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- Pièce
- 7 mai 1870
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Courrier de Monsieur G. Julliot, de Sens, président de la Société archéologique de Sens, daté du 7 mai 1870.
Julliot, Gustave
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Courrier de Monsieur G. Julliot, de Sens, président de la Société archéologique de Sens, daté du 7 mai 1870.
Julliot, Gustave
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Commission de Topographie des Gaules
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Commission de Topographie des Gaules
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Courrier de Monsieur Raymond, de Pau, archiviste, daté du 2 décembre 1865, sur papier à en-tête de la préfecture des Basses-Pyrénées, Archives départementales, communales et hospitalières.
Raymond, Lechien Paul
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Courrier de Monsieur Rouard, d'Aix, bibliothécaire, daté du 15 octobre 1866, sur papier à en-tête de la Bibliothèque Méjanes.
Rouard, Etienne-Antoine
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Courrier de Monsieur Emile Travers, de Caen, correspondant de la Société nationale des Antiquaires de France, ancien correspondant de la Commission de la Topographie des Gaules, daté du 22 mars 1880.
Travers, Emile
Lettre de la Commission royale des Monuments de Belgique
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Circulaire émanant de la Commission royale des monuments de Belgique demandant à ses correspondants des renseignements sur les monnaies gauloises découvertes sur le territoire belge.
Commission royale des monuments de Belgique
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Becker, Lewis
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Maury, Louis Ferdinand Alfred
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Becker, Lewis
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Rouland, Gustave
Lettre de L.B. de Saint-Martin à Alexandre Bertrand sur la carte des voies romaines en Moselle
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Commission de Topographie des Gaules
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Lettre de Félicien de Saulcy sur les cimetières mérovingiens à indiquer sur la carte des Gaules
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Saulcy, Félicien de
Lettre officielle pour la relecture des épreuves des articles du Dictionnaire de l'époque celtique
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Lettre-type de Saulcy concernant les envois d'estampages
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Lettre rédigée par Félicien de Saulcy pour être envoyée aux correspondants en 1869. Elle demande l’envoi de copies de toutes les bornes milliaires et préconise le choix de l’estampage pour reproduire fidèlement les inscriptions.
Commission de Topographie des Gaules
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Ministère de l'Instruction publique
Lettre du musée sur la collection du Bulletin des Commissions d'art et d'archéologie
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Extrait du Journal Officiel sur l'arrêté relatif à la création de la CGHAF
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Commission de géographie historique de l'ancienne France
Circulaire sur les fonctions de la CGHAF
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Commission de géographie historique de l'ancienne France
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Ministère de l'Instruction publique
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Commission de géographie historique de l'ancienne France
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Commission de géographie historique de l'ancienne France
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Ministère de l'Instruction publique
Marché relatif à la réalisation de la carte
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Commission de géographie historique de l'ancienne France
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Ministère de l'Instruction publique
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Commission de géographie historique de l'ancienne France
Brouillon d'une note ou circulaire sur la préservation des monuments mégalithiques de la France
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Ministère de l'Instruction publique
Note de Henri Martin sur le CGHAF
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Ministère de l'Instruction publique
Circulaire de Henri Martin relative à la liste des dolmens et des allées couvertes de la Gaule
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Commission de géographie historique de l'ancienne France
Rapport sur la CGHAF par Alexandre Bertrand
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Bertrand, Alexandre
Identification des correspondants
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Ministère de l'Instruction publique
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Il ne s'agit pas de Léon Morel.
Commission de géographie historique de l'ancienne France
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Arbaumont, Jules (d')
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Président de la Société Historique et Archéologique du Maine.
Commission de géographie historique de l'ancienne France
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Ministère de l'Instruction publique
Le fonds Henri Hubert mêle intrinsèquement des archives publiques et des archives privées. Il est constitué essentiellement de dossiers de travail rassemblant des documents divers : carnets, notes manuscrites, tapuscrits, rapports, listes, lettres, cartes postales, croquis, dessins, cartes, tirages photographiques, revues, brochures, coupures de presse, extraits de notice, extraits de publications, tirés à part, factures, etc.
