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Notice d'autorité

Quintard, Léopold

  • Personne
  • 1844-1908

Peintre amateur, numismate. Membre (1862), secrétaire-adjoint (1869-1881), vice-président (1888-1899) puis président (jusqu’en 1908) de la Société d'archéologie Lorraine.

Quicherat, Jules

  • Personne
  • 1814-1882

Diplômé archiviste-paléographe de l'École des chartes en 1837, il est professeur d'archéologie médiévale dans cette même école de 1847 à 1878 et professeur de diplomatique de 1849 à 1870. Membre du Comité des Travaux historiques en 1858 et membre de la commission des monuments historiques en 1871, il devient directeur de l'École des chartes de 1871 à 1882.

Queyroy, Armand

  • Personne
  • 1830-1893

Graveur. Conservateur du musée de Moulins de 1862 à 1891 dont il publie le premier catalogue, illustré de ses eaux-fortes.

Quantin, Mathieu Maximilien

  • Personne
  • 1814-1891

Archiviste départemental de l'Yonne (1833-1879).
Conservateur de la bibliothèque municipale d'Auxerre (1849-1880).
Conservateur – sans le titre – du musée d'Auxerre dont il publie un catalogue raisonné en 1883, et au sein duquel il s’occupe de la collection d’Eckmühl (1882-1891).

Pérelle, Adam

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  • Personne
  • 1638-1695

Graveur

Puiggari, Antoine

  • Personne
  • 1815-1890

Neveu de Pierre Puiggari, érudit local.
Polytechnicien (1833), Ecole d'application de Metz.
Sert en Afrique où il apprend l'arabe et développe une passion pour l'archéologie orientale. Chargé des chefferies de Prats-de-Mollo et Fort-les-Bains (1841-1848).
Campagne de Rome.
Chef du Génie à Perpignan (1850) et à Narbonne. Chef de bataillon à Montpellier. Directeur des fortifications à Perpignan (1867-1875).

Prévôté de Saint-Germain-en-Laye

  • /
  • Collectivité
  • Moyen Âge-1790

S'il est possible de déterminer la date de dissolution de la prévôté de Saint-Germain grâce au décret du 7 septembre 1790, il est en revanche impossible d'en préciser la date de début d'existence. Le principe apparaît vers le XIe siècle mais il semble difficile de croire qu'il y en ait eu une à Saint-Germain à ce moment-là. Sous réserve de nouvelles découvertes, on ne saura jamais à quelle date ni à quelle époque elle a été créée : quelque-part au Moyen Âge. Ce sont des sujets et une époque sur lesquels les données sont limitées.

Préfecture du département de Seine-et-Oise

  • /
  • Collectivité
  • 1790-1968

La loi du 28 pluviôse an VIII place un préfet à la tête de chaque département. Celui-ci s'entoure de services qui, constituant ce qu'on appelle la préfecture, instruisent les affaires et préparent les décisions qui sont de sa compétence. La préfecture de Seine-et-Oise sera supprimée en même temps que le département du même nom, le 1er janvier 1968, dans le cadre de la réorganisation territoriale de la région parisienne.

Prunières, Barthélémy

  • Personne
  • 1828-1893

Docteur. Médecin à Marvejols (Lozère). Préhistorien, membre de plusieurs sociétés savantes d'anthropologie. - Considéré comme le père de la paléopathologie.

Prou, Maurice

  • Personne
  • (Sens, 28 décembre 1861 - Néris-les-bains, 4 octobre 1930)

Héritier d'une famille d'érudits originaires de Sens, Maurice Prou devient élève de l’École des chartes où il rédige une thèse consacrée à l'édition et l’étude de la charte de franchise de Lorris-en-Gâtinais (1884). Après un passage par l'École française de Rome (1884-1885), il est nommé au cabinet des médailles de la Bibliothèque nationale puis professeur de diplomatique à l'École des chartes à la mort d'Arthur Giry en 1899. Il s'était déjà distingué par la publication d'un Manuel de paléographie conçu en complémentarité avec le Manuel de diplomatique de son prédécesseur et qui eut une extraordinaire influence. Manuel élémentaire dans ses deux premières éditions, cet ouvrage devient un important traité faisant la synthèse des recherches, notamment celles de l'école allemande de paléographie2.
À la mort de Paul Viollet, en 1916, il est chargé des cours d'histoire des institutions de l'École des chartes, jusqu'à ce que la chaire soit pourvue, en 1919. Il devient directeur de l'École des chartes en 1916, et le demeure jusqu'en 1930.
Il joue un grand rôle dans le renouveau de l’histoire du droit et des institutions à la fin du XIXe siècle. Il a longtemps été membre du comité de rédaction de la Revue historique de droit et de la Société d’histoire du droit.
Il est élu à l'Académie des inscriptions et belles-lettres le 11 février 1910.
Maurice Prou a par ailleurs présidé la Société archéologique de Sens, suivant ainsi l'exemple de son grand-père, Jean-Louis Prou.

