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Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye
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BIB G3 Habitations lacustres de la Savoie

Habitations lacustres de la Savoie par L. Rabut, Mémoire ayant obtenu la mention très-honorable au concours des Sociétés savantes (section archéologie) en 1863, album de lithographies par Joseph Perrin, libraire éditeur à Chambéry, 1864. Dessin d'un fuseau (MAN9428) figurant sur la planche VII dessinée par J. Champod.

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Habitations lacustres de la Savoie par L. Rabut, Mémoire ayant obtenu la mention très-honorable au concours des Sociétés savantes (section archéologie) en 1863, album de lithographies par Joseph Perrin, libraire éditeur à Chambéry, 1864. Planche XIV par J. Champod.

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Habitations lacustres de la Savoie par L. Rabut, Mémoire ayant obtenu la mention très-honorable au concours des Sociétés savantes (section archéologie) en 1863, album de lithographies par Joseph Perrin, libraire éditeur à Chambéry, 1864. Planche XIII par J. Champod.

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Habitations lacustres de la Savoie par L. Rabut, Mémoire ayant obtenu la mention très-honorable au concours des Sociétés savantes (section archéologie) en 1863, album de lithographies par Joseph Perrin, libraire éditeur à Chambéry, 1864. Planche VI.

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Habitations lacustres de la Savoie par L. Rabut, Mémoire ayant obtenu la mention très-honorable au concours des Sociétés savantes (section archéologie) en 1863, album de lithographies par Joseph Perrin, libraire éditeur à Chambéry, 1864. Planche V.

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Habitations lacustres de la Savoie par L. Rabut, Mémoire ayant obtenu la mention très-honorable au concours des Sociétés savantes (section archéologie) en 1863, album de lithographies par Joseph Perrin, libraire éditeur à Chambéry, 1864. Planche IV.

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Habitations lacustres de la Savoie par L. Rabut, 2ème Mémoire ayant obtenu la mention très-honorable au concours des Sociétés savantes en 1866, album de lithographies par Joseph Perrin, libraire éditeur à Chambéry, 1864. Planche IX dessinée par J. Champod.

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Habitations lacustres de la Savoie par L. Rabut, 2ème Mémoire ayant obtenu la mention très-honorable au concours des Sociétés savantes en 1866, album de lithographies par Joseph Perrin, libraire éditeur à Chambéry, 1864. Planche XII dessinée par J. Champod.

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Habitations lacustres de la Savoie par L. Rabut, 2ème Mémoire ayant obtenu la mention très-honorable au concours des Sociétés savantes en 1866, album de lithographies par Joseph Perrin, libraire éditeur à Chambéry, 1864. Planche VII dessinée par J. Champod.

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Habitations lacustres de la Savoie par L. Rabut, 2ème Mémoire ayant obtenu la mention très-honorable au concours des Sociétés savantes en 1866, album de lithographies par Joseph Perrin, libraire éditeur à Chambéry, 1864. Planche XVII dessinée par J. Champod.

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Habitations lacustres de la Savoie par L. Rabut, 2ème Mémoire ayant obtenu la mention très-honorable au concours des Sociétés savantes en 1866, album de lithographies par Joseph Perrin, libraire éditeur à Chambéry, 1864. Planche X dessinée par J. Champod.

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Habitations lacustres de la Savoie par L. Rabut, Mémoire ayant obtenu la mention très-honorable au concours des Sociétés savantes (section archéologie) en 1863, album de lithographies par Joseph Perrin, libraire éditeur à Chambéry, 1864. Dessin de J. Champod représentant la baie de Grésine figurant sur la page de titre.

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Habitations lacustres de la Savoie par L. Rabut, Mémoire ayant obtenu la mention très-honorable au concours des Sociétés savantes (section archéologie) en 1863, album de lithographies par Joseph Perrin, libraire éditeur à Chambéry, 1864. Planche VII.

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Habitations lacustres de la Savoie par L. Rabut, Mémoire ayant obtenu la mention très-honorable au concours des Sociétés savantes (section archéologie) en 1863, album de lithographies par Joseph Perrin, libraire éditeur à Chambéry, 1864. Planche non numérotée, plan du Lac du Bourget avec emplacements Lacustres par J. Champod, éch. : 1/50 000e.

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Habitations lacustres de la Savoie par L. Rabut, 2ème Mémoire ayant obtenu la mention très-honorable au concours des Sociétés savantes en 1866, album de lithographies par Joseph Perrin, libraire éditeur à Chambéry, 1864. Planche XIII dessinée par J. Champod.

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Habitations lacustres de la Savoie par L. Rabut, 2ème Mémoire ayant obtenu la mention très-honorable au concours des Sociétés savantes en 1866, album de lithographies par Joseph Perrin, libraire éditeur à Chambéry, 1864. Planche XV dessinée par J. Champod.

