MAN 14347b. Sifflet aviforme, Lacroix-St-Ouen (Oise), lieu-dit Mont-Chyprès.
Dimensions : H. 5,8 cm, L. 5,6 cm, l. 3,6 cm.
Terre cuite. Gaule romaine. Vue de profil avec échelle

MAN 14347a à e ; MAN 28654 a à g et m. Douze sifflets aviformes, Lacroix-St-Ouen (Oise), lieu-dit Mont-Chyprès.Terre cuite. Gaule romaine. Vue d'ensemble.

MAN 14347a. Sifflet aviforme, Lacroix-St-Ouen (Oise), lieu-dit Mont-Chyprès.
Dimensions : H. 5,7 cm, L. 5,1 cm, l. 0,7 cm.
Terre cuite. Gaule romaine. Vue du dessus

MAN 14347a. Sifflet aviforme, Lacroix-St-Ouen (Oise), lieu-dit Mont-Chyprès.
Dimensions : H. 5,7 cm, L. 5,1 cm, l. 0,7 cm.
Terre cuite. Gaule romaine. Vue de profil avec échelle

MAN 14347a. Sifflet aviforme, Lacroix-St-Ouen (Oise), lieu-dit Mont-Chyprès.
Dimensions : H. 5,7 cm, L. 5,1 cm, l. 0,7 cm.
Terre cuite. Gaule romaine. Vue de trois quart

MAN 14347a. Sifflet aviforme, Lacroix-St-Ouen (Oise), lieu-dit Mont-Chyprès.
Dimensions : H. 5,7 cm, L. 5,1 cm, l. 0,7 cm.
Terre cuite. Gaule romaine. Vue du dessus en profil

Epingle à cheveux à tête ajourée, os
Mont-Chyprès, Lacroix-Saint-Ouen (Oise)
IIe-IVe s.
L. : 8,1 cm

Bas-relief : divinité aux oiseaux (incomplet), calcaire, enduit, provenant du Mont-Berny à Saint-Etienne-Roilaye (Oise). H. : 50 cm ; l. : 48 cm. Gaule romaine.
Détail de l'oiseau sur l'épaule droite.

Bas-relief : divinité aux oiseaux (incomplet), calcaire, enduit, provenant du Mont-Berny à Saint-Etienne-Roilaye (Oise). H. : 50 cm ; l. : 48 cm. Gaule romaine.
Détail de la main droite levée.

Bas-relief : divinité aux oiseaux (incomplet), calcaire, enduit, provenant du Mont-Berny à Saint-Etienne-Roilaye (Oise). H. : 50 cm ; l. : 48 cm. Gaule romaine.
Profil droit avec mire.

Bas-relief : divinité aux oiseaux (incomplet), calcaire, enduit, provenant du Mont-Berny à Saint-Etienne-Roilaye (Oise). H. : 50 cm ; l. : 48 cm. Gaule romaine.
Détail de l'oiseau sur l'épaule gauche.

Bas-relief : divinité aux oiseaux (incomplet), calcaire, enduit, provenant du Mont-Berny à Saint-Etienne-Roilaye (Oise). H. : 50 cm ; l. : 48 cm. Gaule romaine.
Profil gauche avec mire.

Bas-relief : divinité aux oiseaux (incomplet), calcaire, enduit, provenant du Mont-Berny à Saint-Etienne-Roilaye (Oise). H. : 50 cm ; l. : 48 cm. Gaule romaine.
Détail des deux oiseaux en bas sous le bras gauche.

Bas-relief : divinité aux oiseaux (incomplet), calcaire, enduit, provenant du Mont-Berny à Saint-Etienne-Roilaye (Oise). H. : 50 cm ; l. : 48 cm. Gaule romaine.
Face avec mire.

Bas-relief : divinité aux oiseaux (incomplet), calcaire, enduit, provenant du Mont-Berny à Saint-Etienne-Roilaye (Oise). H. : 50 cm ; l. : 48 cm. Gaule romaine.
Dos avec mire.