Prost, Auguste Gabriel

  • Personne
  • 1817-1896

Historien et archéologue. Erudit local messin.
Il travaille quelques années dans la banque Simon à Metz appartenant à sa famille et décide ensuite de vivre de ses rentes et de se consacrer à ses travaux de recherche. Habitant proche de Metz, il choisit en 1871 de rester français et déménage à Paris.

Primi Visconti

  • /
  • Personne
  • 1648-1713

Écrivain, chroniqueur et historien de la vie à la cour du roi de France.

Pozzo di Borgo, Charles-André

  • /
  • Personne
  • 1764-1842

Député de Corse à l'Assemblée nationale. Adversaire de Napoléon, fut diplomate au service de la Russie à partir de 1803.

Poussin, Nicolas

  • /
  • Personne
  • 1594-1665

Peintre et graveur à l'eau-forte français.

Poussant, L. A.

  • /
  • Personne
  • ? - ?

Géomètre à Fère-en-Tardenois. Il devient membre de la Société historique et archéologique de Château-Thierry en janvier 1874.

Pottier, Raimond

  • Personne
  • ?-?

Correspondant CTG (?)
Société archéologique et historique de Tarn-et-Garonne

Pottier, Edmond

  • Personne
  • 1855-1934

Archéologue. Conservateur au Musée du Louvre (1891)

Ponz, Antonio

  • /
  • Personne
  • 1725-1792

Erudit et peintre espagnol.

Platter, Thomas

  • /
  • Personne
  • 1574-1628

Médecin suisse, né à Bâle, formé à l'université de Montpellier.

Piroutet, Maurice

  • Personne
  • 1874-1939

Maurice Piroutet est chargé d'une mission scientifique en Nouvelle Calédonie en 1901 puis en 1905-1906 et 1909. Préparateur de la chaire de paléontologie au Museum d'histoire naturelle de 1916-1918, il entreprend en parallèle une thèse de doctorat sur la géologie de la Nouvelle Calédonie qu'il soutient en 1917. Devenu professeur au collège de Salins (Jura), il consacre ses loisirs à des recherches archéologiques dans les environs. Il découvre la grotte des Planches, les stations préhistoriques de Marnoz, de Clucy, du Poupet et le camp de Mesnay. Il conduit des fouilles importantes dans les nécropoles tumulaires de la Forêt des Moidons et dans la cité hallstattienne de Château-Salins. Collaborateur de la carte géologique de la France et membre correspondant de la commission des monuments historiques (section de préhistoire), il est conservateur du musée archéologique de Lons-le-Saunier. Il termine sa carrière comme assistant de géologie appliquée à la Faculté d'Alger (1933).
Membre de la Société d'émulation du Jura, il est aussi membre de la Société d'agriculture, sciences et arts de Poligny, de la Société d'émulation du Doubs (1898-1939) et de la Société préhistorique française.

Philippe, duc d'Orléans

  • /
  • Personne
  • 1640-1701

Fils de Louis XIII et d'Anne d'Autriche, frère cadet de Louis XIV.

