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Récit d’une chasse présidentielle à Saint-Germain-en-Laye

« Dimanche dernier, M. Félix Faure, président de la République, est venu chasser à Saint-Germain, sur les limites extrêmes de la forêt de Marly, dans les terres de la Jonction, en compagnie de M. Cavaignac, ministre de la Guerre, Krantz, député, du général Tournier, du colonel Menetrez, des commandants de La Garenne et Moreau et de M. René Berge.
M. Félix Faure et ses invités sont arrivés à midi par le chemin de fer de grande ceinture et ont été salués à la gare par M. Gilbert, maire de Saint-Germain, et M. Fortin, son premier adjoint, auxquels il a adressé quelques mots empreints de la plus grande bienveillance.
Après une chasse qu’on nous a dit avoir été assez fructueuse, M. Félix Faure est reparti pour Paris, par le train de 4 h. 50, de la gare de la place du Château. Partout sur son passage en ville, M. Félix Faure a recueilli les marques de la plus vive sympathie et du plus profond respect. »

Récit de la venue du président de la République à Saint-Germain-en-Laye pour une chasse

« Le président de la République à Saint-Germain
Dimanche dernier, M. Jules Grévy, président de la République française, est venu chasser dans la forêt de Saint-Germain. Il est arrivé par le train régulier de une heure et demie, confondu avec la masse des voyageurs ordinaires. Une centaine de personnes qui avaient été informées du passage du président s’étaient portées vers la gare. M. le maire de la ville et un de ses adjoints sont allés au devant de M. Grévy jusque sur le quai d’arrivée et l’ont reçu à sa sortie du wagon. Ils n’ont échangé que quelques mots excessivement courts. Le président, qui était en tenue de chasse des plus simples, c’est-à-dire vêtu d’un gros paletot et coiffé d’un chapeau de feutre mou, paraissait désireux de se dérober le plus vite possible à la curiosité dont il était l’objet. Il était accompagné de 3 ou 4 personnes seulement. Une voiture de poste les attendait sur la place du Château. Le président y a pris place aussitôt et la voiture s’est dirigée au galop vers la forêt en passant par les rues de la Paroisse, de Pontoise et la grille du même nom.
Au moment où le président s’est installé dans l’équipage et pendant le court espace de temps employé par le postillon à rassembler ses guides, quelques cris isolés de Vive la République se sont fait entendre ; le président a salué alors la foule du fonds de la voiture, mais sans mettre la tête à la portière.
L’attitude du président de la République semblait dire à tous ceux qui l’entouraient : « Mes chers amis, certes, je suis bien content de vous voir, vous avez tous d’assez bonnes figures, cependant je suis très contrarié qu’une indiscrétion vous ait fait savoir mon passage à Saint-Germain ; j’espérais traverser la ville dans le plus complet incognito. Je ne suis pas venu spécialement pour vous rendre visite, vous devez bien vous en apercevoir à ma mise ; lorsque je viendrai dans ce but, ce qui aura probablement lieu un jour ou l’autre, je ferai au moins un petit bout de toilette. Soyez persuadé que pour être un président des plus simples et des plus modestes, on n’en est pas moins homme, et qu’on désire toujours produire un petit effet avantageux ! »

Récit d’une chasse impériale à Saint-Germain-en-Laye

« Lundi dernier, l’Empereur est venu chasser à tir à Saint-Germain. Sa Majesté est passée à Maisons à dix heures et demie ; la chasse a commencé à Fromainville à onze heures ; le déjeuner a eu lieu à midi à la chaumière rustique. A trois heures et demie, la chasse était terminée, le retour s’est effectué à quatre heures par Maisons, dont toutes les fenêtres étaient pavoisées sur le passage de l’Empereur.
Les personnages de distinction qui, avec ceux de la Maison et du service de l’Empereur, accompagnaient Sa Majesté étaient, autant qu’il nous a été possible de nous renseigner : MM. le prince Joachim Murat, de Corberon, Pietri, secrétaire ; le prince de la Moskowa, Costa de Beauregard, Raimbaud, écuyer ; Cruzman, officier d’ordonnance, et le docteur baron Corvisart. »

Récit d’une chasse impériale à Saint-Germain-en-Laye

« Avant-hier jeudi, pour la première fois depuis son retour de Biarritz et le commencement de la saison, l’Empereur a chassé 5 tir dans les réserves de Fromanville. Parmi les personnes de distinction qui accompagnaient Sa Majesté, se trouvaient le général Fleury, M. le marquis de La Valette, le docteur Conneau, etc. Cette chasse a été favorisée par une belle journée d’automne exceptionnelle depuis quelques jours ; l’Empereur paraissait jouir d’une santé parfaite ; le service des rabatteurs a été fait comme toujours par des cavaliers à pied des Chasseurs de la Garde. Nous manquons jusqu’ici de détails plus circonstanciés. »

