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« Notes pour catalogue »

Notes manuscrites, croquis au crayon de papier et à l’encre, cartes topographiques, enveloppes, étiquettes cartonnées, photographie, coupures de presse.

« L’entrée de l’église de Ruel »

Estampe en noir et blanc représentant la façade occidentale de l’église de Rueil depuis le nord-ouest.
Titre et mention d’éditeur gravés en partie inférieure (de gauche à droite : « L’entrée de l’église de Ruel/Israel excud »).

Silvestre, Israël

« Gaillon »

Estampe en noir et blanc représentant une vue aérienne du domaine de Gaillon.
Inscription : « Gaillon » gravé dans un cartouche dans l’angle supérieur gauche
Mention d’éditeur gravée en partie inférieure (« M Tavernier ex »).

Tavernier, Melchior

s.n°*

Tirage d'une figurine de Jupiter à la roue, en plâtre, provient de Saint-Pourçain-sur-Besbre (Allier). H. : 16,5 cm. ; L. : 5,9 cm. ; Prof. : 4,6 cm. non daté, (époque gallo-romaine).
Revers sans mire.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

s.n°*

Tirage d'une figurine de Jupiter à la roue, en plâtre, provient de Saint-Pourçain-sur-Besbre (Allier). H. : 16,5 cm. ; L. : 5,9 cm. ; Prof. : 4,6 cm. non daté, (époque gallo-romaine).
Face avec mire.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

s.n°*

Tirage d'une figurine de Jupiter à la roue, en plâtre, provient de Saint-Pourçain-sur-Besbre (Allier). H. : 16,5 cm. ; L. : 5,9 cm. ; Prof. : 4,6 cm. non daté, (époque gallo-romaine).
Face sans mire.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

s.n°*

Tirage d'une figurine de Jupiter à la roue, en plâtre, provient de Saint-Pourçain-sur-Besbre (Allier). H. : 16,5 cm. ; L. : 5,9 cm. ; Prof. : 4,6 cm. non daté, (époque gallo-romaine).
Revers avec mire.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

inv. BIB 59

Napoléon III Histoire de Jules César, tome 2, 1866, planche 20 « Camp de César à Gergovia ». In-folio.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

inv. BIB 59

Napoléon III Histoire de Jules César, tome 2, 1866, planche 29 « Plan d'Uxellodunum ». In-folio.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

inv. BIB 59

Napoléon III Histoire de Jules César, tome 2, 1866, Appendice C « Catalogue général des monnaies antiques trouvées dans les fouilles d'Alise », p, 489. In-folio.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

inv. BIB 59

Napoléon III Histoire de Jules César, tome 2, 1866, Appendice C « Catalogue général des monnaies antiques trouvées dans les fouilles d'Alise », p, 489. In-folio.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

inv. BIB 59

Napoléon III Histoire de Jules César, tome 2, 1866, planche 24 « Vues du Mont Auxois ». In-folio.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

inv. BIB 59

Napoléon III Histoire de Jules César, tome 2, 1866, planche 30 « Détail des travaux romain à Uxellodunum ». In-folio.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

inv. BIB 463

Carte d'Alaise et ses environs , éch. : 1/10 000 publiée dans l’Étude sur l'emplacement d'Alésia du baron Stoffel, 1862.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

inv. BIB 463

Carte d'Alise Sainte-Reine et ses environs dressée par les officiers d'état-major pour la nouvelle carte de France, éch. : 1/20 000 publiée dans l’Étude sur l'emplacement d'Alésia du baron Stoffel, 1862

