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Photographie de la grande baliste - vue de face (PV_01694)

Photographie représentant la reconstitution grandeur nature d'une grande baliste romaine réalisée par Auguste Verchère de Reffye. L'arme de jet est installée dans la cour du château de Saint-Germain-en-Laye vers 1870.
Musée d'Archéologie nationale, centre des archives, fonds photographique

Mis au point dans le monde grec au IVe s. av. J.-C., les engins balistiques connaissent d’importants développements techniques à l’époque impériale romaine. La propulsion de flèches et de traits, se fait grâce à l’énergie dégagée par le relâchement de faisceaux de cordages souples et résistants torsadés, installés dans un cadre mis sous tension par un treuil. Les machines, utilisées sur mer et sur terre, sont des armes offensives et défensives, plus légères à partir du IIe siècle, et facilement transportées et démontées. Vers 1860, à l’époque où Auguste de Reffye (1821-1880) réalise ces modèles de machines de guerre romaines, on ne connaît pas de vestiges de ces engins, et le polytechnicien, artilleur, excellent mécanicien, comme ses prédécesseurs, étudie les traités techniques grecs et latins. Il reçoit pour cela l’aide de philologues français qui, souvent sur commande de Napoléon III, œuvrent à la traduction de traités techniques grecs, comme le mathématicien Alexandre Vincent (1797-1868) ou l'helléniste Emmanuel Miller (1810-1886). Il exploite également des ressources iconographiques jusqu'alors négligées : les représentations de machines de guerre figurant sur la colonne Trajane, érigée à Rome en 113 après J.-C., et la stèle funéraire ornée d'une catapulte de Caius Vedennius Moderatus, ingénieur à l'arsenal de Rome à la fin du Ier siècle.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

Travaux et suivi des travaux du Château de Saint-Germain-en-laye

  • 2016006
  • Fonds
  • 1959-2016

Le fonds rassemble une typologie documentaire propre à l’activité de conservation, de restauration, d’aménagement et d’entretien d’un monument historique.

Nomenclature budgétaire
La nomenclature budgétaire des travaux de restauration est exprimée en titres (annualité), chapitres (spécialité) et articles (unité). Elle se présente sous la forme de chapitres budgétaire. Parmi les titres du budget de l’État nous retrouvons :

  • le Titre III pour les dépenses de fonctionnement des services correspondent aux dépenses courantes de l’État (personnels, fonctionnement, entretien). Dans le cadre du Domaine, il s’agit essentiellement de dépenses pour les travaux d’entretien ou d’intervention ponctuelles auxquels peuvent s’ajouter de travaux d’aménagement ou d’accueil. Les crédits ouverts sur ce titre doivent être consommés dans l’année, c’est la stricte application de l’annualité budgétaire.
  • le Titre V correspond aux dépenses d’investissement de l’État, c’est-à-dire aux travaux de gros œuvres. Ces dépenses concernent les opérations impossibles à mener en une année.

Il existe un cadre particulier du budget des monuments historiques appartenant à l’État, pour lesquelles la nomenclature budgétaire s’exprime essentiellement dans les quelques chapitres suivants :

  • chapitre 31-90 : vacations ;
  • chapitre 34-97 : fonctionnement ;
  • chapitre 35-20 : travaux d’entretien ;
  • chapitre 56-20 : travaux de grosses réparations.

Procédure pour les gros travaux
Le gros œuvre correspond aux travaux de conservation ou de restauration nécessités par l’état des monuments les plus gravement atteints. Ces travaux sont financés sur le chapitre 56-20 article 50. Ils sont menés sous la maîtrise d’ouvrage du SNT. Le maître d’œuvre est l’ACMH territorialement compétent, c’est-à-dire qu’il établit le projet et en contrôle l’exécution. Il travaille en plusieurs étapes :

  1. L’étude préalable (EP) dont l’objectif est d’avoir une connaissance précise des travaux à conduire, et de leur éventuel phasage. Elle fait l’historique du bâtiment et propose des restaurations. Elle a valeur de permis de construire.

