Affichage de 5100 résultats

Description archivistique
Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye Texte
Aperçu avant impression Affichage :

5100 résultats avec objets numériques Afficher les résultats avec des objets numériques

Fonds Henri Hubert

  • 2016001
  • Fonds
  • 1878-1987

Le fonds Henri Hubert mêle intrinsèquement des archives publiques et des archives privées. Il est constitué essentiellement de dossiers de travail rassemblant des documents divers : carnets, notes manuscrites, tapuscrits, rapports, listes, lettres, cartes postales, croquis, dessins, cartes, tirages photographiques, revues, brochures, coupures de presse, extraits de notice, extraits de publications, tirés à part, factures, etc.
Ces dossiers sont classés dans huit grandes parties ayant trait à :

  • la formation d'Henri Hubert au lycée Louis-le-Grand, à l’École normale supérieure et à l’École pratique des hautes études ;
  • ses activités d'enseignant à l’École pratique des hautes études et à l’École du Louvre ;
  • ses nombreux travaux de recherche en vue de publications ;
  • ses activités d'attaché libre puis de conservateur adjoint au musée des Antiquités nationales (étude des collections et muséographie, acquisitions, gestion administrative, correspondance) ;
  • ses voyages et missions sur le territoire français et à l'étranger ;
  • sa participation à la sous-commission des monuments préhistoriques ;
  • ses activités durant la Première Guerre mondiale et les mois qui suivirent l'armistice ;
  • le rassemblement de ses ressources documentaires ;
    Une partie concerne ensuite sa vie privée, et le dernier article renferme de la correspondance postérieure à 1927.

Hubert, Henri

Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

  • 2016002
  • Fonds
  • 1903-2010

Soumis au statut des « bâtiments civils et palais nationaux » à la fin du XIXe siècle, puis, à celui des « monuments historiques » en 1962, l’ancien Domaine royal de Saint-Germain-en-Laye est aujourd’hui Domaine national, domaine public et propriété de l’État, affecté au ministère en charge de la Culture. Jusqu’en 2009, date de sa fusion avec le musée d’Archéologie nationale, il est dirigé par un corps d’agents spécialisés dans la conservation du patrimoine architectural et paysager. Le fonds du Domaine national de Saint-Germain-en-Laye résulte de l’activité conjointe de l’agence d’architecture des bâtiments de France et de l’administrateur du Domaine. Cette équipe de conservateurs du patrimoine a pour mission d’assurer la conservation et la mise en valeur de ce Domaine national par l’exécution de travaux d’entretien, d’aménagement, de restauration, d’une part, et par la gestion du personnel des services de surveillance et du jardin d’autre part.

Architectes de l’État : les architectes en chef des monuments historiques (ACMH)
La loi du 30 mars 1887 pour la conservation des monuments historiques Comprend des dispositions instituant le corps des architectes en chef des monuments historiques (ACMH) instauré par le décret du 26 janvier 1892 et dont les statuts sont fixé en 1907. Recruté par un concours d’État, l’ACMH est nommé dans une circonscription par le ministre en charge de la Culture. Il formule toute proposition et avis pour la protection, la bonne conservation, la mise en valeur et la réutilisation des immeubles protégés. Il assiste la conservation régionale des monuments historiques pour la programmation annuelle des travaux. Il définit à la demande du conservateur régional les propositions d’études préalables aux travaux de restauration des monuments historiques classés. Il est chargé, en tant que maître d’œuvre, de diriger les travaux.
Pendant longtemps la conservation du Domaine est distincte de celle du château de Saint-Germain-en-Laye, et relève de l’attribution d’un architecte ou d’un ingénieur nommé par l’administration centrale. Nous sommes parvenus à reconstituer la liste des architectes successifs depuis le règne de Louis-Philippe, sous réserve de nouvelles recherches. Alexandre Prosper Loaisel de Tréogate, « ingénieur des parterres », est connu pour avoir aménagé les jardins suite à la construction de la gare de Saint-Germain en 1847. Vers 1849-1852/1854, Jules Alexandre Cailloux, « architecte des parterres et terrasse », est chargé de la surveillance, de la conservation de la terrasse et du parterre, avant l’arrivée d’un certain Monsieur Dufrayer. À partir de 1879, la fonction conservation du Domaine et celle du château fusionnent. Joseph-Auguste Lafollye (1828-1891), déjà en charge du Domaine, poursuit les travaux de restauration du château entrepris par Eugène Louis Millet (1819-1879) depuis 1855. Pierre-Gérôme-Honoré Daumet (1826-1911) assure la conservation de 1889 à 1911. Louis Jean Hulot (1871-1959), architecte en chef des bâtiments civils et palais nationaux, est ensuite responsable de l’entretien de 1912 à 1939. Son successeur, Jean-Baptiste Hourlier (1897-1987) de 1939 à 1966, est le premier à être appelé « architecte en chef du Domaine de Saint-Germain-en-Laye ». Aujourd’hui, et sous réserve de la découverte de nouveaux documents, il est l’auteur des archives les plus anciennes du fonds. Lui succèdent les architectes en chef des monuments historiques (ACMH) à l’origine de la majorité de la production documentaire du fonds : Louis Blanchet (1927-) de 1966 à 1992, et Bernard Voinchet (1944-) de 1992 à 2001. Le 14 novembre 2001 Jacques Moulin est nommé ACMH pour le « parc du domaine de Saint-Germain-en-Laye ». Cependant le SNT demeure en relation avec Bernard Voinchet jusqu’en 2008 pour l’achèvement des travaux déjà engagés afin d’assurer leur continuité. Entre 2008 et 2010, l’architecte urbaniste de l’État Anne Staub reprend les fonctions. Depuis 2010, Régis Martin est le nouvel ACMH commun au château et au Domaine.
FONCTIONS ET ACTIVITES
Conservation d’un Domaine national
Nomenclature budgétaire. La nomenclature budgétaire des travaux de restauration est exprimée en titres (annualité), chapitres (spécialité) et articles (unité). Elle se présente sous la forme de chapitres budgétaire. Parmi les titres du budget de l’État nous retrouvons :

  • le Titre III pour les dépenses de fonctionnement des services correspondent aux dépenses courantes de l’État (personnels, fonctionnement, entretien). Dans le cadre du Domaine, il s’agit essentiellement de dépenses pour les travaux d’entretien ou d’intervention ponctuelles auxquels peuvent s’ajouter de travaux d’aménagement ou d’accueil. Les crédits ouverts sur ce titre doivent être consommés dans l’année, c’est la stricte application de l’annualité budgétaire.
  • le Titre V correspond aux dépenses d’investissement de l’État, c’est-à-dire aux travaux de gros œuvres. Ces dépenses concernent les opérations impossibles à mener en une année.