Ces dossiers sont classés dans huit grandes parties ayant trait à :
Hubert, Henri
Domaine national de Saint-Germain-en-Laye
Soumis au statut des « bâtiments civils et palais nationaux » à la fin du XIXe siècle, puis, à celui des « monuments historiques » en 1962, l’ancien Domaine royal de Saint-Germain-en-Laye est aujourd’hui Domaine national, domaine public et propriété de l’État, affecté au ministère en charge de la Culture. Jusqu’en 2009, date de sa fusion avec le musée d’Archéologie nationale, il est dirigé par un corps d’agents spécialisés dans la conservation du patrimoine architectural et paysager. Le fonds du Domaine national de Saint-Germain-en-Laye résulte de l’activité conjointe de l’agence d’architecture des bâtiments de France et de l’administrateur du Domaine. Cette équipe de conservateurs du patrimoine a pour mission d’assurer la conservation et la mise en valeur de ce Domaine national par l’exécution de travaux d’entretien, d’aménagement, de restauration, d’une part, et par la gestion du personnel des services de surveillance et du jardin d’autre part.
Architectes de l’État : les architectes en chef des monuments historiques (ACMH)
La loi du 30 mars 1887 pour la conservation des monuments historiques Comprend des dispositions instituant le corps des architectes en chef des monuments historiques (ACMH) instauré par le décret du 26 janvier 1892 et dont les statuts sont fixé en 1907. Recruté par un concours d’État, l’ACMH est nommé dans une circonscription par le ministre en charge de la Culture. Il formule toute proposition et avis pour la protection, la bonne conservation, la mise en valeur et la réutilisation des immeubles protégés. Il assiste la conservation régionale des monuments historiques pour la programmation annuelle des travaux. Il définit à la demande du conservateur régional les propositions d’études préalables aux travaux de restauration des monuments historiques classés. Il est chargé, en tant que maître d’œuvre, de diriger les travaux.
Pendant longtemps la conservation du Domaine est distincte de celle du château de Saint-Germain-en-Laye, et relève de l’attribution d’un architecte ou d’un ingénieur nommé par l’administration centrale. Nous sommes parvenus à reconstituer la liste des architectes successifs depuis le règne de Louis-Philippe, sous réserve de nouvelles recherches. Alexandre Prosper Loaisel de Tréogate, « ingénieur des parterres », est connu pour avoir aménagé les jardins suite à la construction de la gare de Saint-Germain en 1847. Vers 1849-1852/1854, Jules Alexandre Cailloux, « architecte des parterres et terrasse », est chargé de la surveillance, de la conservation de la terrasse et du parterre, avant l’arrivée d’un certain Monsieur Dufrayer. À partir de 1879, la fonction conservation du Domaine et celle du château fusionnent. Joseph-Auguste Lafollye (1828-1891), déjà en charge du Domaine, poursuit les travaux de restauration du château entrepris par Eugène Louis Millet (1819-1879) depuis 1855. Pierre-Gérôme-Honoré Daumet (1826-1911) assure la conservation de 1889 à 1911. Louis Jean Hulot (1871-1959), architecte en chef des bâtiments civils et palais nationaux, est ensuite responsable de l’entretien de 1912 à 1939. Son successeur, Jean-Baptiste Hourlier (1897-1987) de 1939 à 1966, est le premier à être appelé « architecte en chef du Domaine de Saint-Germain-en-Laye ». Aujourd’hui, et sous réserve de la découverte de nouveaux documents, il est l’auteur des archives les plus anciennes du fonds. Lui succèdent les architectes en chef des monuments historiques (ACMH) à l’origine de la majorité de la production documentaire du fonds : Louis Blanchet (1927-) de 1966 à 1992, et Bernard Voinchet (1944-) de 1992 à 2001. Le 14 novembre 2001 Jacques Moulin est nommé ACMH pour le « parc du domaine de Saint-Germain-en-Laye ». Cependant le SNT demeure en relation avec Bernard Voinchet jusqu’en 2008 pour l’achèvement des travaux déjà engagés afin d’assurer leur continuité. Entre 2008 et 2010, l’architecte urbaniste de l’État Anne Staub reprend les fonctions. Depuis 2010, Régis Martin est le nouvel ACMH commun au château et au Domaine.