  2. Le projet architectural et technique (PAT) fait partie du dossier d’appel d’offres (ou dossier de consultation des entreprises) et complète l’étude préalable. Il sert à la mise en concurrence des entreprises. Il comprend :

    • le cahier des clauses techniques et particulières (CCTP) ;
    • un avant-métré : énumération des unités d’œuvre entrant dans une construction et indication de la quantité nécessaire à chacune d’elles ;
    • des documents graphiques : plans, élévations, coupes, tirages photographiques, photomontages, relevés topographiques, plans cadastraux, etc.
      Un PAT est l’équivalent d’un avant-projet détaillé ou définitif (APD) qui comporte des plans détaillés des parties concernées, la définition des moyens et techniques employés, l’estimation définitive des travaux.
  3. Le marché public se compose de plusieurs pièces :

    • l’appel d’offre est la procédure de mise en concurrence et d’attribution de marché comporte le dossier de consultation des entreprises (DCE), le rapport d’analyse des offres et le procès-verbal de la commission d’ouverture des plis ;
    • l’acte d’engagement : document dans lequel l’entreprise, candidate à un marché public, présente son offre et adhère aux clauses définies par l’acheteur. Cet acte est signé par les deux parties ;
    • bordereau de prix : pièce écrite énumérant de façon détaillée les prix des différents articles ;
    • devis descriptif : description technique de l’ensemble de l’ouvrage et des modes d’exécution, les contraintes techniques et les matériaux utilisés ;
    • devis estimatif : montant estimé des travaux ;
    • devis quantitatif : liste des éléments d’ouvrages (fournitures) ;
    • cahier des clauses administratives particulières (CCAP) : pièce contractuelle rappelant les règles administratives et les pénalités encourues en cas de non-respect du contrat ;
    • cahier des clauses techniques particulières (CCTP) : pièce contractuelle détaillant les fournitures et de leur mise en œuvre ;
    • avant-métré ;
    • documents graphiques.
  4. Le suivi des travaux :

    • l’ordre de service : document enjoignant une entreprise à réaliser les travaux pour lesquels l’accord a été passé ;
    • situation de travaux : pièce établie périodiquement par le maître d’œuvre, indiquant les quantités d’ouvrages (matériaux) et les prix correspondant ;
    • comptes rendus de réunion de chantier ;
    • attachement : document écrit ou graphique réalisé au cours des travaux ou dès la fin servant à l’établissement de mémoires, et permettant la vérification des travaux ;
    • mémoire : état détaillé des travaux exécutés et des sommes dues, dressé par l’entrepreneur ou le maître d’œuvre, à la fin de travaux en vue du règlement ;
    • garantie décennale : garantie due par les constructeurs au maître d’ouvrage pendant dix ans à compter de la réception des ouvrages.
  5. La création du dossier documentaire des ouvrages exécutés (DOE ou DDOE) ou rapport de restauration.
    L’initiative du lancement d’une procédure appartient soit au directeur de l’organisme, soit aux services dépendant de la direction du patrimoine. Au cours des visites pluriannuelles faites par l’ABF, l’ACMH ou le CRMH, l’administrateur constate avec l’aide de ce dernier les désordres. Si ceux-ci sont de faible importance, il voit avec l’ABF comment les réduire, éventuellement sur des crédits d’entretien. S’ils sont importants, l’ABF saisit, en liaison avec l’administrateur, le CRMH du problème. Celui-ci, accompagné de l’ABF et de l’ACMH, prend la mesure des travaux à mener. Le CRMH, après consultation de l’administrateur sur une éventuelle priorité, commande à l’ACMH une étude préalable. La durée de l’étude préalable est de six mois. À la réception de l’étude, le CRMH demande obligatoirement l’avis de l’inspection des monuments historiques et de l’inspection générale des monuments historiques territorialement compétentes. Cet avis est réputé favorablement dans un délai de deux mois, avant de passer à la phase suivante de mise au point du projet de restauration par la commande d’un PAT. Le délai est de sept mois au minimum après la réception de la commande par l’ACMH du PAT. On peut considérer qu’à partir du moment où la commande d’étude préalable a été passée à l’ACMH, un délai moyen de deux ans est inévitable avant le commencement des travaux, compte-tenu des contraintes d’avis, de marchés, de gestion comptable, etc. Le CRMH engage les crédits et parallèlement, passe commande du PAT, prépare les marchés et les appels d’offre, passe les marchés. L’ACMH signe alors les ordres de services aux entreprises et suit le déroulement des travaux. Il importe que le règlement du chantier soit élaboré en concertation entre l’ACMH et le directeur. Chaque réunion de chantier doit se faire en présence du directeur. La réception des travaux est réalisée par l’ACMH, le directeur et le CRMH.

