérieur. Elle est chargée de sélectionner les monuments à entretenir et à restaurer, et répartit les crédits alloués à la sauvegarde. Elle publie en 1840 la première liste des monuments classés.
Le bureau en charge des monuments historiques est créé le 19 février 1839 au sein de la direction des Monuments publics et historiques au ministère de l'Intérieur. Il est transféré à la direction des Beaux-Arts le 25 septembre de la même année pour y rester durablement. À sa création, le bureau regroupe l’inspecteur général ainsi que la commission des Monuments historiques.
Ce premier bureau se maintient de 1839 à 1848, puis il est supprimé provisoirement. La fonction administrative continue à être exercée au sein de la division des Beaux-Arts (au bureau des Beaux-Arts, des Musées et des Monuments historiques) jusqu’à ce que le bureau en charge des monuments historiques soit rétabli en 1853.

Ministère de la Maison de l'Empereur (Second Empire)

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  • Collectivité
  • 1852 - 1870

Après le régime très économe de Louis-Philippe qui avait supprimé les services d’honneur, Napoléon III souhaite rétablir les fastes d’antan et crée un ministère de la Maison de l’empereur, sur le modèle de celle du Premier Empire.

Le ministère de la Maison de l’empereur est chargé de la présentation du budget, de l’administration des revenus de la Couronne, de la proposition à tous les emplois du ministère (sauf ceux des grands officiers nommés par l’empereur), de l’ordonnancement des dépenses, de la révision et de l’approbation des marchés, de l’administration de la dotation de la Couronne et du domaine privé de l’empereur et de l’impératrice, des encouragements aux arts et de la proposition à l’empereur des pensions à prendre sur les fonds de la Liste civile.

Le ministère de la Maison de l’empereur est logé dans le Louvre, à proximité de l’empereur.

Julliot, Gustave

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  • Personne
  • 1829 – 1903

Correspondant de la CTG pour l'Yonne.
Président de la Société archéologique de Sens.

Lalande, Philibert

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  • Personne
  • 1838 – 1925

Correspondant de la CTG pour la Corrèze

Fraisse, ?

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  • Personne
  • ? - ?

Habite à Sisteron.

Gondi, Jean-François-Paul (de)

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  • Personne
  • 1613 - 1679

Coadjuteur de l'archevêché de Paris (en 1643) pour son oncle Jean François de Gondi (1584-1654), puis cardinal (en 1652) et archevêque de Paris (en 1654).

Henri III

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  • Personne
  • 1551 - 1589

Roi de France de 1574 à 1589.

Henri IV

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  • Personne
  • 1553 - 1610

Roi de France de 1589 à 1610.

Guégan, Paul

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  • Personne
  • 1819 - 1892

