Affichage de 5401 résultats

Description archivistique
Texte Avec objets numériques
Aperçu avant impression Affichage :

MAN 61046

Fausse inscription latine, marbre blanc, provenant d'Albigny-sur-Saône (Rhône). H. : 57,5 cm ; l. 40,5 cm ; ép. 11 cm. XVIIe siècle. Restauration 2020. Côté latéral gauche.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 61046

Fausse inscription latine, marbre blanc, provenant d'Albigny-sur-Saône (Rhône). H. : 57,5 cm ; l. 40,5 cm ; ép. 11 cm. XVIIe siècle. Restauration 2020. Face avec mire.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 31433

Fragment d'horloge anaphorique inscrite, en bronze, provenant de Grand (Vosges). H. : 22,1 cm; l. : 18 cm ; Ep. : 0,05 cm. IIIe s.
Verso avec mire.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 25962

Autel. marbre blanc. Vue 4.
Eauze (Gers)
H. : 30,9 cm ; l. : 22 cm ; ep. : 18,2 cm ; H. des lettres : 1,9 ; 2 ; 2,5 cm
Inscription latine / marques : Transcription : INCOLVM/...IMIANVS/ INI EX VOTO/..NVM DEDIT/...AMA IRENAEO/...PATRI
Acquisition : 1880.1 Don. : PIETTE.

Fonds du laboratoire du musée d'Archéologie nationale

  • 2021001
  • Fonds
  • 1941 - 2019

Ce fonds est constitué des archives produites par les restaurateurs du laboratoire. Pour des raisons de traçabilité et de documentation, les restaurateurs laissent de plus en plus d’archives témoignant de leur activité. C’est ainsi que les premières années de 1960 à 1990 sont peu présentes par rapport aux années suivantes. Les années les plus représentées ici sont celles durant lesquelles Clotilde Proust exerce la fonction de responsable de l’atelier. Même si les traces de leurs activités diffèrent quant à la forme, on remarque bien une continuité entre les différents acteurs. On retrouve dès 1960 des rapports de restauration, mentionnant la plupart du temps le numéro d’inventaire des objets restaurés. En effet tout tourne de près ou de loin autour de ces rapports; l’achat de matériel, les bilans sanitaires, la documentation sur les techniques et sur les matériaux visent à permettre la conservation d’investigation, la restauration pour étude et pour exposition.
Ces archives révèlent l’activité du laboratoire de restauration depuis les années 1960 à 2019. On y trouve celles liées au fonctionnement du laboratoire, comme les rapports d’activité, les dossiers de suivi médical, les dossiers du Comité Hygiène et Sécurité, les notes de service informant la présence d’agents extérieurs, les dossiers pour l’achat et la maintenance du matériel classique de laboratoire ou spécifique comme la cabine de radiographie, les documents préparatoires aux conférences budgétaires et enfin les dossiers ayant trait aux restaurations externalisées.
Puis sont conservées les archives liées aux missions propres du laboratoire, c’est-à-dire la conservation, la restauration et le moulage ; il s’agit de dossiers d’études, de photos de salles et d’objets, de rapports de restauration, des bilans sanitaires et de la documentation.
À cela s’ajoute les traces d’activités de valorisation et de collaboration avec des organismes extérieurs; il s’agit de conventions, de dossiers de fouilles, de publications.
Doté d’une expertise dans son domaine, le chef du laboratoire est également amené à faire part de son savoir auprès d’institutions universitaires ou de groupes de professionnels. On trouve donc ses supports de cours, les diagnostics faits au nom de son expertise, les dossiers d’étude constitués au sein des groupes de travail régionaux ou ministériels auxquels il appartenait.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

