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Musées nationaux

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

Musées nationaux

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

Musées nationaux

Département des Sculptures du Louvre [MAN 1218 ; statue en marbre représentant un combattant mourant ; dépôt consenti sans arrêté en 1900]. - Engagement de la procédure de dépôt et suivi administratif : ampliation de l'arrêté ministériel de fin de dépôt n°9701235 (26/01/1998), correspondance, inventaire (1998).

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

Musées nationaux

Muséum national d’Histoire naturelle, Paris [MAN 29139.A, 29144.A à 29144.D, 29145.A à 29145.C, 29157, 29187.A, 29187.B, 29188.A à 29188.C, 29189.A à 29189.E, 29191, 29192.A à 29192.C, 29196.A à 29196.I, 29197.A à 29197.C, 48143.01 à 48143.04, 48475.01 à 48475.04, 48476.01, 48476.02, 48581.01, 48581.02, 48582.01, 48582.02, 48583.01, 48584.01, 48584.02, « sans numéro 18524 » à « sans numéro 18526 », « sans numéro 24790.01 » à « sans numéro 24790.08 », « sans numéro 25277.01 » à « sans numéro 25277.14 », « sans numéro 26040.01 » à « sans numéro 26040.06 », « sans numéro 83 » à « sans numéro 85 » ; dépôt consenti sans arrêté entre 1865 et 1913 ; 87 objets de la faune Piette ]. - Engagement de la procédure de dépôt et suivi administratif : proposition de fin de dépôt n°200900446 (30 /03/ 2009), ampliation de l'arrêté ministériel de fin de dépôt n°200900446 (15/05/2009), attestations de décharge (2009), correspondance (2004-2009), récolement (03/06/2004).

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

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Musées non nationaux

Musée d’artillerie, Tarbes [MAN 31216 à 31231, 31536 à 31596, 32982 à 33054, 33060 à 33167, 35235 à 35299, 35338 à 35357 ; 237 objets ; dons réalisés entre 1886 et 1896]. - Engagement de la procédure de dépôt et suivi administratif :inventaires (1887-1896).

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

Muséographie des salles

Notes manuscrites, coupures de presse contrecollées, cartes postales contrecollées, extraits d’ouvrages ou d’articles publiés contrecollés ou volants.

Négatifs

Documents à caractère biographiques
Dossier n° 1. - Photographies de voyages : Voyages Proche-Orient (Palestine, Samara, Samaria, Wady el Amud, Lultigeh) [1928 et s. d.], 26 négatifs (format 8X12). Voyages en France (cliché du Dr. Henri-Martin, vue du Trou du Cluzeau (1923), roche de Solutré (1923), Salers (Cantal), négatifs non légendés, non datés (Roc aux Sorciers ?)), 12 négatifs (format 6X6 et 8X12).

