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Château-Vieux Pièce
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76 XIV

76 XIV. Bâtiment sud. Projet de lambris en sapin pour le vestibule de la bibliothèque. Élévations des 4 côtés. Calque contrecollé. Encre de Chine, lavis. 12 mars 1886. Signé par Auguste Lafollye. Coté n°478 au recto. 45x61 cm. Fonds du Domaine.
Face.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

65 XIV

65 XIV. Bâtiment sud ; 1er étage. Bibliothèque du musée. Projet de plafond lambrissé. Encre de Chine, aquarelle. 25 juin 1885. Signé par Auguste Lafollye. Coté n°463 au recto. 48x67 cm, Fonds du Domaine.
Face.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

70 XIV

70 XIV. Bâtiment sud ; 1er étage. Bibliothèque du musée. Projet d'ensemble pour le premier corps de bibliothèque. Encre de Chine, lavis. 25 juin 1885. Signé par Auguste Lafollye. Coté n°463 bis au recto. 50x69 cm. Fonds du Domaine.
Face.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

69 XIV

69 XIV. Bâtiment sud ; 1er étage. Bibliothèque du musée. Projet de parquet. Plan. Encre de Chine, lavis. 20 juin 1885. Signé par Auguste Lafollye. Coté n°460 au recto. 50x68,5 cm. Fonds du Domaine.
Face.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

85 XIV

85 XIV. Bâtiment sud ; 1er étage. Bibliothèque. Soubassement du corps de bibliothèque. Détail de la menuiserie. Encre de Chine, mine de plomb, lavis. 30 juillet 1886. Signé par Auguste Lafollye. Coté n°488 au recto. 103x68 cm. Fonds du Domaine.
Face.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

67 XIV

67 XIV. Bâtiment sud ; 1er étage. Bibliothèque du musée. Détail de la corniche. Encre de Chine, aquarelle. 15 juin 1885. Signé par Auguste Lafollye. Coté n°463 au recto. 101x68 cm, Fonds du Domaine.
Face.

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86 XIV

86 XIV. Château de Saint-Germain-en-Laye. Bâtiment sud, 1er étage. Bibliothèque du musée. Partie supérieure du corps de bibliothèque. Détail de la menuiserie. Échelle grandeur d'exécution. Encre de chine, mine de plomb, lavis. Daté du 30 juillet 1865, signé par l'architecte Lafollye. 103x68 cm. Coté n° 483/IX par l'architecte.

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68 XIV

8 XIV. Château de Saint-Germain-en-Laye. Bâtiment sud, 1er étage. Bibliothèque du musée. Détails des vieilles menuiseries provenant de l'ancien château à remployer. Échelle grandeur d'exécution. Encre de chine, mine de plomb, lavis. Daté du 20 juin 1885, signé par l'architecte Lafollye. 67x90 cm. Coté n° 459 par l'architecte.

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Album noir 24A

Album noir Yvelines, musée des Antiquités nationales, n°24A. Planche de 3 photographies des extérieurs du château dont une photographie du moulage de la colonne Trajane dans les douves du château, par un photographe non identifié pour la revue, Images de France, septembre 1943. Don de G. Toudouze, directeur de la Revue en septembre 1943.

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Fonds du Domaine, 1-XXI

Fonds du Domaine, 1-XXI. Projet de restauration de la façade nord du château de Saint-Germain-en-Laye par Eugène Millet, 5 janvier 1862. Encre noire sur papier imprégné contrecollé sur carton. 38,5 x 53,5 cm. Centre des archives, fonds du Domaine. Face.

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Fonds du Domaine, SN

Fonds du Domaine, SN. Projet de restauration du château de Saint-Germain-en-Laye. Plan aquarellé du premier étage, par Eugène Millet, avril 1856. Encre noire et rouge, rehauts à l'aquarelle. 31 x 43 cm. Centre des archives, fonds du Domaine. Face.

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« Portrait des Chasteaux royaux de St Germain en Laye »

Estampe en noir et blanc représentant une vue aérienne des terrasses, du Château-Neuf et du Château-Vieux de Saint-Germain-en-Laye en arrière plan. Le plan est légendé et orné de deux ensembles d’armoiries.
Inscription : « 1 La basse cour a 39 toises de long et 26 de large/2 Le viel chasteau a de façade 35 toises et de costé 45/ 3 Le jeu de paulme/4 Le grand jardin du roy a 150 toises de long et 97 de large/5 Le parc a 1445 toises de long et 382 de large/6 La cour dentre les deux chasteaux a 134 toises de long et 84 de large./7 Les deux cours des offices ont 28 toises de long et 20 de large./8 La cour de devant la grande salle a 30 en care./9 Les galleries du roy et de la royne ont 34 toises de long et 3 de large./10 La grande salle a 14 toises de long et 5 de large./ 11 Les deux petits jardins ont 61 toises de long et 25 de large./12 Les deux chapelles du roy et de la royne./ 13 la grolle des orgues./14 La grotte de neptune./15 La grotte de persée./16 La grotte d’Orphée./17 les deux bosquets ont chacun 50 toises de long et 40 de large./18 Le jardin qui est entre les deux bosquets a 84 toises de lon[sic] et 40 de large./19 Le jardin en pente a 113 toises de lon[sic] et 50 de large./20 Le jardin des canaux a 113 toises de long et 85 de large./21La rivière de Seyne/Du depuis la rivière jusques a la cour/qui est devant la grande salle il y a/28 toises de pente » de part et d’autre du motif.

