Dessins de silex et colliers de serpes en bronze
- 1
- Pièce
- 1869-1877
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Commission de Topographie des Gaules
Dessins de silex et colliers de serpes en bronze
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Commission de Topographie des Gaules
Dessins de silex et menhir d'Horsarrieu
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Dessins de silex de la grotte Duruty réalisés par Ed. Lartet le 10 février 1874
Dessin du menhir d'Horsarrieu donné par H. (nom illisible) le 7 avril 1872
Commission de Topographie des Gaules
Dessins de statuettes en bronze
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Deux dessins de statuettes en bronze retrouvées dans les ruines de Cosa (collection Devals à Montauban), réalisés par Jean-Ursule Devals [vue de face et de dos]
Commission de Topographie des Gaules
Dessins de vases gaulois issus de la Revue archéologique
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Dessins de vases gaulois (Bellozane, 1873) provenant de l'article "Archéologie dans la Seine Inférieure" par l'abbé Cochet dans la Revue archéologique 1875.
Commission de Topographie des Gaules
Dessins des inscriptions CIL, XIII, 751 et 827
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Dessins de deux autels funéraires CIL, XIII, 751 et 827 en provenance de Bordeaux, les deux dessins ont été réalisés en 1867 par Pierre-Emile Bernède, peintre, un des membres fondateurs de la société archéologique de Bordeaux et correspondant de la CTG et donnés au musée par l'auteur lui-même et Pierre Sansas, également correspondant de la Commission (feuillet Cotteau)
Commission de Topographie des Gaules
Dessins du dolmen de Saint-Nectaire
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Dessin par Chartier du dolmen de Saint-Nectaire, non daté.
Dessin du même dolmen donné par Jean-Baptiste Bouillet, le 25 janvier 1866. (issu d'une publication)
Commission de Topographie des Gaules
Dessins et photographies d'objets trouvés à Nasium et dessin d'anneaux provenant de Nantois
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Dessin d'un bracelet et d'une fibule en bronze trouvés à Nasium, respectivement en 1818 et en 1855, dessins réalisés par Félix de Liénard
Photographie d'un objet zoomorphe et d'une fibule en bronze (numéros d'inventaire 7586 et 7582)
Dessin d'anneaux provenant de Naix ou Nantois par Gabriel de Mortillet.
Commission de Topographie des Gaules
Dessins figurant un trépied, un bassin en bronze et le détail d'une de ses appliques, un griffon
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Les dessins sont accompagnés de commentaires, sans doute liés à une lettre envoyée parallèlement.
Commission de Topographie des Gaules
Dessins préparatoires - relevés de Gavrinis
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Relevés préparatoires réalisés par Abel Maître concernant Gavrinis, les dessins ont été collés sur différentes planches de l'album noir n°15.
Commission de Topographie des Gaules
Dessins réalisés pour le dictionnaire concernant les objets découverts à Aurignac
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Dessins préparatoires pour la réalisation des planches du dictionnaire, concernant vraisemblablement les objets découverts à Aurignac.
Commission de Topographie des Gaules
Dessins sur calque d'objets provenant de la collection Rabut
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Dessins sur calque réalisés par Chantre et représentant une grésine en grandeur réelle provenant de la collection Rabut ainsi qu'un fragment de revêtement en terre grise dessiné ou collectionné par le duc de Chaulnes (?).
Commission de Topographie des Gaules
Deux coupes en couleur des structures fouillées
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Dessin par Gaultier du Mottay.
Deux dessins d'un sanglier en bronze trouvé à Cahors
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Deux dessins d'un sanglier en bronze trouvé à Cahors et acquis par le musée le 20 avril 1872 (inv. 18262)
Ministère de l'Instruction publique
Deux dessins de haches de la collection Jullien
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Dessin en grandeur naturelle d'une petite hache en serpentine verte, à tranchant très poli, trouvée à Entrains et appartenant à la collection Jullien
Dessin en grandeur naturelle d'une hache en silex jaune, taillée à éclats, trouvée au Chagnot, appartenant à la collection Jullien.
