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Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye
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MAN 90641

MAN 90641. Fragments de coffret. Os. Saint-Denis, tombe n° 44. Premier Moyen Age.
Face.

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MAN 91933 (N 7118)

MAN 91933 (N 7118). Bronze à la tête humaine de face des Ambiens (région d'Amiens). Monnaie gauloise, Ier siècle av. J.-C. Alliage base cuivre. Poids : 2,35 gr. Ancienne collection Robert Bongard. Cession des Douanes (2022).
Avers.

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MAN 91935 (N 7120)

MAN 91935 (N 7120). Bronze à la légende ECTA-EBVRO des Aulerques-Eburovices (région d'Evreux). Monnaie gauloise, Ier siècle av. J.-C. Alliage base cuivre. Poids : 2,80 gr. Ancienne collection Robert Bongard. Cession des Douanes (2022).
Revers

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MAN 91935 (N 7120)

MAN 91935 (N 7120). Bronze à la légende ECTA-EBVRO des Aulerques-Eburovices (région d'Evreux). Monnaie gauloise, Ier siècle av. J.-C. Alliage base cuivre. Poids : 2,80 gr. Ancienne collection Robert Bongard. Cession des Douanes (2022).
Avers.

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MAN 91942 (N 7127)

MAN 91942 (N 7127). Bronze au temple à la légende PIXTILOS des Carnutes (région de Chartres). Monnaie gauloise, Ier siècle av. J.-C. Alliage base cuivre. Poids : 2,92 gr. Ancienne collection Robert Bongard. Cession des Douanes (2022).
Avers.

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MAN 91940 (N 7125)

MAN 91940 (N 7125). Bronze à la légende des KATAL des Carnutes (région de Chartres). Monnaie gauloise, Ier siècle av. J.-C. Alliage base cuivre. Poids : 2,93 gr. Ancienne collection Robert Bongard. Cession des Douanes (2022).
Revers

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MAN 91938 (N 7123)

MAN 91938 (N 7123). Denier à la légende CAMBOTRE des Bituriges Cubi (région de Bourges). Monnaie gauloise, Ier siècle av. J.-C. Argent. Poids : 1,98 gr. Ancienne collection Robert Bongard. Cession des Douanes (2022).
Avers.

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MAN 91936 (N 7121)

MAN 91936 (N 7121). Bronze au coq des Bellovaques (région de Beauvais). Monnaie gauloise, Ier siècle av. J.-C. Alliage base cuivre. Poids : 2,75 gr. Ancienne collection Robert Bongard. Cession des Douanes (2022).
Revers

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MAN 91945 (N 7130)

MAN 91945 (N 7130). Potin à la tête goufflue de face des Sénons (région de Sens). Monnaie gauloise, Ier siècle av. J.-C. Potin. Poids : 4,16 gr. Ancienne collection Robert Bongard. Cession des Douanes (2022).
Avers.

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MAN 91936 (N 7121)

MAN 91936 (N 7121). Bronze au coq des Bellovaques (région de Beauvais). Monnaie gauloise, Ier siècle av. J.-C. Alliage base cuivre. Poids : 2,75 gr. Ancienne collection Robert Bongard. Cession des Douanes (2022).
Avers.

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MAN 91948 (N 7133)

MAN 91948 (N 7133). Quinaire à la légende SEQVANOIOTVOS des Séquanes (région de Besançon). Monnaie gauloise, Ier siècle av. J.-C. Argent. Poids : 1,96 gr. Ancienne collection Robert Bongard. Cession des Douanes (2022).
Revers

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MAN 91948 (N 7133)

MAN 91948 (N 7133). Quinaire à la légende SEQVANOIOTVOS des Séquanes (région de Besançon). Monnaie gauloise, Ier siècle av. J.-C. Argent. Poids : 1,96 gr. Ancienne collection Robert Bongard. Cession des Douanes (2022).
Avers.

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MAN 91945 (N 7130)

MAN 91945 (N 7130). Potin à la tête goufflue de face des Sénons (région de Sens). Monnaie gauloise, Ier siècle av. J.-C. Potin. Poids : 4,16 gr. Ancienne collection Robert Bongard. Cession des Douanes (2022).
Revers

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MAN 91960 ; MAN 69549 ; MAN 69550

MAN 91960 : hache à talon naissant. Début de l'âge du Bronze moyen. XVIe siècle avant J.-C. Découverte à Plaisir (Yvelines) en 1889 ; MAN 69549 ; MAN 69550 : deux tirages en plâtre de la hache découverte à Plaisir MAN 91960. Ensemble de la hache et des deux moulages.