Expéditions et fouilles
Dossier n° 2. - Excavation at Langwith Cave : cliché pris à l'entrée de Langwith Cave (4 fouilleurs posent), clichés de matériel lithique et de planches de dessin de matériel lithique (ensemble non légendé) [1927], 6 négatifs. Présence de négatifs légendés : "Creswell Crags, 1926", 7 négatifs.
Dossier n° 3. - Devil's Tower (Gibraltar) : vue des fouilles de Devil's Tower et portraits, 41 négatifs. Clichés non légendés : excursion de la Jonda (may 1926), 8 négatifs.
Dossier n° 4. - Expédition au Kurdistan : The Dark Cave (Hazar Merd) et grotte de Zarzi, vues des fouilles (1928), 39 négatifs (format 8X10), présence de 4 clichés des fouilles d'Hazar Merd. et Vue des environs du village de Zarzi, portraits des habitants du village de Zarzi (1928), 38 négatifs (format 8X10).
Dossier n° 5. - Wady el-Mughara Expedition : Mugharet es-Skhul, clichés d'un crâne de néandertalien et de planches de dessin de matériel lithique [1929-1934], 3 négatifs (format 8X10 et 10X16).
Dossier n° 6. - Wady el-Mughara Expedition : Mugharet et-Tabun, clichés de plans et de coupes de la grotte, présence de 3 clichés pris à Ain Qatafa [Umm Qatafa] (1928), 6 négatifs (format 8X10 et 8X12). Clichés d'une coupe de la grotte, de crâne et mandibule de néandertalien et d'un plan "Composite section of the layers in the three caves of the Wady el-Mughara" [1929-1934], 4 négatifs (format 8X10).
Dossier n° 7. - Paleolithic Reconnaissance in Central Anatolia and Bulgaria : Grotte de Bacho Kuro, vues de la grotte de Bacho Kiro, vue des fouilles, portraits (Ankara) (1938), 81 négatifs (79 au format 6X6, et 2 au format 8X11). Grotte de Bacho Kuro, clichés de coupes de la grotte, de plans, et de planches de dessin de matériel lithique, vue des environs de la grotte (monastère) (1938), 34 négatifs (10 au format 6X6, 10 au format 7X10, 14 au format 8X12).
Dossier n° 8. - Grottes du Ras el-Kelb : Abri Zumoffen, vue des fouilles [1958-1963], 3 négatifs (format 6X6) [doute sur le fait qu'il s'agisse de l'abri Zumoffen].
Dossier n° 9. - Grottes du Ras el-Kelb : Mugharet el-Bezez, vue de la grotte et du chantier (1963), 12 négatifs (format 12X17).

Travaux scientifiques
Dossier n° 10. - Mugharet el-Kebara : vue de l'entrée de la grotte de Mugharet el-Kebara (1930), 1 négatif (format 7,5X10).
Dossier n° 11. - "E. Europe, slide negs." [photographies d’un ou plusieurs ouvrages sur le matériel archéologique du paléolithique, sans date], 107 négatifs (format 8X10).

Nomination de Joseph-Auguste Lafollye comme architecte du château de Saint-Germain-en-Laye

« Arrêté
Le ministre de l’Instruction publique et des Beaux-Arts
Vu l’avis du directeur des Bâtiments civils et des Palais nationaux,
Sur la proposition du directeur du cabinet et du personnel,
Arrête :
M. Lafollye (Joseph Auguste), architecte du palais de Compiègne, est nommé architecte du palais, des parterres et terrasses de Saint-Germain-en-Laye, décédé.
Cette disposition aura son effet à dater du 16 avril.
Paris, le 7 avril 1879
Signé : de Frecynet »

Note concernant des sculptures destinées au parterre de Saint-Germain-en-Laye

« Ministère de l’Instruction publique et des Beaux-Arts
Direction générale des Beaux-Arts
Paris-Royal, le 4 mai 1883
Monsieur le directeur des Bâtiments civils et des Palais nationaux
Note
En réponse à sa note du 23 avril dernier, le directeur des Beaux-Arts a l’honneur de faire savoir à son collègue des Bâtiments civils que les deux vases et le groupe « Agrippine et Caligula » de Maillet affectés à la décoration des parterres et terrasses de Saint-Germain sont, dès à présent, à la disposition de M. Lafollye, architecte.
Ces objets sont disposés au palais du Louvre, dans un magasin de la cour Visconti, où M. Lafollye pourra les faire retirer en prévenant à l’avance M. le directeur des Musées nationaux.
Le directeur des Beaux-Arts saisit avec empressement l’occasion qui lui est offerte pour renouveler à son collègue les assurances de sa considération la plus distinguée.
Le directeur des Beaux-Arts
A. Kaempfen »

Ministère de l'Instruction publique

Note concernant l’aménagement du cimetière du Pecq en contrebas de la Grande Terrasse de Saint-Germain-en-Laye

