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Description archivistique
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Album blanc 5

Album blanc n°5, planche 272, cliché 870, boîte 77. Armes (Alésia). Mention au crayon « Alise », vers 1860. SRD
Tirage photographique réalisé à partir d'un négatif sur plaque de verre au collodion humide : cliché 870, boîte 77

Album blanc 5

Album blanc n°5, planche 281, cliché 890, boîte 78. Vue d'Alise-Sainte-Reine. Mention au crayon « Alise », 1859-1861 ? SRD
Tirage photographique réalisé à partir d'un négatif sur plaque de verre au collodion humide : cliché 890, boîte 78

Album blanc 5

Album blanc n°5, planche 283, cliché 888, boîte 78. Vue d'Alise-Sainte-Reine depuis le Mont-Auxois. Mention au crayon « Alise », 1859-1861 ? SRD
Tirage photographique réalisé à partir d'un négatif sur plaque de verre au collodion humide : cliché 283, cliché 888, boîte 78

Album blanc 5

Album blanc n°5, planche 285, cliché 883, boîte 78. Vue d'Alise-Sainte-Reine. Mention au crayon « Alise », 1859-1861 ? SRD
Tirage photographique réalisé à partir d'un négatif sur plaque de verre au collodion humide : cliché 883, boîte 78

Album blanc 5

Album blanc n°5, planche 260, cliché 862, boîte 77. Armes, casque (Alesia). Mention au crayon « Alise », vers 1860 (1864 ?). SRD
Tirage photographique réalisé à partir d'un négatif sur plaque de verre au collodion humide : cliché 862, boîte 77

Album blanc 5

Album blanc n°5, planche 266, cliché 871, boîte 77. Armes (Alésia). Mention au crayon « Alise », vers 1860. SRD
Tirage photographique réalisé à partir d'un négatif sur plaque de verre au collodion humide : cliché 871, boîte 77

Album blanc 5

Album blanc n°5, planche 270. Cliché 869, boîte 77, armes (Alésia) avec mention au crayon « Manque » ; cliché 567, boîte 80 avec mention au crayon « Manque » ; cliché 566, boîte 80 avec mention au crayon « Alise »; vers 1860. SRD
Tirages photographiques réalisés à partir de négatifs sur plaque de verre au collodion humide

Album blanc 5

Album blanc n°5, planche 274, cliché 880, boîte 78. Vue d'Alise-Sainte-Reine, le Mont-Auxois. Mention au crayon « Alise », 1859-1861 ? SRD
Tirage photographique réalisé à partir d'un négatif sur plaque de verre au collodion humide : cliché 880, boîte 78

Album blanc 5

Album blanc n°5, planche 276, cliché 881, boîte 78. Vue d'Alise-Sainte-Reine. Mention au crayon « Alise », 1859-1861 ? SRD
Tirage photographique réalisé à partir d'un négatif sur plaque de verre au collodion humide : cliché 881, boîte 78

Album blanc 5

Album blanc n°5, planche 284, cliché 884, boîte 78. Vue d'Alise-Sainte-Reine. Mention au crayon « Alise », 1859-1861 ? SRD
Tirage photographique réalisé à partir d'un négatif sur plaque de verre au collodion humide : cliché 884, boîte 78.

Album blanc 5

Album blanc n°5, planche 286, cliché 882, boîte 78. Vue d'Alise-Sainte-Reine. Mention au crayon « Alise », 1859-1861 ? SRD
Tirage photographique réalisé à partir d'un négatif sur plaque de verre au collodion humide : cliché 882, boîte 78

Album blanc 5

Album blanc n°5, planche 287, cliché 877, boîte 78. Vue du village d’Alise Sainte-Reine (Alésia). Mention au crayon « Alise », 1859-1861 ? SRD
Tirage photographique réalisé à partir d'un négatif sur plaque de verre au collodion humide : cliché 877, boîte 78

Album blanc 5

Album blanc n°5, planche 288, cliché 893, boîte 78. Ateliers de recherche en armement de Meudon, dirigés par Auguste Verchère de Reffye. Mention au crayon « Alise », vers 1860 SRD
Tirage photographique réalisé à partir d'un négatif sur plaque de verre au collodion humide : cliché 893, boîte 78.