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MAN 69550*

MAN 69550*. Tirage en plâtre d’une hache en bronze à talon découverte à Plaisir (Seine-et-Oise, actuel département des Yvelines), ancienne collection Bossavy. Tirage en plâtre patiné. Dimensions : H : 13 cm ; l. : 6,5 cm ; ép. : 2,5 cm. Verso.

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MAN 91954 (N7139)

MAN 91954 (N7139). Bronze à la swastika des Véliocasses (région de Rouen). Monnaie gauloise, Ier siècle av. J.-C. Alliage base cuivre. Poids : 1,69 gr. Ancienne collection Robert Bongard. Cession des Douanes (2022). Revers.

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MAN 91953 (N 7138)

MAN 91953 (N 7138). Quinaire au personnage dansant des Trévires (région de Trèves). Monnaie gauloise, Ier siècle av. J.-C. Argent. Poids : 1,75 gr. Ancienne collection Robert Bongard. Cession des Douanes (2022). Revers.

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MAN 91955 (N 7140)

MAN 91955. Quinaire lingon à la légende KALETEDOU. Ier siècle av. J.-C. Argent frappé. Poids : 1,90 gr. Don de Monsieur Jean-Pierre Le Dantec (2022). Avers.

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MAN 91955 (N 7140)

MAN 91955. Quinaire lingon à la légende KALETEDOU. Ier siècle av. J.-C. Argent frappé. Poids : 1,90 gr. Don de Monsieur Jean-Pierre Le Dantec (2022). Revers.

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MAN 56107

MAN 56107. Fragment de tête. Calcaire polychrome. Provenance : Alise-Sainte-Reine, Croix Saint-Charles, Sanctuaire d'Apollon Moritasgus. Haut. : 22,5 cm ; Larg. : 11 cm ; Prof. : 11 cm. Don Espérandieu (1911). Face.

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MAN 56107

MAN 56107. Fragment de tête. Calcaire polychrome. Provenance : Alise-Sainte-Reine, Croix Saint-Charles, Sanctuaire d'Apollon Moritasgus. Haut. : 22,5 cm ; Larg. : 11 cm ; Prof. : 11 cm. Don Espérandieu (1911). Profil gauche

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MAN 18262

MAN 18262. Statuette en bronze représentant une laie. Découverte à Cahors, rivière du Pal (Lot). Période Gaule romaine. Bronze. Ht. : 21,6 cm ; L. : 37 cm. Achat (1872). Détail de face.

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Projet EUROPEANA Archaeology

  • EA_001
  • Fonds
  • -29000-2020

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Fiche d'aide à la recherche

  • Outil
  • Pièce
  • 2021

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Corpus numérique sur l'histoire du château et des jardins de Saint-Germain-en-Laye

  • virtuelle / Recueil des sources
  • Collection
  • 1124-1933

Les milliers de documents présentés dans ce corpus fournissent des données éparpillées, susceptibles de nourrir des travaux tant sur Saint-Germain-en-Laye que sur des thèmes transversaux. Dans l’attente de la monographie à venir, nous proposons ici une brève chronologie permettant de mieux en comprendre et contextualiser le contenu.

Au début du XIe siècle, le roi Robert le Pieux fonda un prieuré dédié à saint Germain, non loin de l’actuel château. La première mention de la résidence royale de Saint-Germain apparaît dans un document de 1124, sous le règne de Louis VI Le Gros. Établie à proximité de la forêt de Laye, cette demeure peu fortifiée pouvait sans doute permettre au souverain de s’adonner à la chasse. Elle était néanmoins suffisamment prestigieuse pour que saint Louis, qui y fit bâtir la chapelle toujours existante vers 1235-1239, y reçoive notamment l’empereur Baudouin II. Le XIVe siècle vit l’affirmation de Saint-Germain-en-Laye comme lieu de pouvoir et de décision, la tenue du Conseil royal y étant attestée.
Dans les premières années de la guerre de Cent Ans, en 1346, Saint-Germain-en-Laye fut incendié par les troupes anglaises du prince Noir. Des travaux de restauration furent toutefois rapidement menés, signe de l’importance de cette résidence où le roi put bientôt à nouveau séjourner. En 1367, Charles V lança un nouveau grand chantier au cours duquel la demeure fut dotée de grands fossés et d’une enceinte renforçant considérablement les capacités militaires du château. Le souverain puis son fils purent ainsi y séjourner, mais cette résidence fut naturellement délaissée au XVe siècle par leurs successeurs établis dans le Val de Loire. Louis XI offrit même ce domaine à son médecin Jacques Coitier.
Le château connut en revanche une véritable renaissance au XVIe siècle. En 1514, son enceinte accueillit le mariage princier du futur roi François Ier avec la princesse Claude de France. Appréciant manifestement beaucoup cette résidence, où il s’installa souvent, ce grand amateur de chasse lança en 1539, à la fin de son règne, la reconstruction du château. Confié à Pierre Chambiges, ce dernier fut conçu suivant un parti original, dominé par ses hautes terrasses surplombant le vaste jardin aménagé au nord. Henri II, qui y était né en 1519, y séjourna plus qu’ailleurs et en fit le lieu de séjour privilégié de ses enfants. Il le dota de plus de nouveaux agréments et fit ainsi commencer la construction d’une « maison du théâtre et des baigneries ». Après sa mort en 1559, Saint-Germain-en-Laye accueillit moins souvent ses fils et successeurs, mais le château accueillit régulièrement les souverains, notamment à l’occasion du colloque de Poissy en 1561. Henri III y fit d’ailleurs réaliser des aménagements, tant dans le château que dans le jardin.
Après s’être assuré du pouvoir, Henri IV montra à son tour un net intérêt pour Saint-Germain-en-Laye, où il fit entreprendre des travaux dès 1594. À partir de la « maison du théâtre » commencée par Henri II, il fit ainsi construire le château-neuf qui, situé au bord du plateau, fut prolongé par de grands jardins en terrasse descendant vers la Seine et rendus célèbres par leurs grottes artificielles garnies d’automates. N’offrant que quelques logements, ce second bâtiment venait compléter le château-vieux, où le souverain installa ses enfants, légitimes ou non. C’est ainsi là que le jeune Louis XIII passa l’essentiel de ses premières années. Devenu roi, il revint régulièrement à Saint-Germain-en-Laye, où la Cour s’installa de façon quasi-permanente à la fin de sa vie. S’il ne fit entreprendre que des constructions relativement modestes, il fit poser de grands décors tant au château-neuf qu’au château-vieux, où travaillèrent entre autres Simon Vouet et Nicolas Poussin. C’est enfin là, au château-neuf, que son fils, le futur Louis XIV, naquit en 1638 et que lui-même s’éteignit en 1643.
Durant la régence d’Anne d’Autriche, Saint-Germain-en-Laye fut un lieu de refuge tantôt pour Henriette-Marie de France, reine d’Angleterre en exil, tantôt pour le jeune roi face à la Fronde en 1648 puis en 1649, à l’issue de la fameuse fuite à Saint-Germain. C’est ensuite la chasse qui semble avoir bientôt attiré Louis XIV dans cette résidence dont il fit par la suite, à partir du milieu des années 1660, le principal lieu de séjour de sa Cour. Louis Le Vau, André Le Nôtre et Charles Le Brun, entre autres, travaillèrent alors à la restauration et à l’amélioration des châteaux, des jardins et du domaine. Fut ainsi notamment aménagée à partir de 1669 la Grande Terrasse, au bout de laquelle fut construit en 1675 le château du Val. Saint-Germain-en-Laye abrita alors de multiples fêtes et cérémonies, la plus grandiose étant le baptême du Dauphin, célébré dans la cour du Château-Vieux en 1668. Le fort Saint-Sébastien, destiné à l’entraînement des troupes, fut de plus créé dans la forêt en 1669. En 1678, toutefois, le roi annonça l’installation de la Cour à Versailles, effective en 1682.
Cette décision ne devait manifestement pas, à l’origine, entraîner l’abandon de Saint-Germain-en-Laye, dont le Roi Soleil fit transformer le château-vieux : Jules Hardouin-Mansart ajouta alors cinq pavillons aux angles du bâtiment. Les projets du souverain furent toutefois bouleversés par la Glorieuse Révolution (1688-1689) : le roi d’Angleterre Jacques II Stuart et son épouse Marie de Modène ayant trouvé refuge dans son royaume, il leur offrit la jouissance du château-vieux. Le couple en exil réunit autour de lui une nouvelle Cour royale, jacobite, qui entretint de multiples relations avec la Cour française installée à Versailles. Cet usage se maintint jusqu’à la mort de Marie de Modène en 1718.