Procédure pour les travaux d’entretien
L’entretien correspond à l’action préventive ou curative, qui, avec des moyens réduits, empêche l’apparition d’un désordre, le supprime ou en arrête l’extension. Elle est l’entière responsabilité du directeur. L’ABF doit au cours de ses visites d’inspection pluriannuelles, le lui rappeler. L’action curative appartient à l’ABF en concertation avec l’ACMH et le directeur. L’ABF est obligatoirement le maître d’œuvre de ces travaux. Il dispose d’un crédit annuel dont il assume la programmation. L’ordre de service des travaux d’entretien est établi suivant un modèle défini. Une copie est adressée au conservateur régional ainsi qu’à l’ACMH. L’ABF signe le permis de feu autorisant l’entreprise à entreprendre des travaux.

Procédure pour les travaux neufs
Dans certains cas, des travaux d’investissement doivent être menés afin d’aménager dans le monument un accueil, des locaux professionnels, voire des bureaux ou des logements. Lorsque ces travaux ne modifient pas les parties sensibles du monument, le régime des travaux sur les immeubles classés parmi les monuments historiques ne s’applique plus. Il faut alors appliquer les textes sur l’ingénierie. Dans la plupart des cas l’initiative appartient au directeur de faire connaître, au travers de son rapport d’activité annuel, ses besoins en matière de travaux d’amélioration : de l’accueil du public, des conditions de travail de ses agents, des logements de service. Un programme détaillé de l’opération doit alors être effectué en liaison avec les utilisateurs du monument, l’ABF, l’ACMH et le CMN afin de vérifier la nécessité et la faisabilité du projet au regard des exigences des biens et du public, et du respect du monument.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