Il existe un cadre particulier du budget des monuments historiques appartenant à l’État, pour lesquelles la nomenclature budgétaire s’exprime essentiellement dans les quelques chapitres suivants :

  • chapitre 31-90 : vacations ;
  • chapitre 34-97 : fonctionnement ;
  • chapitre 35-20 : travaux d’entretien ;
  • chapitre 56-20 : travaux de grosses réparations.

Procédure pour les gros travaux. Il s’agit de travaux de conservation ou de restauration nécessités par l’état des monuments les plus gravement atteints. Ces travaux sont financés sur le chapitre 56-20 article 50. Ils sont menés sous la maîtrise d’ouvrage des DRAC ou du SNT. Le maître d’œuvre est l’ACMH territorialement compétent, c’est-à-dire qu’il établit le projet et en contrôle l’exécution. Il travaille en plusieurs étapes :

L’étude préalable (EP) dont l’objectif est d’avoir une connaissance précise des travaux à conduire, et de leur éventuel phasage. Elle fait l’historique du bâtiment et propose des restaurations. Elle a valeur de permis de construire.

Le projet architectural et technique (PAT) fait partie du dossier d’appel d’offres (ou dossier de consultation des entreprises) et complète l’étude préalable. Il sert à la mise en concurrence des entreprises. Il comprend :

  • le cahier des clauses techniques et particulières (CCTP) ;
  • un avant-métré : énumération des unités d’œuvre entrant dans une construction et indication de la quantité nécessaire à chacune d’elles ;
  • des documents graphiques : plans, élévations, coupes, tirages photographiques, photomontages, relevés topographiques, plans cadastraux, etc.
    Un PAT est l’équivalent d’un avant-projet détaillé ou définitif (APD) qui comporte des plans détaillés des parties concernées, la définition des moyens et techniques employés, l’estimation définitive des travaux.

Le marché public se compose de plusieurs pièces :

  • l’appel d’offre est la procédure de mise en concurrence et d’attribution de marché comporte le dossier de consultation des entreprises (DCE), le rapport d’analyse des offres et le procès-verbal de la commission d’ouverture des plis ;
  • l’acte d’engagement : document dans lequel l’entreprise, candidate à un marché public, présente son offre et adhère aux clauses définies par l’acheteur. Cet acte est signé par les deux parties ;
  • bordereau de prix : pièce écrite énumérant de façon détaillée les prix des différents articles ;
  • devis descriptif : description technique de l’ensemble de l’ouvrage et des modes d’exécution, les contraintes techniques et les matériaux utilisés ;
  • devis estimatif : montant estimé des travaux ;
  • devis quantitatif : liste des éléments d’ouvrages (fournitures) ;
  • cahier des clauses administratives particulières (CCAP) : pièce contractuelle rappelant les règles administratives et les pénalités encourues en cas de non-respect du contrat ;
  • cahier des clauses techniques particulières (CCTP) : pièce contractuelle détaillant les fournitures et de leur mise en œuvre ;
  • avant-métré ;
  • documents graphiques.

Le suivi des travaux :

  • l’ordre de service : document enjoignant une entreprise à réaliser les travaux pour lesquels l’accord a été passé ;
  • situation de travaux : pièce établie périodiquement par le maître d’œuvre, indiquant les quantités d’ouvrages (matériaux) et les prix correspondant ;
  • comptes rendus de réunion de chantier ;
  • attachement : document écrit ou graphique réalisé au cours des travaux ou dès la fin servant à l’établissement de mémoires, et permettant la vérification des travaux ;
  • mémoire : état détaillé des travaux exécutés et des sommes dues, dressé par l’entrepreneur ou le maître d’œuvre, à la fin de travaux en vue du règlement ;
  • garantie décennale : garantie due par les constructeurs au maître d’ouvrage pendant dix ans à compter de la réception des ouvrages.

La création du dossier documentaire des ouvrages exécutés (DOE ou DDOE) ou rapport de restauration.

L’initiative du lancement d’une procédure appartient soit à l’administrateur du Domaine, soit aux services dépendant de la direction du patrimoine. Au cours des visites pluriannuelles faites par l’ABF, l’ACMH ou le CRMH, l’administrateur constate avec l’aide de ce dernier les désordres. Si ceux-ci sont de faible importance, il voit avec l’ABF comment les réduire, éventuellement sur des crédits d’entretien. S’ils sont importants, l’ABF saisit, en liaison avec l’administrateur, le CRMH du problème. Celui-ci, accompagné de l’ABF et de l’ACMH, prend la mesure des travaux à mener. Le CRMH, après consultation de l’administrateur sur une éventuelle priorité, commande à l’ACMH une étude préalable. La durée de l’étude préalable est de six mois. À la réception de l’étude, le CRMH demande obligatoirement l’avis de l’inspection des monuments historiques et de l’inspection générale des monuments historiques territorialement compétentes. Cet avis est réputé favorablement dans un délai de deux mois, avant de passer à la phase suivante de mise au point du projet de restauration par la commande d’un PAT. Le délai est de sept mois au minimum après la réception de la commande par l’ACMH du PAT. On peut considérer qu’à partir du moment où la commande d’étude préalable a été passée à l’ACMH, un délai moyen de deux ans est inévitable avant le commencement des travaux, compte-tenu des contraintes d’avis, de marchés, de gestion comptable, etc. Le CRMH engage les crédits et parallèlement, passe commande du PAT, prépare les marchés et les appels d’offre, passe les marchés. L’ACMH signe alors les ordres de services aux entreprises et suit le déroulement des travaux. Il importe que le règlement du chantier soit élaboré en concertation entre l’ACMH et l’administrateur. Chaque réunion de chantier doit se faire en présente de l’administrateur. La réception des travaux est réalisée par l’ACMH, l’administrateur et le CRMH.