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

Vœux concernant la restauration du parterre de Le Nôtre à Saint-Germain-en-Laye

« Château de Saint-Germain
L’ancien et le nouveau parterre. Les travaux actuels de rectification des parapets du fossé de la façade nord
Le Nôtre (André), le savant architecte chargé par Louis XIV des jardins de Sceaux, des Tuileries, de Clagny, de Saint-Cloud, de Chantilly, de Versailles, etc., etc., a fait aussi le parterre de Saint-Germain.
A Saint-Germain, cet artiste a su créer, dans un terrain fort irrégulier, une charmante promenade. Il a pris d’abord l’axe de la loge de l’escalier d’honneur qu’il a joint au couvent des Loges, et il créait dans cet axe la belle avenue que nous admirons tous.
C’est dans cet axe aussi, mais plus rapproché, qu’il établissait une allée qu’il bordait d’arbres taillés et de compartiments de broderies et de fleurs formant le vrai parterre, au-devant du château. Toujours sur la même ligne, le savant architecte plantait l’hémicycle et les deux avenues de tilleuls dont il reste encore des traces à l’ouest de la tranchée de la gare.
A l’est de ce parterre de fleurs, il formait un boulingrin triangulaire qui lui permettait de gagner le nouvel axe des plantations, utiles pour se placer parallèlement à l’admirable terrasse qu’il voulait construire à Saint-Germain. A la suite de ce boulingrin, Le Nôtre plantait le quinconce qui joint la terrasse.
Tout cela était savant, harmonieux et fort habile. Ces dispositions ont été conservées fort longtemps, car on peut voir, à la mairie, un plan d’alignement remontant, croyons-nous, à 1810, qui indique encore les arrangements dont nous venons de parler.
Le Nôtre avait parfaitement compris qu’il ne pouvait border le fossé nord du château par l’allée en pente qui va de la place du Château à la terrasse. Il avait compris que pour border le château, il fallait qu’il trouvât partout des lignes horizontales. Il établissait alors devant le fossé nord une petite terrasse de niveau, et les gravures de Pérelle et de Rigault indiquent toutes cet arrangement, bien naturel d’ailleurs. Pour accéder à cette petite terrasse, et pour descendre au parterre, dans l’axe de la loge de l’escalier d’honneur, il y avait un large perron composé de sept marches et ayant, à ce qu’il paraît, environ vingt mètres de largeur. Cette petite terrasse devait avoir, selon M. Eugène Millet, une dizaine de mètres de largeur, et elle se développait parallèlement au mur de fossé.
Ce sont tous ces arrangements que, dans une récente conversation, l’habile architecte du château nous disait désirer vivement voir revivre : tout cela accompagnerait bien mieux le château que la terrasse actuelle en forme de balcon.
Il est facile, pour s’expliquer ces souvenirs et ces restes, de se reporter à toutes les vieilles images donnant la face nord du château, voir, par conséquent, la belle estampe de Rigault, si répandue à Saint-Germain, et qui a pour titre : Vue du vieux château de Saint-Germain-en-Laye, et aussi les petites gravures dont est illustré le Précis historique de MM. Rolot et de Sivry.
La terrasse-bastion, le parterre actuel, disposés pour le déblai du chemin de fer, et non pour le château qui a été oublié, forment un vilain entourage au vieux monument historique.
On ne sait encore si la Liste civile voudra revenir au jardin de Le Nôtre. M. Millet est d’avis que ce serait fort utile et fort heureux pour le château et pour le parterre.
En attendant, il est certain que les travaux en cours d’exécution pour la rectification des parapets vont amener au moins le redressement de la petite terrasse et le rétablissement du large et insuffisant perron remplaçant les petits escaliers étroits actuels. Le reste viendrait plus tard, et c’est aussi, dit-on, le projet et le désir de l’Empereur.
Tout cela met à néant, bien entendu, les versions ridicules qu’on fait courir certains oisifs, qui veulent en savoir plus que l’architecte lui-même, que le rapprochement des parapets avait pour but, après la suppression de la petite terrasse, la création d’une allée carrossable, allant de la place du Château à la grille du Boulingrin, en longeant le fossé.
La voie carrossable dont on parle existe déjà. Il suffirait, si telle était l’intention de la Liste civile, d’ouvrir la grille entière pour que les voitures aillent rejoindre la terrasse ; cela n’a rien d’impossible et reste tout à fait indépendant des travaux actuels.
Tels sont les renseignements qu’avec son obligeance ordinaire et inépuisable, M. Millet, dans une récente visite, a bien voulu nous donner sur cette partie des travaux actuels.
Léon de Villette »

Vœu du conseil municipal de Saint-Germain-en-Laye pour la restauration de la chapelle du château

« Ville de Saint-Germain-en-Laye
Extrait du registre des délibérations du conseil municipal
Séance du 1er décembre 1886
L’an mil huit cent quatre-vingt-six, le premier décembre,
Les membres du conseil municipal se sont réunis au lieu ordinaire de leurs séances à l’hôtel de ville, sous la présidence de M. de Mortillet, maire,
Etaient présents :
MM. Dambrine, Guillemin, Georget, de Nézot, Godet, Duval, Diris, Rebours, Noël, Bauchin, Dagand, Miss, Tincelin, Beaune, Sevin, Laurent, Garnier
M. le maire met en délibération les vœux présentés pendant la session de novembre dernier :
Vœu concernant l’achèvement de la chapelle du château :
Les membres du conseil municipal soussignés,
Considérant qu’en vue de l’exposition universelle de 1889 il y a intérêt pour la ville de Saint-Germain-en-Laye à voir terminer la chapelle du château, qui sera sûrement l’objet de visites nombreuses des architectes français et étrangers,
Considérant que la restauration de la chapelle, entreprise depuis plusieurs années, est restée suspendue par suite de l’insuffisance des crédits,
Emettent le vœu que l’administration municipale veuille bien faire les démarches nécessaires afin d’activer la reprise des travaux pour que ce monument historique, qui se lie intimement à l’histoire de France, soit terminé pour 1889.
Ont signé : Henry Johnson, Diris, Godet, Noël, Goerget, Juteau, Meiss, Beaune, Garnier, Nap. Laurent, Roux
Après en avoir délibéré,
Approuvé à l’unanimité le vœu qui précède.
Pour extrait conforme,
Le maire
G. de Mortillet »

Vue du Château-Neuf depuis la Seine

Estampe en noir et blanc représentant une vue du Château-Neuf de Saint-Germain-en-Laye depuis la Seine.
Inscription : « Je suis ce Sainct Germain dont la voix de l’Histoire/Dira malgré le temps des louanges sans fin/Je suis le nompareil, mais la plus grande gloire/Me vient d’avoir veu naistre un Ilustre Dauphin » en partie inférieure de part et d’autre du nom de l’auteur.
Mention d’auteur et d’éditeur gravée au centre en partie inférieure (« Israel ex. ») ; dans l’angle inférieur droit est gravé le numéro « 12 ».
D’après FAUCHEUX, Louis-Étienne. Catalogue raisonné de toutes les estampes qui forment l’œuvre d’Israel Silvestre : précédé d’une notice sur sa vie. Paris, 1857, les vers gravés seraient de Collet.

Silvestre, Israël

Vienne

Haches et différents bijoux, provenant de la Vienne, conservés dans la collection de la Société des Antiquaires de l'Ouest (Poitiers) [dessin à l'encre et à la craie , 2020001/75/1].

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