Bas-relief : divinité aux oiseaux (incomplet), calcaire, enduit, provenant du Mont-Berny à Saint-Etienne-Roilaye (Oise). H. : 50 cm ; l. : 48 cm. Gaule romaine.
Détail de la main gauche ?

Bas-relief : divinité aux oiseaux (incomplet), calcaire, enduit, provenant du Mont-Berny à Saint-Etienne-Roilaye (Oise). H. : 50 cm ; l. : 48 cm. Gaule romaine.
Dessus avec mire.

MAN 14231. Colonne sculptée à trois divinités : Hercule, Minerve et Mars. Prov : Mont-Berny (Oise). Dimensions 77x29x29 cm. Calcaire. Gaule Romaine. Face sculptée (Minerve).

MAN 14231. Colonne sculptée à trois divinités : Hercule, Minerve et Mars. Prov : Mont-Berny (Oise). Dimensions 77x29x29 cm. Calcaire. Gaule Romaine. Dessus.

MAN 14231. Colonne sculptée à trois divinités : Hercule, Minerve et Mars. Prov : Mont-Berny (Oise). Dimensions 77x29x29 cm. Calcaire. Gaule Romaine. Face sculptée (Mars).

MAN 14231. Colonne sculptée à trois divinités : Hercule, Minerve et Mars. Prov : Mont-Berny (Oise). Dimensions 77x29x29 cm. Calcaire. Gaule Romaine. Face non sculptée.

MAN 14231. Colonne sculptée à trois divinités : Hercule, Minerve et Mars. Prov : Mont-Berny (Oise). Dimensions 77x29x29 cm. Calcaire. Gaule Romaine. Face sculptée (Hercule).

MAN 14231. Colonne sculptée à trois divinités : Hercule, Minerve et Mars. Prov : Mont-Berny (Oise). Dimensions 77x29x29 cm. Calcaire. Gaule Romaine. Trois-quart (Hercule et Minerve).

Aiguille à chas, os
Forêt de Compiègne (Oise)
Ier-IlIe s.
L. : 10,2 cm, l. : 0.5 cm, ep. : 0.35 cm

Lampe Loeschcke Ic : singe à droite, terre cuite beige, engobe orangé. L. 9 cm., H. 2,6 cm., l. 6,3 cm. Provenance Vaison-la-Romaine ?, Vaucluse ?, fin 1er s. - début 2e s.
Dessus avec échelle

Lampe Loeschcke Ic : singe à droite, terre cuite beige, engobe orangé. L. 9 cm., H. 2,6 cm., l. 6,3 cm. Provenance Vaison-la-Romaine ?, Vaucluse ?, fin 1er s. - début 2e s.
Dessus sans échelle

Lampe Loeschcke Ic : singe à droite, terre cuite beige, engobe orangé. L. 9 cm., H. 2,6 cm., l. 6,3 cm. Provenance Vaison-la-Romaine ?, Vaucluse ?, fin 1er s. - début 2e s.
Dessus sans échelle

Lampe Loeschcke Ic : singe à droite, terre cuite beige, engobe orangé. L. 9 cm., H. 2,6 cm., l. 6,3 cm. Provenance Vaison-la-Romaine ?, Vaucluse ?, fin 1er s. - début 2e s.
3/4 plongée dessus sans échelle

MAN 1222. Autel funéraire inscrit (inscription moderne sur le dessus), en calcaire. H. : 47 cm ; 27 x 23 cm.
Découvert à Lyon. Gaule romaine.
Donné par Laisné en 1740. Envoi du Louvre en 1862.
Après restauration 2021.
Profil droit avec mire.

MAN 1222. Autel funéraire inscrit (inscription moderne sur le dessus), en calcaire. H. : 47 cm ; 27 x 23 cm.
Découvert à Lyon. Gaule romaine.
Donné par Laisné en 1740. Envoi du Louvre en 1862.
Après restauration 2021.
Face avec mire.