Lasne, Michel

« Veüe et perspective du vieux Chateau de St Germain en Laye du costé du jardin »

Estampe en noir représentant une vue en perspective du parterre et du Château-Vieux de Saint-Germain-en-Laye depuis le nord.
Titre et mention d’auteur gravés en partie inférieure (de gauche à droite et de haut en bas : « Veüe et perspective du chasteau neuf de St Germain du costé du jardin/Fait par Aveline avec privilège du Roy »).

Aveline, Pierre

« Veüe du Chateau de St. Germain en Laye »

Estampe en noir et blanc représentant les façades nord et est du Château-Vieux de Saint-Germain-en-Laye.
Titre, mention d’auteur et date de création gravés en partie inférieure (de haut en bas puis de gauche à droite : « Veüe du Chateau de St. Germain en Laye/dessiné et gravé par Israel Silvestre. 1658. »).

Silvestre, Israël

« Veüe de l’entrée du vieux chasteau de Saint germain en Laye »

Estampe en noir et blanc représentant la façade ouest et l’entrée principale du Château-Vieux de Saint-Germain-en-Laye.
Titre et mentions d’auteur et d’éditeur gravés en partie inférieure (de gauche à droite : « Silvestre sculp./Veüe de l’entrée du vieux chasteau de Saint germain en Laye/Israel excut. cum privil. Regis »).
Porte le numéro « 50 » dans l’angle inférieur droit.

Silvestre, Israël

«  St Germain en Laye »

Estampe en noir et blanc représentant le parterre et la façade nord du Château-Vieux de Saint-Germain-en-Laye.
Inscription : « du côté du jardin est la plus large façade des cinq qui en composent le pourtour, et dans laquelle est l’appartement du Roy, degagé en dehors par un balcon de fer doré, qui regne alentour. La terrasse qui a esté faite devant la Contre-escarpe du fossé sert pour passer de la cour des cuisines dans le Parc, et aller au mail qui a esté fait depuis peu sur le dessin de Mr. Le Nostre, ainsi que le parterre avec les 3 fontaines » en partie inférieure.
Titre et mentions d’auteur et d’éditeur gravés en partie inférieure de part et d’autre de l’inscription (de gauche à droite : « St Germain en Laye/A Paris Chez N. Langlois, rüe St Jacques, à la Victoire, Avec Privilege du Roy/fait par Perelle »).

Pérelle, Adam

« St Germain en Laye »

Estampe en noir et blanc représentant le parterre et la façade nord du Château-Vieux de Saint-Germain-en-Laye.
Titre et mentions d’auteur et d’éditeur gravés en partie inférieure (de gauche à droite : « St. Germain en Laye./A Paris Chez N. Langlois, rüe St Jacques, à la Victoire, Avec Privilege du Roy/fait par Perelle »).

Pérelle, Adam

« Veüe et perspective du Chateau de Saint Germain en Laye du costé de l’Entrée »

Estampe en noir et blanc représentant une entrée du Château-Vieux de Saint-Germain-en-Laye.
Titre et mention d’auteur gravés au centre en partie inférieure (de haut en bas « Veüe et perspective du Chateau de Saint Germain en Laye du costé de l’Entrée/Fait par Aveline »).
Porte le numéro « 51 » au centre en partie supérieure.

Aveline, Pierre

« St. Germain en Laye »

Estampe en noir et blanc représentant le parterre et la façade nord du Château-Vieux de Saint-Germain-en-Laye.
Inscription : « St. Germain en Laye. du côté du jardin est la plus large façade des cinq qui en composent. Le pourtour, et dans laquelle est l’appartement du Roy dégagé en dehors par un balcon /de fer doré qui regne alentour. La terrasse qui a esté faite devant la Contre-Escarpe du fossé, sert pour passer de la cour des cuisines dans le Parc, et aller au mail qui a esté fait depuis peu sur le dessin de Mr le Nostre, ainsi que le parterre avec les 3 fontaines » en partie inférieure.
Titre et mentions d’auteur et d’éditeur gravés en partie inférieure à droite (de gauche à droite : « A Paris chez N. Langlois, ruë St Jacques, à la Victoire, Avec Privilege du Roy/fait par Perelle »).

Pérelle, Adam

« Veüe des Chasteaus de St. Germain en Laye »

Estampe en noir et blanc représentant une partie de la façade sud du Château-Vieux de Saint-Germain-en-Laye au premier plan et le Château-Neuf au second plan.
Titre et mentions d’auteur et d’éditeur gravés en partie inférieure (de gauche à droite : «  Israel Silvestre delin. et sculp/Veüe des Chasteaus de St. Germain en Laye/Israel Henriet ex. cum privil. Regis »).
Porte le numéro « 51 » dans l’angle inférieur droit.

