Fonds 2023002 - Fonds des fouilles archéologiques du musée d'Archéologie nationale

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Zone d'identification

Cote

2023002

Titre

Fonds des fouilles archéologiques du musée d'Archéologie nationale

Date(s)

  • 1887-2014 (Production)

Niveau de description

Fonds

Étendue matérielle et support

2.70 mètres linéaires et 215 hors formats

Zone du contexte

Nom du producteur

(1862-)

Histoire administrative

Musée d’Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

Histoire archivistique

Les documents ont tout d’abord été conservé à l’entresol du secrétariat avant d’être rassemblés en salle de tri pour y être traités.
Ce fonds fit l’objet d’une dispersion des pièces. Une partie de ces dernières furent retrouvées en main privée, notamment les archives de l’ancien directeur Henri Delporte (1920-2002), dont une partie fut retrouvée chez des brocanteurs.
Ces documents étaient dispersés au sein des différents pôles de l’établissement. Ils ont été principalement conservés par les conservateurs soit parce que ceux-ci prenaient part ou étaient titulaires de l’autorisation de fouille, soit parce qu’ils prenaient part à l’étude post-fouille du mobilier ou du site, soit pour compléter les dossiers sur des sites archéologiques dont le MAN conserve une part de mobilier, soit par pure curiosité intellectuelle et personnelle. À cela s’ajoutent les documents produits par les directeurs successifs de l’établissement dans le cadre de sa fonction de spécialiste conservateur d’une période ou d’une culture matérielle. Le directeur a pu avoir la fonction d’archéologue-titulaire de l’autorisation de fouille. Le rassemblement des pièces dispersées est rendu difficile pour cette raison.
Un travail de rassemblement de ces documents d’archives a été effectué en 2019 puis repris en 2023. Ce travail n’est actuellement pas terminé et le fonds sera probablement enrichi dans le futur. Un travail de recherche documentaire a été entrepris dans l’objectif de compléter les dossiers de fouilles et d’avoir une vision complète de l’implication du musé d’Archéologie nationale dans les fouilles archéologiques au niveau national.

Source immédiate d'acquisition ou de transfert

Zone du contenu et de la structure

Portée et contenu

La circulaire du directeur général des patrimoines du 26 septembre 2017 relative à la mise en œuvre de la loi LCAP précise, dans sa fiche 11, que « la documentation archéologique regroupe tous les documents, quel que soit leur support, qui ont une relation directe ou indirecte avec le site, l’opération et toutes les données qui en sont issues ». L’arrêté du 7 février 2022, vient compléter la précédente en décrivant expressément les différents supports de documentation et les bonnes méthodes de conservation qui sont attendues1. Ces textes ont guidé le traitement et le classement des données du fonds.
Ce fonds est aujourd’hui composé de 19 sites sur lesquelles le musée est intervenu à l’occasion de campagnes de fouille ou pour la gestion du site (entretien, administration).
Parmi les sites principaux il y a :