MAN 1222. Autel funéraire inscrit (inscription moderne sur le dessus), en calcaire. H. : 47 cm ; 27 x 23 cm.
Découvert à Lyon. Gaule romaine.
Donné par Laisné en 1740. Envoi du Louvre en 1862.
Après restauration 2021.
Profil gauche avec mire.

MAN 1222. Autel funéraire inscrit (inscription moderne sur le dessus), en calcaire. H. : 47 cm ; 27 x 23 cm.
Découvert à Lyon. Gaule romaine.
Donné par Laisné en 1740. Envoi du Louvre en 1862.
Après restauration 2021.
Dessus avec mire.

Strigile en bronze, prov. du département de l’Eure, Ier-2e s. ap. J.-C. L. : 23,5 cm. ; l. : 2,5 cm.
Vue de 3/4.

Strigile en bronze, prov. du département de l’Eure, Ier-2e s. ap. J.-C. L. : 23,5 cm. ; l. : 2,5 cm.
Profil.

Strigile en bronze, prov. du département de l’Eure, Ier-2e s. ap. J.-C. L. : 23,5 cm. ; l. : 2,5 cm.
Profil, avec mire.

Strigile en bronze, prov. du département de l’Eure, Ier-2e s. ap. J.-C. L. : 23,5 cm. ; l. : 2,5 cm. 3/4,
avec mire.

Pyxide ou encrier, bronze, verre millefiori, provenant du Pas-de-Calais, IIe-IIIe s. ; H. avec les pieds 5,8 ; sans les pieds 5,1 ; l. 5,1 L. 5,1 cm.
Vue d'ensemble sans mire.

Pyxide ou encrier, bronze, verre millefiori, provenant du Pas-de-Calais, IIe-IIIe s. ; H. avec les pieds 5,8 ; sans les pieds 5,1 ; l. 5,1 L. 5,1 cm.
Détail du cinquième panneau sans verre millefiori (de la gauche vers la droite) sans mire.

Pyxide ou encrier, bronze, verre millefiori, provenant du Pas-de-Calais, IIe-IIIe s. ; H. avec les pieds 5,8 ; sans les pieds 5,1 ; l. 5,1 L. 5,1 cm.
Détail du sixième panneau sans verre millefiori (de la gauche vers la droite) sans mire.

Pyxide ou encrier, bronze, verre millefiori, provenant du Pas-de-Calais, IIe-IIIe s. ; H. avec les pieds 5,8 ; sans les pieds 5,1 ; l. 5,1 L. 5,1 cm.
Vue d'ensemble avec mire.

Pyxide ou encrier, bronze, verre millefiori, provenant du Pas-de-Calais, IIe-IIIe s. ; H. avec les pieds 5,8 ; sans les pieds 5,1 ; l. 5,1 L. 5,1 cm.
Détail du premier panneau avec verre millefiori dominante bleue (de la gauche vers la droite) avec mire.

Pyxide ou encrier, bronze, verre millefiori, provenant du Pas-de-Calais, IIe-IIIe s. ; H. avec les pieds 5,8 ; sans les pieds 5,1 ; l. 5,1 L. 5,1 cm.
Détail du premier panneau avec verre millefiori dominante bleue (de la gauche vers la droite) sans mire.

Pyxide ou encrier, bronze, verre millefiori, provenant du Pas-de-Calais, IIe-IIIe s. ; H. avec les pieds 5,8 ; sans les pieds 5,1 ; l. 5,1 L. 5,1 cm.
Dessous sans mire.

Pyxide ou encrier, bronze, verre millefiori, provenant du Pas-de-Calais, IIe-IIIe s. ; H. avec les pieds 5,8 ; sans les pieds 5,1 ; l. 5,1 L. 5,1 cm.
Détail du troisième panneau avec verre millefiori dominante bleue (de la gauche vers la droite) sans mire.