Silvestre, Israël

« Veüe des Chasteaus de St. Germain en Laye »

Estampe en noir et blanc représentant une partie de la façade [sud] du Château-Vieux de Saint-Germain-en-Laye au premier plan et le Château-Neuf au second plan.
Titre gravé en partie inférieure. Les mentions d’auteur et d’éditeur ont été coupées.

Silvestre, Israël

« Veue du Chasteau de Saint Germain en Laye »

Estampe en noir et blanc représentant l’entrée principale du Château-Vieux de Saint-Germain-en-Laye, ouverte dans la façade ouest.
Titre et mention d’auteur gravés en partie inférieure (de gauche à droite : «  Israel Silvestre fecit/Veue du Chasteau de Saint Germain en Laye/cum privil. Regis »).

Silvestre, Israël

« Veüe et perspective du Chasteau Royal de St Germain en Laye »

Estampe en noir et blanc représentant les façades sud et est du Château-Vieux de Saint-Germain-en-Laye.
Titre et mentions d’auteur et d’éditeur gravés en partie inférieure (de gauche à droite : « N. Poilly ex. c.p.r./Veüe et perspective du Chasteau Royal de St Germain en Laye/A. Perelle del. Et sc. »).
Porte la mention « 3 M » dans l’angle inférieur droit.

Pérelle, Adam

Rapport concernant le mur du promenoir de l’école militaire de Saint-Germain-en-Laye

« Ministère de la Guerre
7ème division
Bureau du matériel du Génie
Rapport fait au ministre le 17 juin 1811
Sur le compte rendu au ministre le 19 avril dernier 1° d’une demande faite par M. le général Clément, commandant l’école de cavalerie de Saint-Germain, pour la construction autour du château d’un mur de clôture devant fermer l’espace destiné à servir de promenoir aux élèves, construction évaluée à 36200 f., 2° d’une observation de M. le directeur du casernement concernant les inconvéniens qu’il y aurait à suivre dans la construction de ce mur le tracé proposé, le ministre a prescrit de conférer sur cet objet avec M. le général Clément et de prendre ultérieurement les ordres de Son Excellence.
M. le directeur du casernement, après avoir annoncé le 17 mai que les changemens qu’il avait indiqués pour être faits au tracé dont il s’agit, afin de le rendre plus régulier, étaient adoptés par M. le général Clément, a envoyé un nouveau plan ci-joint et un nouvel état estimatif montant à 42500 f., c’est-à-dire à 6300 f. de plus que le 1er, en faisant observer que cette différence provenait de ce que M. le général tenait à ce que le mur de clôture fût flanqué de petites tours aux différens angles déterminés pour le nouveau tracé et à ce qu’il fût établi une porte donnant sur le parterre.
D’après cet exposé et les instances de M. le général Clément pour l’établissement de l’enclos dont il s’agit, on propose à Son Excellence d’y donner son approbation ainsi qu’à la dépense de 42500 f., laquelle sera imputée sur les fonds de l’administration de l’école.
Le colonel chef de la division
Delant
[dans la marge :] Approuvé »

Récit par Gerard Anton von Halem de sa visite à Saint-Germain-en-Laye

« [p. 140] Am bezauberndsten sind dich die Höhen von St. Germain, die ich an einem andern Tage besuchte. Recht frey habe ich dort in der reinsten Luft geathmet, und geschwelgt in der schönen [p. 141] Natur. Von der Platteform des Schlossplatzes herab übersieht man mit weitem Blick die Landschaft, die Seine, welche sich, wie die Weser bey Rinteln, mannigfaltig schlängelt, die Brücke über die Seine, etwas ferner die Arcaden der Wasserleitung von Marly, die Thürme St. Denis, die Höhen des Calvaire und Montmartre. Man kann sich nicht davon trennen. Statt sich in Versailles zu vertiefen, hätte Ludwig XIV, hier geboren, auch hier sein Schloss verschönernd ausbauen sollen. Er that es nicht, sagt man, weil er nicht immer seinen Blick auf St. Denis, sein sicheres Grabmal, richten mochte. Das alte, aber geräumige Schloss zu St. Germain nahm die entthronten Stuarts auf, und Jakob II fand hier seinen Tod. Das Schloss dient jezt sur Schule für zweyhundert junge Cavalleristen, die wir auch in militärischem Zuge fröhlich vor unserm Speisequartier vorbey reiten sahen, und von vielen Jünglingen freundliche Grüsse [p. 142] erhielten. Das Alter der Aufzunehmenden ist wenigstens sechzehn, höchstens achtzehen Jahre. Es wird zur Aufnahme, ausser gesunder Leibes-Beschaffenheit, einige mathematische Vorkenntniss, und Fertigkeit, die Sprache richtig zu reden und zu schreiben, erfordert. Die jährliche Pension ist 2400 Franken, und nach drey oder vier Jahren Studien haben sie die Aussicht, als Sous-Lieutenants in die Regimenter einzutreten. »

Halem, Gerard Anton (von)