Fonds Casimir Creuly

Le fonds Casimir Creuly comprend actuellement 23 carnets de notes de voyages datés de 1857 à 1872, avec quelques ajouts de 1874 dans l’un des carnets. Ils contiennent des relevés d'inscriptions au crayon à papier et/ou à la plume, avec indication schématique du contour et de l’iconographie du bloc inscrit. Les copies sont généralement annotées (lieu de conservation, date de copie, éventuellement lieu et date de découverte, dimensions et notes diverses). Certains carnets sont agrémentés de dessins d’objets archéologiques ou de monuments mégalithiques, de manière anecdotique cependant.
Concernant près de 15 ans d’activité épigraphique de leur auteur, ces carnets témoignent des voyages entrepris par Casimir Creuly sur tout le territoire français et également à l’étranger (Allemagne, Suisse). Si certaines inscriptions sont des copies de relevés ou d’estampages de Félicien de Saulcy ou d’autres savants, Casimir Creuly fait de nombreux relevés d’inscriptions devant les monuments eux-mêmes, dans les musées, des édifices publiques, mais aussi chez des particuliers. Les inscriptions collectées montrent son intérêt pour les inscriptions provenant de toutes les provinces romaines de Gaule (Gaule Narbonnaise, Gaule Lyonnaise, Gaule Aquitaine, Gaule Belgique) et rappellent à quelques occasions ses travaux antérieurs sur l’Afrique du nord.
Dans ses carnets, Casimir Creuly fait de nombreuses fois référence à des estampages.
À cet ensemble s’ajoutent quelques feuillets de notes manuscrites, en particulier un mémoire sur le Portus Itius.

Creuly, Casimir

Carnet 24

Copies d'inscriptions d'Aoste (juin 1870) [p. 1-5], Feurs (22 juin 1870) [p. 6-10] et Lyon (17 octobre 1872) [p. 11-12] ainsi que des notes prises auprès de M. Leblanc, bibliothécaire et conservateur du musée de Vienne (17 octobre 1872) [p. 13-14 recto], copies d’inscriptions de Valence (18 octobre 1872) [p. 14 verso-15], Tain (21 octobre 1872) [p. 16], Tournon (21 octobre 1872) [p. 17] et Valence [p. 18-22].

Creuly, Casimir

Carnet 10

Copies d'inscriptions de Mayence (6 août 1864 dont 3 inscriptions de Wiesbaden) [p. 1-25], Bâle (8 août 1864) [p. 26-29 recto], Lausanne (11 août 1864) [p. 29 verso-32 recto], Saint Maurice (11 août 1864) [p. 32 recto-33], Martigny (11 août 1864) [p. 34], Vevey (11 août 1864) [p. 35 recto], Genève (13 août 1864) [p. 35 recto-41 verso], Avenches (16 août 1864) [p. 41 verso-44 ; p. 46 verso-47], Villars, Morat (16 août 1864) [p. 44 verso-45 verso], Amsoldingen (18 août 1864) [p. 45 verso-46], Soleure (22 août 1864) [p. 47 verso-49 verso] ; notes [p. 48 bis ; p. 51].

Creuly, Casimir

Carnet 12

Copies d'inscriptions de Caen (2 mai et 2 juin 1865) [p. 1-2], Pau (juin 1865) [p. 3], Bagnères-de-Bigorre (23 juin 1865) [p. 4-5], Dax (3 juillet 1865) [p. 6-7], Agen (4 juillet 1865) [p. 8-9], Melun (13 juillet 1865) [p. 10-12], inscriptions et estampages envoyés par le docteur Long de Die et Luc (sans date) [p. 13-21], Langres (3 août 1865) [p. 22-47].

Creuly, Casimir

Carnet 15

Copies d'inscriptions de Nîmes (septembre 1865, 13 novembre 1866) [p. 1-21], du musée de Saint-Germain [p. 22-23], transcriptions de copies de Chalon-sur-Saône et Mâcon par Marcel Canat [p. 24-31], copie d'inscription d'un archidendrophore (d’après un d'estampage transmis par Saulcy) [p. 32], copies d’inscriptions du musée de Saint-Germain (8 juin 1867) [p. 33-35], copies des inscriptions nouvelles de Nîmes publiées par l'académie du Gard dans ses Mémoires de septembre 1864 à août 1865 [p. 36-40], copies d’inscriptions du musée de Saint-Germain (23 avril [?]) [p. 41], dessin d’une portion du mur gaulois de Vertault (13 mai 1870) [p. 42].