Pyxide ou encrier, bronze, verre millefiori, provenant du Pas-de-Calais, IIe-IIIe s. ; H. avec les pieds 5,8 ; sans les pieds 5,1 ; l. 5,1 L. 5,1 cm.
Détail du quatrième panneau sans verre millefiori (de la gauche vers la droite) sans mire.

Pyxide ou encrier, bronze, verre millefiori, provenant du Pas-de-Calais, IIe-IIIe s. ; H. avec les pieds 5,8 ; sans les pieds 5,1 ; l. 5,1 L. 5,1 cm.
Détail du premier panneau avec verre millefiori dominante bleue (de la gauche vers la droite) sans mire.

Pyxide ou encrier, bronze, verre millefiori, provenant du Pas-de-Calais, IIe-IIIe s. ; H. avec les pieds 5,8 ; sans les pieds 5,1 ; l. 5,1 L. 5,1 cm.
Vue 3/4 plongeant.

Pyxide ou encrier, bronze, verre millefiori, provenant du Pas-de-Calais, IIe-IIIe s. ; H. avec les pieds 5,8 ; sans les pieds 5,1 ; l. 5,1 L. 5,1 cm.
Dessous avec mire.

Le fonds est composé de plusieurs ensembles détaillés ci-dessus (historique de production, mode de classement).
Dans la partie consacrée aux fouilles et explorations dirigées par Frédéric Moreau père, se trouvent 24 registres manuscrits à couverture cartonnée (2019003/1-2019003/24) achetés à la Papeterie Cabasson, 29 rue Joubert à Paris, spécialisée dans les registres. Frédéric Moreau père prend un soin particulier dans le choix de ses registres : le format est identique pour les 19 premiers albums, puis un peu plus grand pour les 5 derniers. La couleur de la couverture change au départ à chaque site fouillé, avant qu’un même registre ne soit consacré à plusieurs fouilles. Des étiquettes mentionnent le nom du site et le numéro du registre dans la série consacrée à ce site (au maximum 4 registres) ; tandis qu’une autre indique le numéro dans la série générale des procès-verbaux (1 à 24). Ces registres contiennent les compte-rendus des fouilles, réalisés au jour le jour et agrémentés de dessins à l’encre ou au crayon et souvent mis en couleur au crayon. Frédéric Moreau père ne rédige pas lui-même et s’adjoint l’aide d’un secrétaire, dont il met en garde le lecteur contre l’orthographe, assurant par ailleurs que les informations sont véridiques sur le fonds. Il semble que sur les 25 années concernées, plusieurs secrétaires se soient succédés. Des pages ou des emplacements sont parfois laissés libres pour des dessins qui n’ont jamais été réalisés (seules des indications et des emplacements réservés attestent parfois les souhaits de l’auteur). Frédéric Moreau ajoute en revanche de fréquentes annotations dans les marges et signe de sa main l’ensemble des registres pour en attester le contenu. Un même registre peut concerner plusieurs sites, qui ne sont pas toujours tous indiqués sur la couverture. En dehors du compte-rendu des fouilles, les registres offrent des statistiques régulières sur le nombre d’objets découverts par périodes, par types et par sites. On y trouve également plusieurs inventaires de la collection Caranda installée dans l’hôtel Moreau à Paris, une liste précieuse des dons d’objets et d’albums Caranda ainsi que deux inventaires de sa bibliothèque archéologique. Des copies de lettres sont régulièrement intégrées aux registres et Frédéric Moreau mentionne régulièrement les visiteurs de ses fouilles et de ses collections.
À ces registres, s’ajoutent un volume relié comprenant les plans levés par L. A. Poussant du dolmen de Caranda (2019003/25), premier site fouillé par Frédéric Moreau père en 1873. Ce dernier informe Alexandre Bertrand le 31 novembre 1873 de l’exécution de ce relevé et demande si le musée serait intéressé. Le cas échéant, il serait possible d’en faire une copie. Ce n’est pourtant qu’en 1920 que le volume relié contenant ces plans est inscrit au registre d’entrée de la bibliothèque du musée des Antiquités nationales.