FONCTIONS ET ACTIVITES
Conservation d’un Domaine national
Nomenclature budgétaire. La nomenclature budgétaire des travaux de restauration est exprimée en titres (annualité), chapitres (spécialité) et articles (unité). Elle se présente sous la forme de chapitres budgétaire. Parmi les titres du budget de l’État nous retrouvons :
Il existe un cadre particulier du budget des monuments historiques appartenant à l’État, pour lesquelles la nomenclature budgétaire s’exprime essentiellement dans les quelques chapitres suivants :
Procédure pour les gros travaux. Il s’agit de travaux de conservation ou de restauration nécessités par l’état des monuments les plus gravement atteints. Ces travaux sont financés sur le chapitre 56-20 article 50. Ils sont menés sous la maîtrise d’ouvrage des DRAC ou du SNT. Le maître d’œuvre est l’ACMH territorialement compétent, c’est-à-dire qu’il établit le projet et en contrôle l’exécution. Il travaille en plusieurs étapes :
L’étude préalable (EP) dont l’objectif est d’avoir une connaissance précise des travaux à conduire, et de leur éventuel phasage. Elle fait l’historique du bâtiment et propose des restaurations. Elle a valeur de permis de construire.
Le projet architectural et technique (PAT) fait partie du dossier d’appel d’offres (ou dossier de consultation des entreprises) et complète l’étude préalable. Il sert à la mise en concurrence des entreprises. Il comprend :
Le marché public se compose de plusieurs pièces :
Le suivi des travaux :
La création du dossier documentaire des ouvrages exécutés (DOE ou DDOE) ou rapport de restauration.
L’initiative du lancement d’une procédure appartient soit à l’administrateur du Domaine, soit aux services dépendant de la direction du patrimoine. Au cours des visites pluriannuelles faites par l’ABF, l’ACMH ou le CRMH, l’administrateur constate avec l’aide de ce dernier les désordres. Si ceux-ci sont de faible importance, il voit avec l’ABF comment les réduire, éventuellement sur des crédits d’entretien. S’ils sont importants, l’ABF saisit, en liaison avec l’administrateur, le CRMH du problème. Celui-ci, accompagné de l’ABF et de l’ACMH, prend la mesure des travaux à mener. Le CRMH, après consultation de l’administrateur sur une éventuelle priorité, commande à l’ACMH une étude préalable. La durée de l’étude préalable est de six mois. À la réception de l’étude, le CRMH demande obligatoirement l’avis de l’inspection des monuments historiques et de l’inspection générale des monuments historiques territorialement compétentes. Cet avis est réputé favorablement dans un délai de deux mois, avant de passer à la phase suivante de mise au point du projet de restauration par la commande d’un PAT. Le délai est de sept mois au minimum après la réception de la commande par l’ACMH du PAT. On peut considérer qu’à partir du moment où la commande d’étude préalable a été passée à l’ACMH, un délai moyen de deux ans est inévitable avant le commencement des travaux, compte-tenu des contraintes d’avis, de marchés, de gestion comptable, etc. Le CRMH engage les crédits et parallèlement, passe commande du PAT, prépare les marchés et les appels d’offre, passe les marchés. L’ACMH signe alors les ordres de services aux entreprises et suit le déroulement des travaux. Il importe que le règlement du chantier soit élaboré en concertation entre l’ACMH et l’administrateur. Chaque réunion de chantier doit se faire en présente de l’administrateur. La réception des travaux est réalisée par l’ACMH, l’administrateur et le CRMH.
Procédure pour les travaux d’entretien. L’entretien correspond à l’action préventive ou curative, qui, avec des moyens réduits, empêche l’apparition d’un désordre, le supprime ou en arrête l’extension. L’administrateur a le devoir de veiller au bon état du monument. Cette action préventive consiste essentiellement en balayage, nettoyage des créneaux et fossés, émoulage, dégorgement, etc. Elle est l’entière responsabilité de l’administrateur. L’ABF doit au cours de ses visites d’inspection pluriannuelles, le lui rappeler. L’action curative, quant à elle, appartient à l’ABF en concertation avec l’ACMH et l’administrateur. L’ABF est obligatoirement le maître d’œuvre de ces travaux. Il dispose d’un crédit annuel dont il assume la programmation. L’ordre de service des travaux d’entretien est établi suivant un modèle défini. Une copie est adressée au conservateur régional ainsi qu’à l’ACMH. L’ABF signe le permis de feu autorisant l’entreprise à entreprendre des travaux.