Procédure pour les travaux d’entretien. L’entretien correspond à l’action préventive ou curative, qui, avec des moyens réduits, empêche l’apparition d’un désordre, le supprime ou en arrête l’extension. L’administrateur a le devoir de veiller au bon état du monument. Cette action préventive consiste essentiellement en balayage, nettoyage des créneaux et fossés, émoulage, dégorgement, etc. Elle est l’entière responsabilité de l’administrateur. L’ABF doit au cours de ses visites d’inspection pluriannuelles, le lui rappeler. L’action curative, quant à elle, appartient à l’ABF en concertation avec l’ACMH et l’administrateur. L’ABF est obligatoirement le maître d’œuvre de ces travaux. Il dispose d’un crédit annuel dont il assume la programmation. L’ordre de service des travaux d’entretien est établi suivant un modèle défini. Une copie est adressée au conservateur régional ainsi qu’à l’ACMH. L’ABF signe le permis de feu autorisant l’entreprise à entreprendre des travaux.

Procédure pour les travaux neufs. Dans certains cas, des travaux d’investissement doivent être menés afin d’aménager dans le monument un accueil, des locaux professionnels, voire des bureaux ou des logements. Lorsque ces travaux ne modifient pas les parties sensibles du monument, le régime des travaux sur les immeubles classés parmi les monuments historiques ne s’applique plus. Il faut alors appliquer les textes sur l’ingénierie.Le maître d’ouvrage, conservateur régional attaché à la DRAC, SNT ou CMN, peut, pour assurer la maîtrise d’œuvre de l’opération, faire appel soit à un architecte libéral, soit à l’ACMH, soit à l’ABF. Dans la plupart des cas l’initiative appartient à l’administrateur qui doit faire connaître, au travers de son rapport d’activité annuel, ses besoins en matière de travaux d’amélioration : de l’accueil du public, des conditions de travail de ses agents, des logements de service. Un programme détaillé de l’opération doit alors être effectué en liaison avec le utilisateurs du monument, l’ABF, l’ACMH, le conservateur régional et le CMN afin de vérifier la nécessité et la faisabilité du projet au regard des exigences des biens et du publics, et du respect du monument.

La protection des abords. Selon la loi de 1943, sont protégés les abords des monuments, donc tout immeuble placé dans un périmètre de 500 mètres. Toute destruction construction, restauration doit obtenir l’accord préalable de l’ABF ou de l’ACMH.

L’accueil et la surveillance d’un Domaine national

La direction du patrimoine fait appel à un corps d’agents spécifiques pour la gestion des monuments historiques. Ces agents interviennent essentiellement en qualité de gardiens ou de jardiniers et sont placés sous la responsabilité de l’administrateur du Domaine :

  • les agents de surveillance et de magasinage appartiennent au corps des techniciens des services culturels et des bâtiments de France, et se composent des agents techniques de surveillance et de magasinage, des agents chefs de surveillance et de magasinage et des techniciens des services culturels ;
  • les jardiniers appartiennent au corps des techniciens d’art et se composent de maîtres-ouvriers, d’ouvriers professionnels, de techniciens d’art et de chefs de travaux d’art ;
  • les aides-jardiniers appartenant au corps des ouvriers professionnels ;
  • les agents de service appartenant au corps des agents techniques.
    Les agents d’un Domaine national sont gérés au niveau des DRAC (notation, propositions d’avancement), de la direction du patrimoine et de la direction de l’administration générale.

L’actuel instrument de recherche décrit l’ensemble des archives relevant du cœur de métier du double producteur, les architectes de l’État et l’administrateur. Trois fonctions ont été identifiées :

  • la conservation du Domaine est assurée principalement par les architectes de l’État, et coordonnée par l’administrateur, sous la tutelle du CRMH et en collaboration avec le SNT. La conservation comprend l’ensemble des travaux d’entretien dirigés par l’ABF et les gros ouvrages de restauration dirigés par l’ACMH.
  • l’accueil et la surveillance du Domaine est une fonction attribuée exclusivement à l’administrateur.
  • la gestion immobilière des propriétés, parcelles et concessions est assurée par l’administrateur sous la tutelle du CMN.
    Ces trois fonctions sont reproduites dans le plan général de l’instrument de recherche.
    La série « Conservation du Domaine » se décline en deux sous-séries : l’entretien et le gros œuvre. La sous-série « Entretien » respecte le double classement originel conçu par le producteur :
  • un classement chronologique annuel : seules les pièces récapitulatives par année ont été conservées. Les documents comptables (factures et devis) ayant dépassée leur durée légale de conservation de 10 ans, ainsi que les bordereaux d’envoi et de réception ont été éliminés.
  • un classement topographique en fonction des sites pour des actions d’entretien récurrentes.
    Ont été conservés :
  • la correspondance comportant des informations de premier ordre permettant d’éclairer le fonctionnement des travaux d’entretien et d’expliquer les motivations à enclencher les procédures de travaux ;
  • la correspondance sur les dotations budgétaires annuelles ;
  • les pièces de marchés ;
  • certains documents comptables lorsque aucune pièce récapitulative n’existe afin de garder trace des modes de fonctionnement de l’entretien sur toute la chronologique.
    La sous-série « Gros œuvre » suit la logique d’un classement topographique et rassemble toutes les typologiques de documents propre au métier d’architecte : études préalables, PAT, pièces de marché, DDOE, documents graphiques et attachements figurés.
    Gestion immobilière du domaine :
  • contrats et baux d’occupation ;
  • le suivi de l’achat des parcelles sous la Terrasse.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