Paul Guégan de Lisle, dit Paul Guégan, naît à Versailles le 20 mars 1819 au domicile de ses parents, 9 rue Royale. Il est le fils d’un professeur du nom de Joseph Guégan et de Louise-Elisabeth de Lisle.
Paul Guégan est préposé en chef de l’octroi à Saint-Germain-en-Laye de 1855 à 1882. Il assiste à la restauration du château de Saint-Germain et à l’installation dans ce lieu du Musée gallo-romain fondé en 1862, futur musée des Antiquités nationales, aujourd’hui musée d’Archéologie nationale. Paul Guégan se lie d’amitié avec Philibert Beaune, attaché à la conservation du musée. Ce dernier l’initie aux « choses préhistoriques » et lui transmet sa passion pour l’archéologie (cf. introduction de la monographie, 2019004/1). Le 24 janvier 1863 est enregistré le premier don de Paul Guégan et du vicaire de Questembert : un morceau de poterie à pâte grossière et noire provenant du Morbihan. Ce don semble confirmer l’origine bretonne de la famille Guégan, que rappelle Édouard Fourdrignier dans l’éloge funèbre de Paul Guégan. Le contexte saint-germanois est alors tout à fait favorable aux études préhistoriques ; le maire, Jules-Xavier Saguez de Breuvery, est aussi versé dans les études préhistoriques et a offert au musée de Saint-Germain les artefacts recueillis dans les cavernes des bords de la Vézère en Dordogne.
Sur les conseils de Philibert Beaune, Paul Guégan se lance dans des travaux de recherches sur les vestiges archéologiques du département de Seine-et-Oise. Il est soutenu par Alexandre Bertrand, nommé conservateur du Musée gallo-romain en 1866, et par Gabriel de Mortillet, qui remplace Philibert Beaune en 1867 en tant qu’attaché de conservation. Paul Guégan entreprend des recherches sur le terrain, notamment à Conflans-Sainte-Honorine, à Marly-le-Roi, au Pecq et à l’Étang-la-Ville. Il prend des notes, et dessine les sites ainsi que les objets mis au jour. Il signale les vestiges à la communauté savante, notamment au Musée gallo-romain, à la Société des sciences morales, des lettres et des arts de Seine-et-Oise puis à la Commission des Antiquités et Arts du département de Seine-et-Oise. Il n’hésite pas à solliciter les hommes politiques – le maire de Saint-Germain et le préfet du département de Seine-et-Oise – pour assurer la sauvegarde des vestiges ou obtenir des moyens autant que des conseils. Ces découvertes sont diffusées par le biais de la Revue archéologique, des Mémoires de la Société des sciences morales, des lettres et des arts de Seine-et-Oise et du Bulletin de la Commission des Antiquités et Arts du département de Seine-et-Oise ou de mémoires manuscrits consultables à la bibliothèque du musée de Saint-Germain. C’est à lui que l’on doit le sauvetage de l’allée couverte de Conflans-Sainte-Honorine menacée de destruction en 1874 et transportée dans les fossés du château de Saint-Germain. Ces nouvelles découvertes permettent à leur inventeur d’affirmer que le département de Seine-et-Oise doit être « classé parmi les plus riches en monuments des âges reculés de la pierre » ainsi qu’il le note dans l’introduction de sa Monographie des Monuments mégalithiques et des objets travaillés par l’homme aux temps préhistoriques dans le Département de Seine-et-Oise (2019004/1).
Le 14 février 1873, Paul Guégan devient membre correspondant de la Société des Sciences morales, des Lettres et des Arts de Seine-et-Oise. Il est ensuite nommé membre de la Commission des Antiquités et Arts de Seine-et-Oise, probablement suite à la réorganisation du 2 septembre 1881. Cette commission avait été fondée par arrêté préfectoral le 2 septembre 1878, pour répondre aux instructions du ministère de l’Instruction publique et des Beaux-arts d’entreprendre un inventaire général des œuvres d’art. Plusieurs membres étaient désignés par arrondissement, Alexandre Bertrand avait été nommé parmi les premiers pour celui de Versailles. En 1881, le préfet ajoute à cet objectif une dimension archéologique ; les membres ont alors pour missions complémentaires « l’examen et la conservation des antiquités de toute nature existant ou qui seront découvertes dans le département », la contribution aux travaux engagés par le ministère de l’Instruction publique – à savoir le dictionnaire topographique, le répertoire archéologique et la carte monumentale du département –, la surveillance des découvertes archéologiques et l’aide pour la création de musées (Bulletin 1882, p. 11). Dans le Bulletin de la Commission des Antiquités et Arts du département de Seine-et-Oise, Paul Guégan est simplement identifié comme archéologue à Saint-Germain-en-Laye, tandis que ses collègues se voient attribuer leurs fonctions exactes (professeurs, architectes, publiciste, employés à la Préfecture, etc.). Il est particulièrement actif au sein de cette commission ; il y rencontre des passionnés d’archéologie qui jouent le rôle d’informateurs locaux. En 1891, le préfet nomme Paul Guégan inspecteur des Monuments et des Antiquités pour l’arrondissement de Versailles.
En parallèle, il devient correspondant de la Commission de Topographie des Gaules (CTG) pour le département de Seine-et-Oise à une date encore inconnue. Il signe comme tel un mémoire de février 1879. La CTG est dissoute en 1880 mais, comme beaucoup d’autres correspondants, Paul Guégan est alors correspondant de la nouvelle et éphémère Commission de géographie historique de l’ancienne France, chargée d’achever les travaux entrepris par la CTG, mais qui s’éteind elle-même en 1883.
Dans l’introduction de sa monographie (voir 2019004/1), Paul Guégan affirme que c’est Alexandre Bertrand qui lui aurait donné l’idée d’entreprendre ce vaste inventaire intitulé Monographie des Monuments mégalithiques et des objets travaillés par l’homme aux temps préhistoriques dans le Département de Seine-et-Oise et lui aurait prodigué son avis et ses encouragements en maintes occasions. Paul Guégan souhaite faire pour la Seine-et-Oise un travail similaire à celui d’Eugène Belgrand (1810-1878) pour la Seine, de Louis Grave pour l’Oise et d’Édouard Fleury (1815-1883) pour l’Aisne. Il y consacre 20 années de labeur ; il s’appuie tout d’abord sur les études anciennes, qu’il réétudie et complète avec les nouvelles découvertes qu’il fait lui-même ou qui lui sont transmises par les autres membres de la Commission et par des contacts locaux. Il se déplace autant que ses ressources et son temps libre le lui permettent, mais travaille aussi d’après les ouvrages et articles publiés. Il dessine les objets mis au jour, conservés dans les collections particulières ou au musée de Saint-Germain, dans lequel il se rend très fréquemment. Il publie d’ailleurs un guide à destination du public en 1878 dans un souci de vulgarisation de la Préhistoire. Ses dessins à l’encre ou à l’aquarelle traduisent un souci du détail et du rendu de la couleur. Les vues de sites sont complétées par des relevés en plans ou en coupes qui dénotent une certaine rigueur scientifique. Jusqu’en 1881, Paul Guégan donne à de nombreuses reprises des objets originaux, découverts dans le département de Seine-et-Oise, au musée des Antiquités nationales. Il contribue ainsi à l’acceptation pleine et entière des études préhistoriques dans la sphère de l’archéologie. Mais pour son étude sur les antiquités de Seine-et-Oise, il prend également en compte les époques protohistorique, gallo-romaine et mérovingienne.
Paul Guégan décède le 13 septembre 1892 à Saint-Germain-en-Laye, à son domicile 26 rue de la Salle. Il était officier d’Académie depuis le 11 février 1880. Sa fille avait épousé Henri Jules Jucher, employé du chemin de fer de l’Ouest, et habitait au Vésinet. Son fils, F. Guégan, médecin et chef de l’hôpital militaire de Kef en Tunisie, puis directeur-adjoint de la Santé et de l’Hygiène publique auprès du gouvernement tunisien, est également très sensible à l’archéologie et mène quelques explorations en Afrique du Nord.

