Affichage de 6220 résultats

Description archivistique
Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye Avec objets numériques
Options de recherche avancée
Aperçu avant impression Affichage :

Carte réalisée par la Société des Antiquaires de l'Ouest – Essai topographique sur le pays des Pictons

Carte dressée en 1858 par la société des Antiquaires de l'Ouest et publiée dans le 1er bulletin de 1858, en particulier M. Menard et intitulée "Essai topographique sur le pays des Pictons". Deux encadrés complètent la carte : « Essai correspondant à la Carte de Gaule de d'Anville » et un « Extrait correspondant de la table théodosienne » ; Nota « On peut porter dans la marge à gauche, les additions ou corrections qu'on voudrait faire, en les numérotant et en indiquant leur place sur la Carte par un numéro correspondant ».

Commission de Topographie des Gaules

Casque d'Amfreville

Casque antique trouvé dans un ancien bras de la Seine à Amfreville (photographie par L. Lafon, musée du Louvre, juin 1875 et planche issue de la Revue archéologique 1862)

Commission de Topographie des Gaules

Cavernes - Objets travaillés (Périgord)

« Cavernes. Objets travaillés (cavernes du Périgord) », planche gravée tirée du Dictionnaire archéologique de la Gaule-époque celtique, Commission de Topographie des Gaules, CTG, 1875
MAN, centre des archives, fonds CTG