Les deux dessins ont été réalisés et donnés par Héron de Villefosse.
Commission de Topographie des Gaules
Deux dessins de la même hache en bronze, vue de profil et de face
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Deux dessins en grandeur naturelle de la même hache en bronze, vue de profil et de face, portant un n°1804. L'objet est conservé dans la collection Beaudon. L'écriture est celle de Gabriel de Mortillet, le document porte la mention « K du Projet de classification des haches en bronze, trouvée dans un sol marécageux à Mouy. Dessinée d'après Baudon »
Commission de Topographie des Gaules
Deux dessins de sarcophages en plâtre
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Planche représentant au 1/20e des sarcophages en plâtre trouvés en janvier 1873 le long des murs de l'église de Nanterre. Ils ont été dessinés par Abel Maître et donnés au Musée de Saint-Germain par le maire de Nanterre. Le dessin porte le numéro d'entrée des deux sarcophages à l'inventaire en mai 1873 (don de M. Maurin, maire de Nanterre) : 20313.
Commission de Topographie des Gaules
Deux dessins de silex provenant de Saint-Acheul
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Deux dessins de silex dont l'un représentant le silex tenu en main. Ils ont été donnés par Gabriel de Mortillet.
Commission de Topographie des Gaules
Deux gravures de silex provenant de Levallois
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Deux gravures de silex tirées de la planche du dictionnaire des Gaules " Alluvions quaternaires - Haches en silex (spécimens choisis dans diverses collections)"
Commission de Topographie des Gaules
Deux photographies d'une inscription déposée à la préfecture de Mâcon
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Deux photographies d'une inscription déposée à la préfecture de Mâcon ( CIL XIII, 2583 ), il est également fait mention de " trois estampages donnant des specimens des lettres de grandeur naturelle". Une annotation donne la taille du bloc conservé.
Commission de Topographie des Gaules
Deuxième rapport sur les travaux de la Comission de Topographie des Gaules
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Le document présenté en objet numérique est le deuxième rapport sur les travaux effectués par la Commission de Topographie des Gaules adressé au ministre de l'Instruction publique G. Rouland et signé par le président de la CTG, Félicien de Saulcy. Rédigé le 21 août 1861, il a été remis au ministre en octobre 1861.
Saulcy, Félicien de
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Renier, Charles Alphonse Léon
Distribution des dolmens sur la surface de la France
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Divers relevés de coupes réalisées sur les sites de Menchecourt et Moulin-Quignon
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Divers relevés de coupes légendés des sites de Menchecourt et Moulin Quignon réalisée par Edouard Collomb en préparation d'une planche du Dictionnaire des Gaules - époque celtique, rédigé par la Commission de Topographie des Gaules.
Commission de Topographie des Gaules
Dolmen de la pierre Turquoise, Commune de Saint-Martin, Fôret de Carnelle
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Dessin d'Abel Maître.
Maître, Abel
Domaine national de Saint-Germain-en-Laye
Soumis au statut des « bâtiments civils et palais nationaux » à la fin du XIXe siècle, puis, à celui des « monuments historiques » en 1962, l’ancien Domaine royal de Saint-Germain-en-Laye est aujourd’hui Domaine national, domaine public et propriété de l’État, affecté au ministère en charge de la Culture. Jusqu’en 2009, date de sa fusion avec le musée d’Archéologie nationale, il est dirigé par un corps d’agents spécialisés dans la conservation du patrimoine architectural et paysager. Le fonds du Domaine national de Saint-Germain-en-Laye résulte de l’activité conjointe de l’agence d’architecture des bâtiments de France et de l’administrateur du Domaine. Cette équipe de conservateurs du patrimoine a pour mission d’assurer la conservation et la mise en valeur de ce Domaine national par l’exécution de travaux d’entretien, d’aménagement, de restauration, d’une part, et par la gestion du personnel des services de surveillance et du jardin d’autre part.