Fonds Abbé Philippe - Fort-Harrouard et autres sites

  • 2016004/1-2016004/17
  • Fonds
  • 1869-1993

Ce fonds est composé de huit parties d'un volume inégal :

  • Fort-Harrouard : fouilles (documents concernant la propriété du terrain, la gestion financière ; carnets et rapports de fouilles ; inventaires du mobilier ; tirages photographiques, plans, relevés, dessins ; préparations de publications), entrée du mobilier au musée des Antiquités nationales (correspondance, inventaires), classement au titres des monuments historiques ;
  • études d'autres sites : préparations de publications, documentation diverse ;
  • participation de l'abbé Philippe à la Commission des monuments historiques ;
  • correspondance ;
  • papiers personnels ;
  • étude sur le fonds Abbé Philippe ;
  • dossier Louis Deglatigny ;
  • hors formats

Philippe, Joseph

Travaux et suivi des travaux du Château de Saint-Germain-en-laye

  • 2016006
  • Fonds
  • 1959-2016

Le fonds rassemble une typologie documentaire propre à l’activité de conservation, de restauration, d’aménagement et d’entretien d’un monument historique.

Nomenclature budgétaire
La nomenclature budgétaire des travaux de restauration est exprimée en titres (annualité), chapitres (spécialité) et articles (unité). Elle se présente sous la forme de chapitres budgétaire. Parmi les titres du budget de l’État nous retrouvons :

  • le Titre III pour les dépenses de fonctionnement des services correspondent aux dépenses courantes de l’État (personnels, fonctionnement, entretien). Dans le cadre du Domaine, il s’agit essentiellement de dépenses pour les travaux d’entretien ou d’intervention ponctuelles auxquels peuvent s’ajouter de travaux d’aménagement ou d’accueil. Les crédits ouverts sur ce titre doivent être consommés dans l’année, c’est la stricte application de l’annualité budgétaire.
  • le Titre V correspond aux dépenses d’investissement de l’État, c’est-à-dire aux travaux de gros œuvres. Ces dépenses concernent les opérations impossibles à mener en une année.

Il existe un cadre particulier du budget des monuments historiques appartenant à l’État, pour lesquelles la nomenclature budgétaire s’exprime essentiellement dans les quelques chapitres suivants :

  • chapitre 31-90 : vacations ;
  • chapitre 34-97 : fonctionnement ;
  • chapitre 35-20 : travaux d’entretien ;
  • chapitre 56-20 : travaux de grosses réparations.

Procédure pour les gros travaux
Le gros œuvre correspond aux travaux de conservation ou de restauration nécessités par l’état des monuments les plus gravement atteints. Ces travaux sont financés sur le chapitre 56-20 article 50. Ils sont menés sous la maîtrise d’ouvrage du SNT. Le maître d’œuvre est l’ACMH territorialement compétent, c’est-à-dire qu’il établit le projet et en contrôle l’exécution. Il travaille en plusieurs étapes :

  1. L’étude préalable (EP) dont l’objectif est d’avoir une connaissance précise des travaux à conduire, et de leur éventuel phasage. Elle fait l’historique du bâtiment et propose des restaurations. Elle a valeur de permis de construire.

  2. Le projet architectural et technique (PAT) fait partie du dossier d’appel d’offres (ou dossier de consultation des entreprises) et complète l’étude préalable. Il sert à la mise en concurrence des entreprises. Il comprend :

    • le cahier des clauses techniques et particulières (CCTP) ;
    • un avant-métré : énumération des unités d’œuvre entrant dans une construction et indication de la quantité nécessaire à chacune d’elles ;
    • des documents graphiques : plans, élévations, coupes, tirages photographiques, photomontages, relevés topographiques, plans cadastraux, etc.
      Un PAT est l’équivalent d’un avant-projet détaillé ou définitif (APD) qui comporte des plans détaillés des parties concernées, la définition des moyens et techniques employés, l’estimation définitive des travaux.
  3. Le marché public se compose de plusieurs pièces :

    • l’appel d’offre est la procédure de mise en concurrence et d’attribution de marché comporte le dossier de consultation des entreprises (DCE), le rapport d’analyse des offres et le procès-verbal de la commission d’ouverture des plis ;
    • l’acte d’engagement : document dans lequel l’entreprise, candidate à un marché public, présente son offre et adhère aux clauses définies par l’acheteur. Cet acte est signé par les deux parties ;
    • bordereau de prix : pièce écrite énumérant de façon détaillée les prix des différents articles ;
    • devis descriptif : description technique de l’ensemble de l’ouvrage et des modes d’exécution, les contraintes techniques et les matériaux utilisés ;
    • devis estimatif : montant estimé des travaux ;
    • devis quantitatif : liste des éléments d’ouvrages (fournitures) ;
    • cahier des clauses administratives particulières (CCAP) : pièce contractuelle rappelant les règles administratives et les pénalités encourues en cas de non-respect du contrat ;
    • cahier des clauses techniques particulières (CCTP) : pièce contractuelle détaillant les fournitures et de leur mise en œuvre ;
    • avant-métré ;
    • documents graphiques.
  4. Le suivi des travaux :

