- 1
- Pièce
- sans date
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Plan du Camp des Césarines
Commission de Topographie des Gaules
502 résultats avec objets numériques Afficher les résultats avec des objets numériques
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Plan du Camp des Césarines
Commission de Topographie des Gaules
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Commission de Topographie des Gaules
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Les objets représentés étaient conservés à la bibliothèque municipale de Châtillon-sur-Seine.
Commission de Topographie des Gaules
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Découverte à Merten [Notice, Restitution de la Colonne et Carte] – Découverte publiée en 1878
Dessin de M. Prost
Commission de Topographie des Gaules
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Vue des ruines d'Allonnes, lithographie de Monnoyer au Mans. Le document est signé par Eugène Hucher.
Commission de Topographie des Gaules
Vue de la nécropole gauloise d'Auvers-Saint-Georges
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Dessin au crayon, réalisé par Paul Guégan, d'une vue des sépultures gauloises d'Auvers-Saint-Georges (Seine-et-Oise).
Commission de Topographie des Gaules
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Courrier de Monsieur Godard-Faultrier, de Angers, daté du 5 novembre 1865.
Commission de Topographie des Gaules
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Trois dessins : face et profil et coupe d'une hache par Raimond Pottier, décembre 1877.
[Dessins de face et profil d'une hache] Type A du Projet de classification des bracelets en bronze, Meytet, près d'Annecy, M. Annecy (l'anneau a été ajouté par le dessinateur). Sans date.
Commission de Topographie des Gaules
Trois dessins d'un même animal sculpté : Sculpture en pierre de la station de Solutré
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Trois dessins d'un même animal sculpté en pierre, provenant de la station de Solutré et daté du 27 novembre 1867. L'objet est conservé dans la collection de Ferry. Les dessins sont annotés à la plume.
Commission de Topographie des Gaules
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Trois dessins de statues provenant d'Autun, copiées par Gabriel Bulliot. Le document porte la mention "Commission de la topographie des Gaules" et n'est pas daté.
Commission de Topographie des Gaules
Tombelles jumelles près de la Croix Saint-Pierre (plan)
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Plan des tombelles jumelles situées près de la Croix Saint-Pierre. Lande de Coujou IV (sic). Le document porte un numéro d'inventaire coupé et la signature d'Alfred Ramé ou Alexandre Bertrand (?).
Cf. Alfred Ramé, Le Champ funéraire de Cojou, Revue archéologique, 1864, vol. 9, p 81.
Commission de Topographie des Gaules
Tombeau en serpentine trouvé à Cahors dans des substructions gallo-romaines
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Tombeau en serpentine trouvé à Cahors dans des substructions gallo-romaines (élévation - plan - coupe)
Commission de Topographie des Gaules
Tertre, enceinte et dolmen du Four Sarrazin (plan et coupe)
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Plan et coupe du tertre, de l'enceinte et du dolmen du Four Sarrazin (commune de Saint-Just). Lande de Coujou, planche I (sic). Le document porte un numéro d'inventaire coupé et la signature d'Alfred Ramé ou d'Alexandre Bertrand (?).
Cf.Alfred Ramé, Le Champ funéraire de Cojou, Revue archéologique, 1864, vol. 9, p 81.
Commission de Topographie des Gaules
Tertre et menhirs du Chateau Bû (vue)
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Vue du tertre et des menhirs du Chateau Bû. Lande de Coujou, VIII (sic). Le document porte un numéro d'inventaire coupé et la signature d'Alfred Ramé ou d'Alexandre Bertrand (?).
Cf.Alfred Ramé, Le Champ funéraire de Cojou, Revue archéologique, 1864, vol. 9, p 81.
Commission de Topographie des Gaules
Tertre et menhirs du Chateau Bû (plan)
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Plan à l'échelle du tertre et des menhirs du Chateau Bû sur la commune de Saint-Just. Lande de Coujou VI (sic). Le document porte un numéro d'inventaire coupé et la signature d'Alfred Ramé ou d'Alexandre Bertrand (?).
Cf. Alfred Ramé, Le Champ funéraire de Cojou, Revue archéologique, 1864, vol. 9, 81.