Creuly, Casimir

Carnet 21

Copies d'inscriptions d'Épinal (17 juin 1869) [p. 1-6 recto], de Saverne (18 juin 1869) [p. 6 recto-9], de Strasbourg (19 juin 1869, notamment de la bibliothèque détruite en 1870) [p. 10-21], de Brumath (20 juin 1869) [p. 22-25], de Bagnères-de-Luchon (14 juin 1874) [p. 26], de Tibiran [p. 27-28], de Saint-Bertrand-de-Comminges [p. 29-31 recto], de Valcabrère [p. 31], de Châteauroux (23 juin 1874) [p. 32].

Creuly, Casimir

Carnet 13

Copies d'inscriptions d'Autun (13 septembre 1865, dont inscription de Bourbon-Lancy) [p. 1-5], Beaune (14 septembre 1865) [p. 5], Avignon, Nîmes, Carpentras, Vaison-la-Romaine, Bastide d'Engras, Rousset (Drôme), Orange, Marseille, Aix-en-Provence, Roussillon, Tresques, Marseille, Valréas et alentours (15 au 17 septembre 1865) [p. 6-40].

Creuly, Casimir

Carnet 18

Copies d'inscriptions d'Arles (18 novembre 1866) [p. 1-12], Avignon (21 et 24 novembre 1866) [p. 13-15 ; p. 24], Carpentras (22 novembre 1866) [p. 16-17 ; p. 18-23], Malaucène (23 novembre 1866) [p. 18], Vienne (26 novembre 1866) [p. 25-31], Dijon (27 novembre 1866) [p. 32] et quelques inscriptions du musée de Saverne d'après les estampages envoyés par le colonel de Morlet en 1865 [p. 33], inscription indéterminée [p. 39].

Creuly, Casimir

Carnet 11

Copies d’inscriptions de Saint-Lô (18 septembre 1864) [p. 1-6], du musée de Saint-Germain (11 décembre 1865) [p. 7 ; p. 13], du vase de Buscilla [p. 8], copies d’inscriptions de Saulcy à Auriol, Nîmes, Saint-Rémy, Aix, Béziers, Saint-Chamas (octobre 1867) [p. 9-12], copies d'inscriptions de Saint-Lô (13 juin 1868) [p. 14], d’un fragment de sculpture de Caen (sans date) [p. 15], copies d’inscriptions envoyées de Belley [p. 16-19], du musée de Saint-Germain [p. 21-23], inscriptions diverses [p. 51].

Creuly, Casimir

Carnet 1

Copies d'inscriptions du musée algérien du Louvre [p. 1-7], de Toulouse (1857) [p. 8], du Puy (1857) [p. 8 verso-9], de Nizy-le-Comte (2 juillet 1859) [p. 10 recto], de Cherbourg (juillet 1859) [p. 10 verso-11], notes sur les voies romaines de Carentan (6 août 1859) [p. 12 recto], copies d’inscriptions du musée de Bayeux (août 1859) [p. 12 verso-14], notes et dessin de reliefs du musée de Caen (août 1859) [p. 15-16 recto], copies d’inscriptions d'Alise-Sainte-Reine (septembre 1859) [p. 16 verso ; p. 17 verso], du musée de Dijon (septembre 1859) [p. 17 recto ; p. 18-28 recto ; p. 34 recto ; p. 39-45], de Beaune (septembre 1859) [p. 28 verso-29 recto], d'Autun (septembre 1859) [p. 29 verso-38], d'Auxerre (21 septembre 1863) [p. 46-48 recto], de Triguères (septembre 1863) [p. 48 recto]et d'Autun [p. 48 verso], notes diverses [p. 52 verso-55].