Quatre listes (2019003/26-2019003/29) concernent la partie de la collection Caranda exposée du vivant de Frédéric Moreau père chez lui au 98 rue de la Victoire à Paris. Ces listes datent de 1897, environ un an avant sa mort et sont à relier aux nombreux listings présents dans les registres de procès-verbaux.
Avec l’arrivée de la collection Caranda, léguée au musée des Antiquités nationales, entre dans les collections d’objets une photographie d’un membre de la famille Moreau (2019003/30) réalisée par le photographe Waléry (probablement Stanislas Julien Ostrorog dit Waléry), photographe résidant à Paris au 9bis rue de Londres. Identifié comme Adolphe Moreau dans le registre d’entrée des collections et daté de 1889, la date ne concorde pas car Adolphe Moreau, frère de Frédéric Moreau père, est déjà décédé. Il s’agirait plus vraisemblablement de Frédéric Moreau père.
L’ensemble suivant comprend tous les éléments (dessins, lithographies, photographie) exposés avec les collections dans la salle Moreau du musée des Antiquités nationales. Ils avaient pour objectif d’illustrer les fouilles et résultats de Frédéric Moreau père alors même que les collections n’étaient pas encore entrées au musée : c’est le cas des huit planches aquarellées réalisées à la demande d’Alexandre Bertrand par Léon Demay, son secrétaire, (2019003/31) et arrivées au musée entre 1879 et 1881. Elles étaient présentées dans un meuble à volets. À l’arrivée de la collection Moreau, les planches sont retirées et deux d’entre elles sont encadrées pour être accrochées sur les murs de la salle consacrée à la donation. En 1909, le petit-fils de Frédéric Moreau père, Félix Frédéric Moreau, offre au musée un portrait de son père (2019003/34), tirage photographique exécuté par Waléry, auteur de la photographie déjà sus-mentionnée. C’est probablement Félix Frédéric Moreau qui apporte et envoie au musée en 1922 un certains nombre de documents iconographiques destinés à figurer dans la salle Moreau. Il s’agit tout d’abord de deux lithographies d’Eugène Cicéri (Paris, 1813-1890) d’après des dessins d’Émile Sagot (Dijon, 1805-vers 1875) représentant le château de Fère-en-Tardenois (2019003/32). Elles ne sont pas datées mais une lithographie à la thématique similaire, incluse dans un ensemble intitulé « Voyages pittoresques et romantiques dans l'ancienne France » est conservée au musée des Beaux-arts de la ville de Paris et datée de 1857. Puis viennent cinq dessins d’Eugène Varin représentant les fouilles et les lieux caractéristiques d’Armentières (2019003/33), exécutés le 11 octobre 1881 alors que les fouilles de Frédéric Moreau père étaient encore en cours.

Album Cournault n°2, planche 69, 466. Amulette, Bibliothèque de Strasbourg ; 467. Amulette gauloise en forme de bovin ; 468. Petit lion de bronze, trouvé à Langres ; 469. Statuette de femme gauloise en bronze, collection Cournault ; 470. Hercule gaulois en bronze, musée de Besançon ; 471. Statuette anthropomorphe gallo-romaine en cuivre, collection Cournault ; 472. Représentation du dieu Télesphore, musée de Besançon ; 473. Statuette d'Apollon en bronze, trouvée à La Neuve Ville, Bibliothèque de Nancy ; 474-474bis. Agrafe gallo-romaine figurant Vénus, collection Cournault. Dessin à l'aquarelle avec rehauts de gouache, non daté, signé Ch. Cournault ou Ch. Ct. ou non signé. L. 0,485 x h. 0,336 m. Don de l'auteur à l'Empereur pour le musée de Saint-Germain.