Album blanc 5

Album blanc n°5, planche 289, cliché 891, boîte 79. Reconstitution du siège de César à Alésia, par Verchère de Reffye, dans les ateliers de Meudon. Mention au crayon « Alésia maquette Reffye 11892 » , vers 1860. SRD
A mettre en relation avec la maquette du Camp de César (MAN 11892), réalisée par Abel Maître et offerte par Napoléon III au musée gallo-romain
Tirage photographique réalisé à partir d'un négatif sur plaque de verre au collodion humide : cliché 891, boîte 79

Album blanc 5

Album blanc n°5, planche 290, cliché 892, boîte 79. Reconstitution d'une tour en bois du siège de César à Alésia, par Verchère de Reffye, aux ateliers de Meudon. Mention au crayon « Alésia », vers 1860; SRD
A mettre en relation avec la maquette du Camp de César (MAN 11892), réalisée par Abel Maître et offerte par Napoléon III au musée gallo-romain
Tirage photographique réalisé à partir d'un négatif sur plaque de verre au collodion humide : cliché 892, boîte 79

Album blanc 5

Album blanc n°5, planche 292, cliché 895, boîte 79. Reconstitution d'une tour en bois du siège de César à Alésia, par Verchère de Reffye, aux ateliers de Meudon, d'après les fouilles d'Alise-Sainte-Reine. Détail de la haie de défense romaine en bois,
A mettre en relation avec la maquette du Camp de César (MAN 11892), réalisée par Abel Maître et offerte par Napoléon III au musée gallo-romain.
Tirage photographique réalisé à partir d'un négatif sur plaque de verre au collodion humide : cliché 895, boîte 79

Album blanc 5

Album blanc n°5, planche 259, cliché 863, boîte 77. Armes. Mention au crayon « Feuille d’Alise Ste Reine » ; vers 1860 (1864 ?). SRD Tirage photographique réalisé à partir d'un négatif sur plaque de verre au collodion humide : cliché 863, boîte 77

Album blanc 5

Album blanc n°5, planche 264, cliché 876, boîte 77. Armes (Alésia). Mention au crayon « Alise », vers 1860. SRD
Tirage photographique réalisé à partir d'un négatif sur plaque de verre au collodion humide : cliché 876, boîte 77

Album blanc 5

Album blanc n°5, planche 277, cliché 885, boîte 78. Vue d'Alise-Sainte-Reine. Mention au crayon « Alise », 1859-1861 ? SRD
Tirage photographique réalisé à partir d'un négatif sur plaque de verre au collodion humide : cliché

Album blanc 5

Album blanc n°5, planche 278, cliché 887, boîte 78. Vue d'Alise-Sainte-Reine. Mention au crayon « Alise », 1859-1861 ? SRD
Tirage photographique réalisé à partir d'un négatif sur plaque de verre au collodion humide : cliché cliché 887, boîte 78

Album blanc 5

Album blanc n°5, planche 279, cliché 886, boîte 78. Vue d'Alise-Sainte-Reine. Mention au crayon « Alise », 1859-1861 ?. Mention au crayon « Alise ». SRD
Tirage photographique réalisé à partir d'un négatif sur plaque de verre au collodion humide : cliché 886, boîte 78

Album blanc 5

Album blanc n°5, planche 280, cliché 879, boîte 78. Vue d'Alise-Sainte-Reine. Mention au crayon « Alise », 1859-1861 ? Mention au crayon « Alise ». SRD
Tirage photographique réalisé à partir d'un négatif sur plaque de verre au collodion humide : cliché 879, boîte 78

Album blanc 5

Album blanc n°5, planche 282, cliché 889, boîte 78. Vue d'Alise-Sainte-Reine. Mention au crayon « Alise », 1859-1861 ? SRD
Tirage photographique réalisé à partir d'un négatif sur plaque de verre au collodion humide : cliché 889, boîte 78.