Creuly, Casimir

Carnet 2

Copies d'inscriptions et d’objets du musée de Besançon (octobre 1859) [p. 1-10 ; p. 40 verso ; p. 42-43], de Sens (1861) [p. 4 verso-8 verso ; p. 41 recto ; p. 48 verso-56], Auxerre (octobre 1859) [p. 11-14], Bordeaux (10 novembre 1859) [p. 15-18], Cahors (11 novembre 1859) [p. 19-20], Limoges (novembre 1859) [p. 21-26], Namur (mars 1861) [p. 26 verso], du musée de Bruxelles (mars 1861) [p. 27 verso-33], de Tongres (sans date) [p. 27-28 ; 29 verso-30], Gand (mars 1861) [p. 33 verso-34], d’Alise (mai-juin 1861, des armes et des objets divers) [p. 35 verso-43 verso], Dijon (mai-juin 1861) [p. 44-46] et Beaune (mai-juin 1861) [p. 46 verso-48 verso].

Creuly, Casimir

Carnet 7

Copies d'inscriptions et dessins d’objets d'Angers (28 avril 1864) [p. 1-2], de Saumur (29 avril 1864) [p. 2-3], de Poitiers (30 avril-2 mai 1864, dont copie de M. de Longuemar) [p. 4-17], du musée de Niort (3 mai 1864) [p. 18-19], de Périgueux (4 mai 1864) [p. 20-35 recto], Limoges (5 mai [1864 ?]) [p. 35 verso-36], de la Pierre de Jabreilles (6 mai [1864?]) [p. 36-38], La Souterraine, Bridiers, Guéret et environs (sans date) [p. 39-43]. Deux copies de tirages en plâtre du musée de Saint-Germain [p. 44].

Creuly, Casimir

Carnet 3

Copies d'inscriptions et d’objets du musée d'Amiens (septembre 1861) [p. 1-4], de Rouen (septembre 1861) [p. 5-10], de Lillebonne (sans date) [p. 11], du musée d'Évreux (septembre 1861) [p. 12-13], de Caen et Lisieux (septembre 1861) [p. 14-16], de Coutances (septembre 1861) [p. 17], d'Avranches (septembre 1861) [p. 18], de Corseul (septembre 1861) [p. 19], Dinan (septembre 1861) [p. 20 recto], Sens (sans date) [p. 20 verso ; p. 26], musée de Saint-Brieuc (septembre 1861) [p. 21-22], musée des Beaux-arts et musée archéologique de Dijon (sans date) [p. 23-25], Sens (sans date) [p. 26], Évreux (sans date) (p. 27-28], Neuvy-sur-Barangeon (février 1862) [p. 29-30], musée de Bourges (février 1862) [p. 31-32] et musée de Nevers (sans date) [p. 32-33].

Creuly, Casimir

Carnet 1 bis

Notes sur Cherbourg [p. 1-6], sur les découvertes archéologiques, numismatiques et épigraphiques du département de la Manche [p. 6-33 recto], copies de 3 inscriptions de Valogne [p. 33 verso-34] et notes sur les camps romains de la Manche [p. 35-38].

Creuly, Casimir

Carnet 4

Copies d'inscriptions de la collection Campana [p. 1-6], notes sur Strabon [p. 7-9 recto], notes sur le musée assyrien du Louvre [p. 9 verso-10], copies d'inscriptions provenant de Sens (avril 1862) [p. 11], du musée de Nantes (avril 1862) [p. 12-13], du musée de Vannes (avril 1862, dont dessins de monuments mégalithiques et d'objets divers de Locmariaquer et Plouharnel) [p. 14-16], Carhaix (avril 1862) [p. 17], de l’église de Lannion (sans date) [p. 18 recto], du musée de Rennes (avril 1862, dont dessins d'objets divers) [p. 18 verso-20], du musée de Clermont-Ferrand (juin 1862, dont dessins d'objets divers) [p. 22-28], de Hyères (juin 1862) [p. 28 recto ; p. 30], copies de Saulcy provenant de Béziers (sans date) [p. 28 verso-29], Saint-Rémy (juin 1862, dont dessins des monuments de Glanum - tombeau des Jules et arc) [p. 31-37], Mâcon [p. 38-40] et Châlons-en-Champagne (juin 1862) [p. 41-42], Melun (14 avril 1864) [p. 43], notes diverses [p. 46 recto], observations sur la carte césarienne [p. 46 verso].