Collection des arts graphiques

  • COL/AG
  • Collection
  • 1600 - 1910

Cette collection d’arts graphiques est constituée de pièces réalisées entre le XVIIe siècle et le premier quart du XXe siècle. Il s’agit pour l’essentiel d’estampes (petits formats et hors-format), mais nous pouvons également y retrouver quelques dessins, aquarelles et gouaches.
Les estampes présentées ci-dessous – toutes de petit format – sont au nombre de vingt-neuf. Parmi ces vingt-neuf pièces, vingt-huit remontent au XVIIe siècle, et une seule est de datation indéterminée quoique visiblement tirée d’un ouvrage de la même époque ; elles représentent pour la plupart des vues extérieures des deux châteaux de Saint-Germain-en-Laye et du domaine leur étant associé.
D’abord résidence royale, le domaine de Saint-Germain-en-Laye devient national à la fin du XVIIIe siècle, et est classé monument historique en 1863. Le domaine voit sa gestion fusionner avec celle du musée en 2009 afin de former un unique service à compétence nationale.
Le site de Saint-Germain-en-Laye devient résidence royale au XIIe siècle, lorsque le roi Louis VI décide d'y faire élever un château non fortifié en bois vers 1124. Ce premier château – plus tard surnommé « Château-Vieux » en opposition au « Château-Neuf » des XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles – est fortifié par Philippe-Auguste, qui y fait bâtir une tour-logis en pierre et entoure l’édifice d’un mur de défense. Au XIIIe siècle, le château est agrandi par Louis IX, qui fait notamment bâtir la chapelle castrale dans un style gothique rayonnant. Après avoir subi d’importants dommages pendant la Guerre de Cent ans, le château de Saint-Germain-en-Laye est reconstruit en partie grâce à l’action de Charles V et de son architecte Raymond du Temple.
Sous François Ier, le château devient une résidence royale de premier plan, et sa transformation en style Renaissance est confiée à Pierre Chambiges. Né au Château-Vieux de Saint-Germain-en-Laye en 1519, Henri II entreprend la construction du Château-Neuf en 1559, chantier qu’il attribue à l’architecte Philibert Delorme ; les travaux s’achèvent sous Henri IV, vers 1600.
De 1661 à 1682, Louis XIV réside souvent à Saint-Germain-en-Laye, où il fait réaliser d’importants aménagements, notamment la création des jardins à la française par André Le Nôtre, ainsi que la construction de la Grande Terrasse entre 1663 et 1680. À partir de 1680 commencent les travaux de modification du Château-Vieux, auquel sont ajoutés cinq pavillons d’angles ; ces travaux d'agrandissement du château sont confiés à Jules Hardouin-Mansart. Bien que la cour quitte définitivement Saint-Germain-en-Laye pour Versailles en 1682, le domaine n’est pas complètement laissé à l’abandon, et le Château-Vieux accueille notamment Jacques II, alors en exil, de 1689 jusqu’à sa mort en 1701.
En 1777, Louis XVI fait don du Château-Neuf ruiné à son frère le comte d’Artois, qui le fait démolir dans l’intention d’élever une nouvelle résidence. À la Révolution, le Château-Neuf et une grande partie des dépendances du domaine sont vendus comme biens nationaux.
Sous le Premier Empire, le Château-Vieux accueille l’École spéciale militaire de cavalerie, qui devient en 1914 l’École spéciale militaire de Saint-Cyr. En 1836, l’édifice est transformé en pénitencier militaire, au sein duquel près de cinq cents officiers sont incarcérés. Dès son accession au pouvoir en 1852, Napoléon III se préoccupe du sort du château, et s’oppose ainsi à son usage comme centre pénitentiaire. En décembre 1853, il déclare notamment que « l’existence d’une prison militaire dans l’antique château de Louis XIV est une sorte de profanation […] Le pénitencier sera éloigné de Saint-Germain, et ce château, qui rappelle de grands et nobles souvenirs, sera réparé […] J’ai donné des ordres à cet effet ». Le Château-Vieux est ainsi classé Monument historique dès 1862 (l’ensemble du domaine est classé en 1863), et des travaux de restauration sont rapidement entrepris. Trois architectes se succèdent sur ce chantier colossal : Eugène Millet, Auguste Lafollye et Honoré Daumet.
Le chantier est d’abord confié à l’architecte Eugène Millet, élève d’Eugène Viollet-le-Duc, qui prend le parti de restaurer le château dans son état Renaissance et s’appuie ainsi sur les plans publiés par Jacques Androuet du Cerceau en 1576. Aux plans et aux élévations d’Androuet du Cerceau s’ajoutent des gravures d’Israël Silvestre (milieu du XVIIe siècle), qui permettent d’appréhender le château dans son ensemble dans l’état qui était le sien jusqu’à la fin du XVIIe siècle avec l’accord de la commission des Bâtiments civils. Afin de privilégier l’état XVIe siècle, les pavillons élevés sous Louis XIV sont démontés. En parallèle de la restauration du bâtiment, Millet entreprend l’aménagement des salles du musée, dont il commence à concevoir le mobilier afin de mettre en œuvre une « véritable muséographie destinée à l’archéologie ». Ce travail d’aménagement est ensuite poursuivi par Auguste Laffolye.
Les travaux de réfection de la chapelle sont entrepris à partir de 1873 ; Eugène Millet est chargé d’y ajouter une flèche, dont les travaux commencent avant 1889, et ne sont toujours pas achevés en 1895. Cette flèche est finalement démontée en 1907.
La restauration complète du château ne s’achève qu’en 1908, avec la décoration de l’entrée principale sur la façade ouest et l’aménagement final de plusieurs salles du musée.
La collection des arts graphiques du service des Ressources documentaires du musée d'Archéologie nationale permet de constater les différentes évolutions connues par le domaine et les châteaux de Saint-Germain-en-Laye depuis les XVIe – XVIIe siècles jusqu'au début du XXe siècle.
Au sein de cette collection figurent notamment vingt-neuf estampes du XVIIe siècle ; douze d'entre elles représentent le Château-Vieux, neuf concernent le Château-Neuf, tandis que quatre correspondent à des vues du domaine, et quatre autres à des édifices français extérieurs à Saint-Germain-en-Laye. Ces documents, dont certains sont légendés, voire datés, permettent de retracer l’histoire des deux châteaux de Saint-Germain-en-Laye au cours du XVIIe siècle avec une relative précision. En effet, avec la destruction des pavillons de Louis XIV lors de la restauration du Château-Vieux au XIXe siècle et l’abandon du Château-Neuf dès le XVIIe siècle, les estampes étudiées ici représentent un témoignage exceptionnel de l’état des deux châteaux à cette époque, avant l’effondrement progressif du Château-Neuf et la restauration en style Renaissance du Château-Vieux.
Cette collection d’estampes a été divisée selon quatre ensembles thématiques. Le premier ensemble correspond au Château-Vieux de Saint-Germain-en-Laye, le deuxième au Château-Neuf, le troisième au domaine, et le quatrième et dernier aux vues Hors Saint-Germain-en-Laye. Il s’agit uniquement de vues extérieures, ce qui permet d’appréhender les édifices dans leur contexte.
Si toutes les œuvres ne sont pas signées, trois noms de graveurs reviennent particulièrement : ceux d’Israël Silvestre (1621 – 1691), Adam Pérelle (1638 – 1695) et Pierre Aveline (1656 – 1722). Aux signatures des graveurs sont généralement associées celles des éditeurs, ayant été identifiés comme Israël Henriet (1590 ? – 1661), Nicolas de Poilly (1626 – 1696), Nicolas Langlois (1640 – 1703) et Melchior Tavernier (1594 – 1665). L’identité des graveurs a permis de systématiquement attribuer à chaque estampe une technique de réalisation ; en effet, il semble que tous trois aient travaillé en taille-douce, plus spécifiquement à l’eau-forte.
Ces vingt-neuf estampes semblent en grande partie issues de trois achats de lots, effectués respectivement en 1876, 1888 et 1889 (dates d’entrée dans le registre de la bibliothèque). Chaque lot porte un numéro d’inventaire (4319 pour celui de 1876, 7303 pour celui de 1888 et 7807 pour celui de 1889), numéros se retrouvant à de multiples reprises sur les estampes traitées.
La description se fait ici à la pièce sous forme d'un inventaire.
Plusieurs de ces estampes portent le tampon de la bibliothèque (sur lequel figure parfois leur numéro d’entrée au registre manuscrit), ainsi que le tampon sec du Musée des Antiquités nationales.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