Album blanc 5

Album blanc n°5, planche 291, cliché 896, boîte 79.Reconstitution du siège de César à Alésia, par Verchère de Reffye, dans les ateliers de Meudon. Mention au crayon « Alésia maquette Reffye 11892 » , vers 1860.
A mettre en relation avec la maquette du Camp de César (MAN 11892), réalisée par Abel Maître et offerte par Napoléon III au musée gallo-romain
Tirage photographique réalisé à partir d'un négatif sur plaque de verre au collodion humide : cliché 896, boîte 79

Album blanc 5

Album blanc n°5, planche 293 avec clichés 897 et 898, boîte 79. Moulage du portrait de César à partir d'une statuette en bronze conservée à Besançon, face et profil. H : 0,34 m. l. 0,435 m. Centre des archives.
Tirage photographique réalisé à partir d'un négatif sur plaque de verre au collodion humide : cliché 895, boîte 79

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

Album M-V

Reproductions d’objets archéologiques représentant des silex, armes, outils, récipients : dessins à l’aquarelle, dessins au crayon, dessins à l’encre, article de journal, note [64 pl.]. Site de « La pierre branlante » de Saxiâ au Petit-Bornand et du dolmen dit « La Pierre aux fées »de Reignier : dessins au crayon, dessins à l’encre [5 pl.].

Revon, Louis

Album Castagné n° 2 - Murs gaulois - Commission de Topographie des Gaules

L'album concerne les fouilles effectuées au Puy d'Issolud, à Murcens et près de Luzech dans le Lot. Il est composé de plusieurs mémoires, de plans et coupes ainsi que de dessins représentant le produit des fouilles. Le contenu est organisé ainsi :

  • Mémoire sur la continuation des fouilles exécutées au Puy d'Issolud et à Mursens par E. Castagné, agent voyer d'arrondissement, auteur du Rapport de la commission départementale du Lot sur les fouilles de Puy d'Issolud et du Mémoire sur la découverte des murailles gauloises de Mursens (Lot) (daté du 28 décembre 1868, Cahors) ;
  • Plans à l'appui du Mémoire sur la continuation des fouilles faites au Puy d'Issolud et à Mursens par E. Castagné, agent voyer d'arrondissement, auteur du Rapport de la commission départementale du Lot sur les fouilles de Puy d'Issolud et du Mémoire sur la découverte des murailles gauloises de Mursens (Lot) ;
  • Mémoire sur la découverte d'un oppidum gaulois avec murailles composées d'assises de pierre et d'assises de bois sur la montagne de l'Impernal, près de Luzech (Lot), par Mr Castagné, agent voyer d'arrondissement (daté de 1872, à Cahors)

Castagné, Etienne

Album Castagné n° 1 - Murs gaulois - Commission de Topographie des Gaules

L'album concerne les fouilles effectuées à Murcens. Il est composé de plusieurs mémoires, de plans, relevés et coupes ainsi que de vues photographiques du lieu et des fouilles. Le contenu est organisé ainsi :

  • Fouilles faites à Mursceint, commune de Cras, Département du Lot. Découverte d'une muraille gauloise. 1er rapport. (daté de janvier 1868, Cahors ; signé "Castagné, agent voyer d'arrondissement").
  • Plans et dessins à l'appui du Mémoire sur les fouilles faites au lieu de Mursceint, commune de Cras, départ. du Lot.
  • Découverte d'un Oppidum avec muraille et emplacements d'habitations gauloises à Mursens. Mémoire sur cette découverte.
  • Deuxième mémoire sur la découverte d'un Oppidum avec Muraille et Emplacements d'habitations gauloises à Mursens, commune de Cras, département du Lot, adressé à Mr de Pebeyre, préfet du Lot, par Mr Castagné, agent voyer d'arrondissement. (daté du 31 mars 1868, Cahors ; signé "Castagné, agent voyer d'arrondissement, Rapporteur des fouilles exécutées au Puy-d'Issolud (Uxellodunum) par la commission départementale instituée par Mr le Préfet).
  • carte du département du Lot
  • plan de l'oppidum gaulois de Mursens
  • muraille gauloise de Mursens
  • restauration de la muraille gauloise de Mursens
  • maisons gauloises
  • vues photographiques du lieu
  • vues photographiques des fouilles
  • vues photographiques des produits des fouilles
  • Troisième rapport sur la découverte d'un oppidum et d'un rempart gaulois à Mursceint par Mr Dutasta, professeur de philosophie au Lycée impérial de Cahors (daté du 3 février 1868, Cahors).