Creuly, Casimir

Carnet 6

Copies d'inscriptions de Narbonne (10 mars 1863, dont notes sur le parcours de visite du musée et dessin d'après estampage) [p. 1-24 ; p. 41], de Montpellier (mars 1863) [p. 25-30], d'Orange (mars 1863) [p. 30-31], de Vienne (mars 1863) [p. 31-40] et de Beauvais (mars 1864) [p. 42-43].

Creuly, Casimir

Carnet 9 bis

Index des inscriptions de Narbonne (carnets 5 et 6) [p. 1-4], d’Arles (carnets 17 et 18) [p. 5-9], de Besançon, Luxeuil et du lac d’Antre (carnet 2) [p. 10-11], de Toulouse (carnet 5) [p. 12-14 recto] ; index des inscriptions d’Alise, Autun, Beaune, Châlons-en-Champagne, Dijon, Mâcon et Nevers (carnets 1, 2 et 3) [p. 16-17] ; Iovis Poeninus [p. 29 verso] ; deux inscriptions tirées de la Chorographie d'Honoré Bouche [p. 30 recto] ; la copie d'une inscription de Nîmes à Jupiter et Nemausus [p. 30 verso] ; les noms de peuples se terminant en -tani [p. 31] ; les inscriptions du procurateur Axius Aelianus [p. 32] ; une liste des inscriptions des mères et matrones [p. 33-36] ; itinéraire romain d'Emporium au Rhône (route d'Hannibal) avec observations [p. 74 verso-76] ; des inscriptions inédites d'Afrique (14 mai 1869) [p. 77-79 recto] ; un début de liste des pagi gallo-romains [p. 79 verso] ; une étude des provinces de l'empire romain à l'époque de la Notitia Dignitatium [p. 80 verso-81] ; un index général des carnets [p. 82] ; comparaison des cités de l’Aquitaine entre Loire et Garonne d’après plusieurs auteurs antiques [p. 83 recto] ; provinces des deux empires Orient-Occident [p. 83 verso] ; une liste des inscriptions comprenant le nom de l'Aquitaine [p. 84 recto ; p. 88 recto] ; des extraits de Strabon sur l'Espagne, deux essais sur l'Espagne et la Gaule [p. 84 verso-87] ; une liste des peuples de l'Aquitaine [p. 88 verso-90] ; le contenu des carnets épigraphiques [p. 91] ; notes sur l’avancement des feuilles d'inscriptions [p. 92-94] ; une liste des inscriptions estampées et non copiées dans les carnets [p. 95 recto] ; notes [p. 95 verso].

Creuly, Casimir

MAN 59375

Objets : MAN 20325*
"Pierre tombale de Lucien Albanus de Mâcon (Sâone-et-Loire)".
Représentation d’un auxiliaire monté sur un cheval marchant vers la droite.
Inscription à Albinus, fils d’Excingus.
Entrée au musée en 1873.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

Vue du domaine de Saint-Germain-en-Laye

Découpe d’un plan représentant en vue aérienne l’ensemble du domaine de Saint-Germain-en-Laye et présentée dans un cadre décoratif.
Inscription : « Et remarquable aux environs/Sainct Germain » en parties supérieure et inférieure de part et d’autre du plan.