SN

Château de Saint-Germain-en-Laye, plafond de la salle « Louis XIV », bois, vers 1682-1685. Vue avec le lustre.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

SN

Château de Saint-Germain-en-Laye, salle « Louis XIV », lambris d’appui, bois, vers 1682-1685.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

SN

Château de Saint-Germain-en-Laye, bas-relief au chiffre de la Dauphine dans la salle « Louis XIV » entre les fenêtres sur cour, bois, vers 1682-1685.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

SN

Château de Saint-Germain-en-Laye, salle « Louis XIV », porte menant vers le bureau du directeur, bois, vers 1682-1685.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

SN

Château de Saint-Germain-en-Laye, vestibule du bureau du directeur, dessus de porte avec frise sculptée provenant de l’appartement du Dauphin ou de celui de la Dauphine, bois, vers 1682-1685.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

SN

Château de Saint-Germain-en-Laye, dessus de la porte remontée dans l’un des bureaux du premier étage, bois, vers 1682-1685.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

SN

Château de Saint-Germain-en-Laye, plafond de la salle « Louis XIV », bois, vers 1682-1685. Vue resserrée sur l'octogone.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

SN

Château de Saint-Germain-en-Laye, salle « Louis XIV », cheminée en marbre, vers 1682-1685.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

Lettre concernant les travaux à mener au château de Saint-Germain-en-Laye par ordre de l’empereur

« Saint-Germain, le 25 avril 1812
Le général de division, baron de l’Empire, commandant l’école militaire de cavalerie, à Son Excellence monseigneur le duc de Feltre, ministre de la Guerre
Monseigneur,
J’ai l’honneur de prévenir Votre Excellence que M. Fontaine, architecte de la Couronne, est venu aujourd’hui à Saint-Germain et m’a prévenu que Sa Majesté ayant ordonné de travailler de suite aux latrines, à la salle des visites, au réfectoire, à la carrière et à la salle de Mars, il allait s’en occuper.
Les projets sont conçus ainsi :
Les latrines resteront, à ce qu’il parait, dans le même endroit, côté nord du château, mais elles seront diminuées et totalement changées quant à la construction. La salle des visites sera la même que celle qui sert actuellement à l’escrime, rez-de-chaussée, côté est, mais augmentée de la largeur du corridor, et décorée convenablement.
Le réfectoire sera établi au rez-de-chaussée dans le vestibule qui se trouve à l’entrée de la porte Napoléon, côté ouest. Pour ce, l’on démolira plusieurs petits logements qui ont été bâtis dans son enceinte et nous servent actuellement à loger les maîtres-ouvriers.
La carrière comprendra provisoirement le terrain vide appelé parterre qui se trouve du côté nord du château. Elle sera fermée de palissade.
La salle de Mars, qui autrefois était celle de comédie, sera restaurée et continuera à servir de salle d’exercice d’hiver et d’inspection dans les mauvais temps.
Sa Majesté a affecté pour cette année un fonds de 100000 f. pour l’exécution de ces changements et constructions.
Ces travaux terminés, Sa Majesté veut que l’on s’occupe d’un appartement de réception qui portera le nom d’appartement de l’Empereur. Celui du commandant de l’école lui sera contigu. Ils seront faits dans la partie du midi du château, qui se trouve entre le pavillon sud-est et celui du midi, ce dernier compris.
Je tiendrai Votre Excellence au courant de tout ce qui sera exécuté.
Agréez, Monseigneur, l’assurance du respect avec lequel je suis votre très humble serviteur.
Baron Clément de la Roncière »

Récit de la célébration de la Toussaint par la famille royale à Saint-Germain-en-Laye

« De S. Germain en Laye, le 2 novembre 1674
Hier, feste de tous les saints, Leurs Majestez, avec lesquelles estoit monseigneur le Dauphin, entendirent en la chapelle de ce chasteau la grande messe, celebrée par l’evesque de Cisteron, et chantée par la Musique. L’apres dinée, Elles entendirent au mesme lieu une docte et eloquente predication de l’abbé de Clermont, puis les vespres aussi chantées par la Musique. Ensuite, la Reyne alla continuer l’exercice de sa devotion, en l’eglise de la parroisse. »

Récit de la célébration de Noël par la famille royale et de la première communion du Dauphin à Saint-Germain-en-Laye

« De S. Germain en Laye, le 28 decembre 1674
[…]
Le 24, Leurs Majestez et monseigneur le Dauphin entendirent dans la chapelle du chasteau les vespres chantées par la Musique du Roy.
Le soir, Leursdites Majestez assisterent aux Matines et ensuite Elles entendirent apres minuit trois messes : le lendemain, jour de Noel, la grand’messe celebrée pontificalement par l’archeveque de Bourges, et l’apres disnée le sermon de l’abbé de Clermont, nommé à l’evesché de Frejus.
Le meme jour, monseigneur le Dauphin fit sa premiere communion dans la mesme chapelle, par les mains de l’ancien evesque de Condom, son precepteur, qui luy avoit donné depuis longtemps, avec une extreme application, toutes les instructions necessaires pour le disposer à bien reconnoistre l’importance de cette action. Le prince de la Roche sur Yon et le duc de Montausier, son gouverneur, tenoyent les deux bouts de la nape, et monseigneur le Dauphin s’approcha de cet auguste sacrement avec une modestie exemplaire et avec tous les temoignages possibles de religion et de pieté.
La Reyne a donné, tous ces saints jours, par une pratique continuelle d’actions chretiennes et de bonnes œuvres des temoignages ordinaires de sa devotion exemplaire.
Le Roy alla le 27 à son chasteau de Versailles, prendre le divertissement de la promenade, et mena monseigneur le Dauphin seul avec luy, dans son carrosse. »