Commission de Topographie des Gaules

Album A-L

Reproductions d’objets archéologiques représentant des silex, armes, outils, récipients : dessins à l’aquarelle, dessins au crayon, dessins à l’encre [62 pl.]. Site de « la Pirra à Chantapeu » à Fillinges : dessin à l’encre [1 pl.].

Revon, Louis

Album 4

Reproductions d’objets archéologiques représentant des armes, outils, ornements et parures, récipients de terre cuite et métallique et objets indéterminés : dessins à l’aquarelle gouachée. Sites de Chevroux et de Corcelettes : plans et notes.

Cournault, Charles

Album 3

Reproductions d’objets archéologiques représentant des épées : dessins à l’aquarelle gouachée.

Cournault, Charles

Album 2

Reproductions d’objets archéologiques représentant des parures, ornements, objets de toilette, objets de filage et couture, médailles, clefs, récipients, peinture murale, outils, tintinabulum, éléments de harnachement et sculpture : dessins à l’aquarelle, dessins au crayon, estampages, photographies, notes.

Cournault, Charles

Album 1

Reproductions d’objets archéologiques représentant des silex, armes, outils, ornements : dessins à l’aquarelle, dessins au crayon, lithographie, gravure, notes.

Cournault, Charles

Album "Fouilles d'Alise-Sainte-Reine"

Cet album réunit plus de 100 pièces d'archives de fouilles exécutées autour du Mont-Auxois, à la demande de Napoléon III. Ces travaux, dirigés par la Commission de Topographie des Gaules, étaient destinés à retrouver les traces archéologiques des lignes du siège d'Alésia édifiées par Jules César.
L'ouvrage rassemble des cartes, des relevés, des plans et coupes réalisés pour la plupart par l'ingénieur topographe Paul Millot entre mai 1861 et septembre 1862.
Une dédicace de Félicien de Saulcy, président de la CTG, atteste du don de ce volume au Musée de Saint-Germain.

Affiche annonçant la vente des meubles du Château-Neuf de Saint-Germain-en-Laye, saisis sur le comte d’Artois

« Département de Seine et Oise
District de Saint Germain en Laye
Vente de superbes meubles et effets à Saint Germain en Laye, au château neuf
On fait savoir qu’en exécution de la loi du deux septembre 1792, et de l’arrêté du conseil général du district dud. Saint Germain du 26 dud. mois de septembre, le tout relatif à la vente des biens des émigrés, il sera procédé le dimanche 28 octobre audit an 1792 et jours suivans, sans interruption, s’il y a lieu, ou autres jours qui seront indiqués à la poursuite et diligence de monsieur le procureur syndic dud. district, au château neuf, situé audit Saint Germain, à la vente au plus offrant et dernier enchérisseur
De tous les meubles et effets mobiliers étant dans les lieux et appartemens dud. château neuf qui appartenoient ci-devant à monsieur Charles Philippe, prince français émigré, consistant en plusieurs feux et bras de cheminée dorés en or moulu, glaces en grand volume, meubles d’Aubusson complet, rideaux de croisées encadrés d’Aubusson, pentes d’ornemens, tête à tête, six fauteuils et huit chaises de toilles de Jouy, tentures de différentes toilles et étoffes, sièges de damas vert en bois doré et autres, superbe et grande table de porphire surmontée de deux superbes vases de porcelaine du Japon avec leurs socs de cuivre doré en or moulu et garnie d’ornemens, trictrac, tables à jeux, billard et ses ustenciles, lustres de verre et cristal garnis de cuivre, lits, tentures et sièges de toilles de Jouy, de fleurets, siamoises et autres, le tout en grande quantité, tables de nuit à écrire en bois de chêne, rapport et noyer.
Linge de table et lit de différentes toilles et damassé, commodes, armoires en bois d’acajou à dessus de marbre, en bois de rapport et noyer, secrétaire, chifonnières, tables à manger ovale et quarrée, tables de cuisine etc. etc., porcelaine de Sèves et Chantilly, fayance de Rouen, le tout en grande quantité, batterie de cuisine en cuivre et en fer, et autres meubles et effets de différente nature.
Une collection de tableaux originaux de différentes écoles représentans divers objets par le Primatice, Voete, Sébastien Bourdon, Eustache Le Sueur, Van Mole et autres maîtres etc.
Du matin et de relevé. On commencera par les glaces, ensuite la batterie de cuisine, le linge sera réservé pour les vacations du soir.
Les adjudicataires seront tenus de paier comptant.
Fait en séance publique ce 26 septembre 1792, l’an premier de la République.
Les membres composant le conseil général du district de Saint Germain en Laye,
Signé, Dieulefit Beaulieu, président ; Hébert, Viez, Mieux, Spement, administrateurs ; Chandellier, procureur syndic, et Fournier, secrétaire »