Philippe, Joseph

  • /
  • Personne
  • 1876-1950

Le personnage de l'abbé Philippe est intimement lié aux fouilles du site du Fort-Harrouard (Eure-et-Loir) dans la première moitié du XXe siècle. Louis Deglatigny doit également être associé à ces travaux : homme d'affaires rouennais féru d'archéologie, il joua un rôle de mécène primordial dans leur accomplissement.
Joseph Philippe naît le 22 avril 1876 à Plasne, près de Bernay (Eure), dans une modeste famille paysanne. Il effectue ses études secondaires au Petit Séminaire Saint-Aquilain, avant d'intégrer le Grand Séminaire Saint-Thaurin d'Evreux. D'abord vicaire de Rugles, il est nommé en 1901 curé de Boisset-les-Prévanches. En août de l'année suivante, il est élu membre de la Société normande d'études préhistoriques après y avoir été présenté par Raoul Fortin et Louis Deglatigny ; il en rejoint le conseil d'administration en décembre 1905. Ses travaux font rapidement la fierté de la société savante, dont il reste un membre actif jusqu'à sa mort en 1950. C'est un membre de cette société, Chédeville, rencontré en 1901, qui l'initie à l'archéologie, qu'il pratique d'abord en fouillant des « fonds de cabane » au Plessis-Hébert et à Caillouet-Orgéville. Chédeville le convainc ensuite d'entreprendre des fouilles au Fort-Harrouard, site qu'il avait lui-même tout juste commencé à fouiller avec d'autres membres de la société normande dans les dernières années du XIXe siècle.
Le Fort-Harrouard ou Camp d'Harrouard, situé au sud d'Anet, sur la commune de Sorel-Moussel en Eure-et-Loir, est un éperon barré de sept hectares. Occupé par intermittence du Néolithique à l'époque gallo-romaine, il est délimité à l'ouest par la vallée de l'Eure qui le sépare de la commune de Marcilly-sur-Eure, au nord par un fossé défensif de 25 mètres de largeur qui l'isole du plateau recouvert par la forêt de Dreux, et à l'est et au sud par un glacis et un talus qui descendent vers une vallée sèche dite Vallée-Moulin. Diverses structures ont progressivement été rattachées à ce site, notamment deux polissoirs de la forêt de Dreux situés sur la commune d'Abondant et classés au titre des monuments historiques en 1925 (voir 2016004/9) ; un dolmen et un polissoir se trouvant à 250 mètres environ du sud de l'éperon, à la Ferme-Brûlée (hameau de la commune de Sorel-Moussel) et inscrits au titre des monuments historiques en 1951 ; des sépultures de la commune voisine de Croth.
La richesse du mobilier mis au jour par l'abbé Philippe lors de premiers sondages au Fort-Harrouard en septembre et octobre 1905 lui permet de conclure sur l'intégrité du gisement, et il débute les fouilles dès le mois de mars 1906, accompagné par Chédeville (ils se partagent alors le mobilier découvert). En 1907, l'abbé Philippe est nommé curé de Breuilpont et reprend seul les fouilles ; il effectue ensuite une campagne par an. La relative proximité du fort et de son presbytère lui permet d'être très présent sur le site, et il communique avec assiduité ses résultats dans le Bulletin de la Société normande d'études préhistoriques (années 1907, 1910, 1912 et 1913). Ne distinguant au début qu'une occupation de l'Âge du Bronze et une néolithique, il identifie à partir de 1909-1910 un niveau gaulois et quelques éléments gallo-romains. La reconnaissance des niveaux est facilitée par la différence de couleur entre eux : le dépôt néolithique est jaune ou blanchâtre, celui du Bronze est gris cendré et celui de l'âge du Fer est noir.
Sans ressource personnelle, l'abbé Philippe mène à bien ses travaux grâce à la générosité de Louis Deglatigny, également membre de la société. Ce dernier devient propriétaire d'une grande partie du terrain en 1914 (environ 6,8 hectares), et entame alors avec Salomon Reinach une réflexion pour en faire don à l’État, réflexion interrompue par la guerre. Les recherches sont aussi subventionnées par le Comité des travaux historiques et scientifiques à partir de 1913. En contrepartie, il est prévu que l'abbé Philippe réserve une part notable de ses trouvailles au musée des Antiquités nationales. En avril de l'année suivante, la Commission centrale du Comité émet par ailleurs le vœu que le mobilier issu des fouilles ne puisse pas être aliéné par son propriétaire au profit de collections ou de musées étrangers, et que ce propriétaire laisse classer, le cas échéant, les objets comme monuments historiques (voir 2016004/8). Louis Capitan, membre du Comité, fait entrer au musée des Antiquités nationales un premier lot d'objets provenant du Fort-Harrouard.
De 1914 à 1919, les fouilles sont interrompues par la guerre. L'abbé Philippe est mobilisé, il est brancardier sur le front. Les travaux reprennent en 1920, avec l'aide nouvelle de l'Association française pour l'avancement des sciences (voir 2016004/2). Le 2 juin 1921, Louis Deglatigny fait don du terrain en sa possession à l’État, sous réserve de la conservation par le musée de Saint-Germain-en-Laye de l'intégralité du mobilier mis au jour et à découvrir, de l'interdiction d'utiliser le bien à d'autres fins qu'archéologiques, et de l'administration et la surveillance de celui-ci par le service des Monuments historiques. Le terrain est aussitôt classé par un arrêté du 2 juin, et la donation est acceptée par un décret du 31 juillet (voir 2016004/1). Dès lors, les fouilles sont subventionnées par l'administration des monuments historiques, et une collaboration durable s'installe entre l'abbé Philippe et les conservateurs du musée (Salomon Reinach, Henri Hubert, Raymond Lantier, Claude Schaeffer), dont atteste une correspondance régulière (voir 2016004/8, 20160040/13).