Commission de Topographie des Gaules
Tertre et enceinte de La Croix Saint-Pierre (plan)
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Plan à l'échelle du tertre et de l'enceinte de la Croix Saint-Pierre (sur la commune de Saint-Just). Lande de Coujou V (sic). Le document porte un numéro d'inventaire coupé et la signature d'Alfred Ramé ou d'Alexandre Bertrand (?).
Cf.Alfred Ramé, Le Champ funéraire de Cojou, Revue archéologique, 1864, vol. 9, p 81.
Commission de Topographie des Gaules
Silex de la Brèche osseuse de Genay, près Semur
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Par Armand Bruzard.
Commission de Topographie des Gaules
Second rapport à Sa Majesté l'Empereur sur les travaux de la commission de topographie des Gaules
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Le document présenté en objet numérique est un extrait du Journal Général de l'Instruction Publique, p. 757-759, paru le mercredi 27 novembre 1861.
L'extrait porte sur le rapport du ministre de l'Instruction publique Gustave Rouland à Napoléon III relatif à la CTG.
Ministère de l'Instruction publique
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Commission de Topographie des Gaules
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Par Camille Germain.
Commission de Topographie des Gaules
Reproductions de bas-reliefs parues dans le bulletin archéologique du Progrès
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Planches d'illustrations issues du bulletin archéologique du Progrès du 15 mars 1867 représentant des bas-reliefs et des tombes gallo-romaines provenant de Bordeaux (CIL, XIII, 618, 793, 611, 809(?), 651). L'ensemble réparti sur plusieurs pages de l'album noir 9 a été donné par Pierre Sansas, correspondant de la CTG (feuillet Cotteau).
Commission de Topographie des Gaules
Relevés préparatoires des mégalithes au crayon pour les planches
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Relevés numérotés au crayon des pierres gravées du dolmen de Mané Lud. Echelle à 5 cm pour 1m.
Commission de Topographie des Gaules
Relevés d'un dolmen découvert dans un jardin à Draguignan
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Relevés avec dimensions d'un dolmen découvert dans un jardin de Draguignan par Teissier en 1828.
Commission de Topographie des Gaules
Relevés du tumulus de Mané Lud
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Un plan de la fouille et 3 relevés du tumulus de Mané Lud, réalisés par René Galles, correspondant de la Commission de Topographie des Gaules et Samuel Ferguson.
Commission de Topographie des Gaules
Relevés des mégalithes sur la commune de Pluneret
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
1 relevé numéroté de monuments mégalithiques se trouvant sur la commune de Pluneret. L'ensemble réalisé par Louis Galles (cousin de René Galles, membre de la CTG), se compose de 2 cartes (canton d'Auray et canton de Quiberon) et d'une série de relevés de mégalithes numérotés par commune.
Commission de Topographie des Gaules
Relevés des mégalithes sur la commune de Plouharnel
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
9 relevés numérotés de monuments mégalithiques se trouvant sur la commune de Plouharnel. L'ensemble réalisé par Louis Galles (cousin de René Galles, membre de la CTG), se compose de 2 cartes (canton d'Auray et canton de Quiberon) et d'une série de relevés de mégalithes numérotés par commune.
Commission de Topographie des Gaules
Relevés des mégalithes sur la commune de Plougoumelen
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
4 relevés numérotés de monuments mégalithiques se trouvant sur la commune de Plougoumelen. L'ensemble réalisé par Louis Galles (cousin de René Galles, membre de la CTG), se compose de 2 cartes (canton d'Auray et canton de Quiberon) et d'une série de relevés de mégalithes numérotés par commune.
Commission de Topographie des Gaules
Relevés des mégalithes sur la commune de Locmariaquer
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
20 relevés numérotés de monuments mégalithiques se trouvant sur la commune de Locmariaquer. L'ensemble réalisé par Louis Galles (cousin de René Galles, membre de la CTG), se compose de 2 cartes (canton d'Auray et canton de Quiberon) et d'une série de relevés de mégalithes numérotés par commune.