Administration de département de Seine-et-Oise

Affiche annonçant l'adjudication de la location d'appartements au château de Saint-Germain-en-Laye

« District de Saint-Germain-en-Laye
Adjudication de locations de plusieurs appartements tant au Château-Vieux qu’au Grand-Commun et autres bâtiments dépendant de la ci-devant Liste civile sise à Saint-Germain-en-Laye.
Au mercredi 25 septembre 1793.
On fait savoir qu’en vertu de l’arrêté du département de Seine-et-Oise du 3 mai 1793 et de celui du district de Saint-Germain-en-Laye du 5 septembre 1793, il sera procédé le mercredi 25 dudit mois de septembre, dix heures du matin en la salle ordinaire des séances de ce district, à la continuation de la location de plusieurs appartements vacants en cette ville de Saint-Germain, dans les bâtiments dépendant de la ci-devant Liste civille : savoir
Au Château-Vieux
Seize appartements désignés sous les noms de Commyn, Derally, Hennesty, Legras, Voisins, Chambéry, Robbé, Labussière, Robillard, Clément, Saint-Germain, Delironcourt, Hubert, Lally-Tollendal, Moncron, et Faudran.
Au bâtiment dit le Grand-Commun
Deux appartements désignés sous les noms de Martin, Lafont.
Au bâtiment dit la Surintendance
Les appartements qu’occupait la défunte citoyenne Lamarck.
Le même jour, il sera procédé à l’adjudication du loyer d’une maison, dite le Buisson-Richard, située dans la forêt de Saint-Germain près le Mesnil-Carrières.
Les personnes qui voudront visiter lesdits appartements peuvent s’adresser au citoyen Crommelin, régisseur du domaine de Saint-Germain au Château-Vieux, et pour en connaître les charges au secrétariat du district de Saint-Germain.
Fait en séance publique le 5 septembre 1793, l’an deuxième de la République française, une et indivisible.
Les administrateurs composant le conseil général du district de Saint-Germain-en-Laye.
Signé : Dufresnay, vice-président ; Prevost, Corborand, Porlier, administrateurs ; Chandellier, procureur-syndic, et Fournier, secrétaire. »

Administration générale. Minutier chronologique directorial (1956-2011)

  • 2017002/1-2017002/39
  • Fonds
  • 1956-2011

Le fonds comprend les courriers arrivée et départ des différents directeurs. Des dossiers thématiques ont été réalisés par les directeurs eux-mêmes sur des sujets particuliers. Nous retrouvons par exemple le dossier « Notes internes » (2017002/39) qui regroupe plusieurs typologies : notes internes, attestations, procès-verbaux, conventions. Cependant, il est à noter que ce fonds du minutier chronologique présente de nombreuses lacunes (cf le minutier d’Alain Duval). Certains des courriers sont aujourd’hui classés avec le minutier de la conservation ou dans des dossiers d’affaire, comme ceux des expositions.
Liste des directeurs du musée d’Archéologie nationale :
Alexandre Bertrand (1867-1902)
Salomon Reinach (1902-1932)
Raymond Lantier (1932-1956)
André Varagnac (1956-1964)
René Joffroy (1964-1984)
Henri Delporte (1984-1987)
Jean-Pierre Mohen (1987-1992)
Alain Duval (1992-1996)
Patrick Périn (1996-2012)
Hilaire Multon (2012-...)

