- 215
- Pièce
- 3 décembre 1867
Fait partie de Corpus numérique sur l'histoire du château et des jardins de Saint-Germain-en-Laye
Millet, Eugène
Fait partie de Corpus numérique sur l'histoire du château et des jardins de Saint-Germain-en-Laye
Millet, Eugène
Fait partie de Corpus numérique sur l'histoire du château et des jardins de Saint-Germain-en-Laye
Millet, Eugène
Fait partie de Corpus numérique sur l'histoire du château et des jardins de Saint-Germain-en-Laye
Millet, Eugène
Fait partie de Corpus numérique sur l'histoire du château et des jardins de Saint-Germain-en-Laye
Millet, Eugène
Château de Saint-Germain-en-Laye. Tour de Charles V. 2e étage. Croisées près le cadran de l'horloge
Fait partie de Corpus numérique sur l'histoire du château et des jardins de Saint-Germain-en-Laye
Millet, Eugène
Fait partie de Corpus numérique sur l'histoire du château et des jardins de Saint-Germain-en-Laye
Millet, Eugène
Château de Saint-Germain-en-Laye. Tour de Charles V. Détails de la balustrade supérieure
Fait partie de Corpus numérique sur l'histoire du château et des jardins de Saint-Germain-en-Laye
Millet, Eugène
Château de Saint-Germain-en-Laye. Tour de Charles V. Détails de la toiture
Fait partie de Corpus numérique sur l'histoire du château et des jardins de Saint-Germain-en-Laye
Millet, Eugène
Château de Saint-Germain-en-Laye. Tour de Charles V. Détails des cheminées et du couronnement
Fait partie de Corpus numérique sur l'histoire du château et des jardins de Saint-Germain-en-Laye
Millet, Eugène
Fait partie de Corpus numérique sur l'histoire du château et des jardins de Saint-Germain-en-Laye
Millet, Eugène
Château de Saint-Germain-en-Laye. Tour de Charles V. Logement du sr Bague
Fait partie de Corpus numérique sur l'histoire du château et des jardins de Saint-Germain-en-Laye
Ministère de la Maison de l'Empereur (Second Empire)
Château de Saint-Germain-en-Laye. Tour du pavillon nord-est. Détails de la souche de cheminée
Fait partie de Corpus numérique sur l'histoire du château et des jardins de Saint-Germain-en-Laye
Millet, Eugène
Fait partie de Corpus numérique sur l'histoire du château et des jardins de Saint-Germain-en-Laye
Millet, Eugène
Fait partie de Corpus numérique sur l'histoire du château et des jardins de Saint-Germain-en-Laye
Millet, Eugène
Fait partie de Corpus numérique sur l'histoire du château et des jardins de Saint-Germain-en-Laye
Millet, Eugène
Fait partie de Corpus numérique sur l'histoire du château et des jardins de Saint-Germain-en-Laye
Millet, Eugène
Fait partie de Corpus numérique sur l'histoire du château et des jardins de Saint-Germain-en-Laye
Millet, Eugène
Fait partie de Corpus numérique sur l'histoire du château et des jardins de Saint-Germain-en-Laye
Millet, Eugène
Fait partie de Corpus numérique sur l'histoire du château et des jardins de Saint-Germain-en-Laye
Millet, Eugène
Château de Saint-Germain-en-Laye. Tourelle de l'angle nord-est. Plafond haut du 1er étage
Fait partie de Corpus numérique sur l'histoire du château et des jardins de Saint-Germain-en-Laye
Millet, Eugène
Château de Saint-Germain-en-Laye. Tourelle de l'escalier de l'angle nord-est
Fait partie de Corpus numérique sur l'histoire du château et des jardins de Saint-Germain-en-Laye
Millet, Eugène
Château de Saint-Germain-en-Laye. Tourelle de l'escalier de la cour près la porte d'entrée
Fait partie de Corpus numérique sur l'histoire du château et des jardins de Saint-Germain-en-Laye
Millet, Eugène
Fait partie de Corpus numérique sur l'histoire du château et des jardins de Saint-Germain-en-Laye
Millet, Eugène
Château de Saint-Germain-en-Laye. Tourelle des cabinets d'aisance
Fait partie de Corpus numérique sur l'histoire du château et des jardins de Saint-Germain-en-Laye
Millet, Eugène
Château de Terme, vue prise des hauteurs de Loulié (n°72)
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Dessin de Verchère de Reffye.
Verchère de Reffye, Jean-Baptiste Auguste Philippe Dieudonné
Cimetière de Marzabotto (chez Mr le Conte Aria) [1]
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Mission de Messieurs Bertrand, Directeur du musée et Maître, chef des ateliers du musée.