L'abbé J. Philippe rédige chaque année au moins un rapport sur ses fouilles (rapports restés pour la plupart inédits, voir 2016004/3) et dresse l'inventaire des objets trouvés (voir 2016004/4), mais ses publications se font plus irrégulières, et ne se limitent plus au Bulletin de la Société normande d'études préhistoriques. C'est toutefois dans un hors-série de ce bulletin qu'en 1927 il publie sa première synthèse, grâce au patronage de Louis Deglatigny : « Cinq années de fouilles au Fort-Harrouard. 1921-1925 ». Il y différencie pour la première fois deux niveaux néolithiques. Les éloges qu'il reçoit de divers membres de la communauté scientifique nationale à l'occasion de cette publication attestent de l'importance de ses recherches.
De manière générale, la communauté savante salue régulièrement et unanimement la qualité et la rigueur de la méthode employée par l'abbé Philippe dans ses travaux, méthode qui s'est affinée avec l'expérience. Il procède avec ses ouvriers par longues tranchées successives, le plus souvent de 2,5 mètres de largeur, relevant la stratigraphie et, en coupe et en plan, les structures ou zones de concentration de mobilier, qu'il nomme « fonds de cabanes » ou « foyers ». Dans un premier temps, il reprend chaque année à zéro sa numérotation des foyers. Puis, dans sa publication de 1927, il emploie pour la première fois deux numérotations continues (distinguant les foyers du Bronze et ceux néolithiques), qu'il fait débuter avec les foyers découverts en 1921 (dans ses rapports de fouilles pour les campagnes de 1921 à 1925, il commence encore une nouvelle numérotation chaque année). Il poursuit ensuite l'utilisation de ces numérotations.
En décembre 1927, la Commission des Travaux littéraires de l'Académie des Inscriptions et Belles Lettres confère à l'abbé Philippe le titre d’Auxiliaire de l'Académie des Inscriptions pour la carte archéologique de la Gaule romaine (voir 2016004/13). En mars 1933 il est nommé membre de la deuxième section de la Commission des monuments historiques (section préhistorique). Le 15 août 1935, il est fait compagnon de l'Ordre de la Couronne de Charlemagne (voir 2016004/17).
En début d'année 1934, Louis Deglatigny achète pour un peu plus de 10 000 francs des terrains jouxtant celui acquis en 1914 : le glacis est du fort, et au sud le chemin d'accès néolithique et une partie d'un chemin gaulois. Il engage immédiatement les démarches pour donner ces 3,5 hectares à l’État. Ceux-ci sont d'abord classés par un arrêté du 10 juillet 1934, et entrent finalement dans le domaine national par décret le 21 novembre suivant (publication au Journal Officiel le 6 décembre 1934). Le généreux donateur s'éteint quelques mois plus tard, en septembre 1936.
En 1936 et 1937, l'abbé Philippe publie dans l'Anthropologie sa seconde synthèse majeure sur les fouilles du Fort-Harrouard, intitulée « Le Fort-Harrouard ». Il y distingue deux phases pour l'époque du Bronze, et commence à utiliser pour la stratigraphie les appellations suivantes : Fort-Harrouard I et II pour le Néolithique (Néolithique moyen et final), III et IV pour le Bronze (fin du Bronze moyen et Bronze final), et V pour le niveau gaulois (La Tène III).
L'abbé Philippe est ensuite contraint de réduire quelque peu son activité de fouilles et de publications du fait d'une lourde charge de travail, ayant la responsabilité de sept paroisses. Son dernier rapport avant la guerre date de 1938. Les fouilles reprennent en 1947, mais les ennuis de santé de l'abbé empêchent leur poursuite en 1948. La campagne de 1949 est sa dernière : il meurt le 30 mai 1950, alors que Georges Salles s'employait à lui faire obtenir la croix de la Légion d'Honneur que Raymond Lantier avait demandée pour lui.
Dans son testament, Joseph Philippe institue pour légataire universelle de tous ses biens sa nièce, lui demandant de remettre au musée des Antiquités nationales le produit de ses fouilles. Georges Salles charge Raymond Lantier de procéder à l'inventaire, la mise en caisse et l'enlèvement du mobilier archéologique conservé au presbytère de Breuilpont. L'opération se déroule les 3, 4, 5 et 12 juillet 1950 (voir 2016004/8).
En parallèle de ses activités au Fort-Harrouard, l'abbé Philippe a étudié de multiples trouvailles archéologiques faites dans les environs immédiats de Breuilpont (Rugles, Bueil, Mérey, Saint-Aquilin-de-Pacy...), comme le montrent plusieurs de ses publications dans le Bulletin de la Société normande d'études préhistoriques. Sa correspondance et la part de sa documentation qui nous est parvenue (sa bibliothèque n'a pas été léguée au musée des Antiquités nationales avec ses papiers sur le Fort-Harrouard) témoignent par ailleurs de l'intérêt qu'il portait aux travaux de ses collègues, normands ou plus éloignés (voir 2016004/11, 2016004/13).