Récit d’une chasse impériale à Saint-Germain-en-Laye

« Samedi dernier, vers dix heures, l’Empereur traversait les Champs-Elysées en char-à-bancs break, conduit par des chevaux de poste. Sa Majesté venait chasser à Saint-Germain, suivant sa route ordinaire pour gagner plus directement, par Maisons, les tirés de Fromainville, situés au nord de la forêt, à peu de distance de la Seine et faisant face à Conflans.
Parmi les personnes invitées, qui accompagnaient Sa Majesté, se trouvait M. le marquis de Moustier, ministre des Affaires Etrangères.
La chasse, qui n’a été interrompue que par le déjeuner traditionnel d’une demi-heure, sous le kiosque rustique disposé à peu de distance des ruines du fort Saint-Sébastien, et à peu près vis-à-vis de la ferme de Garenne existant au milieu des tirés, a été des plus animées, et s’est terminée vers quatre heures ; c’est probablement la dernière ou l’une des dernières de la saison. »

Précisions sur la chasse des empereurs Napoléon III et François-Joseph à Saint-Germain-en-Laye

« Chasse à Saint-Germain de LL. MM. les empereurs Napoléon et François-Joseph
Grand Steeple-Chase aux Nouvelles
Nous nous sommes souvent élevés contre les abus de l’empressement de nos grands confrères de la presse parisienne à publier souvent des faits erronés touchant notre localité ou celles environnantes.
Pour nous, qui nous trouvons sur les lieux mêmes, nous avons soin de nous entourer de tous les renseignements possibles, quand parfois nous ne pouvons voir par nos propres yeux. C’est ce qui nous est arrivé à l’occasion de la chasse impériale qui a eu lieu samedi dernier en forêt de Saint-Germain, dans la garenne de Fromainville, et qui avait attiré un très grand nombre de nos citadins, qui pourront apprécier la vérité de nos rectifications.
Empêchés par les soins à apporter au numéro qui paraissait à cinq heures, nous avions prié un de nos amis de nous tenir par envoi d’exprès au courant des différents épisodes de la journée. A quatre heures, nous recevions la note due à son obligeance et un peu plus tard, pendant la distribution du journal, nous apprenions avec regrets de la même personne qu’une erreur s’était glissée dans son rapport quand elle avait constaté la présence des deux archiducs parmi les illustres invités à la chasse. La famille impériale d’Autriche s’était partagée entre deux invitations, et si l’empereur François-Joseph accompagnait notre souverain, ses deux jeunes frères chassaient le même jour à Ferrières, chez M. de Rotschildt.
C’était là une erreur bien involontaire de notre part, mais on va pouvoir juger de celles commises par plusieurs grands journaux de Paris.
C’est d’abord la Presse, qui, dans un article « détaillé » sur la chasse à Saint-Germain, raconte « que les deux empereurs ont d’abord visité le musée gallo-romain, installé dans le château de Charles V et de François Ier, puis la magnifique terrasse établie du côté de la Seine par Henri IV et complétée par Louis XIV ».
Après avoir fait l’éloge de la condition cynégétique de notre forêt de Saint-Germain, qu’il veut bien, par parenthèse, doter de la présence des lièvres, perdrix et bécasses qu’on n’y trouve jamais, le même journal ajoute hardiment que samedi dernier, à l’occasion de cette visite qu’il a rêvée, « les régiments de la Garde, en garnison à Saint-Germain, étaient sous les armes à l’arrivée des empereurs et les maisons de la ville pavoisées aux couleurs de la France et de l’Autriche ».
Le Petit Journal de lundi dernier, dans un de ses entrefilets intitulé : l’Empereur d’Autriche à Paris, contenant les lignes suivantes :
« Hier matin, à neuf heures, l’empereur d’Autriche est parti pour Saint-Cloud, d’où les deux souverains se sont rendus à Saint-Germain.
Après avoir visité le musée gallo-romain et la magnifique terrasse qui domine le cours de la Seine, les deux empereurs sont entrés en forêt, où a eu lieu une chasse à tir. »
Puis les correspondants à Paris expédient en province les nouvelles « détaillées » puisées à la même source. Exemple : « Les princes, dit l’Abeille cauchoise dans sa correspondance particulière du 20 octobre, ont visité le musée des Thermes et l’hôtel de Cluny, le musée gallo-romain à Saint-Germain, où ils ont chassé avec l’empereur Napoléon (dans le musée ?). Les habitants de la ville de François Ier (Oh ! oh !) ont fait une ovation splendide aux deux empereurs ».
Mais le plus fort, le plus incompréhensible, c’est que notre voisine et amie, une feuille estimable, et d’ordinaire bien renseignée, de notre département, du chef-lieu même, l’Union de Seine-et-Oise, qui pouvait s’en rapporter à ce que nous avions écrit samedi soir, instruisait en ces termes, dans son numéro de jeudi dernier, ses lecteurs de Versailles, des faits passés à Saint-Germain :
