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Description archivistique
Flouest, Edouard France Avec objets numériques
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Planche 3

Cinq objets métalliques, tumulus d’Alaise (Doubs), lancette de vétérinaire (?), Langres, conservée dans le cabinet Defay, objet en bronze, Champcueil (Seine-et-Oise), conservé au musée d’Archéologie nationale de Saint-Germain-en-Laye inv. MAN 2056, objet en fer, Tarquimpol (antique Decempagi, Moselle), objet en fer, camp de Bibron (Vienne) [dessins aquarellés d’Édouard Flouest dont un d’après un dessin d’Auguste François Lièvre, 2018007/83/3].

Flouest, Edouard

Planche 1

Chaîne, découverte vers 1780 à Avrolles [dessin aquarellé d’Édouard Flouest d’après un dessin de Mme Mongez pour le Recueil d’antiquités de l’Encyclopédie méthodique de 1804, 2018007/56/1].

Flouest, Edouard

Dessin des armes d'Alise (Bib 46491)

Planche d'Édouard Flouest, d’après un dessin du général Creuly gravé par Saunier pour la Revue archéologique
"Armes recueillies dans la plaine au-dessous d’Alise"
Sans date [après 1861]
Signé Ed. F.
Don de Mademoiselle Flouest au MAN, 1892
Saint-Germain-en-Laye, musée d’Archéologie nationale, Centre des archives, fonds Édouard Flouest, 2018007/14/1

Le 2 juin 1861, alors que les fouilles d’Alise-Sainte-Reine menées à l’instigation de l’empereur par la Commission de Topographie des Gaules ont débuté depuis peu, Édouard Flouest est nommé procureur à Semur-en-Auxois, à quelques kilomètres de là. Dès décembre 1861, il intègre la Société des sciences naturelles de Semur et participe activement à sa réorganisation, notamment en faveur de l’intégration des sciences historiques, au rang desquelles se place l’archéologie.
Ce dessin à l’encre et à l’aquarelle reproduit une planche dessinée par le général Creuly, publiée dans la Revue archéologique du second semestre 1861 dans un article sur les « Armes et objets divers provenant des fouilles exécutées à Alise-Sainte-Reine (Côte-d’Or) ». Édouard Flouest prend une certaine liberté dans la recomposition de la planche et sa mise en couleur. Néanmoins, ses dessins témoignent de l’intérêt porté par les sociétés savantes aux résultats des fouilles menées par Napoléon III et, plus spécifiquement, au site d’Alise-Sainte-Reine.
Ces armes en bronze et en fer proviennent en grande partie des découvertes faites en novembre 1860 au moment du drainage du canal d’écoulement des eaux de la propriété de M. de Gasc, nommé « Fausse rivière », qui ont attiré l’attention de la CTG, et des fouilles qui ont suivi au printemps 1861. Seul le n°23 est une épée trouvée dans le canal de Bourgogne, en bas de la plaine des Laumes. Pour l’auteur de l’article de la Revue archéologique il s’agit sans aucun doute d’armes gauloises « tombées des mains défaillantes des défenseurs d’Alésia », hypothèse invalidée par les découvertes postérieures.

Flouest, Edouard

Planche 10

Épée et phalère en bronze, Fleurey-sur-Ouche (Côte-d’Or), conservée dans le cabinet d’Henri Baudot à Dijon, pièce décorative en métal, conservée au musée Calvet à Avignon, tronçon d’épée en fer, conservé au musée de Beaune (Côte-d’Or) [dessins aquarellés d’Henri Baudot et d’Édouard Flouest, 2018007/98/10].

Baudot, Henri

Planche 1

Rasoir, découvert dans les fouilles de Frédéric Moreau en 1890, couteaux et bouterolle, conservés au musée municipal de Bourges[dessin aquarellé de Pierre de Goy, 2018007/13/1].

Goy, Pierre (de)

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