Antiquités du département de la Seine et de ses environs immédiats

« Tableau général » : 1 dossier, 1 tableau manuscrit (sans date).
« Ville de Paris […] 1er fascicule » : 1 dossier, 4 feuilles de notes manuscrites, 8 planches de dessins à l'encre et aquarellé (sans date).
« Port-Marly […] 2e fascicule » : 1 dossier, 1 feuille de notes manuscrites, 2 planches de dessins aquarellés (sans date).
« Clamart et Nanterre […] 3e fascicule » : 1 dossier, 1 feuille de notes manuscrites, 11 planches de dessins à l'encre et aquarellés (1872).
« Montmartre, Ivry et Pantin […] 4e fascicule » : 1 dossier, 1 feuille de notes manuscrites, 4 planches de dessins à l'encre et aquarellés (sans date).
« Montmartre […] 5e fascicule » : 1 dossier, 1 feuille de notes manuscrites, 1 planche de dessins : notes manuscrites, stratigraphie (sans date).
« Vanves […] 6e fascicule » : 1 dossier, 1 feuille de notes manuscrites, 1 planche de dessins (sans date).
« Paris à Meulan […] 7e fascicule » : 1 dossier, 1 feuille de notes manuscrites, 2 planches de dessins aquarellés (sans date).
« Levallois, Grenelle, Billancourt, Asnières, Nanterre, Sablières d’alluvions anciennes […] 8e fascicule » : 1 dossier, 1 feuille de notes manuscrites, 12 planches de dessins aquarellés (1872).
« Les animaux des races éteintes à Paris […] 9e fascicule » : 1 dossier, 1 feuille de notes manuscrites, 2 planches de dessins aquarellés et à l'encre (sans date).
« Les silex taillés à Paris […] 10e fascicule » : 1 dossier, 1 feuille de notes manuscrites, 4 planches de dessins à l'encre et aquarellés (1872).
« La pierre polie à Paris (silex taillés des dolmens) […] 11e fascicule » : 1 dossier, 1 feuille de notes manuscrites (sans date).
« Les haches polies à Paris […] 13e fascicule » : 1 dossier, 1 feuille de notes manuscrites, 5 planches de dessins : notes manuscrites, dessins à l'encre (sans date).
« Expériences aux abattoirs de La Villette […] 14e fascicule » : 1 dossier, 2 feuilles de notes manuscrites, 4 planches de dessins aquarellés, planches imprimées du Congrès international des orientalistes de 1873 (sans date).
« Époque mérovingienne, Nanterre […] 15e fascicule » : 1 dossier, 1 feuille de notes manuscrites, 5 planches de dessins à l'encre et aquarellés (sans date).
« Époque franque-mérovingienne, Suresnes […] 16e fascicule » : 1 dossier, 1 mémoire de fouilles [22 p.], 3 planches de dessins à l'encre et plan aquarellé (1887).
« Clichy, Grenelle […] 17e fascicule » : 1 dossier, 1 feuille de notes manuscrites, 1 mémoire sur l'anthropologie des dolmens des environs de Paris par le Docteur Jules Guégan [8 p.], 12 planches de dessins à l'encre et aquarellés (sans date).
« Antiquités des départements de la Seine et de Seine-et-Oise, époques celto-gauloise, mégalithique, gallo-romaine et franque-mérovingienne […] 18e fascicule » : 1 dossier, 1 planche aquarellé (sans date).
« Le Pecq […] 19e fascicule » : 1 dossier, 1 feuille de notes manuscrites, 1 planche de dessin aquarellé (1872).

« Veüe et perspective du Chasteau Royal de St Germain en Laye »

Estampe en noir et blanc représentant les façades sud et est du Château-Vieux de Saint-Germain-en-Laye.
Titre et mentions d’auteur et d’éditeur gravés en partie inférieure (de gauche à droite : « N. Poilly ex. c.p.r./Veüe et perspective du Chasteau Royal de St Germain en Laye/A. Perelle del. Et sc. »).
Porte la mention « 3 M » dans l’angle inférieur droit.

Pérelle, Adam

« Veüe et perspective du vieux Chateau de St Germain en Laye du costé du jardin »

Estampe en noir représentant une vue en perspective du parterre et du Château-Vieux de Saint-Germain-en-Laye depuis le nord.
Titre et mention d’auteur gravés en partie inférieure (de gauche à droite et de haut en bas : « Veüe et perspective du chasteau neuf de St Germain du costé du jardin/Fait par Aveline avec privilège du Roy »).