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

Acquisitions des collections muséales

  • 2018006/1-2018006/41
  • Fonds
  • 1862 - 2020

Comme l’indique la loi n°2002-5 du 4 janvier 2002, les musées nationaux ont pour missions permanentes de conserver, restaurer, étudier, enrichir leurs collections et les rendre accessibles au public le plus large. À ces missions d’intérêt public est inhérente la notion de gestion raisonnée des collections, qui recouvre les idées de propriété, de permanence, de documentation et d’accessibilité.
L’acquisition est l’activité par laquelle un objet ou un groupe d’objets rentre dans le domaine public en devenant légalement la propriété de l’État, pour ensuite être intégré aux collections nationales. La politique d’acquisition constitue une section névralgique de toute politique de gestion des collections.

Modes d’acquisition

Le terme d’acquisition est utilisé ici pour désigner l’ensemble des modes d’entrée des œuvres dans un musée :
-échange : l’objet est transféré de façon permanente dans les collections contre la remise d’un ou de plusieurs autres objets ou documents ; ce mode d’acquisition n’a pu être observé que lors des premières années du MAN ;
-transfert : l’objet est transféré d’une institution à une autre, ou du fonds consolidé d’une institution à ses collections, de façon permanente ;
-fouille : autorité mandatée pour recueillir un objet en creusant le sol ou le fond de l’eau ;
-achat : l’État acquiert d’un vendeur la propriété d’un bien, moyennant paiement, dans des conditions prédéfinies. Les achats sont réalisés auprès de particuliers ou à l’occasion de ventes publiques. Dans le cas de pièces vraiment exceptionnelles, le musée peut faire valoir le droit de préemption de l’État. Il se substitue ainsi au dernier enchérisseur et peut acquérir l’œuvre au dernier prix adjugé ;
-achat par préemption en douane : l’État français peut acheter une œuvre d’art stoppée en douane avant qu’elle ne sorte du territoire national, pour le compte des collections nationales, après négociation du prix avec le vendeur. Cette procédure est une procédure d’urgence rarement utilisée ;
-attribution par l’office des biens privés : ce mode d’acquisition concerne les œuvres récupérées en Allemagne après la Seconde Guerre mondiale, et qui n’ont pas été réclamées par leurs anciens propriétaires. Ces œuvres sont inscrites sur des inventaires particuliers et portent un numéro commençant par " MNR " ou " REC " ;
-dation : le système de la dation est soumis au double agrément du ministère des Finances et du ministère de la Culture. Il permet le paiement à titre exceptionnel des droits de succession et de mutation, ou de l’impôt sur la fortune, par la remise à l’État d’œuvres d’art ou d’objets de collection.
-don manuel : les dons proviennent majoritairement de collectionneurs, d’archéologues, d’artistes ou de leur famille, d’associations ou encore d’entreprises. Ils s’accompagnent d’un simple échange de correspondance indiquant clairement la volonté du donateur ;
-donation : elle est une libéralité qui s’accompagne d’une attestation notariée. C’est un contrat qui entraîne la transmission à titre gratuit d’un bien de façon immédiate et irrévocable et qui précise les conditions éventuelles associées par le donateur à son geste. Certaines donations sont sous réserve d’usufruit. Dans ce cas, le donateur se dessaisit de la nue-propriété des objets tout en les gardant chez lui ou chez un tiers ;
-legs : le legs permet, par disposition testamentaire, de remettre un ou plusieurs objets à l’État pour que ce dernier l’affecte à un musée. L’objet est remis à l’État et est affecté dans les collections nationales à la mort du testateur. Le legs peut être assorti de conditions que le musée est tenu de respecter dès lors qu’il l’a accepté. Certains legs sont sous réserve d’usufruit. Dans ce cas, le légataire consent l’usufruit de l’œuvre léguée à une tierce personne. Cette dernière peut en jouir jusqu’à sa mort.
-saisie en douane :l’œuvre est confisquée par les services de l’État alors qu’elle allait être illicitement portée hors du territoire national, généralement pour être vendue. L’État s’approprie de droit l’œuvre saisie. Le vendeur peut dans certains cas être dédommagé.

Le cadre juridique et procédural

    Les musées nationaux ne sont pas libres d’enrichir leurs collections comme ils le souhaitent. Tout dossier d’acquisition, à titre gratuit ou à titre onéreux fait en effet l’objet d’un processus d’instruction et de décision avant acquisition par l’État et affectation à l’établissement concerné.