Commission de Topographie des Gaules
Relevés des mégalithes sur la commune de la Trinité-sur-mer
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
9 relevés numérotés de monuments mégalithiques se trouvant sur la commune de la Trinité-sur-mer. L'ensemble réalisé par Louis Galles (cousin de René Galles, membre de la CTG), se compose de 2 cartes (canton d'Auray et canton de Quiberon) et d'une série de relevés de mégalithes numérotés par commune.
1 dessin d'objet au crayon, provenant du dolmen de Kervilor, réalisé par Antoine Léon Davy de Cussé en 1879.
Commission de Topographie des Gaules
Relevés des mégalithes sur la commune de Crac'h
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
8 relevés numérotés de monuments mégalithiques se trouvant sur la commune de Crac'h. L'ensemble réalisé par Louis Galles (cousin de René Galles, membre de la CTG), se compose de 2 cartes (canton d'Auray et canton de Quiberon) et d'une série de relevés de mégalithes numérotés par commune.
Commission de Topographie des Gaules
Relevés des mégalithes sur la commune de Carnac
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
13 relevés numérotés de monuments mégalithiques se trouvant sur la commune de Carnac, la série comprenait 17 dessins numérotés, seuls sont conservés les relevés n°3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 13, 14, 15, 16, 17. L'ensemble réalisé par Louis Galles (cousin de René Galles, membre de la CTG), se compose de 2 cartes (canton d'Auray et canton de Quiberon) et d'une série de relevés de mégalithes numérotés par commune.
Commission de Topographie des Gaules
Relevés de coupes stratigraphiques de Saint-Acheul et d'Abbeville
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Planche du Dictionnaire de la CTG présentant différentes coupes des terrains quaternaires de la vallée de la Somme (Saint-Acheul et Abbeville), réalisées par Edouard Collomb.
Commission de Topographie des Gaules
Relevés de coupes réalisées à Saint-Acheul
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Relevés de coupes légendés et réalisés dans des terrains quaternaires sur le site de Saint-Acheul. Ces relevés ont été réalisés par Edouard Collomb et semblent avoir été destinés à l'une des planches du Dictionnaire des Gaules - époque celtique, de la Commission de Topographie des Gaules.
Commission de Topographie des Gaules
Relevé et coupe du dolmen de Mané Lud
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Plan, coupes et relevé d'une des pierres gravées du dolmen de Mané Lud à Locmariaquer
Commission de Topographie des Gaules
Relevé en plan et en coupe du tumulus de Mané Lud
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Relevés en plan et différentes coupes du tumulus de Mané Lud, Locmariaquer
Commission de Topographie des Gaules
Relevé d'une inscription romaine encastrée dans le mur de l'église
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Relevé de l'inscription CIL, XII, 2562 en provenance de Seyssel, réalisé par Louis Revon. Le relevé est suivi d'une notice :
"Inscription romaine encastrée dans le mur extérieur de l'église. Elle porte un nom topique, DEO VINTIO POLLUCI, qui rappelle le nom de VENS, hameau de la même commune, emplacement de la station romaine de Condate d'où provient ce monument. Cf l'inscription AUG. VIN///....SACER. VINTI..., trouvée à Hauteville (Marcellaz), à 13 km de la précédente (L. Revon)"
Commission de Topographie des Gaules
Relevé d'une coupe stratigraphique à Saint-Acheul
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Dessin aquarellé de la coupe stratigraphique prise à Saint-Acheul lors de la découverte d'une tombe gallo-romaine par E. Lartet et Collomb.
Dessin réalisé par E. Collomb.
Commission de Topographie des Gaules
Relevé d'une coupe prise à Menchecourt
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Relevé d'une coupe réalisée sur le site de Menchecourt à Abbeville par Edouard Collomb, le 5 mars 1866.
Commission de Topographie des Gaules
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Relevé au crayon du dolmen de Kiaval (échelle 2 cm pour 1 mètre), par Abel Maître avec des indications pour la gravure à l'échelle.
Commission de Topographie des Gaules
Relevé aquarellé d'une coupe réalisée à Saint-Acheul par Lartet et Collomb
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Relevé aquarellé et annoté d'une coupe réalisée à Saint-Acheul par Edouard Lartet et Edouard Collomb
Commission de Topographie des Gaules
Relevé aquarellé d'une coupe réalisée à Saint-Acheul
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Relevé aquarellé et légendé d'une coupe réalisée à Saint-Acheul, réalisé par Edouard Collomb.