« Samedi dernier, avant la chasse, les deux Empereurs ont visité le musée gallo-romain installé dans le château de François Ier, et se sont promenés quelques instants sur la magnifique terrasse de Saint-Germain.
Les régiments de la Garde en garnison à Saint-Germain étaient sous les armes. A l’arrivée des deux souverains, les tambours ont battu aux champs et les musiques ont joué l’air national autrichien. Les établissements publics et la plupart des maisons étaient pavoisées aux couleurs de la France et de l’Autriche.
Les habitants de Saint-Germain, qui se pressaient sur le passage de Leurs Majestés, les ont accueillies aux cris réitérés de : Vive l’empereur Napoléon ! vive l’empereur François-Joseph ! »
Le Moniteur du soir a donné, lui, un récit exact de la chasse, il a fait seulement erreur sur le nom de l’inspecteur des forêts de la Couronne à Saint-Germain, M. Fouquier de Mazières, qu’il appelle M. Fauquier ; ce ne sont pas non plus des vignerons, mais bien des horticulteurs de Conflans qui, par l’intermédiaire du maire de leur commune, ont fait, au moment du déjeuner, hommage à la table impériale de paniers de raisins, dont l’excellence et la beauté méritent de partager la faveur du chasselas de Fontainebleau.
Pour rendre justice, du reste, au compte-rendu de la chasse par le rédacteur du Moniteur du soir, M. Louis Noir, nous croyons ne pouvoir mieux faire que d’en reproduire les derniers paragraphes.
« La foule a fait le plus brillant accueil à l’hôte de l’Empereur et de la France ; à chaque instant, des bravos saluaient son incroyable adresse ; S. M. François-Joseph est un des plus habiles tireurs de l’Europe et, aux longues distances, Elle fait des coups merveilleux dont nos plus vieux gardes sont surpris.
Nous ne parlerons pas du prince de la Moskowa, dont la réputation est bien connue, mais nous citerons, parmi les plus adroits, le prince de Liechtenstein, qui a jeté environ cent cinquante pièces.
Vers le soir, on cessa le feu et l’on s’achemina vers le point où les gardes avaient préparé le tableau.
On désigne ainsi l’ensemble des pièces abattues disposées de façon à former un tableau de nature morte.
Nos forestiers montrent beaucoup de goût dans l’arrangement du gibier ; ils composent très artistement des groupes et des scènes d’un aspect souvent remarquable, et l’on croirait qu’un peintre de talent a présidé à l’agencement du tableau.
D’ordinaire les chevreuils forment cadre, et de leur pelage sombre on tire des effets de contraste puissant avec l’éclatant plumage des faisans.
Voici la liste des pièces abattues :
Lapins, 400 ; chevreuils, 50 ; lièvres, 150 ; perdrix, 100 ; faisans (coqs et poules), 1300.
Leurs Majestés quittèrent le tiré au milieu des vivats des spectateurs. Sur leur passage à Maisons-Laffitte, à Colombes, à Courbevoie, les populations se portaient en foule et saluaient les deux souverains de leurs acclamations enthousiastes. »
S’il est à regretter de voir certains journaux de Paris commettre de graves erreurs sur des faits qui se passent à si peu de distance, il n’en faut qu’apprécier si vivement un rapport exact et consciencieux ; c’est à ce titre que nous avons été charmé par la lecture de l’article signé par M. A. Marx sur le sujet en question dans un des numéros du Figaro de cette semaine ; nous le recommandons à ceux de nos lecteurs auxquels il aurait pu échapper, car le spirituel et exact historiographe des fêtes et voyages de la Cour a non seulement fait un récit de la plus grande vérité, mais a encore su décrire parfaitement, et dans leurs moindres détails, cynégétiques et topographiques, les chasses à tir de l’Empereur, et particulièrement celles qui se répètent plusieurs fois pendant la saison, à l’extrémité de la forêt de Saint-Germain.
En somme, avis de la part de leur infime confrère, à certains grands journaux qui, dans le but d’arriver plus tôt que les autres, ressemblent à ce dandy qui voulait que son tailleur l’habillât, non pas à la mode de la veille, ni à la mode du jour, mais à celle de la semaine prochaine.
C’est ainsi que les nouvelles ne sont plus seulement habillées, mais travesties, et malheureusement se répandues beaucoup plus vite et dans un cercle bien autrement vastes que celles données par la presse locale, qui a la faiblesse de se borner à raconter strictement ce qui s’est passé.
Encore une fois, à nos lecteurs de Saint-Germain, à juger et à apprécier et surtout à se défier de certaines annonces qui, comme celles données par plusieurs journaux et notamment par le Petit Journal, ont fait réunir inutilement, pendant plusieurs heures, samedi dans l’après-midi sur le parterre, à la route des Loges et aux abords du château, une foule immense qui espérait et attendait l’arrivée des deux Empereurs, pendant que, suivant le programme arrêté, Leurs Majestés étaient déjà rendues au palais de Saint-Cloud.
Léon de Villette »