Maître, Abel
Cimetière de Marzabotto (chez Mr le Conte Aria) [7]
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Mission de Messieurs Bertrand, Directeur du musée et Maître, chef des ateliers du musée.
Maître, Abel
Cimetière gaulois de Somme-Bionne
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Extrait de l'Album archéologique de Mr Morel, percepteur à Châlons-sur-Marne (Morel (coll.) & Barbat (lith.)).
Circulaire de Henri Martin relative à la liste des dolmens et des allées couvertes de la Gaule
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Commission de géographie historique de l'ancienne France
Circulaire sur les fonctions de la CGHAF
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Commission de géographie historique de l'ancienne France
Collection des arts graphiques
Cette collection d’arts graphiques est constituée de pièces réalisées entre le XVIIe siècle et le premier quart du XXe siècle. Il s’agit pour l’essentiel d’estampes (petits formats et hors-format), mais nous pouvons également y retrouver quelques dessins, aquarelles et gouaches.
Les estampes présentées ci-dessous – toutes de petit format – sont au nombre de vingt-neuf. Parmi ces vingt-neuf pièces, vingt-huit remontent au XVIIe siècle, et une seule est de datation indéterminée quoique visiblement tirée d’un ouvrage de la même époque ; elles représentent pour la plupart des vues extérieures des deux châteaux de Saint-Germain-en-Laye et du domaine leur étant associé.
D’abord résidence royale, le domaine de Saint-Germain-en-Laye devient national à la fin du XVIIIe siècle, et est classé monument historique en 1863. Le domaine voit sa gestion fusionner avec celle du musée en 2009 afin de former un unique service à compétence nationale.
Le site de Saint-Germain-en-Laye devient résidence royale au XIIe siècle, lorsque le roi Louis VI décide d'y faire élever un château non fortifié en bois vers 1124. Ce premier château – plus tard surnommé « Château-Vieux » en opposition au « Château-Neuf » des XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles – est fortifié par Philippe-Auguste, qui y fait bâtir une tour-logis en pierre et entoure l’édifice d’un mur de défense. Au XIIIe siècle, le château est agrandi par Louis IX, qui fait notamment bâtir la chapelle castrale dans un style gothique rayonnant. Après avoir subi d’importants dommages pendant la Guerre de Cent ans, le château de Saint-Germain-en-Laye est reconstruit en partie grâce à l’action de Charles V et de son architecte Raymond du Temple.
Sous François Ier, le château devient une résidence royale de premier plan, et sa transformation en style Renaissance est confiée à Pierre Chambiges. Né au Château-Vieux de Saint-Germain-en-Laye en 1519, Henri II entreprend la construction du Château-Neuf en 1559, chantier qu’il attribue à l’architecte Philibert Delorme ; les travaux s’achèvent sous Henri IV, vers 1600.
De 1661 à 1682, Louis XIV réside souvent à Saint-Germain-en-Laye, où il fait réaliser d’importants aménagements, notamment la création des jardins à la française par André Le Nôtre, ainsi que la construction de la Grande Terrasse entre 1663 et 1680. À partir de 1680 commencent les travaux de modification du Château-Vieux, auquel sont ajoutés cinq pavillons d’angles ; ces travaux d'agrandissement du château sont confiés à Jules Hardouin-Mansart. Bien que la cour quitte définitivement Saint-Germain-en-Laye pour Versailles en 1682, le domaine n’est pas complètement laissé à l’abandon, et le Château-Vieux accueille notamment Jacques II, alors en exil, de 1689 jusqu’à sa mort en 1701.
En 1777, Louis XVI fait don du Château-Neuf ruiné à son frère le comte d’Artois, qui le fait démolir dans l’intention d’élever une nouvelle résidence. À la Révolution, le Château-Neuf et une grande partie des dépendances du domaine sont vendus comme biens nationaux.
Sous le Premier Empire, le Château-Vieux accueille l’École spéciale militaire de cavalerie, qui devient en 1914 l’École spéciale militaire de Saint-Cyr. En 1836, l’édifice est transformé en pénitencier militaire, au sein duquel près de cinq cents officiers sont incarcérés. Dès son accession au pouvoir en 1852, Napoléon III se préoccupe du sort du château, et s’oppose ainsi à son usage comme centre pénitentiaire. En décembre 1853, il déclare notamment que « l’existence d’une prison militaire dans l’antique château de Louis XIV est une sorte de profanation […] Le pénitencier sera éloigné de Saint-Germain, et ce château, qui rappelle de grands et nobles souvenirs, sera réparé […] J’ai donné des ordres à cet effet ». Le Château-Vieux est ainsi classé Monument historique dès 1862 (l’ensemble du domaine est classé en 1863), et des travaux de restauration sont rapidement entrepris. Trois architectes se succèdent sur ce chantier colossal : Eugène Millet, Auguste Lafollye et Honoré Daumet.