Aveline, Pierre

Article 2

Muséum d’histoire naturelle, Nîmes [moulages ; dépôt fantôme qui aurait été réalisé vers 1938]. - Engagement de la procédure de dépôt et suivi administratif : correspondance (1938-2008).
Musée d’Orange [inscriptions cadastrales, statuette d’Abondance, fragments de pierre, vases à reliefs et vases sigilles, céramiques, vases unis, urnes cinéraires, amphores, objets en métaux, lampes, objets de verre et d’os découverts à Orange ; demande de mise en dépôt envoyée le 25 février 1980]. - Engagement de la procédure de dépôt et suivi administratif : correspondance (1980).
Musée Carnavalet, Paris [céramiques de la collection Piketty ; dépôt fantôme qui aurait été réalisé au début des années 30]. - Engagement de la procédure de dépôt et suivi administratif : correspondance, inventaire (1935-2006).
Musée régional béarnais, Pau [objets des fouilles de Mascaraux, des fouilles de Piette à Espalungue et des fouilles Pothier ; demande de mise en dépôt envoyée le 5 juillet 1950]. - Engagement de la procédure de dépôt et suivi administratif : correspondance (1950).
Musée Joseph Dechelette, Roanne [buste en bronze de l’archéologue Jospeh Déchelette ; demande de mise en dépôt émise le 29 août 2002]. - Engagement de la procédure de dépôt et suivi administratif :correspondance (2002).
Musée de Rouen [casque gaulois d’Amfreville ; demande de mise en dépôt envoyée le 3 juin 1971]. - Engagement de la procédure de dépôt et suivi administratif : correspondance (1971).
Musée municipal, Sainte-Menehould [collection G. Chenet ; demande de mise en dépôt envoyée le 24 janvier 1991]. - Engagement de la procédure de dépôt et suivi administratif : correspondance (1991).
Musée de la Pierre à Fusil, Selles-sur-Cher [6 silex taillés préhistoriques ; dépôt fantôme qui aurait été réalisé en 1974]. - Engagement de la procédure de dépôt et suivi administratif :courrier (1974).
Musée de Stenay [objets mérovingiens ; demande de mise en dépôt envoyée le 1er juillet 1987]. - Engagement de la procédure de dépôt et suivi administratif : correspondance (1986-1987).
Musée archéologique, Strasbourg [statues gallo-romaines en terre cuite faisant double emploi au musée de Saint-Germain-en-Laye ; projet de mise en dépôt de 1948]. - Engagement de la procédure de dépôt et suivi administratif : correspondance (2004-2006).
Musée de Toulon [MAN 3487?; dépôt fantôme de 1954]. - Engagement de la procédure de dépôt et suivi administratif : correspondance (1954).
Musée d’histoire naturelle, Toulouse |MAN 31176 ; élan empaillé ; dépôt réalisé en 1936 ; tête de cervidé retrouvée sur les toits avec les bois sciés]. - Engagement de la procédure de dépôt et suivi administratif : correspondance, inventaire, documentation (1936-2004).
Musée de Vaison [éléments de mobiliers trouvés à Vaison ; demande de mise en dépôt envoyée le 25 avril 2001]. - Engagement de la procédure de dépôt et suivi administratif : correspondance (2001).
Musée de Valence [MAN 19589, 20580, 20300 ; autel tabulaire en marbre de Carrare ; demande de dépôt envoyée le 26 février 2008]. - Engagement de la procédure de dépôt et suivi administratif : correspondance (2008).
Musée d’Archéologie du Morbihan, Vannes [série de la collection Du Chatellier ; dépôt fantôme des années 20]. - Engagement de la procédure de dépôt et suivi administratif : correspondance (1923-2005).
Musée d’Archéologie du Morbihan, Vannes [MAN 11177 ; 65 fragments de poterie ; demande de mise en dépôt envoyée le 28 juin 1911]. - Engagement de la procédure de dépôt et suivi administratif : courrier, inventaires, documentation (1911-2004).
Musée de Vayrac [collections issues des fouilles et des découvertes sur le site du Puy d’Issolud ; demande de mise en dépôt émise en 1995]. - Engagement de la procédure de dépôt et suivi administratif : correspondance (1995-1997).
Musée de Vayrac [objets trouvés sur le site d’Uxellodunum ; demande de mise en dépôt émise le 1er août 1991]. - Engagement de la procédure de dépôt et suivi administratif : correspondance (1991).
Musée de la Princerie, Verdun [séries céramiques de l’ancienne collection Chenet ; projet de mise en dépôt de 1959]. - Engagement de la procédure de dépôt et suivi administratif : correspondance (1959-2008).
Châteaux et Trianons de Versailles [œuvres d’art ayant appartenu au décor intérieur des châteaux de Versailles et des Trianons, du château de Marly et des demeures royales disparues ; demande de déclaration envoyée le 31 octobre 1961] - Engagement de la procédure de dépôt et suivi administratif : correspondance (1961).