    • l’ordre de service : document enjoignant une entreprise à réaliser les travaux pour lesquels l’accord a été passé ;
    • situation de travaux : pièce établie périodiquement par le maître d’œuvre, indiquant les quantités d’ouvrages (matériaux) et les prix correspondant ;
    • comptes rendus de réunion de chantier ;
    • attachement : document écrit ou graphique réalisé au cours des travaux ou dès la fin servant à l’établissement de mémoires, et permettant la vérification des travaux ;
    • mémoire : état détaillé des travaux exécutés et des sommes dues, dressé par l’entrepreneur ou le maître d’œuvre, à la fin de travaux en vue du règlement ;
    • garantie décennale : garantie due par les constructeurs au maître d’ouvrage pendant dix ans à compter de la réception des ouvrages.
  5. La création du dossier documentaire des ouvrages exécutés (DOE ou DDOE) ou rapport de restauration.
    L’initiative du lancement d’une procédure appartient soit au directeur de l’organisme, soit aux services dépendant de la direction du patrimoine. Au cours des visites pluriannuelles faites par l’ABF, l’ACMH ou le CRMH, l’administrateur constate avec l’aide de ce dernier les désordres. Si ceux-ci sont de faible importance, il voit avec l’ABF comment les réduire, éventuellement sur des crédits d’entretien. S’ils sont importants, l’ABF saisit, en liaison avec l’administrateur, le CRMH du problème. Celui-ci, accompagné de l’ABF et de l’ACMH, prend la mesure des travaux à mener. Le CRMH, après consultation de l’administrateur sur une éventuelle priorité, commande à l’ACMH une étude préalable. La durée de l’étude préalable est de six mois. À la réception de l’étude, le CRMH demande obligatoirement l’avis de l’inspection des monuments historiques et de l’inspection générale des monuments historiques territorialement compétentes. Cet avis est réputé favorablement dans un délai de deux mois, avant de passer à la phase suivante de mise au point du projet de restauration par la commande d’un PAT. Le délai est de sept mois au minimum après la réception de la commande par l’ACMH du PAT. On peut considérer qu’à partir du moment où la commande d’étude préalable a été passée à l’ACMH, un délai moyen de deux ans est inévitable avant le commencement des travaux, compte-tenu des contraintes d’avis, de marchés, de gestion comptable, etc. Le CRMH engage les crédits et parallèlement, passe commande du PAT, prépare les marchés et les appels d’offre, passe les marchés. L’ACMH signe alors les ordres de services aux entreprises et suit le déroulement des travaux. Il importe que le règlement du chantier soit élaboré en concertation entre l’ACMH et le directeur. Chaque réunion de chantier doit se faire en présence du directeur. La réception des travaux est réalisée par l’ACMH, le directeur et le CRMH.

Procédure pour les travaux d’entretien
L’entretien correspond à l’action préventive ou curative, qui, avec des moyens réduits, empêche l’apparition d’un désordre, le supprime ou en arrête l’extension. Elle est l’entière responsabilité du directeur. L’ABF doit au cours de ses visites d’inspection pluriannuelles, le lui rappeler. L’action curative appartient à l’ABF en concertation avec l’ACMH et le directeur. L’ABF est obligatoirement le maître d’œuvre de ces travaux. Il dispose d’un crédit annuel dont il assume la programmation. L’ordre de service des travaux d’entretien est établi suivant un modèle défini. Une copie est adressée au conservateur régional ainsi qu’à l’ACMH. L’ABF signe le permis de feu autorisant l’entreprise à entreprendre des travaux.

Procédure pour les travaux neufs
Dans certains cas, des travaux d’investissement doivent être menés afin d’aménager dans le monument un accueil, des locaux professionnels, voire des bureaux ou des logements. Lorsque ces travaux ne modifient pas les parties sensibles du monument, le régime des travaux sur les immeubles classés parmi les monuments historiques ne s’applique plus. Il faut alors appliquer les textes sur l’ingénierie. Dans la plupart des cas l’initiative appartient au directeur de faire connaître, au travers de son rapport d’activité annuel, ses besoins en matière de travaux d’amélioration : de l’accueil du public, des conditions de travail de ses agents, des logements de service. Un programme détaillé de l’opération doit alors être effectué en liaison avec les utilisateurs du monument, l’ABF, l’ACMH et le CMN afin de vérifier la nécessité et la faisabilité du projet au regard des exigences des biens et du public, et du respect du monument.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

Administration générale. Minutier chronologique directorial (1956-2011)

  • 2017002/1-2017002/39
  • Fonds
  • 1956-2011

Le fonds comprend les courriers arrivée et départ des différents directeurs. Des dossiers thématiques ont été réalisés par les directeurs eux-mêmes sur des sujets particuliers. Nous retrouvons par exemple le dossier « Notes internes » (2017002/39) qui regroupe plusieurs typologies : notes internes, attestations, procès-verbaux, conventions. Cependant, il est à noter que ce fonds du minutier chronologique présente de nombreuses lacunes (cf le minutier d’Alain Duval). Certains des courriers sont aujourd’hui classés avec le minutier de la conservation ou dans des dossiers d’affaire, comme ceux des expositions.
Liste des directeurs du musée d’Archéologie nationale :
Alexandre Bertrand (1867-1902)
Salomon Reinach (1902-1932)
Raymond Lantier (1932-1956)
André Varagnac (1956-1964)
René Joffroy (1964-1984)
Henri Delporte (1984-1987)
Jean-Pierre Mohen (1987-1992)
Alain Duval (1992-1996)
Patrick Périn (1996-2012)
Hilaire Multon (2012-...)