« Ministère de la Maison de l’Empereur
Division des Bâtiments et de la dotation immobilière
Bureau des Bâtiments
Minute de lettre
Paris, le 27 juin 1857
Note à M. le ministre
La commune du Pecq fait établir en ce moment un cimetière sur la côte qui s’élève entre la Seine et la terrasse de Saint-Germain-en-Laye. Les murs de clôture de ce cimetière sont déjà en partie construits. Ils sont à une distance d’à peine 100 m. du mur de la terrasse.
La ville de Saint-Germain voit avec le plus grand regret l’adoption de cette mesure dont les conséquences sont faciles à apprécier ; une promenade, renommée dans toute l’Europe pour la vue riante et étendue qu’elle offre aux visiteurs, va maintenant avoir à ses pieds un lieu que partout on a soin d’éloigner autant que possible des habitations et des endroits fréquentés.
Si, comme tout porte à le craindre, ce voisinage cause un grand préjudice à la ville, il n’est pas moins regrettable pour le domaine de la Couronne, qui voit ainsi dépréciée l’une de ses plus magnifiques dépendances, précisément au moment où elle en entreprend la restauration et l’embellissement.
Il est bien fâcheux que l’administration n’en ait pas été prévenue par ses agents locaux lorsque l’enquête préalable, exigée par la loi, a été publiée. Elle aurait été à même d’y former opposition.
Aujourd’hui, il paraît difficile de revenir sur le projet par les voies administratives ordinaires, mais peut-être le ministre jugerait-il qu’il y aurait lieu d’en écrire au ministre de l’Intérieur, qui s’empresserait assurément de déférer au désir de Sa Majesté s’il lui était exprimé.
Pour le chef de division,
Le chef de bureau »

Ministère d'Etat

Note concernant le rôle du service des Monuments historiques dans la restauration du château de Saint-Germain-en-Laye

« [Copie :]
Palais-Royal, le 29 mars 1879
Note sur le château de Saint-Germain
Le château de Saint-Germain est classé parmi les Monuments historiques.
En 1862, quand il fut question de le restaurer, le projet fut soumis à l’examen de la commission des Monuments historiques, et c’est sur le rapport de cette dernière qu’on abandonna l’idée de conserver les pavillons de Louis XIV et qu’on résolut de rétablir le château dans son état primitif en restituant les pavillons qui existaient sous François Ier.
L’architecte, auteur du projet, M. Millet, était attaché au service des Monuments historiques.
Le ministère des Beaux-Arts concourt à la restauration par une allocation annuelle de 25000 francs et attache une grande importance à ce que cette entreprise soit continuée suivant les plans adoptés par la commission, et soit dirigée par un architecte que son expérience, ses connaissances et ses travaux antérieurs désigneraient pour continuer l’œuvre commencée.
Puisque la commission des Monuments historiques a été consultée dès le principe sur le projet et sur le choix de l’architecte, il serait juste qu’elle le fût encore aujourd’hui qu’il s’agit de choisir un successeur à M. Millet. Ce procédé semble d’autant plus indiqué que, nous le répétons, le ministère des Beaux-Arts concourt à la restauration par des subventions annuelles.
7 février 1890
Des lignes écrites au crayon à la suite de cette note disent bien que la commission des Monuments historiques a été consultée sur le choix de l’architecte appelé à remplacer M. Millet au château de Saint-Germain, mais en se reportant aux procès-verbaux de la dite commission on ne trouve pas mention de cette consultation.
Quoiqu’il en soit, il est certain, et le chef du bureau des Monuments historiques peut l’affirmer, que le choix de M. Lafollye comme architecte du château de Saint-Germain a été arrêté par M. de Ronchaud lorsqu’il avait, comme secrétaire général des Beaux-Arts, le service des Monuments historiques dans ses attributions. Cela est si vrai que M. Lafollye, lorsqu’il fut nommé, lui témoigna sa reconnaissance pour la part qu’il avait prise à sa nomination.
D’ailleurs, la commission a toujours été consultée dans toutes les circonstances où il s’est agi du château de Saint-Germain.
C’est l’un de ses architectes, M. Millet, qui a été choisi pour diriger cette entreprise, bien qu’il n’eût jamais, auparavant, été chargé d’aucun travail par le service des Bâtiments civils.
C’est la commission des Monuments historiques qui a, dans ses séances des 28 mars et 23 mai 1862, des 21 février, 12 avril et 10 juillet 1880, du 28 mars 1884 et du 11 décembre 1885, tracé le programme et suivi toutes les phases de la restauration (la lecture des procès-verbaux ne laisse aucun doute à cet égard).
M. Millet, aussi longtemps qu’il a été architecte du château, a considéré comme un devoir d’obtenir l’approbation par la commission de toutes les mesures concernant la direction et l’exécution de la restauration, ainsi que pourraient en témoigner ceux des membres de cette commission qui en faisaient déjà partie à cette époque.
Comment le service des Monuments historiques n’aurait-il pas été consulté pour la nomination des architectes chargés de la direction puisqu’il l’a été pour la nomination des agents placés sous les ordres de ce dernier, ainsi que le constate la copie du rapport ci-joint ?
Le chef du bureau des Monuments historiques
Signé : Viollet-le-Duc »