Le chantier est d’abord confié à l’architecte Eugène Millet, élève d’Eugène Viollet-le-Duc, qui prend le parti de restaurer le château dans son état Renaissance et s’appuie ainsi sur les plans publiés par Jacques Androuet du Cerceau en 1576. Aux plans et aux élévations d’Androuet du Cerceau s’ajoutent des gravures d’Israël Silvestre (milieu du XVIIe siècle), qui permettent d’appréhender le château dans son ensemble dans l’état qui était le sien jusqu’à la fin du XVIIe siècle avec l’accord de la commission des Bâtiments civils. Afin de privilégier l’état XVIe siècle, les pavillons élevés sous Louis XIV sont démontés. En parallèle de la restauration du bâtiment, Millet entreprend l’aménagement des salles du musée, dont il commence à concevoir le mobilier afin de mettre en œuvre une « véritable muséographie destinée à l’archéologie ». Ce travail d’aménagement est ensuite poursuivi par Auguste Laffolye.
Les travaux de réfection de la chapelle sont entrepris à partir de 1873 ; Eugène Millet est chargé d’y ajouter une flèche, dont les travaux commencent avant 1889, et ne sont toujours pas achevés en 1895. Cette flèche est finalement démontée en 1907.
La restauration complète du château ne s’achève qu’en 1908, avec la décoration de l’entrée principale sur la façade ouest et l’aménagement final de plusieurs salles du musée.
La collection des arts graphiques du service des Ressources documentaires du musée d'Archéologie nationale permet de constater les différentes évolutions connues par le domaine et les châteaux de Saint-Germain-en-Laye depuis les XVIe – XVIIe siècles jusqu'au début du XXe siècle.
Au sein de cette collection figurent notamment vingt-neuf estampes du XVIIe siècle ; douze d'entre elles représentent le Château-Vieux, neuf concernent le Château-Neuf, tandis que quatre correspondent à des vues du domaine, et quatre autres à des édifices français extérieurs à Saint-Germain-en-Laye. Ces documents, dont certains sont légendés, voire datés, permettent de retracer l’histoire des deux châteaux de Saint-Germain-en-Laye au cours du XVIIe siècle avec une relative précision. En effet, avec la destruction des pavillons de Louis XIV lors de la restauration du Château-Vieux au XIXe siècle et l’abandon du Château-Neuf dès le XVIIe siècle, les estampes étudiées ici représentent un témoignage exceptionnel de l’état des deux châteaux à cette époque, avant l’effondrement progressif du Château-Neuf et la restauration en style Renaissance du Château-Vieux.
Cette collection d’estampes a été divisée selon quatre ensembles thématiques. Le premier ensemble correspond au Château-Vieux de Saint-Germain-en-Laye, le deuxième au Château-Neuf, le troisième au domaine, et le quatrième et dernier aux vues Hors Saint-Germain-en-Laye. Il s’agit uniquement de vues extérieures, ce qui permet d’appréhender les édifices dans leur contexte.
Si toutes les œuvres ne sont pas signées, trois noms de graveurs reviennent particulièrement : ceux d’Israël Silvestre (1621 – 1691), Adam Pérelle (1638 – 1695) et Pierre Aveline (1656 – 1722). Aux signatures des graveurs sont généralement associées celles des éditeurs, ayant été identifiés comme Israël Henriet (1590 ? – 1661), Nicolas de Poilly (1626 – 1696), Nicolas Langlois (1640 – 1703) et Melchior Tavernier (1594 – 1665). L’identité des graveurs a permis de systématiquement attribuer à chaque estampe une technique de réalisation ; en effet, il semble que tous trois aient travaillé en taille-douce, plus spécifiquement à l’eau-forte.
Ces vingt-neuf estampes semblent en grande partie issues de trois achats de lots, effectués respectivement en 1876, 1888 et 1889 (dates d’entrée dans le registre de la bibliothèque). Chaque lot porte un numéro d’inventaire (4319 pour celui de 1876, 7303 pour celui de 1888 et 7807 pour celui de 1889), numéros se retrouvant à de multiples reprises sur les estampes traitées.
La description se fait ici à la pièce sous forme d'un inventaire.
Plusieurs de ces estampes portent le tampon de la bibliothèque (sur lequel figure parfois leur numéro d’entrée au registre manuscrit), ainsi que le tampon sec du Musée des Antiquités nationales.
Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Commission de Topographie des Gaules
Colonies de la Gaule narbonnaise
Fait partie de Fonds Ernest Desjardins
Carnet de notes manuscrites sur les colonies d’Arles, Nîmes et Vienne prises au cours de Léon Renier.