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Habitations lacustres de la Savoie par L. Rabut, 2ème Mémoire ayant obtenu la mention très-honorable au concours des Sociétés savantes en 1866, album de lithographies par Joseph Perrin, libraire éditeur à Chambéry, 1864. Planche V dessinée par J. Champod.

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Habitations lacustres de la Savoie par L. Rabut, 2ème Mémoire ayant obtenu la mention très-honorable au concours des Sociétés savantes en 1866, album de lithographies par Joseph Perrin, libraire éditeur à Chambéry, 1864. Planche XI dessinée par J. Champod.

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Habitations lacustres de la Savoie par L. Rabut, 2ème Mémoire ayant obtenu la mention très-honorable au concours des Sociétés savantes en 1866, album de lithographies par Joseph Perrin, libraire éditeur à Chambéry, 1864. Planche VI dessinée par J. Champod.

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Habitations lacustres de la Savoie par L. Rabut, 2ème Mémoire ayant obtenu la mention très-honorable au concours des Sociétés savantes en 1866, album de lithographies par Joseph Perrin, libraire éditeur à Chambéry, 1864. Planche III dessinée par J. Champod.

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Habitations lacustres de la Savoie par L. Rabut, Mémoire ayant obtenu la mention très-honorable au concours des Sociétés savantes (section archéologie) en 1863, album de lithographies par Joseph Perrin, libraire éditeur à Chambéry, 1864. Planche VIII par J. Champod.

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Habitations lacustres de la Savoie par L. Rabut, 2ème Mémoire ayant obtenu la mention très-honorable au concours des Sociétés savantes en 1866, album de lithographies par Joseph Perrin, libraire éditeur à Chambéry, 1864. Planche XVI dessinée par J. Champod.

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BIB. 13026

BIB. 13026. Manuel d'archéologie préhistorique celtique et gallo-romaine par Joseph Déchelette, II Archéologie celtique ou protohistorique - Troisième partie. Second âge du fer ou époque de la Tène, Paris, Auguste Picard, 1914. Page 1411, fig. 631 - Tables en fer à deux étages.

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Collection des arts graphiques