Architectes de l’État : les architectes en chef des monuments historiques (ACMH)
La loi du 30 mars 1887 pour la conservation des monuments historiques Comprend des dispositions instituant le corps des architectes en chef des monuments historiques (ACMH) instauré par le décret du 26 janvier 1892 et dont les statuts sont fixé en 1907. Recruté par un concours d’État, l’ACMH est nommé dans une circonscription par le ministre en charge de la Culture. Il formule toute proposition et avis pour la protection, la bonne conservation, la mise en valeur et la réutilisation des immeubles protégés. Il assiste la conservation régionale des monuments historiques pour la programmation annuelle des travaux. Il définit à la demande du conservateur régional les propositions d’études préalables aux travaux de restauration des monuments historiques classés. Il est chargé, en tant que maître d’œuvre, de diriger les travaux.
Pendant longtemps la conservation du Domaine est distincte de celle du château de Saint-Germain-en-Laye, et relève de l’attribution d’un architecte ou d’un ingénieur nommé par l’administration centrale. Nous sommes parvenus à reconstituer la liste des architectes successifs depuis le règne de Louis-Philippe, sous réserve de nouvelles recherches. Alexandre Prosper Loaisel de Tréogate, « ingénieur des parterres », est connu pour avoir aménagé les jardins suite à la construction de la gare de Saint-Germain en 1847. Vers 1849-1852/1854, Jules Alexandre Cailloux, « architecte des parterres et terrasse », est chargé de la surveillance, de la conservation de la terrasse et du parterre, avant l’arrivée d’un certain Monsieur Dufrayer. À partir de 1879, la fonction conservation du Domaine et celle du château fusionnent. Joseph-Auguste Lafollye (1828-1891), déjà en charge du Domaine, poursuit les travaux de restauration du château entrepris par Eugène Louis Millet (1819-1879) depuis 1855. Pierre-Gérôme-Honoré Daumet (1826-1911) assure la conservation de 1889 à 1911. Louis Jean Hulot (1871-1959), architecte en chef des bâtiments civils et palais nationaux, est ensuite responsable de l’entretien de 1912 à 1939. Son successeur, Jean-Baptiste Hourlier (1897-1987) de 1939 à 1966, est le premier à être appelé « architecte en chef du Domaine de Saint-Germain-en-Laye ». Aujourd’hui, et sous réserve de la découverte de nouveaux documents, il est l’auteur des archives les plus anciennes du fonds. Lui succèdent les architectes en chef des monuments historiques (ACMH) à l’origine de la majorité de la production documentaire du fonds : Louis Blanchet (1927-) de 1966 à 1992, et Bernard Voinchet (1944-) de 1992 à 2001. Le 14 novembre 2001 Jacques Moulin est nommé ACMH pour le « parc du domaine de Saint-Germain-en-Laye ». Cependant le SNT demeure en relation avec Bernard Voinchet jusqu’en 2008 pour l’achèvement des travaux déjà engagés afin d’assurer leur continuité. Entre 2008 et 2010, l’architecte urbaniste de l’État Anne Staub reprend les fonctions. Depuis 2010, Régis Martin est le nouvel ACMH commun au château et au Domaine.
FONCTIONS ET ACTIVITES
Conservation d’un Domaine national
Nomenclature budgétaire. La nomenclature budgétaire des travaux de restauration est exprimée en titres (annualité), chapitres (spécialité) et articles (unité). Elle se présente sous la forme de chapitres budgétaire. Parmi les titres du budget de l’État nous retrouvons :
Il existe un cadre particulier du budget des monuments historiques appartenant à l’État, pour lesquelles la nomenclature budgétaire s’exprime essentiellement dans les quelques chapitres suivants :
Procédure pour les gros travaux. Il s’agit de travaux de conservation ou de restauration nécessités par l’état des monuments les plus gravement atteints. Ces travaux sont financés sur le chapitre 56-20 article 50. Ils sont menés sous la maîtrise d’ouvrage des DRAC ou du SNT. Le maître d’œuvre est l’ACMH territorialement compétent, c’est-à-dire qu’il établit le projet et en contrôle l’exécution. Il travaille en plusieurs étapes :
L’étude préalable (EP) dont l’objectif est d’avoir une connaissance précise des travaux à conduire, et de leur éventuel phasage. Elle fait l’historique du bâtiment et propose des restaurations. Elle a valeur de permis de construire.