Procédure pour les travaux neufs. Dans certains cas, des travaux d’investissement doivent être menés afin d’aménager dans le monument un accueil, des locaux professionnels, voire des bureaux ou des logements. Lorsque ces travaux ne modifient pas les parties sensibles du monument, le régime des travaux sur les immeubles classés parmi les monuments historiques ne s’applique plus. Il faut alors appliquer les textes sur l’ingénierie.Le maître d’ouvrage, conservateur régional attaché à la DRAC, SNT ou CMN, peut, pour assurer la maîtrise d’œuvre de l’opération, faire appel soit à un architecte libéral, soit à l’ACMH, soit à l’ABF. Dans la plupart des cas l’initiative appartient à l’administrateur qui doit faire connaître, au travers de son rapport d’activité annuel, ses besoins en matière de travaux d’amélioration : de l’accueil du public, des conditions de travail de ses agents, des logements de service. Un programme détaillé de l’opération doit alors être effectué en liaison avec le utilisateurs du monument, l’ABF, l’ACMH, le conservateur régional et le CMN afin de vérifier la nécessité et la faisabilité du projet au regard des exigences des biens et du publics, et du respect du monument.
La protection des abords. Selon la loi de 1943, sont protégés les abords des monuments, donc tout immeuble placé dans un périmètre de 500 mètres. Toute destruction construction, restauration doit obtenir l’accord préalable de l’ABF ou de l’ACMH.
L’accueil et la surveillance d’un Domaine national
La direction du patrimoine fait appel à un corps d’agents spécifiques pour la gestion des monuments historiques. Ces agents interviennent essentiellement en qualité de gardiens ou de jardiniers et sont placés sous la responsabilité de l’administrateur du Domaine :
L’actuel instrument de recherche décrit l’ensemble des archives relevant du cœur de métier du double producteur, les architectes de l’État et l’administrateur. Trois fonctions ont été identifiées :
Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye
Fonds Abbé Philippe - Fort-Harrouard et autres sites
Ce fonds est composé de huit parties d'un volume inégal :
Philippe, Joseph
Travaux et suivi des travaux du Château de Saint-Germain-en-laye
Le fonds rassemble une typologie documentaire propre à l’activité de conservation, de restauration, d’aménagement et d’entretien d’un monument historique.
Nomenclature budgétaire
La nomenclature budgétaire des travaux de restauration est exprimée en titres (annualité), chapitres (spécialité) et articles (unité). Elle se présente sous la forme de chapitres budgétaire. Parmi les titres du budget de l’État nous retrouvons :
Il existe un cadre particulier du budget des monuments historiques appartenant à l’État, pour lesquelles la nomenclature budgétaire s’exprime essentiellement dans les quelques chapitres suivants :
Procédure pour les gros travaux
Le gros œuvre correspond aux travaux de conservation ou de restauration nécessités par l’état des monuments les plus gravement atteints. Ces travaux sont financés sur le chapitre 56-20 article 50. Ils sont menés sous la maîtrise d’ouvrage du SNT. Le maître d’œuvre est l’ACMH territorialement compétent, c’est-à-dire qu’il établit le projet et en contrôle l’exécution. Il travaille en plusieurs étapes :
L’étude préalable (EP) dont l’objectif est d’avoir une connaissance précise des travaux à conduire, et de leur éventuel phasage. Elle fait l’historique du bâtiment et propose des restaurations. Elle a valeur de permis de construire.
Le projet architectural et technique (PAT) fait partie du dossier d’appel d’offres (ou dossier de consultation des entreprises) et complète l’étude préalable. Il sert à la mise en concurrence des entreprises. Il comprend :
Le marché public se compose de plusieurs pièces :
Le suivi des travaux :
La création du dossier documentaire des ouvrages exécutés (DOE ou DDOE) ou rapport de restauration.