  • COL/AG
  • Collection
  • 1600 - 1910

Cette collection d’arts graphiques est constituée de pièces réalisées entre le XVIIe siècle et le premier quart du XXe siècle. Il s’agit pour l’essentiel d’estampes (petits formats et hors-format), mais nous pouvons également y retrouver quelques dessins, aquarelles et gouaches.
Les estampes présentées ci-dessous – toutes de petit format – sont au nombre de vingt-neuf. Parmi ces vingt-neuf pièces, vingt-huit remontent au XVIIe siècle, et une seule est de datation indéterminée quoique visiblement tirée d’un ouvrage de la même époque ; elles représentent pour la plupart des vues extérieures des deux châteaux de Saint-Germain-en-Laye et du domaine leur étant associé.
D’abord résidence royale, le domaine de Saint-Germain-en-Laye devient national à la fin du XVIIIe siècle, et est classé monument historique en 1863. Le domaine voit sa gestion fusionner avec celle du musée en 2009 afin de former un unique service à compétence nationale.
Le site de Saint-Germain-en-Laye devient résidence royale au XIIe siècle, lorsque le roi Louis VI décide d'y faire élever un château non fortifié en bois vers 1124. Ce premier château – plus tard surnommé « Château-Vieux » en opposition au « Château-Neuf » des XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles – est fortifié par Philippe-Auguste, qui y fait bâtir une tour-logis en pierre et entoure l’édifice d’un mur de défense. Au XIIIe siècle, le château est agrandi par Louis IX, qui fait notamment bâtir la chapelle castrale dans un style gothique rayonnant. Après avoir subi d’importants dommages pendant la Guerre de Cent ans, le château de Saint-Germain-en-Laye est reconstruit en partie grâce à l’action de Charles V et de son architecte Raymond du Temple.
Sous François Ier, le château devient une résidence royale de premier plan, et sa transformation en style Renaissance est confiée à Pierre Chambiges. Né au Château-Vieux de Saint-Germain-en-Laye en 1519, Henri II entreprend la construction du Château-Neuf en 1559, chantier qu’il attribue à l’architecte Philibert Delorme ; les travaux s’achèvent sous Henri IV, vers 1600.
De 1661 à 1682, Louis XIV réside souvent à Saint-Germain-en-Laye, où il fait réaliser d’importants aménagements, notamment la création des jardins à la française par André Le Nôtre, ainsi que la construction de la Grande Terrasse entre 1663 et 1680. À partir de 1680 commencent les travaux de modification du Château-Vieux, auquel sont ajoutés cinq pavillons d’angles ; ces travaux d'agrandissement du château sont confiés à Jules Hardouin-Mansart. Bien que la cour quitte définitivement Saint-Germain-en-Laye pour Versailles en 1682, le domaine n’est pas complètement laissé à l’abandon, et le Château-Vieux accueille notamment Jacques II, alors en exil, de 1689 jusqu’à sa mort en 1701.
En 1777, Louis XVI fait don du Château-Neuf ruiné à son frère le comte d’Artois, qui le fait démolir dans l’intention d’élever une nouvelle résidence. À la Révolution, le Château-Neuf et une grande partie des dépendances du domaine sont vendus comme biens nationaux.
Sous le Premier Empire, le Château-Vieux accueille l’École spéciale militaire de cavalerie, qui devient en 1914 l’École spéciale militaire de Saint-Cyr. En 1836, l’édifice est transformé en pénitencier militaire, au sein duquel près de cinq cents officiers sont incarcérés. Dès son accession au pouvoir en 1852, Napoléon III se préoccupe du sort du château, et s’oppose ainsi à son usage comme centre pénitentiaire. En décembre 1853, il déclare notamment que « l’existence d’une prison militaire dans l’antique château de Louis XIV est une sorte de profanation […] Le pénitencier sera éloigné de Saint-Germain, et ce château, qui rappelle de grands et nobles souvenirs, sera réparé […] J’ai donné des ordres à cet effet ». Le Château-Vieux est ainsi classé Monument historique dès 1862 (l’ensemble du domaine est classé en 1863), et des travaux de restauration sont rapidement entrepris. Trois architectes se succèdent sur ce chantier colossal : Eugène Millet, Auguste Lafollye et Honoré Daumet.
Le chantier est d’abord confié à l’architecte Eugène Millet, élève d’Eugène Viollet-le-Duc, qui prend le parti de restaurer le château dans son état Renaissance et s’appuie ainsi sur les plans publiés par Jacques Androuet du Cerceau en 1576. Aux plans et aux élévations d’Androuet du Cerceau s’ajoutent des gravures d’Israël Silvestre (milieu du XVIIe siècle), qui permettent d’appréhender le château dans son ensemble dans l’état qui était le sien jusqu’à la fin du XVIIe siècle avec l’accord de la commission des Bâtiments civils. Afin de privilégier l’état XVIe siècle, les pavillons élevés sous Louis XIV sont démontés. En parallèle de la restauration du bâtiment, Millet entreprend l’aménagement des salles du musée, dont il commence à concevoir le mobilier afin de mettre en œuvre une « véritable muséographie destinée à l’archéologie ». Ce travail d’aménagement est ensuite poursuivi par Auguste Laffolye.
Les travaux de réfection de la chapelle sont entrepris à partir de 1873 ; Eugène Millet est chargé d’y ajouter une flèche, dont les travaux commencent avant 1889, et ne sont toujours pas achevés en 1895. Cette flèche est finalement démontée en 1907.
La restauration complète du château ne s’achève qu’en 1908, avec la décoration de l’entrée principale sur la façade ouest et l’aménagement final de plusieurs salles du musée.
La collection des arts graphiques du service des Ressources documentaires du musée d'Archéologie nationale permet de constater les différentes évolutions connues par le domaine et les châteaux de Saint-Germain-en-Laye depuis les XVIe – XVIIe siècles jusqu'au début du XXe siècle.
Au sein de cette collection figurent notamment vingt-neuf estampes du XVIIe siècle ; douze d'entre elles représentent le Château-Vieux, neuf concernent le Château-Neuf, tandis que quatre correspondent à des vues du domaine, et quatre autres à des édifices français extérieurs à Saint-Germain-en-Laye. Ces documents, dont certains sont légendés, voire datés, permettent de retracer l’histoire des deux châteaux de Saint-Germain-en-Laye au cours du XVIIe siècle avec une relative précision. En effet, avec la destruction des pavillons de Louis XIV lors de la restauration du Château-Vieux au XIXe siècle et l’abandon du Château-Neuf dès le XVIIe siècle, les estampes étudiées ici représentent un témoignage exceptionnel de l’état des deux châteaux à cette époque, avant l’effondrement progressif du Château-Neuf et la restauration en style Renaissance du Château-Vieux.
Cette collection d’estampes a été divisée selon quatre ensembles thématiques. Le premier ensemble correspond au Château-Vieux de Saint-Germain-en-Laye, le deuxième au Château-Neuf, le troisième au domaine, et le quatrième et dernier aux vues Hors Saint-Germain-en-Laye. Il s’agit uniquement de vues extérieures, ce qui permet d’appréhender les édifices dans leur contexte.
Si toutes les œuvres ne sont pas signées, trois noms de graveurs reviennent particulièrement : ceux d’Israël Silvestre (1621 – 1691), Adam Pérelle (1638 – 1695) et Pierre Aveline (1656 – 1722). Aux signatures des graveurs sont généralement associées celles des éditeurs, ayant été identifiés comme Israël Henriet (1590 ? – 1661), Nicolas de Poilly (1626 – 1696), Nicolas Langlois (1640 – 1703) et Melchior Tavernier (1594 – 1665). L’identité des graveurs a permis de systématiquement attribuer à chaque estampe une technique de réalisation ; en effet, il semble que tous trois aient travaillé en taille-douce, plus spécifiquement à l’eau-forte.
Ces vingt-neuf estampes semblent en grande partie issues de trois achats de lots, effectués respectivement en 1876, 1888 et 1889 (dates d’entrée dans le registre de la bibliothèque). Chaque lot porte un numéro d’inventaire (4319 pour celui de 1876, 7303 pour celui de 1888 et 7807 pour celui de 1889), numéros se retrouvant à de multiples reprises sur les estampes traitées.
La description se fait ici à la pièce sous forme d'un inventaire.
Plusieurs de ces estampes portent le tampon de la bibliothèque (sur lequel figure parfois leur numéro d’entrée au registre manuscrit), ainsi que le tampon sec du Musée des Antiquités nationales.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet

Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet. Note de Gabriel de Mortillet à Alexandre Bertand lui indiquant le montant estimé de ses frais de mission pour les fouilles des cavernes de Corrèze et de Dordogne, Saint-Germain, 3 novembre 1875, avec accord de Bertrand en date du 5 novembre.

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Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet

Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet. Lettre de Gabriel de Mortillet à Alexandre Bertrand, Saint-Germain le 1er novembre 1871, évoquant le congrès international de Bologne, l'achat du matériel de Golasecca, matériel important pour comprendre l'époque de transition entre les temps préhistoriques et les temps historiques. Page 4.

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Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet

Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet. Lettre de Gabriel de Mortillet à Alexandre Bertrand, Saint-Germain le 1er novembre 1871, évoquant le congrès international de Bologne, l'achat du matériel de Golasecca, matériel important pour comprendre l'époque de transition entre les temps préhistoriques et les temps historiques. Page 2.

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Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet

Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet. Lettre adressée par Gabriel de Mortillet à Alexandre Bertrand au sujet de la visite des musées, 22 décembre 1868, n°8. Page 4.

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Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet

Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet. Lettre adressée par Gabriel de Mortillet à Alexandre Bertrand sur la gestion du musée durant l’absence du directeur, 3 janvier 1869, n°11. Première page.

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Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet

Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet. Lettre de Gabriel de Mortillet à Alexandre Bertrand, Saint-Germain le 1er novembre 1871, évoquant le congrès international de Bologne, l'achat du matériel de Golasecca, matériel important pour comprendre l'époque de transition entre les temps préhistoriques et les temps historiques. Page 3.

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Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet

Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet. Lettre de Gabriel de Mortillet à Alexandre Bertrand, Arona [Italie], 12 octobre 1871, annonçant l'achat de pièces archéologiques à Milan et Golasecca (Italie). Pages 2 et 3.

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Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet

Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet. Lettre de Gabriel de Mortillet à Alexandre Bertrand, Arona [Italie], 12 octobre 1871, annonçant l'achat de pièces archéologiques à Milan et Golasecca (Italie). Page 1.

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Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet

Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet. Lettre adressée par Gabriel de Mortillet à Alexandre Bertrand sur la gestion du musée durant l’absence du directeur, 3 janvier 1869, n°11. Pages 2 et 3.

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Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet

Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet. Lettre de Gabriel de Mortillet à Alexandre Bertrand, Saint-Germain le 1er novembre 1871, évoquant le congrès international de Bologne, l'achat du matériel de Golasecca, matériel important pour comprendre l'époque de transition entre les temps préhistoriques et les temps historiques. Page 1.

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Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet

Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet. Lettre adressée par Gabriel de Mortillet à Alexandre Bertrand sur la gestion du musée durant l’absence du directeur, 3 janvier 1869, n°11. Page 4.

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Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet

Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet. Lettre adressée par Gabriel de Mortillet à Alexandre Bertrand au sujet de la visite des musées, 22 décembre 1868, n°8. Pages 2 et 3.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet

Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet. Lettre adressée par Gabriel de Mortillet à Alexandre Bertrand au sujet de la visite des musées, 22 décembre 1868, n°8. Première page.

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D.956.1

D.956.1. Cône d'Avanton, décoré au repoussé. Provenance : commune d'Avanton, Vienne. Bronze moyen. Hauteur : 52,5 cm ; Diamètre : 11 cm. Dépôt du Musée du Louvre.
Détail partie inférieure.

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D.956.1

D.956.1. Cône d'Avanton, décoré au repoussé. Provenance : commune d'Avanton, Vienne. Bronze moyen. Hauteur : 52,5 cm ; Diamètre : 11 cm. Dépôt du Musée du Louvre.
Détail partie supérieure.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

D.956.1

D.956.1. Cône d'Avanton, décoré au repoussé. Provenance : commune d'Avanton, Vienne. Bronze moyen. Hauteur : 52,5 cm ; Diamètre : 11 cm. Dépôt du Musée du Louvre.
Détail partie inférieure.

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D.956.1

D.956.1. Cône d'Avanton, décoré au repoussé. Provenance : commune d'Avanton, Vienne. Bronze moyen. Hauteur : 52,5 cm ; Diamètre : 11 cm. Dépôt du Musée du Louvre.
Détail partie supérieure.