  • Fort Harrouard (art. 2023002/13-2023002/27)
  • Brassempouy (art. 2023002/29-2023002/30)
  • La Ferrassie (art. 2023002/4-2023002/12)
  • Bougon (art. 2023002/34-2023002/37)
  • Le Blot (art. 2023002/31-2023002/32)
    Les dossiers de site sont composés de manière inégale. En effet, certaines typologies documentaires manquent, notamment les éléments conformes à la réglementation des fouilles.
    (exemple : présence de la demande de fouille, mais pas de l’autorisation de fouilles ou inversement).
    Certains des sites ne sont représentés que par quelques pièces comme Diarville-devant-Giblot , Villiers-le-Sec ou encore Breuil-le-Sec pour lesquelles il y a respectivement deux courriers et un rapport de fouilles. Il a été préféré de laisser ensemble les dossiers de sites très complets et imposants et de réunir entre ces sites des ensembles de dossiers plus lacunaires, afin de mieux gérer le conditionnement et l’espace disponible.
    Les lacunes laissent des zones d’ombre importantes, tout particulièrement sur l’implication exacte du MAN dans ces fouilles, pour lesquelles un éclairage peut être apporté parfois par des fonds conservés à la Médiathèque de l’Architecture et du Patrimoine, notamment :
  • le fonds « Fouilles archéologiques : dossiers par sites mégalithiques et gallo-romains » (Série 0080/026)
  • le fonds « Archéologie : dossiers de sites archéologiques » (Série 0080/068)
  • le fonds « Casier archéologique » (Série 1996/026)
  • le fonds « Édifices protégés : abords, domanialités » (Série 0080/039)
    Afin de de conditionner au mieux les documents d’archives dans les contenants prévus, il a parfois été décidé de ne pas respecter l’ordre prévu dans le fonds (administration, suivi de fouilles, publications). C’est le cas pour Fort Harrouard qui présente le dossier « gestion du site et contentieux » à la fin et non au début comme l’on pourrait s’y attendre. Dans le même sens, il a été parfois choisi d’inverser l’ordre chronologique de certaines campagnes pour des questions de place et de conditionnement.
    Tout au long du traitement du fonds d’archives de fouilles, beaucoup d’études et de publications de mobilier ont été réunies, souvent en lien avec les collections du musée mais sans lien réel avec une opération de fouille menée par un conservateur du MAN. C’est le cas des documents d’archives de la Grotte de la Marche, auparavant présentées dans ce fonds d’archives, alors que les fouilles ont été réalisées par H. Lavergne, puis L. Péricard et enfin Stéphane Lwoff. Le mobilier a été donné par les différents fouilleurs au MAN mais aucun membre du musée n’a effectué de fouilles lui-même. Dans la même lignée, l’étude de mobilier post-fouille a souvent été confondue la préparation aux publications.
    Lors de l’étude des documents du fonds, un grand nombre de sites archéologiques et d’opérations a été mentionné dans des rapports d’activités du musée, des rapports de fouilles ou encore à l’occasion de la diffusion de prospectus sur les fouilles bénévoles. Ces sites fouillés par des acteurs du musée n’ont pas laissé de traces archivistiques à l’heure actuelle au sein du service des Ressources documentaires. Une étude documentaire à la Médiathèque du Patrimoine et de la Photographie a toutefois permis de compléter nos connaissances, mais a souvent laissé plus d’interrogations que de réponses. Ainsi, le gisement des rois, à Moustiers, en Charente, aurait été fouillé par René Joffroy, d’après une note manuscrite de Jean-Pierre Mohen. Le site des Matignons, le site de Vix, le site de Marmesse à Châteauvillain et d’autres semblent avoir été fouillés, sans que nous ayons pu rassembler d’informations à ce sujet. Les données sont peut-être conservées au sein des SRA, ou des musées territoriaux en lien (le musée du Châtillonnais pour Vix par exemple). Par manque de temps et de moyens, il n’a pas été possible de vérifier chaque indication auprès de tous les acteurs de l’archéologie.
    La documentation liée aux fouilles est parfois aussi conservée en mains privées : c’est le cas des archives de fouilles du Blot, qui ont été empruntées par Jean-Pierre Daugas (1946-2011) au début des années 2000 pour étude et qui n’ont jamais été restituées. Cette situation est dommageable pour l’étude, la connaissance et la transmission de ce site et nécessite une revendication
    Ce fonds présente une autre lacune : un certain nombre de supports informatiques contenant les données scientifiques sont aujourd’hui obsolètes ou illisibles. Des disquettes de tous formats, des CD-Rom ont été découverts lors du traitement du fonds contenant des inventaires de mobilier, d’unités stratigraphiques, de plans, de listes indiciaires aujourd’hui perdues car sur des supports illisibles ou abîmés. Cela pose la question de la pérennité des supports d’enregistrement et des besoins en informatique pour la sauvegarde des données.