Grandes chroniques de France

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  • Collectivité
  • v.1250 - 1461

Compilation de textes historiques, constituée par étapes entre le XIIIe et le XVe s., couvrant l'histoire des rois de France jusqu'en 1461.

Gruel, Guillaume

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  • Personne
  • ? - ?

Breton, longtemps attaché à la personne du connétable Arthur de Richemont (XVe siècle).

Horsin-Déon, Léon

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  • Personne
  • ? - ?

Fils du peintre Simon Horsin Déon. Peintre, élève de Cornu, Cabanel, et Léon Cogniet. Débute au Salon à Paris en 1873. Ancien professeur de dessin de la ville de Paris.

Huygens, Louis

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  • Personne
  • 1631 - 1699

Diplomate hollandais.

Jahard, ?

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  • Personne
  • ? - ?

Le Figaro

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  • Collectivité
  • 1854 - ?

Fondé par Jean Hippolyte Auguste Delaunay de Villemessant et Benoît Jouvin en 1854. Reprend le titre du Figaro de 1826.

Lartet, Edouard

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  • Personne
  • 1801 – 1871

Membre de la CTG

Leguay, Pierre-Louis

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  • Personne
  • 1825 - 1884

Correspondant CTG pour la région parisienne.
Il reçoit en 1866 une subvention de la CTG pour fouiller l'allée couverte d'Argenteuil.

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