Ministère de l'Instruction publique

Note concernant les chasses impériales prévues dans la forêt de Saint-Germain-en-Laye

« S’il faut en croire des renseignements qui nous ont été donnés par une personne que nous croyons bien informée, l’Empereur aurait choisi la forêt de Saint-Germain pour son terrain de chasse habituel. On travaille activement à l’installation de la Vénerie, et nous devons nous attendre à voir arriver ici très prochainement les équipages de Sa Majesté.
Il y aura, dit-on, deux meutes à Saint-Germain, la meute de l’Empereur et une seconde, dite meute de Saint-Germain. On chassera deux fois par semaine. L’Empereur n’aura pas de jour fixe, mais il y aura chasse tous les jeudis par le premier veneur et les officiers de la Maison de Sa Majesté. Il sera loisible de suivre la chasse du jeudi à cheval, à pied ou en voiture. Lorsque l’Empereur chassera, les seules personnes qui auront reçu le bouton de la Maison de Sa Majesté seront admises à suivre la chasse.
Il sera toujours facile à l’Empereur, avec un équipage de chiens anglais très vites de pied, de forcer un cerf en trente-cinq ou quarante minutes ; ainsi Sa Majesté, par la proximité de Saint-Germain, pourra une fois par semaine se procureur le plaisir de forcer un cerf en ne s’éloignant de Paris que pendant trois heures au plus, et de se livrer à un exercice qui sera favorable à sa santé, et qui le distraira un moment de ses graves et importantes préoccupations.
Il existe déjà environ trente cerfs dans la forêt de Saint-Germain, en y comprenant les jeunes bêtes ; on croit savoir que des ordres vont être donnés pour que quarante grands animaux soient pris dans diverses forêts et dirigés sur Saint-Germain. »

Note concernant les crédits affectés à la restauration du château de Saint-Germain-en-Laye

« Château de Saint-Germain
Aux termes d’un décret du 8 mars 1862, il a été décidé que le château de Saint-Germain-en-Laye serait restauré et approprié pour recevoir un musée gallo-romain.
De 1862 à 1879 (inclusivement) il a été dépensé une somme de : 2608000 f.
En 1880, l’architecte a disposé d’un crédit de : 125000 f.
1881, l’architecte a disposé d’un crédit de : 111000 f.
1882, l’architecte a disposé d’un crédit de : 125500 f.
1883, l’architecte a disposé d’un crédit de : 100000 f.
1884, l’architecte a disposé d’un crédit de : 120000 f.
1885, l’architecte a disposé d’un crédit de : 60000 f.
1886, l’architecte a disposé d’un crédit de : 60000 f.
Total : 3309500 f.
En 1887, les travaux ont été interrompus. Les propositions présentées par l’architecte pour le budget de cet exercice s’élevaient à la somme totale de 167053 f. Elles avaient notamment pour objet : l’aménagement des salles du 1er étage du bâtiment sud, l’installation de la bibliothèque, l’achèvement des ateliers du musée et de divers logements d’employés, la restauration du bâtiment ouest du côté de la cour etc. etc. »