    Les documents d’archives liées aux directions des Antiquités préhistoriques et historiques posent d’autres interrogations et soucis de classement. En théorie, ces documents devraient être conservés dans le SRA du département correspondant, puis versés aux archives départementales compétentes. Mais certains directeurs des Antiquités étaient aussi conservateurs au sein du MAN au même moment, ce qui complique la lecture et l’attribution de chaque document aux missions de conservation ou de directorat des Antiquités. La situation se complexifie encore lorsque le conservateur-directeur des Antiquités est aussi directeur du musée. Ses documents produits ont la valeur d’archives directoriales. C’est le cas pour René Joffroy, Henri Delporte et Jean-Pierre Mohen. Leurs archives de fouilles sont donc parfois mélangées et indistinguables du fonds directorial. L’intégrité du fonds primant, il a été choisi de tout conserver ensemble.
    Il a donc été décidé après réflexion de conserver les documents d’archives liées aux directions des Antiquités dans un article dédié. La majorité des documents d’archives sont de la correspondance de gestion de la direction des Antiquités, sans parfois de mentions du site dont on parle, ou de protagonistes bien définis. Au vu du nombre de sites et gisements mentionnés, il n’était pas possible de les trier comme le reste du fonds. Il a donc été choisi de trier chronologiquement ces documents, du plus récent au plus ancien.
    Ce classement et l’étude de ce fonds a mis en exergue plusieurs faits intéressants : le musée d’Archéologie nationale a été très impliqué dans la recherche archéologique de terrain au niveau national. Ce travail a aussi montré qu’il y avait beaucoup d’opérations de fouilles peu, voire pas connues ou oubliées, et quelques grands sites archéologiques célèbres, comme Brassempouy, le Blot, la Ferrassie ou Fort Harrouard. On se rend compte que beaucoup d’autres sites ont été fouillés, et même quelques sites lors d’opérations d’archéologie dites de sauvetage.
    À l’heure actuelle, des conservateurs et des agents du musée participent à des opérations, comme à Montferrand, dans l’Aude.
    Le cas de fouilles archéologiques opérées sur des terrains affectés par l’État à la gestion du MAN se pose aussi. Dans ce cas, le MAN n’étant pas opérateur, la documentation est plutôt liée à la gestion et l’entretien des propriétés, il a été décidé de présenter ces documents d’archives au sein du fonds Site documentés.
    Un autre cas de figure se pose également : le cas de sites archéologiques fouillés par des conservateurs du patrimoine affectés au MAN, avant leur prise de poste, et continués durant leur mission au musée. C’est le cas pour le site de Sémussac, fouillé par Jean-Pierre Mohen lorsqu’il était étudiant, puis encore fouillé lorsqu’il devint conservateur. Dans ce cas-là, les archives de fouilles de la période où il n’était pas en poste au MAN devraient suivre logiquement le chemin traditionnel des archives de fouilles : passer en SRA puis en archives départementales. Cependant, le site étant fouillé régulièrement lorsqu’il devint conservateur, cela devient par conséquent une opération liée au MAN. Par commodité, il a été choisi de tout conserver ensemble pour garder l’intégrité des données des opérations successives. Cependant, à l’intérieur de l’article, les opérations de fouilles où le responsable des fouilles n’était pas conservateur du musée ont été séparées par une pochette pour différencier les deux périodes. C’est la même situation pour certains sites fouillés d’abord par un conservateur du MAN, puis dévolus à un archéologue extérieur au musée. Les fouilles de Brassempouy, d’Henri Delporte, puis Dominique Buisson (1957-1996) du MAN, ont ensuite été reprises par Dominique Henry-Gambier (1950-2022), anthropologue et préhistorienne de l’université de Bordeaux I et chercheuse au CNRS. La Chaussée-Tirancourt se trouve dans le même cas.
    Pour ce qui est des documents d’archives hors format, ils ont été triés selon plusieurs modalités, la première étant le contenant pouvant l’accueillir. À l’intérieur du contenant choisi, à plat dans un carton à dessin, ou en rouleaux dans une boite cercueil, les documents ont fait l’objet d’un premier tri selon leur état et leurs besoins. Ils ont ensuite été référencés individuellement ou par lots, comptés, mesurés et décrits afin de les présenter au sein de l’instrument de recherche et en faciliter l’accès par la suite. Au sein de l’instrument de recherche, ils ont été classés comme auparavant en deux parties : les hors formats liés aux fouilles menées par le MAN et les documents liées à la mission de direction des Antiquités Historiques ou Préhistoriques de certains conservateurs. Étant donné que l’entièreté des documents hors-formats du Blot était déjà conditionné dans un carton à dessin, il n’a pas été rapproché du reste des documents liées aux fouilles du MAN, par souci de conditionnement. Certains documents hors-formats, notamment certains calques, sont en mauvais état et fragiles, il convient donc d’y faire attention. Leur accès pourrait être restreint pour des raisons de conservation.