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

Fonds Ernest Desjardins

  • 2017003/1-2017003/11
  • Fonds
  • 1865-1884

Le fonds Ernest Desjardins rassemble des archives privées. Il contient principalement des dossiers de travail personnels rassemblant des documents divers : albums, carnets, notes manuscrites, listes, lettres, croquis, dessins, cartes, coupures de presse,…
Cet ensemble a été classé en deux grandes parties qui ont trait à  :

  • Travaux de recherche
  • L’enseignement
    La partie « recherche » réunit ce qui semble être des relevés préparatoires en vue de publication d’ouvrages :
    Notice sur les monuments épigraphiques de Bavai et du musée de Douai, inscriptions, cachets d’oculistes, empreintes de potiers, voies romaines. Douai, 1873 (communication faite à la Société d’agriculture, sciences et arts de Douai. - extrait du T. XI, 2e série, de ses « Mémoires ») , L. Crépin.
    Acta musei nationalis Hungarici. Monuments épigraphiques du musée national hongrois, dessinés et expliqués. Budapest, 1873, impr. De l’Université royale hongroise par les soins de Dom Floris Romer.
    Desiderata du « Corpus inscriptionum latinarum » de l’Académie de Berlin. Notice pouvant servir de Ier (-Ve) supplément. Le Musée épigraphique de Pest. (Les Balles de fronde de la République. Guerre sociale, guerre servile, guerre civile.). Paris, 1873-1876, F. Vieweg.
    Quant à la partie « enseignement », elle rassemble principalement des notes manuscrites de cours qui lui servent, sans doute, pour ses leçons données à l’École pratique des hautes études.
    La plupart des documents ne sont pas datés. Toutefois, l’on peut se référer aux Annuaires de l’École pratique des hautes études (1874-1882) qui mentionnent la liste des élèves et auditeurs de Léon Renier et d’Ernest Desjardins, ainsi que le contenu des séances de cours portant sur divers sujets selon les années : tribus romaines, condition des personnes, cursus honorum, armée romaine,...

Desjardins, Ernest

Dorothy Garrod (1892-1968)

  • 2018001
  • Sous-fonds
  • 1909 - 1985

Le fonds Dorothy Garrod, est susceptible d’intéresser la communauté scientifique nationale et internationale souhaitant réutiliser les documents de terrain dans des objectifs scientifiques et historiographiques.
Le fonds est constitué majoritairement d’une correspondance professionnelle et de documents de terrain (journaux de fouilles, relevés de terrain, plans, photographies, catalogues), rapports, dossiers de préparations de publications produits dans le cadre des expéditions et fouilles menées par D. Garrod tout au long de sa carrière d’archéologue de l’Angleterre au Proche-Orient de 1924 à 1963. En complément, quelques cahiers et dossiers personnels documentent l’épisode français de la formation de D. Garrod au début des années vingt (Institut de Paléontologie Humaine, fouilles sur des sites français).

Dates des expéditions de D. Garrod (1924-1963) :

Mission for the Torquay Natural History Society
Excavations in the Torbryan Valley, Devon (Angleterre)
Du 25 mars au 4 avril 1924

Excavations at Devil’s Tower (Gibraltar)
3 courtes campagnes de novembre 1925 à décembre 1926

Excavations at Langwith Cave
Du 11 avril au 28 avril 1927

Joint expedition of the Percy Sladen Memorial Freud and the American School of Prehistoric Research (A.S.P.R.)
Excavations at Zarzi (Kurdistan)
Du 2 novembre au 11 novembre 1928
Excavations at Hazar Merd (Kurdistan)
Du 20 novembre au 6 décembre 1928

Joint expedition of the American School of Prehistoric Research (A.S.P.R.) and the British School of Prehistoric Research
Excavations at Shukbah (Jordanie)
Du 4 avril au 3 juin 1928
(Georges and Edna Woodbury : représentants de l’American School of Prehistoric Research, D. Garrod représentante de la British School of Prehistoric Research)

Joint expedition of the American School of Prehistoric Research (A.S.P.R.) and the Palestine Exploration Fund
Excavations at Wady el-Mughara
Première campagne :
Du 3 avril au 17 juin 1929
Seconde campagne :
Du 3 avril au 18 juin 1930
Troisième campagne :
Mugharet el-Wad : du 1er avril au 20 juin 1931
Mugharet et-Tabun : du 20 avril au 3 juillet 1931
Quatrième campagne :
Mugharet el-Wad : du 6 octobre au 11 novembre 1932
Mugharet et-Tabun : du 2 octobre au 24 décembre 1932
Cinquième campagne :
Mugharet el-Wad : du 18 mai au 10 juin 1933
Mugharet et-Tabun : du 6 avril au 4 juillet 1933
Sixième campagne :
Mugharet et-Tabun : du 2 avril au 25 août 1934
(Harriet Allyn et Martha Hackett (Theodore et Donald McCown en 1930) : représentants de l’American School of Prehistoric Research, Elinor Ewbank et Martha Kitson-Clark : étudiants d’Oxford et Cambridge)

Expedition de l’A.S.P.R. : Palaeolithic Reconnaissance in Central Anatolia
Excavations at Karluscovo station
Du ? au ? 1938
Excavations at Bacho Kiro (Batcho-Kuro)
Du 27 juillet au 8 août 1938

Expedition of the British School of Archaoelogy in Jerusalem
Excavations at « abri Zumoffen » (Ras el-Kelb)
Du ? au ? 1958
Excavation at Ras el-Kelb (désignée aussi : « fouille du rail » ou « cave at Ras el-Kelb »)
Du 23 février au 8 avril 1959
Excavation at Mugharet el-Beze
Du 11 février au 8 mai 1963

Garrod, Dorothy

Wady el-Mughara Expedition : photographies

Dossier n° 1. - Wady el-Mughara Expedition : Wady el-Mughara, vues d'ensemble des grottes du Wady el-Mughara à plusieurs étapes du chantier, présence d'une photographie de l'abbé Breuil devant les grottes en 1933, 30 photographies n. & b. (formats 8,5X10,5, et agrandissements).
Dossier n° 2. - Wady el-Mughara Expedition : Mugharet es-Skhul, vues de la grotte et des fouilles, 71 photographies n. & b. (format 8X10,5 et agrandissements). Mugharet es-Skhul, squelettes Skhul IV, 9 photographies n. & b. (format 8X10,5 et agrandissements). Mugharet es-Skhul, photographie planches de dessin de matériel lithique, 4 photographies n. & b. (format 18,5X24,5).
Dossier n° 3. - Wady el-Mughara Expedition : Mugharet el-Wad, vues de la grotte et des fouilles (terrasse et chambres), 119 photographies n. & b. (format 8X10,5 et agrandissements). Mugharet el Wad, photographies de squelettes et crânes sur-modelés, 78 photographies n. & b. (format 8X10,5 et agrandissements). Mugharet el Wad, photographie pillons et mortiers, 2 photographies n. & b. (format 11X16). Mugharet el Wad, photographie outils os et parures, 9 photographies n. & b. (8 au format 11X16, 1 au format 8X10,5).
Dossier n° 4. - Wady el-Mughara Expedition : Mugharet et-Tabun, vues de la grotte et des fouilles, quelques clichés de matériel lithique, 163 photographies n. & b. (format 6X6, 8X10,5 et agrandissements). Mugharet et-Tabun, photographies non légendés, 17 photographies n. & b. (format 8X10,5). Mugharet et-Tabun, 10 photocopies annotées de photographies de la grotte.