Colonies de la Gaule narbonnaise

  • 2017003/7
  • Article
  • Il est à remarquer que le titre du carnet indique « du 30 avril 1872 au 4 juin 1873 » alors que les notes s’arrêtent au mardi 11 juin 1872.
  • Fait partie de Fonds Ernest Desjardins

Carnet de notes manuscrites sur les colonies d’Arles, Nîmes et Vienne prises au cours de Léon Renier.

Corrections à l'article (du dictionnaire) écrit par Liénard sur Montplonne fourni en 1865

Manuscrit présentant des corrections à l'article fourni par Félix de Liénard concernant Montplonne en 1865. "L'article que j'ai fourni sur Montplonne dans mon état de 1865 doit être supprimé et remplacé par celui-ci :
Au sud-est de Montplonne, au-delà du bois Ruisnard, se trouve une contrée dite de la Pierre l'Ogre dont l'étendue est assez grande. Deux monuments celtiques existent dans cette contrée : l'un, situé près du bois de Montfromont et à proximité du lieu choisi comme point de signal par les officiers de l'Etat-Major qui l'ont désignée sur leur carte sous le nom de signal de la Pierre l'Ogre. Ce monument est un cromlech dont la pierre centrale est encore debout ; cette pierre est brute et s'élève à 1m30 au-dessus du niveau du sol ; autour d'elle est à 15 mètres de ce point central, se trouvent cinq autres pierres brutes qui forment un cercle de 30 mètres de diamètre. Ce cromlech est placé sur la limite du territoire de Montplonne et de Nant-le-Grand.
Le second monument situé dans la contrée de la Pierre l'Ogre est un menhir ou pierre debout haute de 1m60, large de 0.45, portant des traces d'inscriptions sur trois de ses faces, celles au sud, au nord et à l'ouest. Il s'élève sur une éminence de 50 centimètres et est situé à 1400 mètres au sud de Montplonne.
C'est seulement cet automne que j'ai découvert ces deux monuments. Voici le dessin de celui que j'ai appelé Menhir ou pierre debout."

Commission de Topographie des Gaules

Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet

Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet. Note de Gabriel de Mortillet à Alexandre Bertand lui indiquant le montant estimé de ses frais de mission pour les fouilles des cavernes de Corrèze et de Dordogne, Saint-Germain, 3 novembre 1875, avec accord de Bertrand en date du 5 novembre.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet

Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet. Lettre de Gabriel de Mortillet à Alexandre Bertrand, Saint-Germain le 1er novembre 1871, évoquant le congrès international de Bologne, l'achat du matériel de Golasecca, matériel important pour comprendre l'époque de transition entre les temps préhistoriques et les temps historiques. Page 4.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet

Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet. Lettre de Gabriel de Mortillet à Alexandre Bertrand, Saint-Germain le 1er novembre 1871, évoquant le congrès international de Bologne, l'achat du matériel de Golasecca, matériel important pour comprendre l'époque de transition entre les temps préhistoriques et les temps historiques. Page 2.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet

Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet. Lettre adressée par Gabriel de Mortillet à Alexandre Bertrand au sujet de la visite des musées, 22 décembre 1868, n°8. Page 4.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet

Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet. Lettre adressée par Gabriel de Mortillet à Alexandre Bertrand sur la gestion du musée durant l’absence du directeur, 3 janvier 1869, n°11. Première page.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet

Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet. Lettre de Gabriel de Mortillet à Alexandre Bertrand, Saint-Germain le 1er novembre 1871, évoquant le congrès international de Bologne, l'achat du matériel de Golasecca, matériel important pour comprendre l'époque de transition entre les temps préhistoriques et les temps historiques. Page 3.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet

Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet. Lettre de Gabriel de Mortillet à Alexandre Bertrand, Arona [Italie], 12 octobre 1871, annonçant l'achat de pièces archéologiques à Milan et Golasecca (Italie). Pages 2 et 3.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet

Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet. Lettre de Gabriel de Mortillet à Alexandre Bertrand, Arona [Italie], 12 octobre 1871, annonçant l'achat de pièces archéologiques à Milan et Golasecca (Italie). Page 1.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet

Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet. Lettre adressée par Gabriel de Mortillet à Alexandre Bertrand sur la gestion du musée durant l’absence du directeur, 3 janvier 1869, n°11. Pages 2 et 3.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet

Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet. Lettre de Gabriel de Mortillet à Alexandre Bertrand, Saint-Germain le 1er novembre 1871, évoquant le congrès international de Bologne, l'achat du matériel de Golasecca, matériel important pour comprendre l'époque de transition entre les temps préhistoriques et les temps historiques. Page 1.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet

Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet. Lettre adressée par Gabriel de Mortillet à Alexandre Bertrand sur la gestion du musée durant l’absence du directeur, 3 janvier 1869, n°11. Page 4.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet

Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet. Lettre adressée par Gabriel de Mortillet à Alexandre Bertrand au sujet de la visite des musées, 22 décembre 1868, n°8. Pages 2 et 3.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet

Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet. Lettre adressée par Gabriel de Mortillet à Alexandre Bertrand au sujet de la visite des musées, 22 décembre 1868, n°8. Première page.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

Correspondance, suivi du personnel

« Permissions accordées aux gardiens du musée » [20x30cm] (04/06/1867-31/11/1942) et « Registre des gardiens malades. Exemptions » [comporte également de la correspondance et des instructions relatives aux congés] (08/11/1867-17/12/1927).
« Registre matricule, état-civil, signalement et mutations des gardiens du musée » [20x30cm] [1866-1977].
« Assurances sociales » [20x30cm] (1930-1935) [contient également le registre de « matériel reçu du Musée du Louvre » (25/04/1928 – 03/06/1942)].
« Correspondance. Registre n°2 » [21x30,5] [registre de correspondance de la Société de prévoyance et de secours mutuels des gardiens des musées nationaux divisé en 2 parties pour le courrier sorti et le courrier entré] (1927-1930).

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

Creuly

Les carnets sont signés du général Creuly. Ils sont numérotés de 1 à 25. Néanmoins les carnets portant les numéros 5, 8, 14 et 19 sont manquants.
Chaque page de carnet comporte une à plusieurs inscriptions ou dessins au crayon à papier. Les carnets Creuly comportent parfois des allusions à des estampages.

Le carnet 21 du général Creuly comporte 24 copies d’inscriptions provenant de la Bibliothèque de Strasbourg, inscriptions dont 14 ont été détruites en août 1870. Elles ont été copiées par le général Creuly un peu plus d’un an avant leur destruction et ont fait l’objet de copies soignées comportant des indications précises de dimensions.

Le contenu des carnets ne porte pas uniquement sur les zones associées aux travaux de la CTG.

Creuly, Casimir

Croquis provisoire des fragments découverts lors d'une fouille en 1863 dans le cimetière de Sainte Pétronille

"Croquis provisoire grosso modo des fragments trouvés en novembre 1863 dans une tombe en pierre découverte dans le cimetière de Sainte Pétronille près de Gironde s/ la Réole (?)". Les dessins sont réalisés à la plume, vraisemblablement par Anatole de Barthélémy, membre de la CTG.

Commission de Topographie des Gaules

Céramique d'un tumulus

"Vase trouvé avec une jolie fibule en bronze des anneaux de deux centimètres de diamètre. Dessin de l'intérieur du vase trouvé dans le tumulus de Goudalie, commune de Rodelle, en septembre 1873. Grandeur réelle."
L'objet documentaire numérique présente deux vues.

D.956.1

D.956.1. Cône d'Avanton, décoré au repoussé. Provenance : commune d'Avanton, Vienne. Bronze moyen. Hauteur : 52,5 cm ; Diamètre : 11 cm. Dépôt du Musée du Louvre.
Détail partie inférieure.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

Résultats 851 à 900 sur 6220