L’initiative du lancement d’une procédure appartient soit au directeur de l’organisme, soit aux services dépendant de la direction du patrimoine. Au cours des visites pluriannuelles faites par l’ABF, l’ACMH ou le CRMH, l’administrateur constate avec l’aide de ce dernier les désordres. Si ceux-ci sont de faible importance, il voit avec l’ABF comment les réduire, éventuellement sur des crédits d’entretien. S’ils sont importants, l’ABF saisit, en liaison avec l’administrateur, le CRMH du problème. Celui-ci, accompagné de l’ABF et de l’ACMH, prend la mesure des travaux à mener. Le CRMH, après consultation de l’administrateur sur une éventuelle priorité, commande à l’ACMH une étude préalable. La durée de l’étude préalable est de six mois. À la réception de l’étude, le CRMH demande obligatoirement l’avis de l’inspection des monuments historiques et de l’inspection générale des monuments historiques territorialement compétentes. Cet avis est réputé favorablement dans un délai de deux mois, avant de passer à la phase suivante de mise au point du projet de restauration par la commande d’un PAT. Le délai est de sept mois au minimum après la réception de la commande par l’ACMH du PAT. On peut considérer qu’à partir du moment où la commande d’étude préalable a été passée à l’ACMH, un délai moyen de deux ans est inévitable avant le commencement des travaux, compte-tenu des contraintes d’avis, de marchés, de gestion comptable, etc. Le CRMH engage les crédits et parallèlement, passe commande du PAT, prépare les marchés et les appels d’offre, passe les marchés. L’ACMH signe alors les ordres de services aux entreprises et suit le déroulement des travaux. Il importe que le règlement du chantier soit élaboré en concertation entre l’ACMH et le directeur. Chaque réunion de chantier doit se faire en présence du directeur. La réception des travaux est réalisée par l’ACMH, le directeur et le CRMH.
Procédure pour les travaux d’entretien
L’entretien correspond à l’action préventive ou curative, qui, avec des moyens réduits, empêche l’apparition d’un désordre, le supprime ou en arrête l’extension. Elle est l’entière responsabilité du directeur. L’ABF doit au cours de ses visites d’inspection pluriannuelles, le lui rappeler. L’action curative appartient à l’ABF en concertation avec l’ACMH et le directeur. L’ABF est obligatoirement le maître d’œuvre de ces travaux. Il dispose d’un crédit annuel dont il assume la programmation. L’ordre de service des travaux d’entretien est établi suivant un modèle défini. Une copie est adressée au conservateur régional ainsi qu’à l’ACMH. L’ABF signe le permis de feu autorisant l’entreprise à entreprendre des travaux.
Procédure pour les travaux neufs
Dans certains cas, des travaux d’investissement doivent être menés afin d’aménager dans le monument un accueil, des locaux professionnels, voire des bureaux ou des logements. Lorsque ces travaux ne modifient pas les parties sensibles du monument, le régime des travaux sur les immeubles classés parmi les monuments historiques ne s’applique plus. Il faut alors appliquer les textes sur l’ingénierie. Dans la plupart des cas l’initiative appartient au directeur de faire connaître, au travers de son rapport d’activité annuel, ses besoins en matière de travaux d’amélioration : de l’accueil du public, des conditions de travail de ses agents, des logements de service. Un programme détaillé de l’opération doit alors être effectué en liaison avec les utilisateurs du monument, l’ABF, l’ACMH et le CMN afin de vérifier la nécessité et la faisabilité du projet au regard des exigences des biens et du public, et du respect du monument.
Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye
Administration générale. Minutier chronologique directorial (1956-2011)
Le fonds comprend les courriers arrivée et départ des différents directeurs. Des dossiers thématiques ont été réalisés par les directeurs eux-mêmes sur des sujets particuliers. Nous retrouvons par exemple le dossier « Notes internes » (2017002/39) qui regroupe plusieurs typologies : notes internes, attestations, procès-verbaux, conventions. Cependant, il est à noter que ce fonds du minutier chronologique présente de nombreuses lacunes (cf le minutier d’Alain Duval). Certains des courriers sont aujourd’hui classés avec le minutier de la conservation ou dans des dossiers d’affaire, comme ceux des expositions.