Évaluation, élimination et calendrier de conservation

Un certain nombre de documents sont conservés dans d’autres institutions et ont été parfois copiés, imprimés et classés au sein de ce fonds. Le traitement du fonds a permis l’élimination des doublons et des formulaires vierges.

Accroissements

Fonds ouvert

Mode de classement

Le musée d’Archéologie nationale-Domaine national de Saint-Germain-en-Laye (MAN) est une institution majeure de l’archéologie de terrain. Ce fonds a fait l’objet d’un premier classement en 2019 (ancienne cote 2019006), puis a été complété par l’ajout des documents d’archives liés au site de Bougon en 2022. Cependant, à l’aune d’une possible réforme concernant la documentation des opérations de fouilles, ce fonds a fait l’objet d’une nouvelle étude complète qui a mis en évidence le besoin de modifier le classement, pour plus de praticité et de clarté. Une nouvelle étude des données et documents a montré qu’une partie des documents du fonds n’avaient pas de lien avec des opérations de fouilles, mais plutôt avec la gestion des biens archéologiques mobiliers, ainsi que l’étude et la publication des résultats.
L’ancien classement était basé sur la réglementation en vigueur en matière d’archéologie, issu de l’arrêté du 14 septembre 20041, prédéfinissant la production d’un nombre de documents rassemblés en deux catégories distinctes (administration et suivi des fouilles) :
d’une part, les documents concernant l’administration de la campagne de fouilles (demande d’autorisation, dossier de subvention, autorisations, rapport de fouilles, plan/extrait de cadastre) ; d’autre part, les documents produits sur le terrain tels que des relevés (objets, terrains), des croquis, des plans, des carnets de fouilles, des photographies. Enfin étaient réunis les documents relatifs à la valorisation des fouiles et du mobilier (publications, manifestation…).
Le fonds des archives de fouilles menées par le MAN respectait ces catégories, ces dernières servant au classement des documents à l’intérieur des articles. Toutes les typologies documentaires énoncées ci-haut n’étaient pas présentes dans tous les dossiers. Une catégorie « publication » s’était ajoutée à l’organisation initiale des dossiers de site, tout comme les documents relatifs à l’entretien des sites entrés dans les missions du musée national (devis pour travaux d’aménagement ou d’entretien, sondages, affaire de fouilles clandestines).
Pour le traitement de ce fonds, une volonté de conserver un classement par site fut instauré, à l’intérieur duquel les dossiers étaient organisés d’après la typologie réglementaire. Seule une catégorie « publication » a parfois été ajoutée si le besoin s’en faisait sentir.
Les sites étaient classés par ordre alphabétique, des noms des gisements/grottes et non de leur localisation géographique, et par le mode d’attribution au musée des campagnes de fouilles sur les sites.
L’attribution prenait deux formes :