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Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

  • 2016002
  • Fonds
  • 1903-2010

Soumis au statut des « bâtiments civils et palais nationaux » à la fin du XIXe siècle, puis, à celui des « monuments historiques » en 1962, l’ancien Domaine royal de Saint-Germain-en-Laye est aujourd’hui Domaine national, domaine public et propriété de l’État, affecté au ministère en charge de la Culture. Jusqu’en 2009, date de sa fusion avec le musée d’Archéologie nationale, il est dirigé par un corps d’agents spécialisés dans la conservation du patrimoine architectural et paysager. Le fonds du Domaine national de Saint-Germain-en-Laye résulte de l’activité conjointe de l’agence d’architecture des bâtiments de France et de l’administrateur du Domaine. Cette équipe de conservateurs du patrimoine a pour mission d’assurer la conservation et la mise en valeur de ce Domaine national par l’exécution de travaux d’entretien, d’aménagement, de restauration, d’une part, et par la gestion du personnel des services de surveillance et du jardin d’autre part.

Architectes de l’État : les architectes en chef des monuments historiques (ACMH)
La loi du 30 mars 1887 pour la conservation des monuments historiques Comprend des dispositions instituant le corps des architectes en chef des monuments historiques (ACMH) instauré par le décret du 26 janvier 1892 et dont les statuts sont fixé en 1907. Recruté par un concours d’État, l’ACMH est nommé dans une circonscription par le ministre en charge de la Culture. Il formule toute proposition et avis pour la protection, la bonne conservation, la mise en valeur et la réutilisation des immeubles protégés. Il assiste la conservation régionale des monuments historiques pour la programmation annuelle des travaux. Il définit à la demande du conservateur régional les propositions d’études préalables aux travaux de restauration des monuments historiques classés. Il est chargé, en tant que maître d’œuvre, de diriger les travaux.
Pendant longtemps la conservation du Domaine est distincte de celle du château de Saint-Germain-en-Laye, et relève de l’attribution d’un architecte ou d’un ingénieur nommé par l’administration centrale. Nous sommes parvenus à reconstituer la liste des architectes successifs depuis le règne de Louis-Philippe, sous réserve de nouvelles recherches. Alexandre Prosper Loaisel de Tréogate, « ingénieur des parterres », est connu pour avoir aménagé les jardins suite à la construction de la gare de Saint-Germain en 1847. Vers 1849-1852/1854, Jules Alexandre Cailloux, « architecte des parterres et terrasse », est chargé de la surveillance, de la conservation de la terrasse et du parterre, avant l’arrivée d’un certain Monsieur Dufrayer. À partir de 1879, la fonction conservation du Domaine et celle du château fusionnent. Joseph-Auguste Lafollye (1828-1891), déjà en charge du Domaine, poursuit les travaux de restauration du château entrepris par Eugène Louis Millet (1819-1879) depuis 1855. Pierre-Gérôme-Honoré Daumet (1826-1911) assure la conservation de 1889 à 1911. Louis Jean Hulot (1871-1959), architecte en chef des bâtiments civils et palais nationaux, est ensuite responsable de l’entretien de 1912 à 1939. Son successeur, Jean-Baptiste Hourlier (1897-1987) de 1939 à 1966, est le premier à être appelé « architecte en chef du Domaine de Saint-Germain-en-Laye ». Aujourd’hui, et sous réserve de la découverte de nouveaux documents, il est l’auteur des archives les plus anciennes du fonds. Lui succèdent les architectes en chef des monuments historiques (ACMH) à l’origine de la majorité de la production documentaire du fonds : Louis Blanchet (1927-) de 1966 à 1992, et Bernard Voinchet (1944-) de 1992 à 2001. Le 14 novembre 2001 Jacques Moulin est nommé ACMH pour le « parc du domaine de Saint-Germain-en-Laye ». Cependant le SNT demeure en relation avec Bernard Voinchet jusqu’en 2008 pour l’achèvement des travaux déjà engagés afin d’assurer leur continuité. Entre 2008 et 2010, l’architecte urbaniste de l’État Anne Staub reprend les fonctions. Depuis 2010, Régis Martin est le nouvel ACMH commun au château et au Domaine.
FONCTIONS ET ACTIVITES
Conservation d’un Domaine national
Nomenclature budgétaire. La nomenclature budgétaire des travaux de restauration est exprimée en titres (annualité), chapitres (spécialité) et articles (unité). Elle se présente sous la forme de chapitres budgétaire. Parmi les titres du budget de l’État nous retrouvons :

  • le Titre III pour les dépenses de fonctionnement des services correspondent aux dépenses courantes de l’État (personnels, fonctionnement, entretien). Dans le cadre du Domaine, il s’agit essentiellement de dépenses pour les travaux d’entretien ou d’intervention ponctuelles auxquels peuvent s’ajouter de travaux d’aménagement ou d’accueil. Les crédits ouverts sur ce titre doivent être consommés dans l’année, c’est la stricte application de l’annualité budgétaire.
  • le Titre V correspond aux dépenses d’investissement de l’État, c’est-à-dire aux travaux de gros œuvres. Ces dépenses concernent les opérations impossibles à mener en une année.