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

« Portrait des Chasteaux royaux de St Germain en Laye »

Estampe en noir et blanc représentant une vue aérienne des terrasses, du Château-Neuf et du Château-Vieux de Saint-Germain-en-Laye en arrière plan. Le plan est légendé et orné de deux ensembles d’armoiries.
Inscription : « 1 La basse cour a 39 toises de long et 26 de large/2 Le viel chasteau a de façade 35 toises et de costé 45/ 3 Le jeu de paulme/4 Le grand jardin du roy a 150 toises de long et 97 de large/5 Le parc a 1445 toises de long et 382 de large/6 La cour dentre les deux chasteaux a 134 toises de long et 84 de large./7 Les deux cours des offices ont 28 toises de long et 20 de large./8 La cour de devant la grande salle a 30 en care./9 Les galleries du roy et de la royne ont 34 toises de long et 3 de large./10 La grande salle a 14 toises de long et 5 de large./ 11 Les deux petits jardins ont 61 toises de long et 25 de large./12 Les deux chapelles du roy et de la royne./ 13 la grolle des orgues./14 La grotte de neptune./15 La grotte de persée./16 La grotte d’Orphée./17 les deux bosquets ont chacun 50 toises de long et 40 de large./18 Le jardin qui est entre les deux bosquets a 84 toises de lon[sic] et 40 de large./19 Le jardin en pente a 113 toises de lon[sic] et 50 de large./20 Le jardin des canaux a 113 toises de long et 85 de large./21La rivière de Seyne/Du depuis la rivière jusques a la cour/qui est devant la grande salle il y a/28 toises de pente » de part et d’autre du motif.

Lasne, Michel

« Veüe du Chateau de St. Germain en Laye »

Estampe en noir et blanc représentant les façades nord et est du Château-Vieux de Saint-Germain-en-Laye.
Titre, mention d’auteur et date de création gravés en partie inférieure (de haut en bas puis de gauche à droite : « Veüe du Chateau de St. Germain en Laye/dessiné et gravé par Israel Silvestre. 1658. »).

Silvestre, Israël

« Veüe de l’entrée du vieux chasteau de Saint germain en Laye »

Estampe en noir et blanc représentant la façade ouest et l’entrée principale du Château-Vieux de Saint-Germain-en-Laye.
Titre et mentions d’auteur et d’éditeur gravés en partie inférieure (de gauche à droite : « Silvestre sculp./Veüe de l’entrée du vieux chasteau de Saint germain en Laye/Israel excut. cum privil. Regis »).
Porte le numéro « 50 » dans l’angle inférieur droit.

Silvestre, Israël

Vue du Château-Neuf depuis la Seine

Estampe en noir et blanc représentant une vue du Château-Neuf de Saint-Germain-en-Laye depuis la Seine.
Inscription : « Je suis ce Sainct Germain dont la voix de l’Histoire/Dira malgré le temps des louanges sans fin/Je suis le nompareil, mais la plus grande gloire/Me vient d’avoir veu naistre un Ilustre Dauphin » en partie inférieure de part et d’autre du nom de l’auteur.
Mention d’auteur et d’éditeur gravée au centre en partie inférieure (« Israel ex. ») ; dans l’angle inférieur droit est gravé le numéro « 12 ».
D’après FAUCHEUX, Louis-Étienne. Catalogue raisonné de toutes les estampes qui forment l’œuvre d’Israel Silvestre : précédé d’une notice sur sa vie. Paris, 1857, les vers gravés seraient de Collet.

Silvestre, Israël

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