Les acquisitions à titre onéreux ou gratuit sont gérées à partir de 1895 par le département des Acquisitions de la Réunion des musées nationaux (RMN-GP), puis à partir de cette date en association avec le bureau des acquisitions du service des Musées de France. La RMN-GP est au service de tous les musées nationaux services à compétence nationale (SCN) et de certains établissements publics qui connaissent un régime spécifique d’acquisition. Elle intervient aussi pour d’autres institutions patrimoniales du ministère de la Culture, d’autres ministères ou collectivités territoriales, pour la mise en œuvre d’acquisition des trésors nationaux et œuvres d’intérêt patrimonial majeur, dans le cadre de financements qui associent de plus en plus souvent la participation de l’État et des fonds publics aux mécénats d’entreprise et de particuliers.

Jusqu’au 1er janvier 2004, la principale voie d’acquisition des musées nationaux est celle des achats d’objets par l’État dans un cadre mutualiste, géré au plan administratif et financier par la RMN. La procédure d’achat repose alors sur un double système consultatif : une consultation scientifique par l’intermédiaire du Comité consultatif des musées nationaux, et une consultation institutionnelle réalisée par l’intermédiaire du Conseil artistique des musées nationaux. La décision finale revient ensuite au ministre de la Culture. L’avis de ces deux instances consultatives n’a pas officiellement de portée juridique, le ministre de la Culture est libre de décider ou non d’une acquisition.

La fin du système mutualiste est décidé en 2003. Le Comité consultatif des musées nationaux est remplacé par décret du 26 décembre 2003 par 11 commissions d’acquisition spécifiques à chaque établissement ou groupe de musées, conférant à ces derniers leur autonomie scientifique. En 2004, une Commission des acquisitions commune au musée des Antiquités nationales et au musée national de Préhistoire est créé afin de donner son avis sur les propositions d’acquisition à titre onéreux ou gratuit de biens culturels destinés à entrer dans les collections de l’État dont ces musées ont la garde. Les acquisitions sont désormais décidées pour les musées services à compétence nationale, par arrêté du ministre chargé de la Culture après avis, selon la valeur des biens, de la commission d’acquisition compétente ou du Conseil artistique des musées nationaux, et pour les musées établissements publics, par décision de l’autorité compétente de ces établissements, après avis, selon la valeur des biens, de la commission d’acquisition de l’établissement et du Conseil artistique des musées nationaux.

     Dans le cadre des orientations fixées par le Comité interministériel de la modernisation de l’action publique (CIMAP) du 18 décembre 2012 pour une nouvelle politique de la consultation, il est décidé de fusionner les commissions d’acquisition instaurées en 2004. Cette fusion permet ainsi de créer une seule et unique commission d’acquisition commune à 18 musées nationaux, chargée de donner un avis sur les propositions d’acquisition, à titre onéreux ou gratuit, de biens culturels destinés à entrer dans les collections de l’État dont ces musées ont la garde. Cet effort de rationalisation a pour objectif de rendre possible, pour les responsables des musées nationaux, une meilleure vision globale des projets d’acquisitions financés sur l’enveloppe budgétaire allouée par l’État à la RMN-GP, et pour l’administration centrale, à mieux coordonner la politique d’acquisition de ces mêmes musées.

La nouvelle commission est présidée par le directeur chargé des musées de France et est composée de 11 membres de droit, représentants des musées nationaux, et de 10 personnalités qualifiées, nommées pour quatre ans en raison de leurs compétences dans les champs scientifiques concernés ou de leur connaissance du marché de l’art. La RMN-GP continue pour sa part à assister le service des musées de France pour assurer le secrétariat de la commission. Cette commission d’acquisition unique est officiellement instaurée par le décret n° 2016-924 du 5 juillet 2016, et effective à partir du 1er octobre. De la même année.