Langlois, François

« Portrait des Chasteaux royaux de St Germain en Laye »

Estampe en noir et blanc représentant une vue aérienne des terrasses, du Château-Neuf et du Château-Vieux de Saint-Germain-en-Laye en arrière plan. Le plan est légendé et orné de deux ensembles d’armoiries.
Inscription : « 1 La basse cour a 39 toises de long et 26 de large/2 Le viel chasteau a de façade 35 toises et de costé 45/ 3 Le jeu de paulme/4 Le grand jardin du roy a 150 toises de long et 97 de large/5 Le parc a 1445 toises de long et 382 de large/6 La cour dentre les deux chasteaux a 134 toises de long et 84 de large./7 Les deux cours des offices ont 28 toises de long et 20 de large./8 La cour de devant la grande salle a 30 en care./9 Les galleries du roy et de la royne ont 34 toises de long et 3 de large./10 La grande salle a 14 toises de long et 5 de large./ 11 Les deux petits jardins ont 61 toises de long et 25 de large./12 Les deux chapelles du roy et de la royne./ 13 la grolle des orgues./14 La grotte de neptune./15 La grotte de persée./16 La grotte d’Orphée./17 les deux bosquets ont chacun 50 toises de long et 40 de large./18 Le jardin qui est entre les deux bosquets a 84 toises de lon[sic] et 40 de large./19 Le jardin en pente a 113 toises de lon[sic] et 50 de large./20 Le jardin des canaux a 113 toises de long et 85 de large./21La rivière de Seyne/Du depuis la rivière jusques a la cour/qui est devant la grande salle il y a/28 toises de pente » de part et d’autre du motif.

Lasne, Michel

Planche "borne milliaire de l'an XLVI après J.-C." - Bayeux

Planche intitulée "Borne milliaire de l'an XLVI après J.-C., au Manoir, route de Bayeux à Courseules" présentant à l'échelle 1/2 une inscription de Bayeux (CIL, XIII, 8976). Sans mention au crayon au verso.
Première livraison d'après le "Catalogue des inscriptions du général Creuly".

Commission de Topographie des Gaules

MAN SN

Objet : MAN SN
Négatif à la gélatine ; 13X18
Numéro de la plaque : CE 794

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 7237 ; MAN 85541

Vase à décor cannelé et bol décoré de poinçon, en céramique.
MAN 7237 : Vase à décor cannelé curviligne en céramique, provenant de Campestre-et-Luc, au lieu-dit de Viala (Gard), découvert en 1867 ; Culture de Fontbouisse, Néolithique final, 3e millénaire.
MAN 85541 : Bol décoré au poinçon, en céramique, provenant de Videlles au lieu-dit Les roches (Essonne), don Bailloud en 1972 ; Culture de Cerny, Néolithique moyen, 4e millénaire.

MAN 7237

Vase à décor cannelé curviligne en céramique, provenant de Campestre-et-Luc, au lieu-dit de Viala (Gard), découvert en 1867 ; Culture de Fontbouisse, Néolithique final, 3e millénaire. MAN 7237.