  • les sites légués ou donnés au musée (art. 2019006/1-2019006/38)
  • les sites ayant fait uniquement l’objet d’autorisations de fouilles par l’État (art. 2019066/39-2019006-110).
    En 2023, un premier état des lieux a montré qu’une partie des documents d’archives n’avaient pas de lien avec des fouilles archéologiques opérées ou accompagnées par le musée d’Archéologie nationale. Le fonds est axé désormais sur la pratique de fouilles archéologiques menées par un agent du MAN ou participant à des opérations. Il est aussi question des documents d’archives liées aux directorats des Antiquités historiques ou préhistoriques dont un certain nombre des conservateurs du MAN ont pu être les titulaires (Henri Delporte, René Joffroy(1915-1986), Alain Duval (1942-...) par exemple). Ces fonctions honoraires de gestion et d’appréciation des opérations de fouilles menées dans les régions qu’ils avaient en charge ont produit un grand nombre de documents d’archives.
    Il a été choisi de conserver l’organisation site par site, et le classement interne des dossiers, avec une partie administration/organisation générale, reprenant les autorisations de fouilles, demandes de fouilles et de subventions, la gestion financière des opérations, les justificatifs et les factures des dépenses, les documents liés aux ressources humaines (liste des fouilleurs, candidatures, état de présence), la correspondance, et le rapport de fouille. Dans une seconde partie, les documents issus des opérations de fouilles directes du terrain sont réunis : carnets de fouilles, relevés sur papier millimétré, inventaire sommaire par couche stratigraphique ou unité de fouille, photographies en contexte. Ce sont souvent les dossiers les plus lacunaires des archives ici présentes. Une troisième partie consacrée au suivi des fouilles, au travail post-fouille a parfois été distinguée. Les documents provenant de l’étude approfondie du mobilier archéologique, de l’étude de la spatialité, des analyses de datations, sont par exemples contenus dans cette partie du dossier. Souvent, en amont ou en aval des opérations, une étude documentaire plus ou moins poussée a été menée, réunissant les articles anciens ou contemporains ayant trait au site ou à la culture étudiée dans un dossier documentaire, aussi présenté. Des notes manuscrites, croquis rapides sont aussi parfois présents dans ces dossiers. Enfin, pour les sites qui ont fait l’objet d’une publication ou de la rédaction d’un article publié comme dans le bulletin de la Société préhistorique française, les études préparatoires, brouillons, préparations de planches et correspondances entre chercheurs sont réunies à la fin de l’ensemble.
    Les articles et sites ont été classés par ordre alphabétique du département, puis par ordre alphabétique de la commune s’il y a plusieurs fouilles archéologiques au sein d’un même département (Dordogne et Charente par exemple). Ce classement suit aussi la logique de classement utilisée dès la création du musée d’Archéologie nationale avec le développement des albums noirs.

Zone des conditions d'accès et d'utilisation

Conditions d’accès

Librement communicables selon l’article L. 213-1 du code du Patrimoine, à l’exception des articles suivants pour lesquels un délai de cinquante ans avant communicabilité est prévu selon l’article L. 213-7 du même code :
2023002/1 ;
2023002/2 ;
2023002/3 ;
2023002/4 ;
2023002/13 ;
2023002/14 ;
2023002/16 ;
2023002/17 ;
2023002/18 ;
2023002/22 ;
2023002/25 ;
2023002/29 ;
2023002/30 ;
2023002/31 ;
2023002/32 ;
2023002/34 ;
2023002/35 ;
2023002/36 ;
2023002/40.
La plupart des articles ne sont pas librement communicables pour des raisons d’informations sur la vie privée de certaines personnes mentionnées ou de jugements émis.

Conditions de reproduction

Selon règlement de la salle de lecture

Langue des documents

  • allemand
  • anglais
  • espagnol
  • français

Écriture des documents

Notes sur la langue et l'écriture

Caractéristiques matérielle et contraintes techniques

Instruments de recherche

Zone des sources complémentaires

Existence et lieu de conservation des originaux

Existence et lieu de conservation des copies

Unités de description associées

Fonds des Acquisitions : 2018006 ;
Fonds abbé Philippe : 2016004 ;
Fonds du domaine : 2016002.

Descriptions associées

Note de publication

Baume-Loire :
CREMILLEUX A., « L’abri Baume-Loire n°1, commune de Solignac-sur-Loire (Haute-Loire) : premiers résultats », Congrès préhistorique de France : compte rendu de la XIXème session Auvergne 6-14 juillet 1969, 1972, p.172-176.
DE BAYLE DES HERMENS R., LABORDE A., « Le gisement moustérien de la Baume-Vallée (Haute-Loire) : étude et travaux », Bulletin de la Société Préhistorique Française, tome 62, 1965, p.512-527.
ISSARTEL Jean-Claude, « Recherches archéologiques dans la région de Solignac-sur-Loire », Archeologia, n°33, mars-avril 1970, p. 61-63.
Brassempouy : 
SIMONET Aurélien, Brassempouy (Landes, France) ou la matrice gravettienne de l’Europe, ERAUL 133, Liège, 2012.
DELPORTE Henri, BUISSON Dominique, « Les fouilles du musée des Antiquités Nationales à Brassempouy (Landes) », Revue du Louvre, n°3, juin 1997, pp.41-45.
RIGAUD J-Ph, « Brassempouy – La Grotte du Pape », Gallia Préhistoire : Fouilles et monuments archéologiques en France métropolitaine, CNRS, tome 27, fascicule 2, 1984, p.289
Breuil-le-Sec :
DEGENNE M., DUVAL A., « La nécropole de Breuil-le-Sec (Oise) », Les celtes dans le nord du bassin parisien (VIème-Ier siècle avant J.C.), Revue archéologique de Picardie, n°1, 1983, p. 74-95.
Camp de César :
BLANCHET Jean-Claude, BOUCHAIN Pierre, DECOMEILLE André, « Le camp de César à Catenoy (Oise) : bilan des anciennes recherches et des fouilles récentes de 1982-83, Revue archéologique de Picardie, n°1-2, 1984, p.173-204.
Châtelperron :
DELPORTE Henri, «Châtelperron un grand gisement préhistorique de l’Allier », Archéologie en Auvergne, 3ᵉ trimestre 1999.
Fort-Harrouard :
MOHEN Jean-Pierre, L’âge du Bronze en France : La vie quotidienne : les fouilles du Fort-Harrouard, vol. 4, Picard, Paris, 1987
VAUQUELIN Mathilde, « Le fonds Abbé Philippe au musée d’Archéologie nationale », Antiquités Nationales, tome 48, 2018, p. 55-59.
La Ferrassie :
DELPORTE Henri, Le grand abri de la Ferrassie, Éditions du laboratoire de paléontologie humaine et de préhistoire, Paris, 1984, pp. 11-22
DELPORTE Henri, « Les fouilles du Musée des Antiquités Nationales à la Ferrassie », Antiquités Nationales, 1969, pp.15-28
Le Blot :
BOSSELIN Bruno, Le Protomagdalénien du Blot : les industries lithiques dans le contexte culturel du Gravettien français, ERAUL 64, Liège, 1997.
DELPORTE Henri, « Le Blot, premières observations sur l’adaptation de l’Homme à son milieu », Centenaire de l’Enseignement de la Préhistoire à Toulouse, université de Toulouse, Le Mirail, tome XXII, 1980.
MAZIERE G., « Cerzat – a) Le Blot », Gallia Préhistoire : Fouilles et monuments archéologiques en France métropolitaine, CNRS, tome 27, fascicule 2, 1984, p.321-324
Mont Avrollot :
DUVAL A., DELESTREE L.-P., « Deux monnaies des senons trouvées sur l’oppidum du « Mont Avrollot », Avrolles, commune de Saint-Florentin (Yonne) », Revue archéologique de l’Est et du Centre-Est, tome 26, 1975, p.119-127
Sémussac, Chez Reine, Charente :
Mohen Jean-Pierre, Bergougnan Dominique. I. Etude archéologique. In: Gallia préhistoire, tome 27, fascicule 1, 1984. pp. 7-40.
Tumulus du Bougon :
MOHEN Jean-Pierre, SCARRE Chris, Les tumulus de Bougon, complexe mégalithique du Ve au IIIe millénaire, éditions Errance, Paris, 2002.

Zone des notes

Identifiant(s) alternatif(s)

Mots-clés

Mots-clés - Sujets

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Statut

Niveau de détail

Dates de production, de révision, de suppression

Langue(s)

Écriture(s)

Sources

Note de l'archiviste

Auteurs : Claire-Estelle Vollerin, Zoé Gascons, Héloïse Guyon, Corinne Jouys Barbelin

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