Commission de Topographie des Gaules
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
La nature des documents est très variée : correspondance, arrêtés de nomination, rapports.
Ministère de l'Instruction publique
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Ministère de l'Instruction publique
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Planches d'objets du trésor de Réallon conservés au Musée des antiquités nationales de St-Germain (aujourd'hui le MAN). Les planches sont intitulées : "Études paléoethnologiques dans la partie moyenne du bassin du Rhône, Âge du Bronze, 2e époque". Sous la direction d'Ernest Chantre. Enregistrement au dépôt légal de la Seine.
Commission de Topographie des Gaules
Rapport pour la mise en oeuvre de la première carte
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Le document présenté en objet numérique a été écrit par Anatole de Barthélemy, secrétaire de la Commission de Topographie des Gaules. Il est adressé à Mr Jourdain, chef de division.
Commission de Topographie des Gaules
Rapport de Charles Cournault sur les vestiges archéologiques de la Meurthe
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Cournault, Charles
Rapport concernant une éventuelle modification des fossés du château de Saint-Germain-en-Laye
Fait partie de Corpus numérique sur l'histoire du château et des jardins de Saint-Germain-en-Laye
« Ministère de l’Instruction publique et des Beaux-Arts
Beaux-Arts
Château et parterres et terrasses de Saint-Germain-en-Laye
Bureau de l’architecte
République française
Saint-Germain-en-Laye, le 20 novembre 1906
L’architecte du château de Saint-Germain à monsieur le sous-secrétaire d’Etat des Beaux-Arts.
Le soussigné a reçu le 26 octobre dernier communication du dossier transmis au service des Bâtiments civils par M. le préfet de Seine-et-Oise relatif à une demande formulée par M. le maire de Saint-Germain en vue d’une modification du périmètre du fossé sud-ouest qui entoure le château de ce côté.
Un rapport adressé à la date du 7 octobre 1905 à M. le sous-secrétaire d’Etat avait fait connaître l’avis du soussigné. Il reconnaissait les avantages que présentait pour la ville la modification dont il s’agit, favorable à la circulation devenue très active sur ce point.
Cette affaire déjà examinée par le bureau des Bâtiments civils et par le bureau compétent du Domaine, qui estimait la valeur du terrain à céder à la Ville, à 20 francs le mètre carré, soit pour 317 m. 67 d. une somme de 6353 f. 40 c.
En ce qui concerne la construction du mur suivant le tracé nouveau, un devis sommaire estimait la dépense à 30000 francs. On doit ajouter que les travaux devraient être confiés à l’entrepreneur adjudicataire de la restauration, sous la direction de l’architecte de l’édifice.
Dans le rapport précité du 7 octobre 1905, le soussigné exposait qu’en compensation des avantages considérables qui résulteraient pour la ville de Saint-Germain du nouveau périmètre figuré au plan joint au rapport, l’Etat pourrait réclamer de son côté la disparition d’un chalet de nécessité établi en 1891 juste en face de l’entrée du musée des Antiquités nationales, malgré la vive opposition faite au nom de l’administration des Bâtiments civils dès le commencement des travaux de la fâcheuse construction. Cet édicule déshonore la place du Château et n’a été édifié que pour procurer à la Ville un revenu qu’augmentent encore une concession d’affichage permanente et disparate, comme le sont ces sortes d’exploitations.
Le soussigné proposait en outre la cessation d’une servitude d’écoulement d’eaux de surface de la place du Château au travers d’une portion du parc en longeant la tranchée du chemin de fer dans une longueur considérable conduisant les eaux depuis leur arrivée au parc par une large gargouille, suffisant à peine au débit par les pluies violentes, d’une eau souillée de matières boueuses devenant stagnantes près du regard d’absorption ; là, les vases s’amassent jusqu’à recouvrir le trottoir, empêchant la circulation au point bas de ce trottoir : le limon séjourne et transforme en cloaque une surface assez considérable ; de plus, les eaux boueuses engorgent les canalisations souterraines et nécessitent des curages fréquents, et même des frais de vidange qui grèvent le crédit affecté à l’entretien des parterres et terrasses. Les inconvénients graves signalés pourraient être évités moyennent des travaux assez minimes à faire par les soins du service municipal, qui dispose de canalisations publiques dans le voisinage de la gare et devrait recevoir les eaux du sol de la ville ; un pareil travail est facile, car le service même des Eaux proposait de l’exécuter au compte de l’Etat, ce qui paraissait inadmissible.