À la suite de l’acquisition par le château de Versailles de faux meubles du XVIIIème siècle et afin de mieux protéger les établissements nationaux contre ce type de trafic, Audrey Azoulay, ministre de la Culture et de la Communication, décide la même année de réformer la chaîne d’acquisition dans les musées nationaux. Un vade-mecum est ainsi rédigé à l’usage des conservateurs des musées nationaux, des chefs d’établissements ainsi que de la Commission d’acquisition pour poser les principes régissant les procédures d’acquisition et rappeler la déontologie à respecter. Un pôle d’expertise scientifique, coordonné par le Centre de recherche et de restauration des musées de France (C2RMF), piloté par le service des Musées de France, et associant le Laboratoire de recherche des monuments historiques (LRMF), le centre interdisciplinaire de conservation-restauration du patrimoine et le Mobilier national, est également créé pour éclairer l’avis des membres des commissions d’acquisition. Enfin, le décret n° 2017-1047 du 10 mai 2017 réforme le fonctionnement et la composition du Conseil artistique de la Réunion des musées nationaux.

Le dossier d’acquisition

Les typologies nécessaires au processus d’acquisition que nous retrouvons dans les dossiers d’acquisition sont : la proposition d’acquisition, l’ampliation de l’arrêté ou du décret ministériel d’acquisition, la liste des objets acquis ou proposés à la vente, l’attestation de réception du ou des objets, la correspondance.

Un certain nombre de dossiers, comme le dossier MAN 77621, ne contiennent qu’une copie de l’ampliation de l’arrêté ministériel d’acquisition, alors que d’autres dossiers, à l’image du dossier MAN 75452, en sont dépourvus.
La richesse des dossiers vient en grande partie de la correspondance qui apporte toute la contextualisation de l’acquisition concernée.

La politique d’acquisition du MAN

Le fonds des acquisitions retrace 151 ans de politique d’acquisition menée par le musée d’Archéologie nationale. Le MAN est aujourd’hui doté de collections fortes de près de 3 millions d’objets, constituées au fil du temps selon des modalités d’entrée et des dynamiques variables.

Le MAN possède un inventaire manuscrit unique dont les premiers numéros ont été inscrits en 1862. Cet inventaire composé de 11 volumes liste les acquisitions de collections, objets archéologiques originaux, moulages, tableaux et sculptures, mais également un certain nombre d’acquisitions de documents d’archives et de livres qui aurait dû être porté sur le registre d’entrée de la bibliothèque tenu vraisemblablement pour sa part depuis 1865. L’inventaire permet d’identifier les objets acquis par le musée et d’en assurer la gestion. Ce document fait foi de la propriété des œuvres et garantit la permanence de la collection. Il constitue également une source essentielle de connaissance des collections du musée et permet de dresser un bilan de la politique d’acquisitions de l’établissement (l’inscription à l’inventaire pouvant être rétrospectif, la chronologie d’entrée des acquisitions reste cependant difficile à préciser sans l’étude détaillée des dossiers d’acquisition).

Sous le patronage de l’empereur Napoléon III et de son entourage, le MAN bénéficie dès sa création d’un contexte d’enrichissement de ses collections particulièrement favorable. Jusqu’au début des années 1910, le musée multiplie les acquisitions à un rythme particulièrement soutenu afin de répondre à la quasi-inexistence de collection préexistant à la création de l’établissement. Afin de réunir rapidement des collections, et de façon peu onéreuse, il est d’abord fait appel aux dons. Les collections du MAN se construisent ainsi principalement autour de dons dont le volume et la qualité exceptionnels, à l’image des donations du baron J. de Baye ou des frères Morgan, participent à renforcer la position d’institution de référence. Les acquisitions onéreuses sont beaucoup plus rares dans les premiers temps du musée.

L’évolution du cadre réglementaire de l’archéologie et de la réglementation des acquisitions des musées nationaux transforme ensuite progressivement les modalités de constitution des collections du MAN et leur composition. Depuis l’entre-deux-guerres, la politique d’enrichissement du musée est ainsi principalement de caractère opportuniste. Le marché de l’art, avec un recours régulier à la préemption lors de ventes publiques, les acquisitions auprès de particuliers ou de galeries, et les dons sont aujourd’hui les modes principaux d’enrichissement des collections. Les acquisitions à titre gratuit sont néanmoins en déclin depuis une vingtaine d’années. Faute de place et faute d’un cadre général pour l’entrée des objets archéologiques dans les musées de France, les acquisitions portent essentiellement sur des objets et non plus sur des ensembles ou des séries archéologiques dans leur intégralité.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

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