Collection des arts graphiques

  • COL/AG
  • Collection
  • 1600 - 1910

Cette collection d’arts graphiques est constituée de pièces réalisées entre le XVIIe siècle et le premier quart du XXe siècle. Il s’agit pour l’essentiel d’estampes (petits formats et hors-format), mais nous pouvons également y retrouver quelques dessins, aquarelles et gouaches.
Les estampes présentées ci-dessous – toutes de petit format – sont au nombre de vingt-neuf. Parmi ces vingt-neuf pièces, vingt-huit remontent au XVIIe siècle, et une seule est de datation indéterminée quoique visiblement tirée d’un ouvrage de la même époque ; elles représentent pour la plupart des vues extérieures des deux châteaux de Saint-Germain-en-Laye et du domaine leur étant associé.
D’abord résidence royale, le domaine de Saint-Germain-en-Laye devient national à la fin du XVIIIe siècle, et est classé monument historique en 1863. Le domaine voit sa gestion fusionner avec celle du musée en 2009 afin de former un unique service à compétence nationale.
Le site de Saint-Germain-en-Laye devient résidence royale au XIIe siècle, lorsque le roi Louis VI décide d'y faire élever un château non fortifié en bois vers 1124. Ce premier château – plus tard surnommé « Château-Vieux » en opposition au « Château-Neuf » des XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles – est fortifié par Philippe-Auguste, qui y fait bâtir une tour-logis en pierre et entoure l’édifice d’un mur de défense. Au XIIIe siècle, le château est agrandi par Louis IX, qui fait notamment bâtir la chapelle castrale dans un style gothique rayonnant. Après avoir subi d’importants dommages pendant la Guerre de Cent ans, le château de Saint-Germain-en-Laye est reconstruit en partie grâce à l’action de Charles V et de son architecte Raymond du Temple.
Sous François Ier, le château devient une résidence royale de premier plan, et sa transformation en style Renaissance est confiée à Pierre Chambiges. Né au Château-Vieux de Saint-Germain-en-Laye en 1519, Henri II entreprend la construction du Château-Neuf en 1559, chantier qu’il attribue à l’architecte Philibert Delorme ; les travaux s’achèvent sous Henri IV, vers 1600.
De 1661 à 1682, Louis XIV réside souvent à Saint-Germain-en-Laye, où il fait réaliser d’importants aménagements, notamment la création des jardins à la française par André Le Nôtre, ainsi que la construction de la Grande Terrasse entre 1663 et 1680. À partir de 1680 commencent les travaux de modification du Château-Vieux, auquel sont ajoutés cinq pavillons d’angles ; ces travaux d'agrandissement du château sont confiés à Jules Hardouin-Mansart. Bien que la cour quitte définitivement Saint-Germain-en-Laye pour Versailles en 1682, le domaine n’est pas complètement laissé à l’abandon, et le Château-Vieux accueille notamment Jacques II, alors en exil, de 1689 jusqu’à sa mort en 1701.
En 1777, Louis XVI fait don du Château-Neuf ruiné à son frère le comte d’Artois, qui le fait démolir dans l’intention d’élever une nouvelle résidence. À la Révolution, le Château-Neuf et une grande partie des dépendances du domaine sont vendus comme biens nationaux.
Sous le Premier Empire, le Château-Vieux accueille l’École spéciale militaire de cavalerie, qui devient en 1914 l’École spéciale militaire de Saint-Cyr. En 1836, l’édifice est transformé en pénitencier militaire, au sein duquel près de cinq cents officiers sont incarcérés. Dès son accession au pouvoir en 1852, Napoléon III se préoccupe du sort du château, et s’oppose ainsi à son usage comme centre pénitentiaire. En décembre 1853, il déclare notamment que « l’existence d’une prison militaire dans l’antique château de Louis XIV est une sorte de profanation […] Le pénitencier sera éloigné de Saint-Germain, et ce château, qui rappelle de grands et nobles souvenirs, sera réparé […] J’ai donné des ordres à cet effet ». Le Château-Vieux est ainsi classé Monument historique dès 1862 (l’ensemble du domaine est classé en 1863), et des travaux de restauration sont rapidement entrepris. Trois architectes se succèdent sur ce chantier colossal : Eugène Millet, Auguste Lafollye et Honoré Daumet.