On peut faire remarquer que la servitude ne date que de l’époque où la tranchée du chemin de fer a été établie et n’avait anciennement qu’un inconvénient peu grave, car il s’agissait d’eau de pluie. Depuis, l’expérience est faite. L’affluence de voitures est devenue plus grande sur la portion de place favorable à leur stationnement : la malpropreté causée par les chevaux devient intolérable et très dommageable à la bonne tenue de la portion des parterres voisine de la tranchée. De l’avis du soussigné, il faut faire cesser les inconvénients qui résultent du fait signalé. M. le maire de Saint-Germain a d’ailleurs été informé par le soussigné, dès les premiers pourparlers à propos de la modification du périmètre du fossé, que les deux réclamations faites à la Ville, 1° suppression du chalet, 2° cessation de la servitude, feraient l’objet d’une proposition conditionnelle à l’acceptation du principe de donner à la voie publique un supplément de surface aux dépens du fossé.
Le soussigné ne peut suivre les déductions historiques sur lesquelles s’appuye la municipalité de Saint-Germain pour demander que l’Etat restitue une partie de surface des fossés du château comme ayant été autrefois prise à ses dépens : la citation d’un passage du texte qui accompagne la description du château de Saint-Germain par Androuet du Cerceau engagerait aussi à se reporter au plan figurant au livre « Les plus excellents bâtiments de France » ; on y verrait que le périmètre du château avait un tout autre contour que celui actuel. Suivant le plan dont il est fait mention, des bâtiments, une vase cour, occupaient la place entière.
Mais des volontés souveraines sont intervenues depuis, il est visible que tout a été modifié de ce côté, lors des travaux exécutés par Mansart pour construire les ailes aujourd’hui disparues ; des abandons et des compensations ont été consentis, et fort largement, comme le démontrent les calques ci-joints ; il n’y a donc rien de soutenable par la municipalité de ce côté ; on peut considérer encore qu’il y a état de faite depuis 1680 au moins.
A la page 3 du mémoire présenté par la Ville, il est dit que la restauration du château de Saint-Germain a été entreprise dans le but de reconstituer ce monument, dans son ensemble et dans ses détails, tel qu’il existait sous le règne de François Ier.
La réalisation finale est proche, et l’on a suivi les projets approuvés ; aucun retour ne peut plus être fait au passé et, par conséquent, au périmètre datant du XVIIe siècle, sans des conditions, d’ailleurs très conciliantes, que propose l’architecte du château.
Il semblerait, suivant l’opinion de la municipalité, que la rectification des murs, telle qu’elle la réclame, devrait être faite aux frais de l’Etat et que le travail serait la conséquence des dessins dressés par M. Millet, auteur du projet de restauration ; c’est erroné : le devis général ne comprend qu’une somme de 49000 francs pour la mise en état des murs des fossés : cette somme sera à peine suffisante pour le travail indispensable sur un périmètre encore considérable ; ces murs jusqu’à présent n’ont été réparés que partiellement du côté du nord et de l’est et aussi à l’angle sud-ouest (travaux faits par les soins de M. Millet) et, dernière remarque, l’éminent architecte ne se proposait pas de modifier plus tard ce qu’il ordonnait, car la partie sud-ouest dont on demande la reconstruction sur le crédit d’achèvement de la restauration était parmi les murs qu’il faisait réparer.
De l’avis du soussigné, les arguments mis en avant par le conseil municipal n’ont aucune valeur, comme pourra l’apprécier l’administration des Bâtiments civils.