Commission de Topographie des Gaules
Les typologies documentaires sont d'une grande richesse : rapports, notes administratives, pièces comptables et textes réglementaires documentent la création et le mode de fonctionnement de la CTG. Dessins, relevés de fouilles, albums, photographies, mémoires, monographies, correspondance, cartes et plans illustrent les chantiers scientifiques, leur organisation et leurs produits.
Les correspondants de la CTG adressent dès 1858 des documents témoignant des vestiges archéologiques de leur territoire. Beaucoup des documents sont antérieurs à la création de la Commission.
Commission de Topographie des Gaules
Commission de géographie historique de l'Ancienne France
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Dessin de Raimond Pottier.
Pottier, Raimond
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Dessin de Raimond Pottier.
Pottier, Raimond
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Dessin de Raimond Pottier.
Pottier, Raimond
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Dessins de Raimond Pottier.
Pottier, Raimond
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Dessin de Raimond Pottier.
Pottier, Raimond
Copie d'un mémoire du 24 mars 1768 au sujet des bains de Regina Pedauque
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Corrections à l'article (du dictionnaire) écrit par Liénard sur Montplonne fourni en 1865
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Manuscrit présentant des corrections à l'article fourni par Félix de Liénard concernant Montplonne en 1865. "L'article que j'ai fourni sur Montplonne dans mon état de 1865 doit être supprimé et remplacé par celui-ci :
Au sud-est de Montplonne, au-delà du bois Ruisnard, se trouve une contrée dite de la Pierre l'Ogre dont l'étendue est assez grande. Deux monuments celtiques existent dans cette contrée : l'un, situé près du bois de Montfromont et à proximité du lieu choisi comme point de signal par les officiers de l'Etat-Major qui l'ont désignée sur leur carte sous le nom de signal de la Pierre l'Ogre. Ce monument est un cromlech dont la pierre centrale est encore debout ; cette pierre est brute et s'élève à 1m30 au-dessus du niveau du sol ; autour d'elle est à 15 mètres de ce point central, se trouvent cinq autres pierres brutes qui forment un cercle de 30 mètres de diamètre. Ce cromlech est placé sur la limite du territoire de Montplonne et de Nant-le-Grand.
Le second monument situé dans la contrée de la Pierre l'Ogre est un menhir ou pierre debout haute de 1m60, large de 0.45, portant des traces d'inscriptions sur trois de ses faces, celles au sud, au nord et à l'ouest. Il s'élève sur une éminence de 50 centimètres et est situé à 1400 mètres au sud de Montplonne.
C'est seulement cet automne que j'ai découvert ces deux monuments. Voici le dessin de celui que j'ai appelé Menhir ou pierre debout."
Commission de Topographie des Gaules
Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet
Fait partie de Fonds photographique du MAN
Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet. Note de Gabriel de Mortillet à Alexandre Bertand lui indiquant le montant estimé de ses frais de mission pour les fouilles des cavernes de Corrèze et de Dordogne, Saint-Germain, 3 novembre 1875, avec accord de Bertrand en date du 5 novembre.
Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye
Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet
Fait partie de Fonds photographique du MAN
Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet. Lettre de Gabriel de Mortillet à Alexandre Bertrand, Saint-Germain le 1er novembre 1871, évoquant le congrès international de Bologne, l'achat du matériel de Golasecca, matériel important pour comprendre l'époque de transition entre les temps préhistoriques et les temps historiques. Page 4.
Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye
Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet
Fait partie de Fonds photographique du MAN
Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet. Lettre de Gabriel de Mortillet à Alexandre Bertrand, Saint-Germain le 1er novembre 1871, évoquant le congrès international de Bologne, l'achat du matériel de Golasecca, matériel important pour comprendre l'époque de transition entre les temps préhistoriques et les temps historiques. Page 2.
Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye
Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet
Fait partie de Fonds photographique du MAN
Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet. Lettre adressée par Gabriel de Mortillet à Alexandre Bertrand au sujet de la visite des musées, 22 décembre 1868, n°8. Page 4.
Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye
Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet
Fait partie de Fonds photographique du MAN
Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet. Lettre adressée par Gabriel de Mortillet à Alexandre Bertrand sur la gestion du musée durant l’absence du directeur, 3 janvier 1869, n°11. Première page.
Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye
Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet
Fait partie de Fonds photographique du MAN
Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet. Lettre de Gabriel de Mortillet à Alexandre Bertrand, Saint-Germain le 1er novembre 1871, évoquant le congrès international de Bologne, l'achat du matériel de Golasecca, matériel important pour comprendre l'époque de transition entre les temps préhistoriques et les temps historiques. Page 3.
Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye