Aperçu avant impression Fermer

Affichage de 2274 résultats

Description archivistique
Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye Avec objets numériques
Aperçu avant impression Affichage :

SN

Château de Saint-Germain-en-Laye, dessus de la porte remontée dans l’un des bureaux du premier étage, bois, vers 1682-1685.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

SN

Château de Saint-Germain-en-Laye, vestibule du bureau du directeur, dessus de porte avec frise sculptée provenant de l’appartement du Dauphin ou de celui de la Dauphine, bois, vers 1682-1685.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

SN

Château de Saint-Germain-en-Laye, salle « Louis XIV », porte menant vers le bureau du directeur, bois, vers 1682-1685.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

SN

Château de Saint-Germain-en-Laye, bas-relief au chiffre de la Dauphine dans la salle « Louis XIV » entre les fenêtres sur cour, bois, vers 1682-1685.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

SN

Château de Saint-Germain-en-Laye, salle « Louis XIV », lambris d’appui, bois, vers 1682-1685.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

SN

Château de Saint-Germain-en-Laye, plafond de la salle « Louis XIV », bois, vers 1682-1685. Vue avec le lustre.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

Statuette féminine dite "Losange" (MAN 49281)

Cette statuette, sculptée dans de la stéatite verte, a été surnommée le « losange », en raison de sa silhouette, constituée d’un corps généreux, et d’une tête et de membres réduites. La plupart des statuettes féminines ou « Vénus » gravettiennes – d’il y a 25000 ans environ – s’inscrivent elles aussi dans un losange.
La tête est très étroite, de forme ovale, avec un sommet pointu, qui pourrait correspondre à une coiffure conique. Le mention est bien dessiné, à l’encontre du reste du visage. Le cou est dégagé, mettant en valeur des épaules larges et un torse plane. De ce torse, se détachent deux seins volumineux, écartés et aplatis, détourés par des incisions profondes. Les bras, extrêmement fins, sont à peine esquissés et plaqués contre le corps.
Comme la poitrine, le ventre est sculpté en fort relief, très proéminent et détouré par incision. Le sexe est fortement marqué, avec le détail de la vulve. Encadrant d’abord le ventre et le sexe, les jambes se réunissent ensuite pour former une pointe qui semble avoir été anciennement brisée. De chaque côté, les hanches et les fesses sont très saillantes.
Sur la face arrière, on peut voir le dos, très plat, les reins, à la cambrure peu marquée, et les fesses, à la fois écartées et aplaties. Seins, ventre et fesses ont ainsi été façonnés selon des mêmes techniques. Loin d’être réaliste, cette statuette féminine se révèle géométrisée et stylisée.

Autres statuettes sur la même image

Statuette féminine en stéatite verte
Stéatite verte
L. = 3.8 cm ; l. = 1.3 cm ; É. = 1.1 cm
Grottes des Balzi Rossi à Grimaldi (Italie)
Gravettien, vers -29000 / -22000 ans
Fouilles Louis Alexandre Jullien, 1883-1895
MAN 49280 bis

Statuette féminine en os dite « femme au goitre »
Os
L. = 4.5 cm ; l. = 1.4 cm ; É. = 0.9 cm
Grottes des Balzi Rossi à Grimaldi (Italie)
Gravettien, vers -29000 / -22000 ans
Fouilles Louis Alexandre Jullien, 1883-1895
MAN 49283

Tête humaine en stéatite verte
Stéatite verte
L. = 2.5 cm ; l. 1.5 cm ; É. = 2.5 cm
Grottes des Balzi Rossi à Grimaldi (Italie)
Gravettien, vers -29000 / -22000 ans
Fouilles Louis Alexandre Jullien, 1883-1895
MAN 49284

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

Tête féminine dite Dame à la capuche (MAN 47019)

Tête féminine intitulée également "Dame de Brassempouy" a été découverte dans la grotte du Pape à Brassempouy (Landes) en 1894, lors des fouilles menées par Édouard Piette.
Sans parler de portrait fidèle, cette statuette donne une image de la femme paléolithique. La tête triangulaire, avec un front large et un menton pointu est encadré par une coiffure quadrillée, interprétée comme une chevelure tressée ou une capuche. On retrouve ce quadrillage sur la tête de la statuette de Grimaldi (MAN 49281). C'est probablement lors de la fouille que la tête s'est fendue sur la joue droite. L'expression du visage est énigmatique et unique parmi les statuettes féminines gravettiennes. On a longtemps imaginé que cette tête avait appartenu à une statuette, pourtant celle-ci est intacte.
Cette statuette est présentée dans la salle Piette du musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye, avec l'ensemble de la collection d'Édouard Piette et dans le respect de la muséographie qu'il a réalisée.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

Collection des arts graphiques

  • COL/AG
  • Collection
  • 1600 - 1910

Cette collection d’arts graphiques est constituée de pièces réalisées entre le XVIIe siècle et le premier quart du XXe siècle. Il s’agit pour l’essentiel d’estampes (petits formats et hors-format), mais nous pouvons également y retrouver quelques dessins, aquarelles et gouaches.
Les estampes présentées ci-dessous – toutes de petit format – sont au nombre de vingt-neuf. Parmi ces vingt-neuf pièces, vingt-huit remontent au XVIIe siècle, et une seule est de datation indéterminée quoique visiblement tirée d’un ouvrage de la même époque ; elles représentent pour la plupart des vues extérieures des deux châteaux de Saint-Germain-en-Laye et du domaine leur étant associé.
D’abord résidence royale, le domaine de Saint-Germain-en-Laye devient national à la fin du XVIIIe siècle, et est classé monument historique en 1863. Le domaine voit sa gestion fusionner avec celle du musée en 2009 afin de former un unique service à compétence nationale.
Le site de Saint-Germain-en-Laye devient résidence royale au XIIe siècle, lorsque le roi Louis VI décide d'y faire élever un château non fortifié en bois vers 1124. Ce premier château – plus tard surnommé « Château-Vieux » en opposition au « Château-Neuf » des XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles – est fortifié par Philippe-Auguste, qui y fait bâtir une tour-logis en pierre et entoure l’édifice d’un mur de défense. Au XIIIe siècle, le château est agrandi par Louis IX, qui fait notamment bâtir la chapelle castrale dans un style gothique rayonnant. Après avoir subi d’importants dommages pendant la Guerre de Cent ans, le château de Saint-Germain-en-Laye est reconstruit en partie grâce à l’action de Charles V et de son architecte Raymond du Temple.
Sous François Ier, le château devient une résidence royale de premier plan, et sa transformation en style Renaissance est confiée à Pierre Chambiges. Né au Château-Vieux de Saint-Germain-en-Laye en 1519, Henri II entreprend la construction du Château-Neuf en 1559, chantier qu’il attribue à l’architecte Philibert Delorme ; les travaux s’achèvent sous Henri IV, vers 1600.
De 1661 à 1682, Louis XIV réside souvent à Saint-Germain-en-Laye, où il fait réaliser d’importants aménagements, notamment la création des jardins à la française par André Le Nôtre, ainsi que la construction de la Grande Terrasse entre 1663 et 1680. À partir de 1680 commencent les travaux de modification du Château-Vieux, auquel sont ajoutés cinq pavillons d’angles ; ces travaux d'agrandissement du château sont confiés à Jules Hardouin-Mansart. Bien que la cour quitte définitivement Saint-Germain-en-Laye pour Versailles en 1682, le domaine n’est pas complètement laissé à l’abandon, et le Château-Vieux accueille notamment Jacques II, alors en exil, de 1689 jusqu’à sa mort en 1701.
En 1777, Louis XVI fait don du Château-Neuf ruiné à son frère le comte d’Artois, qui le fait démolir dans l’intention d’élever une nouvelle résidence. À la Révolution, le Château-Neuf et une grande partie des dépendances du domaine sont vendus comme biens nationaux.
Sous le Premier Empire, le Château-Vieux accueille l’École spéciale militaire de cavalerie, qui devient en 1914 l’École spéciale militaire de Saint-Cyr. En 1836, l’édifice est transformé en pénitencier militaire, au sein duquel près de cinq cents officiers sont incarcérés. Dès son accession au pouvoir en 1852, Napoléon III se préoccupe du sort du château, et s’oppose ainsi à son usage comme centre pénitentiaire. En décembre 1853, il déclare notamment que « l’existence d’une prison militaire dans l’antique château de Louis XIV est une sorte de profanation […] Le pénitencier sera éloigné de Saint-Germain, et ce château, qui rappelle de grands et nobles souvenirs, sera réparé […] J’ai donné des ordres à cet effet ». Le Château-Vieux est ainsi classé Monument historique dès 1862 (l’ensemble du domaine est classé en 1863), et des travaux de restauration sont rapidement entrepris. Trois architectes se succèdent sur ce chantier colossal : Eugène Millet, Auguste Lafollye et Honoré Daumet.
Le chantier est d’abord confié à l’architecte Eugène Millet, élève d’Eugène Viollet-le-Duc, qui prend le parti de restaurer le château dans son état Renaissance et s’appuie ainsi sur les plans publiés par Jacques Androuet du Cerceau en 1576. Aux plans et aux élévations d’Androuet du Cerceau s’ajoutent des gravures d’Israël Silvestre (milieu du XVIIe siècle), qui permettent d’appréhender le château dans son ensemble dans l’état qui était le sien jusqu’à la fin du XVIIe siècle avec l’accord de la commission des Bâtiments civils. Afin de privilégier l’état XVIe siècle, les pavillons élevés sous Louis XIV sont démontés. En parallèle de la restauration du bâtiment, Millet entreprend l’aménagement des salles du musée, dont il commence à concevoir le mobilier afin de mettre en œuvre une « véritable muséographie destinée à l’archéologie ». Ce travail d’aménagement est ensuite poursuivi par Auguste Laffolye.
Les travaux de réfection de la chapelle sont entrepris à partir de 1873 ; Eugène Millet est chargé d’y ajouter une flèche, dont les travaux commencent avant 1889, et ne sont toujours pas achevés en 1895. Cette flèche est finalement démontée en 1907.
La restauration complète du château ne s’achève qu’en 1908, avec la décoration de l’entrée principale sur la façade ouest et l’aménagement final de plusieurs salles du musée.
La collection des arts graphiques du service des Ressources documentaires du musée d'Archéologie nationale permet de constater les différentes évolutions connues par le domaine et les châteaux de Saint-Germain-en-Laye depuis les XVIe – XVIIe siècles jusqu'au début du XXe siècle.
Au sein de cette collection figurent notamment vingt-neuf estampes du XVIIe siècle ; douze d'entre elles représentent le Château-Vieux, neuf concernent le Château-Neuf, tandis que quatre correspondent à des vues du domaine, et quatre autres à des édifices français extérieurs à Saint-Germain-en-Laye. Ces documents, dont certains sont légendés, voire datés, permettent de retracer l’histoire des deux châteaux de Saint-Germain-en-Laye au cours du XVIIe siècle avec une relative précision. En effet, avec la destruction des pavillons de Louis XIV lors de la restauration du Château-Vieux au XIXe siècle et l’abandon du Château-Neuf dès le XVIIe siècle, les estampes étudiées ici représentent un témoignage exceptionnel de l’état des deux châteaux à cette époque, avant l’effondrement progressif du Château-Neuf et la restauration en style Renaissance du Château-Vieux.
Cette collection d’estampes a été divisée selon quatre ensembles thématiques. Le premier ensemble correspond au Château-Vieux de Saint-Germain-en-Laye, le deuxième au Château-Neuf, le troisième au domaine, et le quatrième et dernier aux vues Hors Saint-Germain-en-Laye. Il s’agit uniquement de vues extérieures, ce qui permet d’appréhender les édifices dans leur contexte.
Si toutes les œuvres ne sont pas signées, trois noms de graveurs reviennent particulièrement : ceux d’Israël Silvestre (1621 – 1691), Adam Pérelle (1638 – 1695) et Pierre Aveline (1656 – 1722). Aux signatures des graveurs sont généralement associées celles des éditeurs, ayant été identifiés comme Israël Henriet (1590 ? – 1661), Nicolas de Poilly (1626 – 1696), Nicolas Langlois (1640 – 1703) et Melchior Tavernier (1594 – 1665). L’identité des graveurs a permis de systématiquement attribuer à chaque estampe une technique de réalisation ; en effet, il semble que tous trois aient travaillé en taille-douce, plus spécifiquement à l’eau-forte.
Ces vingt-neuf estampes semblent en grande partie issues de trois achats de lots, effectués respectivement en 1876, 1888 et 1889 (dates d’entrée dans le registre de la bibliothèque). Chaque lot porte un numéro d’inventaire (4319 pour celui de 1876, 7303 pour celui de 1888 et 7807 pour celui de 1889), numéros se retrouvant à de multiples reprises sur les estampes traitées.
La description se fait ici à la pièce sous forme d'un inventaire.
Plusieurs de ces estampes portent le tampon de la bibliothèque (sur lequel figure parfois leur numéro d’entrée au registre manuscrit), ainsi que le tampon sec du Musée des Antiquités nationales.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN42790 ; MAN37844 ; MAN42789 ; MAN40951

Objet : MAN42790
Fragment de draperie en albâtre
Objet : MAN37844
Fragment de vase en marbre villa d'Ancy
Objet : MAN42789
Fragment de torse de femme en marbre villa d'Ancy
Objet : MAN40951
Fragment d'enduit villa d'Ancy
Collection Moreau
Entrée au musée en 1899

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 25773* 

Objet: MAN 25773* 
"Cippe de Germinus, tailleur, Faubourg, St. Jacques" ; Entrée au musée en 1880 ; REINACH Salomon. Catalogue illustré du musée des antiquités nationales au château de Saint-Germain-en-Laye (Tome 1). Paris : Musée nationaux, 1926, p. 248.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 59375

Objets : MAN 20325*
"Pierre tombale de Lucien Albanus de Mâcon (Sâone-et-Loire)".
Représentation d’un auxiliaire monté sur un cheval marchant vers la droite.
Inscription à Albinus, fils d’Excingus.
Entrée au musée en 1873.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

Fonds du laboratoire du musée d'Archéologie nationale

  • 2021001
  • Fonds
  • 1941 - 2019

Ce fonds est constitué des archives produites par les restaurateurs du laboratoire. Pour des raisons de traçabilité et de documentation, les restaurateurs laissent de plus en plus d’archives témoignant de leur activité. C’est ainsi que les premières années de 1960 à 1990 sont peu présentes par rapport aux années suivantes. Les années les plus représentées ici sont celles durant lesquelles Clotilde Proust exerce la fonction de responsable de l’atelier. Même si les traces de leurs activités diffèrent quant à la forme, on remarque bien une continuité entre les différents acteurs. On retrouve dès 1960 des rapports de restauration, mentionnant la plupart du temps le numéro d’inventaire des objets restaurés. En effet tout tourne de près ou de loin autour de ces rapports; l’achat de matériel, les bilans sanitaires, la documentation sur les techniques et sur les matériaux visent à permettre la conservation d’investigation, la restauration pour étude et pour exposition.
Ces archives révèlent l’activité du laboratoire de restauration depuis les années 1960 à 2019. On y trouve celles liées au fonctionnement du laboratoire, comme les rapports d’activité, les dossiers de suivi médical, les dossiers du Comité Hygiène et Sécurité, les notes de service informant la présence d’agents extérieurs, les dossiers pour l’achat et la maintenance du matériel classique de laboratoire ou spécifique comme la cabine de radiographie, les documents préparatoires aux conférences budgétaires et enfin les dossiers ayant trait aux restaurations externalisées.
Puis sont conservées les archives liées aux missions propres du laboratoire, c’est-à-dire la conservation, la restauration et le moulage ; il s’agit de dossiers d’études, de photos de salles et d’objets, de rapports de restauration, des bilans sanitaires et de la documentation.
À cela s’ajoute les traces d’activités de valorisation et de collaboration avec des organismes extérieurs; il s’agit de conventions, de dossiers de fouilles, de publications.
Doté d’une expertise dans son domaine, le chef du laboratoire est également amené à faire part de son savoir auprès d’institutions universitaires ou de groupes de professionnels. On trouve donc ses supports de cours, les diagnostics faits au nom de son expertise, les dossiers d’étude constitués au sein des groupes de travail régionaux ou ministériels auxquels il appartenait.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 31433

Fragment d'horloge anaphorique inscrite, en bronze, provenant de Grand (Vosges). H. : 22,1 cm; l. : 18 cm ; Ep. : 0,05 cm. IIIe s.
Verso avec mire.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 61046

Fausse inscription latine, marbre blanc, provenant d'Albigny-sur-Saône (Rhône). H. : 57,5 cm ; l. 40,5 cm ; ép. 11 cm. XVIIe siècle. Restauration 2020. Face avec mire.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 61046

Fausse inscription latine, marbre blanc, provenant d'Albigny-sur-Saône (Rhône). H. : 57,5 cm ; l. 40,5 cm ; ép. 11 cm. XVIIe siècle. Restauration 2020. Côté latéral gauche.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 61046

Fausse inscription latine, marbre blanc, provenant d'Albigny-sur-Saône (Rhône). H. : 57,5 cm ; l. 40,5 cm ; ép. 11 cm. XVIIe siècle. Restauration 2020. Face sans mire.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 61046

Fausse inscription latine, marbre blanc, provenant d'Albigny-sur-Saône (Rhône). H. : 57,5 cm ; l. 40,5 cm ; ép. 11 cm. XVIIe siècle. Restauration 2020. Revers avec mire.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 33187

Ferret de ceinture en bronze, provient de l'ancienne église paroissiale de Rosny-sur-Seine (Yvelines). L. : 0,055 m; l. : 0,03 m. Époque carolingienne, 8e siècle après J.-C. Don Lebaudy en 1893.
Recto avec échelle

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 91806

Chapiteau composite à anses, décoré de feuilles d'acanthes, de motifs géométriques abstraits et de poissons. Calcaire (pierre de Saintonge ?). 47,5x40x38 cm. Achat 2018. 7e - 8e siècle. Restauration 2020. Face A, détail du poisson de gauche.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 91806

Chapiteau composite à anses, décoré de feuilles d'acanthes, de motifs géométriques abstraits et de poissons. Calcaire (pierre de Saintonge ?). 47,5x40x38 cm. Achat 2018. 7e - 8e siècle. Restauration 2020. Face A, 3/4 gauche avec mire.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 91806

Chapiteau composite à anses, décoré de feuilles d'acanthes, de motifs géométriques abstraits et de poissons. Calcaire (pierre de Saintonge ?). 47,5x40x38 cm. Achat 2018. 7e - 8e siècle. Restauration 2020. Face B, en partant de la gauche avec mire.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 91806

Chapiteau composite à anses, décoré de feuilles d'acanthes, de motifs géométriques abstraits et de poissons. Calcaire (pierre de Saintonge ?). 47,5x40x38 cm. Achat 2018. 7e - 8e siècle. Restauration 2020. Face C, en partant de la gauche avec mire.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 91806

Chapiteau composite à anses, décoré de feuilles d'acanthes, de motifs géométriques abstraits et de poissons. Calcaire (pierre de Saintonge ?). 47,5x40x38 cm. Achat 2018. 7e - 8e siècle. Restauration 2020. 3/4 droit avec mire.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 91806

Chapiteau composite à anses, décoré de feuilles d'acanthes, de motifs géométriques abstraits et de poissons. Calcaire (pierre de Saintonge ?). 47,5x40x38 cm. Achat 2018. 7e - 8e siècle. Restauration 2020. Face D, en partant de la gauche avec mire.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 91806

Chapiteau composite à anses, décoré de feuilles d'acanthes, de motifs géométriques abstraits et de poissons. Calcaire (pierre de Saintonge ?). 47,5x40x38 cm. Achat 2018. 7e - 8e siècle. Restauration 2020. Détail poisson de droite.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 91806

Chapiteau composite à anses, décoré de feuilles d'acanthes, de motifs géométriques abstraits et de poissons. Calcaire (pierre de Saintonge ?). 47,5x40x38 cm. Achat 2018. 7e - 8e siècle. Restauration 2020. Vue du dessus.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 91806

Chapiteau composite à anses, décoré de feuilles d'acanthes, de motifs géométriques abstraits et de poissons. Calcaire (pierre de Saintonge ?). 47,5x40x38 cm. Achat 2018. 7e - 8e siècle. Restauration 2020. Face A.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 91806

Chapiteau composite à anses, décoré de feuilles d'acanthes, de motifs géométriques abstraits et de poissons. Calcaire (pierre de Saintonge ?). 47,5x40x38 cm. Achat 2018. 7e - 8e siècle. Restauration 2020. Face A, 3/4 gauche.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 91806

Chapiteau composite à anses, décoré de feuilles d'acanthes, de motifs géométriques abstraits et de poissons. Calcaire (pierre de Saintonge ?). 47,5x40x38 cm. Achat 2018. 7e - 8e siècle. Restauration 2020. Face B, depuis la gauche.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 91806

Chapiteau composite à anses, décoré de feuilles d'acanthes, de motifs géométriques abstraits et de poissons. Calcaire (pierre de Saintonge ?). 47,5x40x38 cm. Achat 2018. 7e - 8e siècle. Restauration 2020. Face C, en partant de la gauche.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 91806

Chapiteau composite à anses, décoré de feuilles d'acanthes, de motifs géométriques abstraits et de poissons. Calcaire (pierre de Saintonge ?). 47,5x40x38 cm. Achat 2018. 7e - 8e siècle. Restauration 2020. Face D, en partant de la gauche.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 25327

Bloc sculpté : Cernunnos et autres divinités, calcaire, provenant de Saintes (Charente-Maritime). H. : 78 cm ; ép. : 30 cm ; l. : 83 cm. Don B. Fillon 1879. 1er siècle. Restauration 2020. Profil droit sans mire.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 25327

Bloc sculpté : Cernunnos et autres divinités, calcaire, provenant de Saintes (Charente-Maritime). H. : 78 cm ; ép. : 30 cm ; l. : 83 cm. Don B. Fillon 1879. 1er siècle. Restauration 2020. Trois-quart gauche, détail de la corne d'abondance.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 25327

Bloc sculpté : Cernunnos et autres divinités, calcaire, provenant de Saintes (Charente-Maritime). H. : 78 cm ; ép. : 30 cm ; l. : 83 cm. Don B. Fillon 1879. 1er siècle. Restauration 2020. Trois-quart gauche, détail du cou.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 25327

Bloc sculpté : Cernunnos et autres divinités, calcaire, provenant de Saintes (Charente-Maritime). H. : 78 cm ; ép. : 30 cm ; l. : 83 cm. Don B. Fillon 1879. 1er siècle. Restauration 2020. Face avec mire.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 25327

Bloc sculpté : Cernunnos et autres divinités, calcaire, provenant de Saintes (Charente-Maritime). H. : 78 cm ; ép. : 30 cm ; l. : 83 cm. Don B. Fillon 1879. 1er siècle. Restauration 2020. Face sans mire.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 25327

Bloc sculpté : Cernunnos et autres divinités, calcaire, provenant de Saintes (Charente-Maritime). H. : 78 cm ; ép. : 30 cm ; l. : 83 cm. Don B. Fillon 1879. 1er siècle. Restauration 2020. Détail de la tête de la déesse.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 25327

Bloc sculpté : Cernunnos et autres divinités, calcaire, provenant de Saintes (Charente-Maritime). H. : 78 cm ; ép. : 30 cm ; l. : 83 cm. Don B. Fillon 1879. 1er siècle. Restauration 2020. Détail de la corne d'abondance.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 25327

Bloc sculpté : Cernunnos et autres divinités, calcaire, provenant de Saintes (Charente-Maritime). H. : 78 cm ; ép. : 30 cm ; l. : 83 cm. Don B. Fillon 1879. 1er siècle. Restauration 2020. Détail du torque ?

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 25327

Bloc sculpté : Cernunnos et autres divinités, calcaire, provenant de Saintes (Charente-Maritime). H. : 78 cm ; ép. : 30 cm ; l. : 83 cm. Don B. Fillon 1879. 1er siècle. Restauration 2020. Détail du torque ?

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 25327

Bloc sculpté : Cernunnos et autres divinités, calcaire, provenant de Saintes (Charente-Maritime). H. : 78 cm ; ép. : 30 cm ; l. : 83 cm. Don B. Fillon 1879. 1er siècle. Restauration 2020. Revers avec mire.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 25327

Bloc sculpté : Cernunnos et autres divinités, calcaire, provenant de Saintes (Charente-Maritime). H. : 78 cm ; ép. : 30 cm ; l. : 83 cm. Don B. Fillon 1879. 1er siècle. Restauration 2020. Revers sans mire.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 25327

Bloc sculpté : Cernunnos et autres divinités, calcaire, provenant de Saintes (Charente-Maritime). H. : 78 cm ; ép. : 30 cm ; l. : 83 cm. Don B. Fillon 1879. 1er siècle. Restauration 2020. Détail de la tête arrachée.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 25327

Bloc sculpté : Cernunnos et autres divinités, calcaire, provenant de Saintes (Charente-Maritime). H. : 78 cm ; ép. : 30 cm ; l. : 83 cm. Don B. Fillon 1879. 1er siècle. Restauration 2020. Détail de la tête de la déesse. Profil gauche avec mire.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 25327

Bloc sculpté : Cernunnos et autres divinités, calcaire, provenant de Saintes (Charente-Maritime). H. : 78 cm ; ép. : 30 cm ; l. : 83 cm. Don B. Fillon 1879. 1er siècle. Restauration 2020. Profil gauche sans mire.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 25327

Bloc sculpté : Cernunnos et autres divinités, calcaire, provenant de Saintes (Charente-Maritime). H. : 78 cm ; ép. : 30 cm ; l. : 83 cm. Don B. Fillon 1879. 1er siècle. Restauration 2020. Profil droit avec mire.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 91806

Chapiteau composite à anses, décoré de feuilles d'acanthes, de motifs géométriques abstraits et de poissons. Calcaire (pierre de Saintonge ?). 47,5x40x38 cm. Achat 2018. 7e - 8e siècle.
Restauration 2020.
Vue 3/4 droit.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 91867

N7067. Monnaie de billon. Saint-Jean-Trolimon (Finistère), oppidum de Tronoën. Ier s. av. J.-C. Collection du Châtellier. Don J.-P. Le Dantec, 2020.
Revers

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 91867

N7067. Monnaie de billon. Saint-Jean-Trolimon (Finistère), oppidum de Tronoën. Ier s. av. J.-C. Collection du Châtellier. Don J.-P. Le Dantec, 2020.
Avers

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

Résultats 551 à 600 sur 2274