Liste des directeurs du musée d’Archéologie nationale :
Alexandre Bertrand (1867-1902)
Salomon Reinach (1902-1932)
Raymond Lantier (1932-1956)
André Varagnac (1956-1964)
René Joffroy (1964-1984)
Henri Delporte (1984-1987)
Jean-Pierre Mohen (1987-1992)
Alain Duval (1992-1996)
Patrick Périn (1996-2012)
Hilaire Multon (2012-...)
Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye
Le fonds Ernest Desjardins rassemble des archives privées. Il contient principalement des dossiers de travail personnels rassemblant des documents divers : albums, carnets, notes manuscrites, listes, lettres, croquis, dessins, cartes, coupures de presse,…
Cet ensemble a été classé en deux grandes parties qui ont trait à :
Desjardins, Ernest
Fait partie de Fonds Ernest Desjardins
Préparation à l’édition d’un ouvrage sur les cachets d’oculistes de Bavai et du musée de Douai : liasse regroupant une lettre de E. Balicq (19 mai 1881), des relevés d’inscriptions diverses, des fiches bibliographiques, des notes manuscrites du Dr Ch. Martin [54 pièces] (sans date).
Balicq, E.
Relevés de monuments épigraphiques de musées
Fait partie de Fonds Ernest Desjardins
Musées de l’est et du nord de la France
Fait partie de Fonds Ernest Desjardins
« Album I » : relevés d’inscriptions du musée de Douai, de cachets d’oculistes et d’empreintes de potier, au crayon et annotées (description, transcription, dimensions, indications bibliographiques), liste des noms et marques de potiers relevés sur les vases ou débris de vases du musée de Douai, dessins caricaturaux, dessins de sculptures de la galerie des grands hommes de Douai.
« Album II » : relevés d’inscriptions et marques de fabriques copiées dans les collections particulières ou extraites de manuscrits, au crayon ou à l’encre et annotées (description, transcription, dimensions, indications bibliographiques).
Carnet « III » : relevés d’inscriptions et de stèles funéraires des musées d’Évreux, de Rouen, de Melun, de Bourbon-Lancy, de Luxeuil, de Bourbonne-les-Bains, d’Amiens et de Champlieu (description, transcription, dimensions, indications bibliographiques), lettre de Mowat (24 août 1877), dessin au crayon et photographies de la ville d’Honfleur, carte manuscrite de l’embouchure de la Seine, dessins à l’encre et au crayon de monuments de Luxeuil, dessin au crayon de monuments de Pierrefonds, notes manuscrites prises à l’exposition universelle de 1878.
Desjardins, Ernest
Fait partie de Fonds Ernest Desjardins
Album « IV » : relevés d’inscriptions épigraphiques et de marques de fabrique au crayon et annotées (description, transcription, dimensions, indications bibliographiques).
Album « V » : relevés d’inscriptions épigraphiques au crayon et annotées (description, transcription, dimensions, indications bibliographiques).
Musées de Saint-Germain et Carnavalet
Fait partie de Fonds Ernest Desjardins
« Album VII » : relevés d’inscriptions à l’encre et au crayon et annotées du musée de Saint-Germain, du musée Carnavalet et sur des estampages de La Blanchère (description, transcription, dimensions, indications bibliographiques), un dessin au crayon de la ville de Dieppe-Le Pollet, des croquis de portulans français (XVIe siècle principalement).
Fait partie de Fonds Ernest Desjardins
Fiches de notes manuscrites, indications bibliographiques, coupures de presse (1879-1880), lettre de Gustave Humbert (27 mars 1880), lettre du bureau de la gravure de la librairie Hachette (29 octobre 1879), cartes, articles.
Fait partie de Fonds Ernest Desjardins
Fiches de notes manuscrites, relevés d’inscriptions, extraits de publication, indications bibliographiques, cartes annotées, dessins, faire-part de décès d’Étienne-Henri Durand (19 février 1884).
Les empereurs du Premier siècle
Fait partie de Fonds Ernest Desjardins
Notes manuscrites, fiches biographiques, indications bibliographiques, relevés d’inscriptions, lettre, carte de visite d’Arsène Darmesteter, plans.