L’architecte du château de Saint-Germain
Daumet »
Ministère de l'Instruction publique
Rapport concernant une éventuelle modification des fossés du château de Saint-Germain-en-Laye
Fait partie de Corpus numérique sur l'histoire du château et des jardins de Saint-Germain-en-Laye
« Ministère de l’Instruction publique, des Beaux-Arts et des Cultes
Sous-secrétariat d’Etat des Beaux-Arts
Paris, le 15 septembre 1911
Rapport de l’inspecteur général de la 1ère division des Bâtiments civils à monsieur le sous-secrétaire d’Etat des Beaux-Arts (bureau des Bâtiments civils et des Palais nationaux)
En réponse à votre lettre du 14 septembre courant, j’ai l’honneur de vous faire savoir que j’ai eu l’occasion, ces jours derniers, d’examiner à nouveau sur place avec M. l’architecte Daumet la question du rétrécissement, au profit de la voir publique, du fossé, côté de la place Thiers, du château de Saint-Germain, et que ce rétrécissement, suivant le tracé que vous avez bien voulu me communiquer et dont j’ai pu me rendre compte, ne nuirait d’aucune façon au bon aspect du château. Je suis donc d’avis d’accueillir favorablement la demande de la municipalité de Saint-Germain, à la condition toutefois, et sine qua non, que l’élargissement de la place Thiers pris sur le fossé du château ne sera pas au moyen proposé d’un encorbellement en ciment armé qui serait d’un aspect déplorable, mais au moyen d’arcades en sous-sol, ouvertes sur le devant, de manière à pouvoir utiliser le terrain, et dont la face sur le fossé serait en pierre dure, le reste pouvant être en meulière ou autres matériaux offrant les mêmes garanties de solidité et de durée que la pierre.
Quant aux autres conditions, elles doivent être celles formulées par M. Daumet en son rapport du 29 août 1911, c’est-à-dire que l’on fera disparaître l’affreux et dégoûtant chalet de nécessités ainsi que les urinoirs qui déshonorent la place et l’entrée du château et qu’on fera cesser la servitude d’écoulement des eaux de surface de cette place à travers le parc.
Quant au partage de la dépense, en ce qui concerne le rétrécissement du fossé pour élargir la place Thiers et qui serait, selon M. Daumet, entre six intéressés, c’est à vous qu’il appartient de décider.
C. Moyaux »
Ministère de l'Instruction publique
Rapport concernant une éventuelle modification des fossés du château de Saint-Germain-en-Laye
Fait partie de Corpus numérique sur l'histoire du château et des jardins de Saint-Germain-en-Laye
« Ministère de l’Instruction publique, des Beaux-Arts et des Cultes
Sous-secrétariat d’Etat des Beaux-Arts
Paris, le 2 janvier 1907
Rapport de l’inspecteur général de la 1ère division des Bâtiments civils à monsieur le sous-secrétaire d’Etat des Beaux-Arts (bureau des Bâtiments civils et des Palais nationaux)
Par votre lettre du 30 novembre dernier, vous m’avez fait l’honneur de me demander mes observations et mon avis à propos de la diminution de largeur, au profit de la voie publique, demandée par la municipalité de Saint-Germain-en-Laye du fossé du château au droit de la place Thiers. La question soulevée par la ville de Saint-Germain, appuyée par le général Buisson, n’est pas nouvelle. Elle a fait l’objet de mes rapports du 11 octobre 1903 et du 5 janvier 1905. Pas plus que M. l’architecte Daumet, je n’ai changé d’avis.
La ville de Saint-Germain se montre vraiment trop exigeante. Elle demande à l’Etat de très importants avantages pour elle, mais sans vouloir accorder la moindre compensation. Elle s’est montrée tout aussi peu conciliante, malgré la faveur que lui avait accordée l’Etat d’accéder à la gare par la rue de la Surintendance, lorsqu’elle a fait construire, au centre même de la place, en face de l’entrée du château, de ce château qui attire tant de visiteurs pour le bien des commerçants de la ville, le déshonorant chalet de nécessité qu’elle aurait pu placer autre part si elle avait daigné tenir compte des observations très sages qui lui ont été faites à ce sujet. Il faut relire mes rapports du 4 septembre 1892 et du 12 février 1893. Elle ne peut donc que s’en prendre à elle-même, à son mauvais vouloir, si aujourd’hui l’Etat ne se montre pas plus conciliant qu’elle ne l’a été pour exiger, profitant de la circonstance, que cet abominable chalet disparaisse.