Saint-Germain-en-Laye perdit alors son statut de demeure royale, les deux châteaux n’ayant plus jamais été habités par des souverains. Les appartements furent alors concédés à de vieux serviteurs ou à des courtisans, et l’entretien des bâtiments fut si réduit que l’état sanitaire du château-vieux devint vite déplorable. Le vieux domaine royal ne fut pourtant pas abandonné par la monarchie : Louis XV puis Louis XVI vinrent régulièrement chasser à Saint-Germain-en-Laye, où leurs équipages s’installaient en hiver. Ils se contentaient toutefois de traverser les jardins, qui furent eux aussi simplifiés. Le domaine fut en outre bouleversé suite au don du château-neuf consenti, en 1777, au comte d’Artois : celui-ci projeta de le faire agrandir et commença par faire reprendre les galeries le portant, mais les travaux furent interrompus et le château resta éventré.
Après la Révolution, les vestiges et d’autres parties de l’ancien domaine furent vendus par lots. Le château-vieux resta en revanche propriété nationale et, en 1809, fut affecté par Napoléon à une nouvelle école de cavalerie. L’installation de cette institution nécessita de nouveaux aménagements et le projet de racheter les propriétés aliénées quelques années plus tôt, mais les démarches nécessaires n’étaient pas terminées lorsque l’empire fut renversé.
Louis XVIII affecta le château de Saint-Germain-en-Laye au logement d’une des compagnies de ses gardes du corps. Après la révolution de Juillet, l’édifice fut retiré de la Liste civile, et Louis-Philippe conserva donc seulement la jouissance des jardins et de la forêt, où la famille royale continua à chasser. Attribué au ministère de la Guerre, le château devint alors, en 1833, un pénitencier militaire : des salles furent transformés en ateliers, d’autres furent divisées pour former des cellules, et un mur fut élevé autour du fossé pour fermer cet espace servant désormais à la promenade des prisonniers.
L’arrivée du chemin de fer en 1847 bouleversa les environs du château : la voie vint amputer le Grand Parterre et forma une saignée au travers de la forêt, dont une partie se trouva ainsi réunie aux jardins. Ce terrain fut alors aménagé, sous les ordres de Louis-Philippe, en jardin à l’anglaise, tandis que le train offrait désormais l’opportunité au plus grand nombre de venir, depuis Paris, apprécier les douceurs et agréments de Saint-Germain-en-Laye, lieu de promenade et de flânerie. Il avait également été prévu de réhabiliter les anciens jardins français, mais la révolution de 1848 stoppa cet élan.
L’arrivée au pouvoir de Napoléon III permit le renouveau du château, qui fut évacué en 1855 par le pénitencier militaire pour permettre la visite de la reine Victoria. Après avoir envisagé d’autres options, l’empereur décida en 1862 d’affecter l’édifice à un nouveau musée des Antiquités nationales, d’abord dit des Antiquités celtiques et gallo-romaines. Pour que le château puisse accueillir cette nouvelle institution, de grands travaux de restauration furent immédiatement lancés sous la direction de l’architecte Eugène Millet. Le choix fut fait de rendre à la vieille demeure royale son aspect sous François Ier, et les pavillons ajoutés pour Louis XIV furent donc progressivement détruits. Le musée fut inauguré en 1867, alors que seules quelques salles étaient aménagées. La guerre et la chute de l’empire en 1870 interrompirent le chantier, mais les travaux reprirent en 1871 avec un budget réduit. Eugène Millet poursuit la restauration jusqu’à sa mort en 1879, date à laquelle lui succéda Joseph-Auguste Lafollye, à son tour remplacé par Honoré Daumet en 1895. Les travaux furent ainsi achevés à la veille de la Première Guerre mondiale.
À l’issue de cette dernière, le musée abrita la signature, le 10 septembre 1919, du traité de paix avec l’Autriche. Après avoir traversé la Seconde Guerre mondiale, qui vit les Allemands s’implanter fortement à Saint-Germain-en-Laye, il fit l’objet d’un vaste programme de rénovation à l’initiative d’André Malraux, ministre des Affaires culturelles de 1959 à 1969. Renommé en 2005 musée d’Archéologie nationale afin de souligner son rôle d’acteur d’une pratique scientifique vivante, il a fusionné en 2009 avec le Domaine national au sein d’un même établissement, le service à compétence national du musée d’Archéologie nationale et Domaine national de Saint-Germain-en-Laye.
Depuis 2013, l’établissement est engagé dans un long chantier de restauration du monument historique placé sous la maîtrise d’ouvrage de l’OPPIC et la maîtrise d’œuvre de Régis Martin, architecte en chef des monuments historiques. Ces travaux doivent se poursuivre jusqu’en 2020.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