Ministère de l'Instruction publique

Note concernant les tapisseries destinées à la salle des commissions au château de Saint-Germain-en-Laye

« Ministère de l’Instruction publique et des Beaux-Arts
Direction des Bâtiments civils et des palais nationaux
3e bureau
Note
Le chef du 3e bureau a l’honneur de faire connaître à M. le chef du 1er bureau que, conformément aux instructions de M. le directeur, le conservateur du Garde Meuble a été invité par lettre en date de ce jour à délivrer à l’administrateur de la manufacture nationale des Gobelins une pièce de tapisserie de l’époque de Louis XIV pour être reproduite aux Gobelins, à destination d’une salle du château de Saint-Germain. M. le directeur des Beaux-Arts est informé de cette mesure.
Paris, le 3 février 1890
Le chef du 3e bureau
Ch. Joly »

Ministère de l'Instruction publique

Note concernant les travaux au château de Saint-Germain-en-Laye

« Ministère des Travaux publics
Direction des Bâtiments civils et des Palais nationaux
Note
En me renvoyant le rapport ci-joint, Monsieur le Ministre m’a demandé de lui faire connaître en quoi consistent les maçonneries pour le logement du conservateur du musée de Saint-Germain et pour quelle somme ils figuraient dans le montant d’une soumission dont l’approbation était demandée pour l’exécution de travaux de maçonnerie.
Lorsque l’allocation de 100000 francs pour réfections et grosses réparations a été notifiée à l’architecte du château, il avait en effet été spécifié qu’elle s’appliquerait en partie aux travaux du logement du conservateur, qui ne doit plus être placé dans le château mais dans l’ancienne vénerie. Depuis lors, le projet de ce dernier travail a été examiné par le conseil général des Bâtiments civils, qui a demandé une nouvelle étude. L’opération se trouve donc ajournée à l’année prochaine et c’est par erreur que dans le rapport on a rappelé l’affectation primitive. La soumission de MM. Morin s’applique donc uniquement aux travaux du château proprement dit et j’ai l’honneur de soumettre cette affaire à la signature de Monsieur le Ministre après avoir fait rectifier l’erreur qui s’était glissée dans le rapport.
Paris, le 14 juin 1889
Le directeur des Bâtiments civils et Palais nationaux
Langlois de Neuville »

Ministère des Travaux publics

Note concernant un budget alloué pour la restauration du château de Saint-Germain-en-Laye

« Ministère de l’Instruction publique et des Beaux-Arts
Beaux-Arts
Monuments historiques
République française
Palais-Royal, le 27 avril 1897
Note pour le bureau des Bâtiments civils et des Palais nationaux
Le chef du bureau des Monuments historiques a l’honneur de faire connaître à son collègue du bureau des Bâtiments civils et des Palais nationaux qu’il réserve sur l’exercice 1897 du crédit des Monuments historiques une somme de 2000 f. pour la continuation de la restauration du château de Saint-Germain-en-Laye.
Louis Pâté »

Ministère de l'Instruction publique

Note concernant un budget alloué pour la restauration du château de Saint-Germain-en-Laye

« Ministère de l’Instruction publique et des Beaux-Arts
Beaux-Arts
Monuments historiques
République française
Palais-Royal, le 15 avril 1897
Note pour le bureau des Bâtiments civils et des Palais nationaux
Le chef du bureau des Monuments historiques a l’honneur de faire connaître à son collègue du bureau des Bâtiments civils que la somme de 40478 f. formant le complément de la part que le service des Monuments historiques devait prendre dans les dépenses de restauration du château de Saint-Germain pour l’exercice 1896 est mise à la disposition du service des Bâtiments civils et peut être dès à présent ordonnancée sur l’exercice 1897.
Louis Pâté »

Ministère de l'Instruction publique

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