Il existe un cadre particulier du budget des monuments historiques appartenant à l’État, pour lesquelles la nomenclature budgétaire s’exprime essentiellement dans les quelques chapitres suivants :

  • chapitre 31-90 : vacations ;
  • chapitre 34-97 : fonctionnement ;
  • chapitre 35-20 : travaux d’entretien ;
  • chapitre 56-20 : travaux de grosses réparations.

Procédure pour les gros travaux. Il s’agit de travaux de conservation ou de restauration nécessités par l’état des monuments les plus gravement atteints. Ces travaux sont financés sur le chapitre 56-20 article 50. Ils sont menés sous la maîtrise d’ouvrage des DRAC ou du SNT. Le maître d’œuvre est l’ACMH territorialement compétent, c’est-à-dire qu’il établit le projet et en contrôle l’exécution. Il travaille en plusieurs étapes :

L’étude préalable (EP) dont l’objectif est d’avoir une connaissance précise des travaux à conduire, et de leur éventuel phasage. Elle fait l’historique du bâtiment et propose des restaurations. Elle a valeur de permis de construire.

Le projet architectural et technique (PAT) fait partie du dossier d’appel d’offres (ou dossier de consultation des entreprises) et complète l’étude préalable. Il sert à la mise en concurrence des entreprises. Il comprend :

  • le cahier des clauses techniques et particulières (CCTP) ;
  • un avant-métré : énumération des unités d’œuvre entrant dans une construction et indication de la quantité nécessaire à chacune d’elles ;
  • des documents graphiques : plans, élévations, coupes, tirages photographiques, photomontages, relevés topographiques, plans cadastraux, etc.
    Un PAT est l’équivalent d’un avant-projet détaillé ou définitif (APD) qui comporte des plans détaillés des parties concernées, la définition des moyens et techniques employés, l’estimation définitive des travaux.

Le marché public se compose de plusieurs pièces :

  • l’appel d’offre est la procédure de mise en concurrence et d’attribution de marché comporte le dossier de consultation des entreprises (DCE), le rapport d’analyse des offres et le procès-verbal de la commission d’ouverture des plis ;
  • l’acte d’engagement : document dans lequel l’entreprise, candidate à un marché public, présente son offre et adhère aux clauses définies par l’acheteur. Cet acte est signé par les deux parties ;
  • bordereau de prix : pièce écrite énumérant de façon détaillée les prix des différents articles ;
  • devis descriptif : description technique de l’ensemble de l’ouvrage et des modes d’exécution, les contraintes techniques et les matériaux utilisés ;
  • devis estimatif : montant estimé des travaux ;
  • devis quantitatif : liste des éléments d’ouvrages (fournitures) ;
  • cahier des clauses administratives particulières (CCAP) : pièce contractuelle rappelant les règles administratives et les pénalités encourues en cas de non-respect du contrat ;
  • cahier des clauses techniques particulières (CCTP) : pièce contractuelle détaillant les fournitures et de leur mise en œuvre ;
  • avant-métré ;
  • documents graphiques.

Le suivi des travaux :

  • l’ordre de service : document enjoignant une entreprise à réaliser les travaux pour lesquels l’accord a été passé ;
  • situation de travaux : pièce établie périodiquement par le maître d’œuvre, indiquant les quantités d’ouvrages (matériaux) et les prix correspondant ;
  • comptes rendus de réunion de chantier ;
  • attachement : document écrit ou graphique réalisé au cours des travaux ou dès la fin servant à l’établissement de mémoires, et permettant la vérification des travaux ;
  • mémoire : état détaillé des travaux exécutés et des sommes dues, dressé par l’entrepreneur ou le maître d’œuvre, à la fin de travaux en vue du règlement ;
  • garantie décennale : garantie due par les constructeurs au maître d’ouvrage pendant dix ans à compter de la réception des ouvrages.

La création du dossier documentaire des ouvrages exécutés (DOE ou DDOE) ou rapport de restauration.

L’initiative du lancement d’une procédure appartient soit à l’administrateur du Domaine, soit aux services dépendant de la direction du patrimoine. Au cours des visites pluriannuelles faites par l’ABF, l’ACMH ou le CRMH, l’administrateur constate avec l’aide de ce dernier les désordres. Si ceux-ci sont de faible importance, il voit avec l’ABF comment les réduire, éventuellement sur des crédits d’entretien. S’ils sont importants, l’ABF saisit, en liaison avec l’administrateur, le CRMH du problème. Celui-ci, accompagné de l’ABF et de l’ACMH, prend la mesure des travaux à mener. Le CRMH, après consultation de l’administrateur sur une éventuelle priorité, commande à l’ACMH une étude préalable. La durée de l’étude préalable est de six mois. À la réception de l’étude, le CRMH demande obligatoirement l’avis de l’inspection des monuments historiques et de l’inspection générale des monuments historiques territorialement compétentes. Cet avis est réputé favorablement dans un délai de deux mois, avant de passer à la phase suivante de mise au point du projet de restauration par la commande d’un PAT. Le délai est de sept mois au minimum après la réception de la commande par l’ACMH du PAT. On peut considérer qu’à partir du moment où la commande d’étude préalable a été passée à l’ACMH, un délai moyen de deux ans est inévitable avant le commencement des travaux, compte-tenu des contraintes d’avis, de marchés, de gestion comptable, etc. Le CRMH engage les crédits et parallèlement, passe commande du PAT, prépare les marchés et les appels d’offre, passe les marchés. L’ACMH signe alors les ordres de services aux entreprises et suit le déroulement des travaux. Il importe que le règlement du chantier soit élaboré en concertation entre l’ACMH et l’administrateur. Chaque réunion de chantier doit se faire en présente de l’administrateur. La réception des travaux est réalisée par l’ACMH, l’administrateur et le CRMH.

Procédure pour les travaux d’entretien. L’entretien correspond à l’action préventive ou curative, qui, avec des moyens réduits, empêche l’apparition d’un désordre, le supprime ou en arrête l’extension. L’administrateur a le devoir de veiller au bon état du monument. Cette action préventive consiste essentiellement en balayage, nettoyage des créneaux et fossés, émoulage, dégorgement, etc. Elle est l’entière responsabilité de l’administrateur. L’ABF doit au cours de ses visites d’inspection pluriannuelles, le lui rappeler. L’action curative, quant à elle, appartient à l’ABF en concertation avec l’ACMH et l’administrateur. L’ABF est obligatoirement le maître d’œuvre de ces travaux. Il dispose d’un crédit annuel dont il assume la programmation. L’ordre de service des travaux d’entretien est établi suivant un modèle défini. Une copie est adressée au conservateur régional ainsi qu’à l’ACMH. L’ABF signe le permis de feu autorisant l’entreprise à entreprendre des travaux.

Procédure pour les travaux neufs. Dans certains cas, des travaux d’investissement doivent être menés afin d’aménager dans le monument un accueil, des locaux professionnels, voire des bureaux ou des logements. Lorsque ces travaux ne modifient pas les parties sensibles du monument, le régime des travaux sur les immeubles classés parmi les monuments historiques ne s’applique plus. Il faut alors appliquer les textes sur l’ingénierie.Le maître d’ouvrage, conservateur régional attaché à la DRAC, SNT ou CMN, peut, pour assurer la maîtrise d’œuvre de l’opération, faire appel soit à un architecte libéral, soit à l’ACMH, soit à l’ABF. Dans la plupart des cas l’initiative appartient à l’administrateur qui doit faire connaître, au travers de son rapport d’activité annuel, ses besoins en matière de travaux d’amélioration : de l’accueil du public, des conditions de travail de ses agents, des logements de service. Un programme détaillé de l’opération doit alors être effectué en liaison avec le utilisateurs du monument, l’ABF, l’ACMH, le conservateur régional et le CMN afin de vérifier la nécessité et la faisabilité du projet au regard des exigences des biens et du publics, et du respect du monument.

La protection des abords. Selon la loi de 1943, sont protégés les abords des monuments, donc tout immeuble placé dans un périmètre de 500 mètres. Toute destruction construction, restauration doit obtenir l’accord préalable de l’ABF ou de l’ACMH.

L’accueil et la surveillance d’un Domaine national

La direction du patrimoine fait appel à un corps d’agents spécifiques pour la gestion des monuments historiques. Ces agents interviennent essentiellement en qualité de gardiens ou de jardiniers et sont placés sous la responsabilité de l’administrateur du Domaine :

  • les agents de surveillance et de magasinage appartiennent au corps des techniciens des services culturels et des bâtiments de France, et se composent des agents techniques de surveillance et de magasinage, des agents chefs de surveillance et de magasinage et des techniciens des services culturels ;
  • les jardiniers appartiennent au corps des techniciens d’art et se composent de maîtres-ouvriers, d’ouvriers professionnels, de techniciens d’art et de chefs de travaux d’art ;
  • les aides-jardiniers appartenant au corps des ouvriers professionnels ;
  • les agents de service appartenant au corps des agents techniques.
    Les agents d’un Domaine national sont gérés au niveau des DRAC (notation, propositions d’avancement), de la direction du patrimoine et de la direction de l’administration générale.