SN

Château de Saint-Germain-en-Laye, vestibule du bureau du directeur, dessus de porte avec frise sculptée provenant de l’appartement du Dauphin ou de celui de la Dauphine, bois, vers 1682-1685.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 35499 

Objet: MAN 35499 
"Autel de Naix avec dédicace à Epona et au Genius Leucornum (S. Reinach, Operra, p.37, n° 35)" ; Entrée au musée en 1897

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MAN 25428* 

Objet: MAN 25428* 
"Personnage jouant de la musique. Musée lapidarium d’Autun " ; Entrée au musée en le 11 février 1880

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 21777* 

Objet: MAN 21777* 
"Petit autel avec arbre de vie et inscription" ; Entrée au musée en 1874

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

MAN 21783* 

Objet: MAN 21783*
"ABELLIO/NI " ; Entrée au musée en 1874

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MAN 18714* 

Objet: MAN 18714* 
"MATRI DEVM" ; Entrée au musée en 1872

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MAN 34281 

Objet: MAN 34281 
"Buste de femme, fragment d’une stèle haute d’1 m. " ; (arrière), Soulosse ; Entrée au musée en 1894

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MAN 23942* 

Objet: MAN 23942* 
 "Stèle d’un soldat et de sa femme. Pl XIII 3 et 3 bis" ; Entrée au musée en 1877

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MAN 23950* 

Objet: MAN 23950* 
 "Artisan. Pl VIII 2. " ; Entrée au musée en 1877

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MAN 23963* 

Objet: MAN 23963* 
 "Une chèvre marine bronze" (Hippocampe) ; Entrée au musée en 1877

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MAN 25851* 

Objet: MAN 25851* 
"Bas-relief Mercure avec bouc et coq. Envoi de M. Brocard, du musée de Langres" ; Entrée au musée en 1877 ; REINACH Salomon. Catalogue illustré du musée des antiquités nationales au château de Saint-Germain-en-Laye (Tome1). Paris : Musée nationaux, 1926, p. 92.

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MAN 8275* 

Objet: MAN 8275* 
« Moulage du musée d’Autun ; Tombeau gaulois, avec inscription DM SABINIANI MINVONIS. Personnage représenté dans une niche avec des instruments de mécanicien » ; Entrée au musée en 1868 ; REINACH Salomon. Catalogue illustré du musée des antiquités nationales au château de Saint-Germain-en-Laye (Tome1). Paris : Musée nationaux, 1926, p. 242.

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MAN32159

Objet : MAN32159
Estampage : inscription mérovingienne sur marbre
Achat musée, entrée en 1890

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MAN34271*

Objet : MAN34271*
Moulage de la tête en ivoire du musée de Vienne, découverte par Paradis, artiste peintre, sur les bords du Mississippi. Revers.
Entrée au musée en Juillet 1894 par don.

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MAN32963*

Objet : MAN32963*
Moulage d'une inscription de Grany (Vosges) ; Don Voulot
Entrée au musée le 26 Novembre 1892

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MAN25194*

Objet : MAN25194*
Moulage : inscription sur la face d'un petit autel ; don du commandant Mowat
Entrée au musée le 8 Août 1879

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MAN34706

Objet : MAN34706
Fibule 34706 Charnay collection Baudot
Acquise par le musée le 22 Novembre 1894 à Dijon (Saône-et-Loire)

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MAN32644

Objet : MAN32644
Deux fibules contenues dans un sarcophage trouvées dans un jardin à Baslieux (Meurthe-et-Moselle) ; texte plaque : B.234
Entrée au musée en 1892

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MAN34245

Objet : MAN34245
Boucle de la Calle (Algérie) [information tirée des registres photographiques]
Texte plaque : B.234
Entrée au musée en 1894

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MAN34817 ; MAN17707 ; MAN15328

Objet : MAN34817
Plaque de boucle dorée
Entrée au musée en 1894
Objet : MAN17707
Plaque de ceinturon et boucle guilloché et doré
Entrée au musée en 1872
Objet : MAN15328
Plaque de ceinturon avec boucle venant de Vieux Mont Cambronne; *
Entrée au musée en 1870
Texte plaque : B.234

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MAN26755 ; MAN32570*

Objet : MAN26755
Oenoché à embouchure à long bec, palmette tumulus n°2, Mercey-sur-Saône
Objet : MAN32570*
Moulage oenochoé en bronze de Trunay, commune de Morthomiers (Cher)
vues de face, côté anses
Entrée au musée en 1891

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MAN22293*

Objet : MAN22293*
Moulage de la stèle d'Aristion, original conservé au musée national archéologique d'Athènes

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MAN19428*

Moulage fait par le musée de Besançon : bol en bronze avec bouc en médaillon intérieur venant de Gray (Haute Saône)
Entrée au musée en 1872

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SN

Objet : SN
Plan d’un tombeau égyptien [information tirée des registres photographiques]

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