Lettre du marquis de Saint-Maurice, ambassadeur de Savoie, donnant des nouvelles de la cour à Saint-Germain-en-Laye

« De Paris, le 2 mars 1668
[…]
[p. 184] La comtesse de Saint Maurice fut lundi à Saint Germain ; il y eut quantité de princesses et de duchesses qui attendaient la Reine dans sa chambre pendant qu’elle dînait ; le Roi y entra le premier et, saluant les dames, commença par madame la princesse de Carignan, puis il alla droit à la comtesse de Saint Maurice ; la Reine lui fit aussi l’honneur de la mener promener dans son carrosses. Elle nous témoigne mille bontés et je sais qu’elle a de l’estime pour Votre Altesse royale et qu’elle aime Madame Royale. »

Lettre du marquis de Saint-Maurice, ambassadeur de Savoie, concernant sa réception à Saint-Germain-en-Laye

« De Paris, le 6 mai 1667
Monseigneur,
Hier, M. Giraud me vint avertir qu’il me viendrait prendre aujourd’hui dans les carrosses du Roi et de la Reine pour me mener à Saint Germain. Nous sommes partis ce matin à six heures ; tout ce qu’il y avait ici de personnes de qualité de Piémont et de Savoie ont pris la peine d’y venir et tous en habits neufs et très lestes.
Nous sommes arrivés à Saint Germain à neuf heures ; nous avons trouvé à la descente du carrosse M. de Bonneuil, introducteur, qui nous a conduits à la chambre où l’on attend l’heure du Roi ; à dix heures et demie, j’ai été conduit à l’audience et j’ai su par M. de Bonneuil que je pouvais parler d’affaires au Roi, parce qu’il veut se décharger d’embarras, croyant de partir bientôt.
[p. 19] J’ai été conduit dans la chambre du Roi dans la manière accoutumée. Je l’ai trouvé assis dans sa ruelle, le chapeau sur la tête, vêtu d’un justaucorps de velours noir, une demi veste de dorure, et une canne à la main. Il y avait dans le balustre le duc de Bouillon et le comte du Lude, et dehors, à l’entrée, M. de Lionne et M. de Charost, capitaine des gardes, et la chambre était si pleine que j’ai eu peine à passer. J’ai fait une profonde révérence au Roi, il a levé son chapeau, puis l’a remis ; je lui ai fait les compliments de Votre Altesse royale et lui ai remis sa lettre. Il me semble qu’il n’avait point sa fierté accoutumée, mais un visage fort doux ; il m’a dit : « Il y a longtemps que je suis persuadé de l’amitié de M. le duc de Savoie, je voudrais bien pouvoir lui témoigner celle que j’ai pour lui et la passion que j’ai pour son service », puis qu’il avait bien été fâché de la [p. 20] mort de feu M. le comte de La Trinité, mais qu’il avait bien de la joie de me voir. Je lui ai après fait les compliments de Madame Royale ; il y a répondu avec de grandes marques d’estime. Il m’a demandé l’état de santé de Votre Altesse royale et de monseigneur le prince. Après lui avoir répondu qu’elles étaient parfaites, je lui ai expliqué fort au long le sujet pour lequel Votre Altesse royale m’a envoyé à lui et lui ai fait une grande déduction des affaires de Genève ; je n’y ai pas oublié une circonstance et je lui ai dit à peu près les mêmes choses que je dis à M. de Lionne quand je le vis. Le Roi ne m’a [p. 21] jamais interrompu et m’a écouté attentivement plus d’un quart d’heure, puis m’a dit qu’il ferait sur ce sujet tout ce que vous désireriez de lui, mais qu’il lui semblait que vous souhaitiez un aimable. Je lui ai dit que Votre Altesse royale ferait tout ce qu’il vous conseillerait pourvu que votre réputation fût à couvert ; il m’a expliqué qu’il songerait aux moyens pour vous faire donner les satisfactions qui sont dues à Votre Altesse royale et que pour tout ce que j’aurais à lui expliquer de la part de Votre Altesse royale, que je n’avais qu’à parler à M. de Bonneuil pour l’avertir et qu’il m’écouterait toujours volontiers. Je me suis congédié de lui et, en quittant, il m’a chargé de bien assurer Madam Royale de son amitié et de son estime. Je lui ai présenté les gentilshommes qui étaient avec moi, puis je me suis retiré à la chambre où j’avais mis pied à terre. M. le marquis de Cœuvres m’y est [p. 22] venu entretenir, et après lui M. le marquis de Bellefonds. Ce sont deux des hommes les plus accrédités à la cour pour leur sagesse et pour la guerre et tous deux bons et véritables serviteurs de Votre Altesse royale.
Nous avons dîné à la table de M. de Bellefonds, puis j’ai été conduit à l’audience chez la Reine. Je lui ai fait les compliments de Votre Altesse royale, remis sa lettre et celle de Madame Royale. elle les a reçus avec joie, elle m’a témoigné grande estime pour Vos Altesses royales et passion de les servir, et, si je ne me trompe, elle a amitié pour vous deux ; c’est une princesse accueillante et qui est belle.
A cause du prompt voyage de la cour, M. Giraud m’a conseillé de présenter aujourd’hui le tambour, si bien qu’allant à l’audience chez monsieur le Dauphin, où j’y ai trouvé les gardes sous les armes et l’officier des gardes qui les commande à la porte, et lui assis et couvert, il a levé son chapeau. Je lui ai fait la révérence et compliment de la part de Votre Altesse royale ; il s’est puis levé, le chapeau à la main, et madame [p. 23] la maréchale de La Mothe a répondu comme en l’instruisant de ce qu’il devait dire. Je lui ai après présenté le tambour, il en a été ravi, il a fallu le lui pendre au col, lui expliquer tout ; il en est empressé tout à fait et le présent a été trouvé le plus beau, le plus galant, le mieux inventé et le plus riche qui se puisse voir ; chacun court chez monsieur le Dauphin pour le voir ; l’on admire aussi les vers. Monsieur le Dauphin est un beau prince, [p. 24] un esprit vif, parle bien, mais il est opiniâtre et ne craint que le Roi ; il porte les chausses et la perruque.
De là, j’ai été conduit chez la petite Madame ; elle est tout à fait belle et bien nourrie. J’ai adressé ma parole à madame la maréchale de La Mothe et, après les compliments, parlant de sa santé et de sa beauté, je lui ai dit que nous serions bienheureux en Savoie et en Piémont si la petite Madame prenait l’inclination pour ces pays là qu’avaient mesdames Marguerite et Chrétienne, toutes deux Filles de France. Elle m’a répondu [p. 25] qu’elle souhaiterait fort des choses pareilles comme avantageuses à Madame.
Au sortir de là, nous sommes montés en carrosse et arrivés ici à sept heures. Je solliciterai à avoir mes audiences de Monsieur et de Madame d’Orléans, puis de Madame, la douairière.
[…]
[p. 28] Je viens de savoir d’un de mes amis qui vient de Saint Germain qu’après mon départ monsieur le Dauphin, conduit par madame la maréchale de La Mothe, a porté le tambour dans le Conseil, que le Roi et les ministres ont été plus de demi heure à le considérer et qu’ils l’ont admiré. Chacun demeure d’accord que l’on ne peut rien faire de plus mignon à Paris. »