Le projet architectural et technique (PAT) fait partie du dossier d’appel d’offres (ou dossier de consultation des entreprises) et complète l’étude préalable. Il sert à la mise en concurrence des entreprises. Il comprend :
Le marché public se compose de plusieurs pièces :
Le suivi des travaux :
La création du dossier documentaire des ouvrages exécutés (DOE ou DDOE) ou rapport de restauration.
L’initiative du lancement d’une procédure appartient soit à l’administrateur du Domaine, soit aux services dépendant de la direction du patrimoine. Au cours des visites pluriannuelles faites par l’ABF, l’ACMH ou le CRMH, l’administrateur constate avec l’aide de ce dernier les désordres. Si ceux-ci sont de faible importance, il voit avec l’ABF comment les réduire, éventuellement sur des crédits d’entretien. S’ils sont importants, l’ABF saisit, en liaison avec l’administrateur, le CRMH du problème. Celui-ci, accompagné de l’ABF et de l’ACMH, prend la mesure des travaux à mener. Le CRMH, après consultation de l’administrateur sur une éventuelle priorité, commande à l’ACMH une étude préalable. La durée de l’étude préalable est de six mois. À la réception de l’étude, le CRMH demande obligatoirement l’avis de l’inspection des monuments historiques et de l’inspection générale des monuments historiques territorialement compétentes. Cet avis est réputé favorablement dans un délai de deux mois, avant de passer à la phase suivante de mise au point du projet de restauration par la commande d’un PAT. Le délai est de sept mois au minimum après la réception de la commande par l’ACMH du PAT. On peut considérer qu’à partir du moment où la commande d’étude préalable a été passée à l’ACMH, un délai moyen de deux ans est inévitable avant le commencement des travaux, compte-tenu des contraintes d’avis, de marchés, de gestion comptable, etc. Le CRMH engage les crédits et parallèlement, passe commande du PAT, prépare les marchés et les appels d’offre, passe les marchés. L’ACMH signe alors les ordres de services aux entreprises et suit le déroulement des travaux. Il importe que le règlement du chantier soit élaboré en concertation entre l’ACMH et l’administrateur. Chaque réunion de chantier doit se faire en présente de l’administrateur. La réception des travaux est réalisée par l’ACMH, l’administrateur et le CRMH.
Procédure pour les travaux d’entretien. L’entretien correspond à l’action préventive ou curative, qui, avec des moyens réduits, empêche l’apparition d’un désordre, le supprime ou en arrête l’extension. L’administrateur a le devoir de veiller au bon état du monument. Cette action préventive consiste essentiellement en balayage, nettoyage des créneaux et fossés, émoulage, dégorgement, etc. Elle est l’entière responsabilité de l’administrateur. L’ABF doit au cours de ses visites d’inspection pluriannuelles, le lui rappeler. L’action curative, quant à elle, appartient à l’ABF en concertation avec l’ACMH et l’administrateur. L’ABF est obligatoirement le maître d’œuvre de ces travaux. Il dispose d’un crédit annuel dont il assume la programmation. L’ordre de service des travaux d’entretien est établi suivant un modèle défini. Une copie est adressée au conservateur régional ainsi qu’à l’ACMH. L’ABF signe le permis de feu autorisant l’entreprise à entreprendre des travaux.