L’actuel instrument de recherche décrit l’ensemble des archives relevant du cœur de métier du double producteur, les architectes de l’État et l’administrateur. Trois fonctions ont été identifiées :

  • la conservation du Domaine est assurée principalement par les architectes de l’État, et coordonnée par l’administrateur, sous la tutelle du CRMH et en collaboration avec le SNT. La conservation comprend l’ensemble des travaux d’entretien dirigés par l’ABF et les gros ouvrages de restauration dirigés par l’ACMH.
  • l’accueil et la surveillance du Domaine est une fonction attribuée exclusivement à l’administrateur.
  • la gestion immobilière des propriétés, parcelles et concessions est assurée par l’administrateur sous la tutelle du CMN.
    Ces trois fonctions sont reproduites dans le plan général de l’instrument de recherche.
    La série « Conservation du Domaine » se décline en deux sous-séries : l’entretien et le gros œuvre. La sous-série « Entretien » respecte le double classement originel conçu par le producteur :
  • un classement chronologique annuel : seules les pièces récapitulatives par année ont été conservées. Les documents comptables (factures et devis) ayant dépassée leur durée légale de conservation de 10 ans, ainsi que les bordereaux d’envoi et de réception ont été éliminés.
  • un classement topographique en fonction des sites pour des actions d’entretien récurrentes.
    Ont été conservés :
  • la correspondance comportant des informations de premier ordre permettant d’éclairer le fonctionnement des travaux d’entretien et d’expliquer les motivations à enclencher les procédures de travaux ;
  • la correspondance sur les dotations budgétaires annuelles ;
  • les pièces de marchés ;
  • certains documents comptables lorsque aucune pièce récapitulative n’existe afin de garder trace des modes de fonctionnement de l’entretien sur toute la chronologique.
    La sous-série « Gros œuvre » suit la logique d’un classement topographique et rassemble toutes les typologiques de documents propre au métier d’architecte : études préalables, PAT, pièces de marché, DDOE, documents graphiques et attachements figurés.
    Gestion immobilière du domaine :
  • contrats et baux d’occupation ;
  • le suivi de l’achat des parcelles sous la Terrasse.

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Fonds CTG, travaux préparatoires au Dictionnaire archéologique

Fonds CTG, travaux préparatoires au Dictionnaire archéologique. Planche préparatoire au Dictionnaire archéologique avec annotation de Gabriel de Mortillet, "Types de l'âge du bronze, haches", dessin par E. Naudin et J. Jacquet, sculpteur, impr., [1866-1875]. Dimensions : H. 27,7 cm, l. 35,9 cm.

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Fonds CTG, travaux préparatoires au Dictionnaire archéologique

Fonds CTG, travaux préparatoires au Dictionnaire archéologique. Dessin préparatoire pour le Dictionnaire archéologique de la Gaule, "Cavernes, types de la Madeleine", 3 silex. Mine de plomb, par Édouard Louveau, s.d. Dimensions : H. 16 cm, l. 24,3 cm.

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Fonds CTG, travaux préparatoires au Dictionnaire archéologique

Fonds CTG, travaux préparatoires au Dictionnaire archéologique. Planche gravée pour le Dictionnaire archéologique de la Gaule, "Cavernes. 1er Type dit du Moutier" (sic), "Moustier", Paris, Imprimerie Nationale, [1866-1875]. Dimensions : H. 35,5 cm, l. 27,8 cm.

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Fonds CTG, travaux préparatoires au Dictionnaire archéologique

Fonds CTG, travaux préparatoires au Dictionnaire archéologique. Planche gravée pour le Dictionnaire archéologique de la Gaule, "Cavernes. Type de Solutré", Paris, Imprimerie Nationale, [1866-1875]. Dimensions : H. 35,7 cm, l. 27,4 cm.

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Fonds CTG, travaux préparatoires au Dictionnaire archéologique

Fonds CTG, travaux préparatoires au Dictionnaire archéologique. Planche préparatoire à l'édition du Dictionnaire archéologique de la Gaule celtique, Dolmens et allées couvertes - Mobilier funéraire, épreuve représentant une hache polie, et anneaux et croissants, dessins par E [douard] Louveau et M [arie] Louveau, impr., [1866-1875]. Dimensions : H. 45 cm, l. 27 cm.

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Fonds CTG, travaux préparatoires au Dictionnaire archéologique

Fonds CTG, travaux préparatoires au Dictionnaire archéologique. Dessin préparatoire pour le Dictionnaire archéologique de la Gaule, "Cavernes, types de la Madeleine", 10 silex dont MAN 3343, MAN 3386, MAN 3481, MAN 3379, MAN 14657, MAN 3396, MAN 3370. Mine de plomb, par Édouard Louveau, s.d. Dimensions : H. 24,1 cm, l. 15,5 cm.

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Fonds CTG, travaux préparatoires au Dictionnaire archéologique

Fonds CTG, travaux préparatoires au Dictionnaire archéologique. Dessin préparatoire pour le Dictionnaire archéologique de la Gaule, "Cavernes, types de la Madeleine", 6 silex dont MAN 3344, MAN 3333, MAN 3342, MAN 3466 et MAN 3479. Mine de plomb, par Édouard Louveau, s.d. Dimensions : H. 15,8 cm, l. 24,3 cm.

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