Nous ignorons quelle est l’importance du dédit qu’imposerait la compagnie concessionnaire si cette disparition devait être effectuée. Nous savons seulement que la durée de la concession doit être encore de quatorze ans après lesquels la construction serait la propriété de la ville et que la redevance annuelle est de un franc.
La ville de Saint-Germain est si peu conciliante que, maintenant que les eaux devenues sales de la place pourraient sans inconvénient pour elle être déversées dans l’égout, elle ne semble pas vouloir consentir à l’extinction de la servitude qui oblige à faire traverser le parc par ces eaux. Mon avis est qu’on ferait une grande faute si l’on ne tenait pas rigoureusement compte des observations contenues dans le dernier rapport de M. l’architecte Daumet, rapport en date, comme il est dit plus haut, du 20 novembre 1906.
C. Moyaux »
Ministère de l'Instruction publique
Rapport concernant les travaux au château de Saint-Germain-en-Laye
Fait partie de Corpus numérique sur l'histoire du château et des jardins de Saint-Germain-en-Laye
« Ministère de l’Instruction publique et des Beaux-Arts
Direction générale des Beaux-Arts
Direction des Bâtiments civils et des Palais nationaux
Paris, le 22 mars 1884
Rapport à monsieur le ministre de l’Instruction publique et des Beaux-Arts
Monsieur le Ministre
Le château de Saint-Germain a été compris pour une somme de 120000 f. dans la répartition du crédit affecté en 1884 aux réfections et grosses réparations des Bâtiments civils et inscrit au chapitre 37 du budget ordinaire des Beaux-Arts.
En vue de l’exécution des travaux de restauration que comporte la dite allocation, M. Lafollye, architecte du château de Saint-Germain, a fait souscrire diverses soumissions aux termes desquelles les entrepreneurs dénommés ci-après s’engagent à exécuter les travaux dont il s’agit moyennant les conditions suivantes, savoir :
Maçonnerie : M. A. Morin, travaux évalués à 65500 f., rabais de 10 % sur les prix de la série des Bâtiments civils et des Palais nationaux, édition 1882.
Charpente : M. Breton Louis, travaux évalués à 6000 f., rabais de 15 % sur les prix de la même série.
Serrurerie : M. Paul Moutier, travaux évalués à 7000 f., rabais de 7 % sur les prix de la même série.
Menuiserie : M. A. Hoffmann, travaux évalués à 11500 f., rabais de 10 % sur les prix de la même série.
Peinture : M. E. Robiche, travaux évalués à 9500 f., rabais de 14 % sur les prix de la même série.
Sculpture d’ornement : M. Rouget, travaux évalués à 5000 f., une série des prix spéciale, applicable aux dits travaux, est insérée dans la soumission du sieur Rouget.
Les travaux de maçonnerie qu’il s’agit d’exécuter, étant d’une nature toute spéciale et présentant un caractère artistique, peuvent, aux termes du décret du 18 novembre 1882 (article 18, paragraphe 5), faire l’objet d’un marché de gré à gré, ainsi que cela se fait pour les travaux analogues au château de Pierrefonds.
En conséquence, j’ai l’honneur de vous proposer, Monsieur le Ministre, de vouloir bien approuver la soumission relative à l’exécution des dits travaux ainsi que celles souscrites en vue des ouvrages d’autre nature qui, ne s’élevant pas à 20000 f., peuvent également être traités de gré à gré (article 18, paragraphe 1er du décret précité).
Si vous adoptez ces propositions, je vous prierai, Monsieur le Ministre, de vouloir bien revêtir de votre signature le présent rapport et l’arrêté ci-joint, nécessaire pour la régularisation de la soumission souscrite par le sieur A. Morin.
Veuillez agréer, Monsieur le Ministre, l’expression de mon respectueux dévouement.
Le directeur des Bâtiments civils et des Palais nationaux
P. Poulin
Vu et approuvé
Paris, le 28 mars 1884
Le ministre de l’Instruction publique et des Beaux-Arts
A. Fallières »
Ministère de l'Instruction publique