Récit d’une chasse impériale à Saint-Germain-en-Laye

« L’Empereur est venu chasser à tir dans la forêt de Saint-Germain avant-hier jeudi. Prévenus par les dispositions ordinaires, les habitants de Maisons avaient pavoisé leurs fenêtres sur tout le parcours de Sa Majesté qui, traversant cette commune vers dix heures et demie pour se rendre à Fromainville, a été saluée par les plus vives acclamations de la foule qui l’attendait au passage.
L’Empereur, ainsi que les personnes de sa suite, étaient en voitures fermées attelées en poste, précédées et suivies de piqueurs à cheval. Commencée à onze heures, la chasse était terminée avant trois heures ; d’énormes feux de bivouacs avaient été allumés sur l’emplacement des tirés et près du pavillon rustique où l’Empereur et sa suite prennent un instant de repos. Le parfait état de santé de Sa Majesté a été remarqué avec plaisir par tous les assistants. »

Récit d’une chasse impériale à Saint-Germain-en-Laye

« Aux détails que nous avons donnés dans notre dernier numéro sur la chasse de l’Empereur dans les tirés de Fromainville, et où nous avons dit qu’assistait entre autres Son Excellence le maréchal Magnan, nous pouvons ajouter, de bonne source, les renseignements suivants :
Sa Majesté était accompagnée de MM. le maréchal comte Randon, ministre de la Guerre, Rouland, ministre de l’Instruction publique, des maréchaux duc de Magenta, Niel, Regnault de Saint-Jean-d’Angely, des généraux Fleury, premier écuyer de l’Empereur, et prince de la Moskowa, premier veneur.
L’Empereur et ses invités sont partis de Paris en char-à-bancs à neuf heures et demie.
La chasse a commencé à onze heures. A midi on a déjeuné en forêt.
Après le déjeuner, la chasse a été reprise et s’est prolongée jusqu’à quatre heures du soir.
Les tirés de la forêt de Saint-Germain sont, on le sait, les plus beaux qui existent ; ils s’étendent sur un parcours de 14 kilomètres.
Le nombre des pièces abattues a été de 813 : 400 faisant, 40 chevreuils, ce qui fait pour chaque chasseur une moyenne d’environ 70 pièces. L’Empereur en a tiré pour sa part 241. »

Récit d’une chasse impériale à Saint-Germain-en-Laye

« L’Empereur est venu lundi dernier chasser à tir en forêt de Saint-Germain, dans les réserves de Fromainville. En outre des personnes ordinaires de la suite de Sa Majesté, on a remarqué la présence de Son Excellence M. le maréchal Magnan, parmi celles invitées par l’Empereur à partager avec lui les plaisirs de la chasse qui, dit-on, a eu un magnifique résultat, dont les établissement de bienfaisance d’abord, la table de MM. les officiers des chasseurs de la Garde, sans oublier chacun des sous-officiers et des cavaliers employés comme rabatteurs ont pu se ressentir. »

Récit d’une chasse impériale à Saint-Germain-en-Laye

« Mardi dernier, l’Empereur est venu en quelque sorte inopinément chasser dans notre forêt. S. M. était accompagnée d’une partie de ses invités de Compiègne et des officiers ordinaires de ses chiens. Venu de Compiègne par un train express jusqu’à Pontoise, l’Empereur est monté en voiture, et après avoir passé la Seine à Conflans, vers onze heures, est entré immédiatement en chasse en la commençant du côté opposé à celui d’où Sa Majesté part ordinairement pour parcourir le tiré dans toute son étendue. Après un déjeuner à la ferme de Garenne, la chasse a continué jusque vers quatre heures, et les voitures sont reparties alors pour Pontoise, où le train express attendait Sa Majesté pour le reconduire à Compiègne. La direction inaccoutumée de la chasse n’a pas permis que S. M. pût visiter le nouveau kiosque-chalet construit par M. Henri Ramage, notre concitoyen, pour Son Altesse le prince impérial et dont l’Illustration a donné un dessin dans son numéro de samedi dernier. On dit le plus grand bien de cet ouvrage d’art, dont nous espérons entretenir nos lecteurs, mais seulement lorsque, dans une des prochaines chasses de la saison, il aura été soumis à l’appréciation de l’Empereur, dont la visite est, cela se conçoit, vivement désirée par le constructeur. »

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