Procédure pour les travaux neufs. Dans certains cas, des travaux d’investissement doivent être menés afin d’aménager dans le monument un accueil, des locaux professionnels, voire des bureaux ou des logements. Lorsque ces travaux ne modifient pas les parties sensibles du monument, le régime des travaux sur les immeubles classés parmi les monuments historiques ne s’applique plus. Il faut alors appliquer les textes sur l’ingénierie.Le maître d’ouvrage, conservateur régional attaché à la DRAC, SNT ou CMN, peut, pour assurer la maîtrise d’œuvre de l’opération, faire appel soit à un architecte libéral, soit à l’ACMH, soit à l’ABF. Dans la plupart des cas l’initiative appartient à l’administrateur qui doit faire connaître, au travers de son rapport d’activité annuel, ses besoins en matière de travaux d’amélioration : de l’accueil du public, des conditions de travail de ses agents, des logements de service. Un programme détaillé de l’opération doit alors être effectué en liaison avec le utilisateurs du monument, l’ABF, l’ACMH, le conservateur régional et le CMN afin de vérifier la nécessité et la faisabilité du projet au regard des exigences des biens et du publics, et du respect du monument.
La protection des abords. Selon la loi de 1943, sont protégés les abords des monuments, donc tout immeuble placé dans un périmètre de 500 mètres. Toute destruction construction, restauration doit obtenir l’accord préalable de l’ABF ou de l’ACMH.
L’accueil et la surveillance d’un Domaine national
La direction du patrimoine fait appel à un corps d’agents spécifiques pour la gestion des monuments historiques. Ces agents interviennent essentiellement en qualité de gardiens ou de jardiniers et sont placés sous la responsabilité de l’administrateur du Domaine :
L’actuel instrument de recherche décrit l’ensemble des archives relevant du cœur de métier du double producteur, les architectes de l’État et l’administrateur. Trois fonctions ont été identifiées :
Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye
Le fonds Dorothy Garrod, est susceptible d’intéresser la communauté scientifique nationale et internationale souhaitant réutiliser les documents de terrain dans des objectifs scientifiques et historiographiques.
Le fonds est constitué majoritairement d’une correspondance professionnelle et de documents de terrain (journaux de fouilles, relevés de terrain, plans, photographies, catalogues), rapports, dossiers de préparations de publications produits dans le cadre des expéditions et fouilles menées par D. Garrod tout au long de sa carrière d’archéologue de l’Angleterre au Proche-Orient de 1924 à 1963. En complément, quelques cahiers et dossiers personnels documentent l’épisode français de la formation de D. Garrod au début des années vingt (Institut de Paléontologie Humaine, fouilles sur des sites français).
Dates des expéditions de D. Garrod (1924-1963) :
Mission for the Torquay Natural History Society
Excavations in the Torbryan Valley, Devon (Angleterre)
Du 25 mars au 4 avril 1924
Excavations at Devil’s Tower (Gibraltar)
3 courtes campagnes de novembre 1925 à décembre 1926
Excavations at Langwith Cave
Du 11 avril au 28 avril 1927
Joint expedition of the Percy Sladen Memorial Freud and the American School of Prehistoric Research (A.S.P.R.)