Acte de naissance du duc d’Anjou à Saint-Germain-en-Laye

« Le mardy 14e de juin 1672, à douze heures et un quart apres minuict, fut né et ondoyé dans le chasteau vieil de Saint Germain en Laye monseigneur le duc d’Anjou, fils de tres puissant monarque Louys 14e, roy de France et de Navarre, et de tres haulte et religieuse princesse Marie Therese, reyne regente en France pour l’absence dud. seigneur Roy son mary, et l’ondoyement faict par Son Eminence cardinal de Bonzi, grand aumosnier de lad. dame Reyne, M. le curé l’assistant et estant present revestu de son surplis et l’estolle au col, et de son consentement. »

Acte de naissance du duc d’Anjou à Saint-Germain-en-Laye

« Le 5e jour d’aoust 1668, fut les 8 heures trois quarts du matin, nasquit dans le chasteau vieil de Saint Germain en Laye le second fils de France monseigneur le duc d’Anjou, et sa naissance suivie et accompagnée de acclamations et resjouissances publicques apres le Te Deum et chanté en l’eglise parroissialle, par ordre de M. le curé, en action de graces à Dieu, et le soir en furent aussi faicts les feus de joye par toutes les rues avec chandelles mises par toutes les fenestres. »

Acte de mariage du prince et de la princesse de Conti dans la chapelle du Château-Vieux de Saint-Germain-en-Laye

« Ce jourd’huy seizieme janvier mil six cens quatre vingts, a esté fait et solemnisé en face de Sainte Eglise en la chapelle du chasteau vieil de ce lieu par eminentissime monseigneur Emmanuel Theodoze de La Tour d’Auvergne, cardinal de Bouillon, grand aumonier de France, le mariage de tres hault et puissant prince Arman Louis de Bourbon, prince de Conty, prince du sang, pair de France, filz aisné de deffunts tres hault et puissant prince Arman de Bourbon, prince de Conty, prince du sang, pair de France, gouverneur lieutenant general pour Sa Majsté en la province de Languedoc, et de tres haulte et puissante princesse Anne Marie Martinozzy, son espouse, d’une part, et tres haulte et puissante princesse madmoiselle Marie Anne de Bourbon, fille naturelle et legitimée du Roy, d’autre part, apres la publication des deux premiers bans et dispence du troizieme de monseigneur l’archevesque en datte du treizieme janvier du mesme mois au prosne de la grande messe parroissiale de cedict lieu et des eglises parroissiales de Saint André des Arts et de Saint Eustache à Paris ainsi qu’il apert par les certificats des sieurs curés desdictz parroisses aussi en datte du neufvieme et quinzieme du present, qui sont demeurez entre nos mains, et les fiançailles faictes audict chasteau en l’appartement de Sa Majesté le jour de hier par mondit seigneur cardinal, ledict mariage fait en presence et sous le bon plaisir de Sa Majesté, de tres haulte, tres puissante et tres excellente princesse Marie Thereze, par la grace de Dieu reyne de France et de Navarre et epouze de Sad. Majesté, de tres hault, tres puissant et tres excellent prince monseigneur Louis, dauphin de France, de tres hault et tres puissant prince monseigneur Philippe de France, frere unique de Sadicte Majesté, duc d’Orleans, de tres haulte et tres puissante princesse madame Elizabeth Charlotte, epouse de Son Altesse royale, de tres hault et puissant prince Louis, duc de Bourbon, premier prince du sang, premier pair et grand maistre de France, duc d’Anguien, Chasteauroux et Monmorency, oncle et tuteur honnoraire, ledict mariage fait du consentement de monseigneur François de Chamvalon, archevesque de Paris, duc et pair de France, commandeur des ordres du Roy, et en presence de moy curé soubsigné revestu de mon surpelis et estole, lesquels ont signé à la reserve de monseigneur le Dauphin, de Monsieur, frere unique du Roy, de madame Elizabeth Charlotte son epouse, lesquels n’ont signé, leur rang ayant esté remply par inadvertence ; approuvé par le Roy.
Louis
Marie Terese
Louis de Bourbon
Louis Armand de Bourbon
Marie Anne de Bourbon, l. de France
Cagnyé
[…]
Ce jourd’huy seizieme janvier mil six cens quatre vingts, sur les onze heures du roi, au chasteau neuf de ce lieu, a esté faicte la benediction du lict de tres hault et puissant prince Arman Louis de Bourbon, prince de Conty, prince du sang, pair de France, filz aisné de deffunts tres hault et puissant prince Arman de Bourbon, prince de Conty, prince du sang, pair de France, gouverneur lieutenant general pour Sa Majesté en la province du Languedoc, et tres haulte et puissante princesse Anne Marie Martinozzy, son espouse, et tres haulte et puissante princesse madmoiselle Marie Anne de Bourbon, fille naturelle et legitimée du Roy, en l’appartement que Sad. Majesté avoit fait preparer pour cest effect, par eminentissime monseigneur Emmanuel Theodoze de La Tour d’Auvergne, cardinal de Bouillon, grand aumosnier de France, en presence de tres hault, tres puissant et tres excellent prince Louis quatorzieme, par la grace de Dieu roy de France et de Navarre, et tres haulte, tres puissante et tres excellente princesse Marie Thereze, par la grace de Dieu reyne de France et de Navarre et epouse de Sad. Majesté, et de tres hault, tres puissant et tres excellent prince monseigneur Louis, dauphin de France, de tres hault, tres puissant prince monseigneur Philippe de France, frere unique de Sad. Majesté, duc d’Orleans, et de tres haulte, tres puissante princesse madame Elizabeth Charlotte, epouse de Son Altesse royale, et de moy curé subsigné revestu de mon surplis et estole.
Louis
Cagnyé »

Acte de mariage du duc de Guise et d’Élisabeth d’Orléans à Saint-Germain-en-Laye

« Le 4e jour de may 1667, furent supplées les ceremonies du saint sacrement de baptesme à Louys, né du premier jour de juillet 1666 et ondoyé par M. le curé de ce lieu de Saint Germain en Laye (avec la permission de M. d’Orleans, grand vicaire en ce mesme lieu) dans le chasteau neuf, lieu de sa naissance, et lesd. ceremonies administrées dans la chapelle du chasteau vieil par M. l’abbé de [vide], aumosnier du Roy, avec la permission et consentement dud. sieur curé, y present en son habit d’eglise avec l’estolle au col, et led. Louys fils de noble homme [vide] et de dame [vide], nourrisse de monseigneur le Dauphin, Fils aisné de France, le parrein tres puissant et magnanime prince Louys XIIII du nom, tres chrestien roy de France et de Navarre, present, et qui a donné son nom aud. baptisé, la marreine damoiselle [vide], fille de haut haut et puissant seigneur Philippes de La Motte Houdancourt, vivant duc de Cardone, pair et mareschal de France, et de madame Louyse de Prie, son espouse, et à present sa veufve, gouvernante de mond. seigneur le Dauphin, de Madame royalle et des autres Enfants de France. »

Acte de baptême de Marie-Thérèse-Louise de Senneterre dans la chapelle du Château-Vieux de Saint-Germain-en-Laye, la reine étant sa marraine

« Ce jourd’huy quatriesme juin mil six cens soixante et seze ont esté supplées les ceremonies du baptesme en la chapelle du chasteau vieil de ce lieu par Son Altesse monseigneur le cardinal de Bonzi, grand aumosnier de France, à Marie Thereze Louise, aagée de cinq ans six mois, ondoyée à Grenoble, fille de messire Henry, marquis de Seneterre, compte de Lestrange, et de dame dame Anne de Longueval Crecy, ses pere et mere, le parrein tres haut et tres puissant prince monseigneur le Dauphin, la marreine tres haute et tres puissante princesse Marie Therese d’Autriche, reune de France, le tout en presence et du consentement de moy curé soubsigné
Cagnyé, Boullard »

Acte de baptême de Marie-Thérèse-Louise de Lambert dans la chapelle du Château-Vieux de Saint-Germain-en-Laye, la reine étant sa marraine

« Ce jourd’huy sixieme janvier mil six cens soixante et dix neuf, ont esté supplées les ceremonies du baptesme en la chapelle du chasteau vieil par M. l’evesque duc de Langre à Marie Thereze Louise, ondoyée avec la permission de monseigneur l’archevesque, fille d’Henry de Lanbert, sieur du Change, et de dame Catherine Giotte du Dognon, les pere et mere, le parain tres haut et tres puissant prince monseigneur le Dauphin, la mareine tres haulte et tres puissante princesse Marie Thereze d’Austriche, reyne de France, lesquels ont signé, le tout en presence et du consentement de moy curé soubsigné.
Marie Terese
Louis »

Acte de baptême de Marie-Thérèse de Very dans la chapelle du Château-Vieux de Saint-Germain-en-Laye, la reine étant sa marraine

« Le 12e jour d’aoust 1672, furent supplées les ceremonies du saint sacrement de baptesme en la chapelle du chasteau vieil de ce lieu de Saint Germain en Laye à Marie Therese, née du jeudy 11e de febvrier 1668 et ondoyée par M. Josdon, curé de Briare, fille de noble homme François de Very, escuyer, seigneur des grandes et petites Chastres, et de damoiselle Elisabeth Françoise de Beudot, sa femme, et lesd. ceremonies supplées par monseigneur l’evesque de Condon, precepteur de monseigneur le Dauphin, en presence de M. le curé de ced. lieu et de son consentement, revestu de son surplis avec l’estolle au col, le parrein mond. seigneur le Dauphin, la marreine tres haute et tres puissante princesse Marie Therese d’Austriche, reyne de France. »

Acte de baptême de Marie-Thérèse de Felix dans la chapelle du Château-Vieux de Saint-Germain-en-Laye, la reine étant sa marraine

« Le 24e mars 1670, furent supplées les ceremonies du saint sacrement de baptesme en la chapelle du chasteau vieil, es presence et du consentement de moy soubz signé curé, par M. l’abbé de Gordes, premier aumosnier de la Reyne, à Marie Therese, née du 27e janvier 1667 et ondoyée par M. le curé de Bussiere au diocese de Langres, fille de noble homme François Henry de Felix, escuyer, sieur de Provercher, et de damoiselle Margueritte de La Chassagne, sa femme, le parrein Louys, fils aisné et dauphin de France, la marreine tres haute et tres puissante princesse reyne de France Marie Therese d’Austriche. »

Acte de baptême de Marie-Thérèse Treheux dans la chapelle du Château-Vieux de Saint-Germain-en-Laye, la reine étant sa marraine

« Ce jourd’huy quinzieme fevrier mil six cent soixante et dix sept, ont esté suplées au chateau viel de ce lieu les ceremonies du baptesme par monseigneur Benigne Bossuet, entien evesque de Condon et precepteur de monseigneur le Daulphin, à Marie Louise Thereise, ondoiée en cette parroisse avec la permission de monseigneur l’archevesque de Paris, fille d’Estienne Treheux, garçon de la chambre de la Reyne, et de Louise Arnou, ses pere et mere, le parein monseigneur le Daulphin, la mareine tres haulte et tres puissante princesse Marie Theraise d’Autriche, reyne de France, lesquels ont signé en presence de moy curé soubzsigné.
Marie Terese
Louis
J. Benigne, a. e. de Condom
Cagnyé »

Acte de baptême de Marie-Thérèse Soulaigre, fille du concierge, dans la chapelle du Château-Vieux de Saint-Germain-en-Laye, la reine étant sa marraine

« Ce jourd’huy dernier avril mil six cens soixante et treize, ont esté supplées les seremonies du baptesme à Marie Therese, ondoyée par nous avec la permission de monseigneur l’archevesque de Paris, fille de noble homme Henry Sousleigre, conssierge du chasteau vieux de ce lieu, et de damoiselle Anthoynette de Lonneiris, ses pere et mere, le parrein tres haut et tres puissant prince monseigneur le Daulphin, la mareine tres haulte et tres puissante princesse Marie Thereise d’Autriche, reyne de France, les seremonies, avec nostre consentement, par monseigneur l’evesque de Langres, premier aumosnier de la Reyne, representée par moy curé revestu de mon surplis et estoille, lesquels ont signé.
Marie Terese »

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