Petitot-Bellavène, ?

  • Personne

Musée d’Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

Perrot, Aristide-Michel

  • /
  • Personne
  • 1793-1879

Géographe. - Membre de la Société royale académique des sciences et de la Société de géographie. - Spécialiste d'art et sciences militaires

Perron, Eugène

  • /
  • Personne
  • ? - ?

Conservateur du Musée de Gray (Haute-Saône) en 1884. Il fouille notamment à Apremont.

Perrin, André

  • Personne
  • 1836-1906

Libraire et homme de lettres. Ancien conservateur du musée départemental d'archéologie à Chambéry (Savoie).
Membre de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Savoie.
Correspondant CTG pour la Savoie.

Peckham, Harry

  • /
  • Personne
  • 1740-1787

Gentilhomme anglais.

Patin, Guy

  • /
  • Personne
  • 1601-1672

Médecin et chirurgien, professeur au Collège de France, doyen de la Faculté de Paris (1650-1652).

Pakenius, Johannes

  • /
  • Personne
  • 1626-1681

Né à Boslar, duché de Juliers.
Accompagna le prince palatin Jean Guillaume dans ses voyages.

Paget, William

  • /
  • Personne
  • 1509-1563

Ambassadeur d'Angleterre en France.

Ouvaroff, Praskovia Sergueïevna

  • Personne
  • 1840-1924

Comtesse, épouse du comte Alexeï Sergueïevitch Ouvaroff (Ouvarov). Scientifique, historienne et archéologue. Après la mort de son époux en 1884, elle reprend le travail entrepris par lui et devient en 1885 membre honoraire puis présidente de la Société impériale d’archéologie de Moscou. Elle émigre en Yougoslavie après la révolution d’octobre 1917.

Ouvaroff, Alexeï Sergueïevitch

  • Personne
  • 1825-1884

Archéologue, membre honoraire de l'Académie impériale des sciences de Saint-Pétersbourg (1857), qui fut à l'origine des congrès archéologiques et l'un des fondateurs de la Société archéologique de Moscou (1864) et du Musée historique de Moscou (1872-1884) dont il est le premier directeur en 1881.

Orsini, Virginio

  • /
  • Personne
  • 1572-1615

Duc de Bracciano.

Ollivier, Antoine

  • Personne
  • 1823-1905

Correspondant CTG pour les Basses-Alpes
Correspondant de la CGHAF

Originaire de la vallée de Barcelonnette, il y exerça comme médecin jusqu'en 1869, puis s'installa à Digne jusqu'à sa mort. Collectionneur et homme de terrain, cet archéologue amateur publie en 1882 les cinq fouilles qu'il entrepris dans la Vallée de Barcelonnette.
Sa collection, dispersée par ses héritiers en 1943 au cours d'une vente aux enchères à Nice, est retrouvée en 2011 chez un particulier. Grâce au don du docteur Jean-Denis Gleize, elle est aujourd’hui en partie conservée au musée de la Vallée à Barcelonnette (Alpes de Haute Provence).

Ollier de Marichard, Jules

  • Personne
  • 1824-1901

Inspecteur des Monuments historiques de l'Ardèche. Préhistorien français.

Olivier, Arsène

  • Personne
  • 1819-1900

Ingénieur civil. Membre de la Société des ingénieurs civils. Membre de la Société des amis des monuments parisiens en 1887-1888. Collectionneur.

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