Le chantier est d’abord confié à l’architecte Eugène Millet, élève d’Eugène Viollet-le-Duc, qui prend le parti de restaurer le château dans son état Renaissance et s’appuie ainsi sur les plans publiés par Jacques Androuet du Cerceau en 1576. Aux plans et aux élévations d’Androuet du Cerceau s’ajoutent des gravures d’Israël Silvestre (milieu du XVIIe siècle), qui permettent d’appréhender le château dans son ensemble dans l’état qui était le sien jusqu’à la fin du XVIIe siècle avec l’accord de la commission des Bâtiments civils. Afin de privilégier l’état XVIe siècle, les pavillons élevés sous Louis XIV sont démontés. En parallèle de la restauration du bâtiment, Millet entreprend l’aménagement des salles du musée, dont il commence à concevoir le mobilier afin de mettre en œuvre une « véritable muséographie destinée à l’archéologie ». Ce travail d’aménagement est ensuite poursuivi par Auguste Laffolye.
Les travaux de réfection de la chapelle sont entrepris à partir de 1873 ; Eugène Millet est chargé d’y ajouter une flèche, dont les travaux commencent avant 1889, et ne sont toujours pas achevés en 1895. Cette flèche est finalement démontée en 1907.
La restauration complète du château ne s’achève qu’en 1908, avec la décoration de l’entrée principale sur la façade ouest et l’aménagement final de plusieurs salles du musée.
La collection des arts graphiques du service des Ressources documentaires du musée d'Archéologie nationale permet de constater les différentes évolutions connues par le domaine et les châteaux de Saint-Germain-en-Laye depuis les XVIe – XVIIe siècles jusqu'au début du XXe siècle.
Au sein de cette collection figurent notamment vingt-neuf estampes du XVIIe siècle ; douze d'entre elles représentent le Château-Vieux, neuf concernent le Château-Neuf, tandis que quatre correspondent à des vues du domaine, et quatre autres à des édifices français extérieurs à Saint-Germain-en-Laye. Ces documents, dont certains sont légendés, voire datés, permettent de retracer l’histoire des deux châteaux de Saint-Germain-en-Laye au cours du XVIIe siècle avec une relative précision. En effet, avec la destruction des pavillons de Louis XIV lors de la restauration du Château-Vieux au XIXe siècle et l’abandon du Château-Neuf dès le XVIIe siècle, les estampes étudiées ici représentent un témoignage exceptionnel de l’état des deux châteaux à cette époque, avant l’effondrement progressif du Château-Neuf et la restauration en style Renaissance du Château-Vieux.
Cette collection d’estampes a été divisée selon quatre ensembles thématiques. Le premier ensemble correspond au Château-Vieux de Saint-Germain-en-Laye, le deuxième au Château-Neuf, le troisième au domaine, et le quatrième et dernier aux vues Hors Saint-Germain-en-Laye. Il s’agit uniquement de vues extérieures, ce qui permet d’appréhender les édifices dans leur contexte.
Si toutes les œuvres ne sont pas signées, trois noms de graveurs reviennent particulièrement : ceux d’Israël Silvestre (1621 – 1691), Adam Pérelle (1638 – 1695) et Pierre Aveline (1656 – 1722). Aux signatures des graveurs sont généralement associées celles des éditeurs, ayant été identifiés comme Israël Henriet (1590 ? – 1661), Nicolas de Poilly (1626 – 1696), Nicolas Langlois (1640 – 1703) et Melchior Tavernier (1594 – 1665). L’identité des graveurs a permis de systématiquement attribuer à chaque estampe une technique de réalisation ; en effet, il semble que tous trois aient travaillé en taille-douce, plus spécifiquement à l’eau-forte.
Ces vingt-neuf estampes semblent en grande partie issues de trois achats de lots, effectués respectivement en 1876, 1888 et 1889 (dates d’entrée dans le registre de la bibliothèque). Chaque lot porte un numéro d’inventaire (4319 pour celui de 1876, 7303 pour celui de 1888 et 7807 pour celui de 1889), numéros se retrouvant à de multiples reprises sur les estampes traitées.
La description se fait ici à la pièce sous forme d'un inventaire.
Plusieurs de ces estampes portent le tampon de la bibliothèque (sur lequel figure parfois leur numéro d’entrée au registre manuscrit), ainsi que le tampon sec du Musée des Antiquités nationales.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN16138

Hipposandale, fer. Profil.
Sompuis (Marne)
L. : 12,8 cm, l. : 11,6 cm, H. : 4,8 cm

Résultats 2051 à 2100 sur 5401