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Description archivistique
Côte-d'Or Avec objets numériques
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Carnet 18

Copies d'inscriptions d'Arles (18 novembre 1866) [p. 1-12], Avignon (21 et 24 novembre 1866) [p. 13-15 ; p. 24], Carpentras (22 novembre 1866) [p. 16-17 ; p. 18-23], Malaucène (23 novembre 1866) [p. 18], Vienne (26 novembre 1866) [p. 25-31], Dijon (27 novembre 1866) [p. 32] et quelques inscriptions du musée de Saverne d'après les estampages envoyés par le colonel de Morlet en 1865 [p. 33], inscription indéterminée [p. 39].

Creuly, Casimir

Carnet 15

Copies d'inscriptions de Nîmes (septembre 1865, 13 novembre 1866) [p. 1-21], du musée de Saint-Germain [p. 22-23], transcriptions de copies de Chalon-sur-Saône et Mâcon par Marcel Canat [p. 24-31], copie d'inscription d'un archidendrophore (d’après un d'estampage transmis par Saulcy) [p. 32], copies d’inscriptions du musée de Saint-Germain (8 juin 1867) [p. 33-35], copies des inscriptions nouvelles de Nîmes publiées par l'académie du Gard dans ses Mémoires de septembre 1864 à août 1865 [p. 36-40], copies d’inscriptions du musée de Saint-Germain (23 avril [?]) [p. 41], dessin d’une portion du mur gaulois de Vertault (13 mai 1870) [p. 42].

Creuly, Casimir

Carnet 13

Copies d'inscriptions d'Autun (13 septembre 1865, dont inscription de Bourbon-Lancy) [p. 1-5], Beaune (14 septembre 1865) [p. 5], Avignon, Nîmes, Carpentras, Vaison-la-Romaine, Bastide d'Engras, Rousset (Drôme), Orange, Marseille, Aix-en-Provence, Roussillon, Tresques, Marseille, Valréas et alentours (15 au 17 septembre 1865) [p. 6-40].

Creuly, Casimir

Carnet 1

Copies d'inscriptions du musée algérien du Louvre [p. 1-7], de Toulouse (1857) [p. 8], du Puy (1857) [p. 8 verso-9], de Nizy-le-Comte (2 juillet 1859) [p. 10 recto], de Cherbourg (juillet 1859) [p. 10 verso-11], notes sur les voies romaines de Carentan (6 août 1859) [p. 12 recto], copies d’inscriptions du musée de Bayeux (août 1859) [p. 12 verso-14], notes et dessin de reliefs du musée de Caen (août 1859) [p. 15-16 recto], copies d’inscriptions d'Alise-Sainte-Reine (septembre 1859) [p. 16 verso ; p. 17 verso], du musée de Dijon (septembre 1859) [p. 17 recto ; p. 18-28 recto ; p. 34 recto ; p. 39-45], de Beaune (septembre 1859) [p. 28 verso-29 recto], d'Autun (septembre 1859) [p. 29 verso-38], d'Auxerre (21 septembre 1863) [p. 46-48 recto], de Triguères (septembre 1863) [p. 48 recto]et d'Autun [p. 48 verso], notes diverses [p. 52 verso-55].

Creuly, Casimir

Canthare d'Alise (MAN 7564)

Coupe à décor végétal, dit canthare d’Alésia
Découverte à Alise-Sainte-Reine en septembre 1862
Don Napoléon III
Musée d’Archéologie nationale et Domaine national de Saint-Germain-en-Laye, MAN 7564

Cette coupe est l’un des objets les plus emblématiques des activités archéologiques de Napoléon III. Il a en effet été découvert en septembre 1862 lors des fouilles financées par Napoléon III et conduites par le commandant Stoffel sur le site de la bataille d’Alésia, à Alise-Sainte-Reine, dans la plaine des Laumes. Encore pris dans sa gangue de terre, ce précieux vase à boire aurait été emballé et envoyé à Biarritz, où se trouvait le souverain, afin de lui laisser le privilège de le déballer lui-même. Il le conserva ensuite pendant plus de quatre ans dans son cabinet de travail au Palais des Tuileries, avant de l’envoyer le 8 avril 1867 au musée des Antiquités celtiques et gallo-romaines, en vue de son inauguration le mois suivant. La datation de la coupe, peut-être fabriquée en Italie du sud, est, depuis 1862, objet de controverse. Des environs de 75 avant J.-C. pour certains (ce qui a autrefois permis aux plus audacieux de voir en César son propriétaire) elle pourrait dater de l’époque augustéenne au moins pour d’autres. Sa présence dans le sol de la plaine des Laumes ne signifie pas nécessairement qu’elle ait été perdue lors de la bataille de 52 avant J.-C., car Alésia fut aussi une importante ville à l’époque romaine, où un vase de luxe ancien a pu être utilisé et enfoui ou perdu. Les trois graffites gravés à la pointe sous le pied ne permettent pas de clore le débat. Une marque pondérale suggère que la coupe pouvait partie d’une paire et les deux autres inscriptions, en caractères grecs, livreraient le nom de l’orfèvre et celui d’un propriétaire

BIB 6824

Planche représentant une reconstitution du tumulus de Monceau-Laurent, Abel Maître. Encre, gouache et aquarelle sur carton, vers 1870. MAN, centre des archives.
Le document était encadré et présenté dans les salles du musée. Il témoigne des fouilles réalisées par Edouard Flouest et Abel Maître en 1872-1873.

BIB 46489

Auguste Verchère de Reffye, "Les armes d’Alise", Revue archéologique, 1864. Page de couverture. Ouvrage fermé : H. 0,28 m l. 0,185 m.

BIB 46489

Auguste Verchère de Reffye, "Les armes d’Alise", Revue archéologique, 1864. Première page de l’article. Ouvrage ouvert :H. 0,28 m l. 0,365.

BIB 463

Page de titre de "l’Étude de l’emplacement d’Alésia" par le baron Stoffel, rédigée en 1860 et publiée à Paris, à l’imprimerie impériale en 1862. Tiré-à-part ouvert : H. 0,36 m l. 0, 463 m

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

BIB 4231 ; 2019001/3, planche 19

Album Cournault n°3, planche 19, 532. Épée en bronze, trouvée à Alise-Sainte-Reine, musée de Genève ; 533. Lame en bronze, trouvée à Avenches en 1876, musée de Genève ; 534. Épée en bronze, trouvée à Versoix dans le canton de Genève, musée de Genève ; 535. Lame en bronze, trouvée aux Bougeries dans le canton de Genève, musée de Genève. Dessin à l'encre brune et à l'aquarelle avec rehauts de gouache sur papier teinté bleu, daté de 1879, signé Ch. Cournault. L. 0,864 x h. 0,291 m. Commande du musée de Saint-Germain en 1878-1879.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

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