Excavations at Zarzi (Kurdistan)
Du 2 novembre au 11 novembre 1928
Excavations at Hazar Merd (Kurdistan)
Du 20 novembre au 6 décembre 1928
Joint expedition of the American School of Prehistoric Research (A.S.P.R.) and the British School of Prehistoric Research
Excavations at Shukbah (Jordanie)
Du 4 avril au 3 juin 1928
(Georges and Edna Woodbury : représentants de l’American School of Prehistoric Research, D. Garrod représentante de la British School of Prehistoric Research)
Joint expedition of the American School of Prehistoric Research (A.S.P.R.) and the Palestine Exploration Fund
Excavations at Wady el-Mughara
Première campagne :
Du 3 avril au 17 juin 1929
Seconde campagne :
Du 3 avril au 18 juin 1930
Troisième campagne :
Mugharet el-Wad : du 1er avril au 20 juin 1931
Mugharet et-Tabun : du 20 avril au 3 juillet 1931
Quatrième campagne :
Mugharet el-Wad : du 6 octobre au 11 novembre 1932
Mugharet et-Tabun : du 2 octobre au 24 décembre 1932
Cinquième campagne :
Mugharet el-Wad : du 18 mai au 10 juin 1933
Mugharet et-Tabun : du 6 avril au 4 juillet 1933
Sixième campagne :
Mugharet et-Tabun : du 2 avril au 25 août 1934
(Harriet Allyn et Martha Hackett (Theodore et Donald McCown en 1930) : représentants de l’American School of Prehistoric Research, Elinor Ewbank et Martha Kitson-Clark : étudiants d’Oxford et Cambridge)
Expedition de l’A.S.P.R. : Palaeolithic Reconnaissance in Central Anatolia
Excavations at Karluscovo station
Du ? au ? 1938
Excavations at Bacho Kiro (Batcho-Kuro)
Du 27 juillet au 8 août 1938
Expedition of the British School of Archaoelogy in Jerusalem
Excavations at « abri Zumoffen » (Ras el-Kelb)
Du ? au ? 1958
Excavation at Ras el-Kelb (désignée aussi : « fouille du rail » ou « cave at Ras el-Kelb »)
Du 23 février au 8 avril 1959
Excavation at Mugharet el-Beze
Du 11 février au 8 mai 1963
Garrod, Dorothy
Découverte du Theil, commune de Billy
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Planche de dessin d'objet retrouvé au Theil pour une publication dans Revue Archéologique, 1875
Commission de Topographie des Gaules
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Ministère de l'Instruction publique
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Commission de géographie historique de l'ancienne France
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Courrier de Monsieur Bourdet, du Havre, daté du 23 novembre 1877.
Commission de Topographie des Gaules
Détail de la porte du côté Ouest
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Détail de la porte du côté de l'Est
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Détail de la porte du côté du Nord
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Détail de la porte du côté du Sud
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Courrier de Monsieur Martin Daussigny, de Lyon, directeur du musée archéologique de la ville de Lyon, daté du 12 octobre1866.
Martin Daussigny, Edmé-Camille
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Courrier de Monsieur Ed. Flouest, de Chalon-sur-Saône, procureur impérial et membre de plusieurs sociétés savantes, daté du 16 avril 1866 sur papier à en-tête du Parquet, Tribunal civil de Chalon-sur-Saône et Cour d'Assises de Saône-et-Loire.
Flouest, Edouard
Elévation nord du château de Saint-Germain-en-Laye
Fait partie de Corpus numérique sur l'histoire du château et des jardins de Saint-Germain-en-Laye
Ministère de la Guerre
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Courrier de Monsieur Emile Amé, d'Aurillac, daté du 7 novembre 1868 sur papier à en-tête du Département du Cantal.
Amé, Émile
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Courrier de Monsieur Lalanne, de Bordeaux, daté du 13 avril 1872.
Lalanne, Emile
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Correspondant de la Société nationale des Antiquaires de France.
Commission de géographie historique de l'ancienne France
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Courrier de Monsieur Emile Travers, de Caen, correspondant de la Société nationale des Antiquaires de France, ancien correspondant de la Commission de la Topographie des Gaules, daté du 22 mars 1880.
Travers, Emile
Enceinte près de La Croix Saint-Pierre (plan)
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Plan de l'enceinte près de la Croix Saint-Pierre (commune de Saint-Just). Lande de Coujou, II (sic). Le document porte un numéro d'inventaire coupé et la signature d'Alfred Ramé ou d'Alexandre Bertrand (?).
Cf. Lande de Cojou, Revue archéologique, 1864, vol. 9, p 81.
Commission de Topographie des Gaules
Epoque gauloise - bijoux en or (Tumulus)
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Epoque gauloise – Torques et bracelets (cimetières de la Marne)
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Epoque gauloise – rasoirs en bronze
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Dessins par E. Naudin.
Epreuve de la planche préparée pour le Dictionnaire archéologique de la Gaule, époque celtique
Fait partie de Commission de Topographie des Gaules
Vestiges du char gaulois enfoui dans le tumulus du Champ de la Butte, aux Mousselots de Sainte-Colombe, conservé au musée de Saint-Germain.