Planche "Fragments de deux tables en marbre en l'honneur de Sabucinus, patron de la colonie" - Avenches

Planche intitulée "Fragments de deux tables en marbre en l'honneur de Sabucinus, patron de la colonie" à l'échelle 3/10 et présentant des inscriptions d'Avenches (CIL, XIII, 5103 et CIL, XIII, 5104). Au verso, mention au crayon "N° V O".
Première livraison d'après le "Catalogue des inscriptions du général Creuly".

Creuly, Casimir

Planche « Soldats de la 1ère cohorte des Ituréens » - Mayence

Planche intitulée « Soldats de la 1er cohorte des Ituréens » présentant trois inscriptions provenant de Mayence (CIL, XIII, 7041, 7040 et 6884), à l’échelle 1/2. Première livraison d’après le Catalogue des inscriptions du général Creuly. Au verso, mentions au crayon : « n° 54 » ; n°12 O » ; « n°24 ».

Creuly, Casimir

Planche « Soldat des éclaireurs divitienses » - Mayence

Planche intitulée « Soldat des éclaireurs divitienses » présentant une inscription provenant de Mayence (CIL, XIII, 7054), sans mention d’échelle. Première livraison d’après le Catalogue des inscriptions du général Creuly. Au verso, mentions au crayon : « n°59 » ; « n°12 » ; « n°23 ».

Creuly, Casimir

Planche « Autels à Mercure » - Mayence

Planche intitulée « Autels à Mercure » présentant huit inscriptions provenant de Mayence (CIL, XIII, 6741, 7215, 6275, 6222, 7218, 7221, 7225, 7214 + copies), à l’échelle 1/2. Première livraison d’après le Catalogue des inscriptions du général Creuly. Au verso, mention au crayon : « n°5 ».

Creuly, Casimir

Planche « Soldats de la XIIIe légion » - Mayence

Planche intitulée « soldats de la XIIIe légion » présentant trois inscriptions provenant de Mayence (CIL, XIII, 6910, 6902 et 6904), à l’échelle 1/2. 7214 + copies), à l’échelle 1/2. Première livraison d’après le Catalogue des inscriptions du général Creuly. Au verso, mentions au crayon : « n°24 » (biffé) ; « n°23 » (biffé) ; « n°29 » ; « n°7 O » ; « 6 » (biffé).

Creuly, Casimir

Planche « Autel au génie du Pagus Tigorinus » - Morat

Planche intitulée « Autel au génie du Pagus Tigorinus » présentant une inscription de Morat (Avenches) (CIL, XIII, 5076), à l’échelle 1/2. Première livraison d’après le Catalogue des inscriptions du général Creuly. Au verso, mentions au crayon : « 21 » ; « salle XVIII » (biffé) ; « n°XVI o ».

Creuly, Casimir

Planche « Monument public en l’honneur d’un tribun de la IIIIe Macédonique » - Morat

Planche intitulée « Monument public en l’honneur d’un tribun de la IIIIe Macédonique » présentant une inscription de Morat (Avenches) (CIL, XIII, 5093), à l’échelle 1/2. Première livraison d’après le Catalogue des inscriptions du général Creuly. Au verso, mentions au crayon : « n°10 » (biffé) ; « n°4 » (biffé) ; « n°12 » (biffé) ; « n°13 » ; « n°18 O ».

Creuly, Casimir

Planche « Enseigne d’un marchand de pommes » - Narbonne

Planche intitulée « Enseigne d’un marchand de pomme » présentant une inscription de Narbonne (CIL, XII, 4524), à l’échelle 3/4. Première livraison d’après le Catalogue des inscriptions du général Creuly (intitulé de la planche fautif). Au verso, mentions au crayon : « salle 22 » ; « salle 22, n°26 » ; « n°14 O ».

Creuly, Casimir

Planche « Sur la base de la statue d’un colon romain de Narbonne mort tribun du peuple et préteur désigné » - Narbonne

Planche intitulée « Sur la base de la statue d’un colon romain de Narbonne mort tribun du peuple et préteur désigné » présentant une inscription de Narbonne (CIL, XII, 4354), à l’échelle 1/2. Première livraison d’après le Catalogue des inscriptions du général Creuly (intitulé de la planche fautif). Au verso, mention au crayon : « n°XVI ».

Creuly, Casimir

Planche « Système de tombes jointives » - Narbonne

Planche intitulée « Système de tombes jointives » présentant une inscription provenant de Narbonne (CIL, XII, 4364), à l’échelle 1/ 2. Première livraison d’après le Catalogue des inscriptions du général Creuly (intitulé de la planche fautif). Au verso, mention au crayon : « n°18 » (biffé).

Creuly, Casimir

Planche "Fragments d'une table en marbre en l'honneur de Sabucinus patron de la colonie" - Avenches

Planche intitulée "Fragments d'une table en marbre en l'honneur de Sabucinus, patron de la colonie" à l'échelle 3/10 et présentant une inscription d'Avenches (CIL, XIII, 5102). Au verso, mention au crayon "N° IIII".
Première livraison d'après le "Catalogue des inscriptions du général Creuly".

Creuly, Casimir

Planche « Inscription d’un monument élevé à Lucius Verus par les colons vétérans de la légion X » - Narbonne

Planche intitulée « Inscription d’un monument élevé à Lucius Verus par les colons vétérans de la légion X » présentant une inscription de Narbonne (CIL, XII, 4344), à l’échelle 1/2. Première livraison d’après le Catalogue des inscriptions du général Creuly. Au verso, mention au crayon : « n°19 O ».

Creuly, Casimir

Planche « Fragment d’une stèle élevée en l’honneur de Trajan par un sévir augustal  » - Narbonne

Planche intitulée « Fragment d’une stèle élevée en l’honneur de Trajan par un sévir augustal » présentant une inscription de Narbonne (CIL, XII, 4341), à l’échelle 2/5. Première livraison d’après le Catalogue des inscriptions du général Creuly. Au verso, sans mention.

Creuly, Casimir

Planche « Dédicace de l’autel élevé à la divinité tutélaire d’Auguste » - Narbonne

Planche intitulée « Dédicace de l’autel élevé à la divinité tutélaire d’Auguste » présentant deux inscriptions de Narbonne (CIL, XII, 4333 et 4338), à l’échelle 1/2 et 35/100. Première livraison d’après le Catalogue des inscriptions du général Creuly. Verso non numérisé.

Creuly, Casimir

Planche « Voeu perpétuel du peuple de Narbonne à la divinité tutélaire d’Auguste » - Narbonne

Planche intitulée « Voeu perpétuel du peuple de Narbonne à la divinité tutélaire d’Auguste » présentant une inscription de Narbonne (CIL, XII, 4333), à l’échelle 1/2. Première livraison d’après le Catalogue des inscriptions du général Creuly. Verso non numérisé.

Creuly, Casimir

Planche « Autels à Mars Bolvinnus provenant de Bouhy » - Nevers

Planche intitulée « Autels à Mars Bolvinnus, provenant de Bouhy » présentant deux inscriptions de Nevers (Bouhy) (CIL, XIII, 2899 et 2900), à l’échelle 1/2. Première livraison d’après le Catalogue des inscriptions du général Creuly. Au verso, mentions au crayon : « (9) » (biffé) ; « n°8 O » ; « IX » (biffé) ; « 17 » (biffé).

Creuly, Casimir

Planche « Monuments religieux provenant de Mesves » - Nevers

Planche intitulée « Monuments religieux provenant de Mesves » présentant trois inscriptions de Nevers (Mesves-sur-Loire, Entrains-sur-Nohain) (CIL, XIII, 2895, 2896 et 2904), à l’échelle 35/100 et 1/2. Première livraison d’après le Catalogue des inscriptions du général Creuly. Au verso, mentions au crayon : « n°8 » ; « XII » (biffé) ; « 18 » (biffé) ; « n°2 » (bleu)

Creuly, Casimir

Planche « Epitaphe d’un soldat légionnaire » - Nimègue

Planche intitulée « Epitaphe d’un soldat légionnaire » présentant une inscription provenant de Nimègue (CIL, XIII, 8733), à l’échelle 1/2. Première livraison d’après le Catalogue des inscriptions du général Creuly. Au verso, mentions au crayon : « n°16 » (biffé) ; « n°21 » ; « n°22 ».

Creuly, Casimir

Planche « Autel à Jupiter et au génie du lieu » - Nimègue

Planche intitulée « Autel à Jupiter et au génie du lieu » présentant une inscription provenant de Nimègue (CIL, XIII, 8719), à l’échelle 1/2. Première livraison d’après le Catalogue des inscriptions du général Creuly. Au verso, mention au crayon : « n°20 o ».

Creuly, Casimir

Planche thématique "Monuments divers de sévirs augustaux" - Avignon (provenant de Vaison)

Planche thématique intitulée "Monuments divers de sévirs augustaux" et présentant des inscriptions d'Avignon (provenant de Vaison) à l'échelle 2/5 et 1/2 (CIL, XII, 1363 ; CIL, XII, 1365 et CIL, XII, 2775 (provenant de Laudun-l'Ardoise, territoire de Nemausus/Nîmes).
Au verso, mention au crayon "N° 17 O"
Première livraison d'après le "Catalogue des inscriptions du général Creuly".

Creuly, Casimir

Planche « Tombes où l’on voit comment un fils d’affranchi a reçu deux noms de famille. » - Nîmes

Planche intitulée « Tombes où l’on voit comment un fils d’affranchi a reçu deux noms de famille » présentant deux inscriptions de Nîmes (CIL, XII, 3843 et 3367), à l’échelle 1/2. Première livraison d’après le Catalogue des inscriptions du général Creuly. Verso non numérisé.

Creuly, Casimir

Planche « Inscription incomplète d’un monument élevé à C. Aemilius B.M., ancien gouverneur de la Narbonaise (sic) » - Nîmes

Planche intitulée « Inscription incomplète d’un monument élevé à C. Aemilius B.M., ancien gouverneur de la Narbonaise (sic) » présentant une inscription de Nîmes (CIL, XII, 3163), à l’échelle 1/2. Première livraison d’après le Catalogue des inscriptions du général Creuly. Au verso, mention au crayon : « n°XVII o ».

Creuly, Casimir

Planche « Gratifications allouées par la colonie à un soldat congédié » - Nîmes

Planche intitulée « Gratifications allouées par la colonie à un soldat congédié » présentant deux inscriptions provenant de Nîmes (CIL, XII, 3179 et 3175), à l’échelle 1/2. Première livraison d’après le Catalogue des inscriptions du général Creuly. Au verso, mention au crayon : « n°55 » (biffé) ; « 33 » (biffé) ; « n°34 » ; « n°24 ».

Creuly, Casimir

Planche « Préfet d’une aile de cavalerie, ancien magistrat de Nîmes, élevé au rang des préteurs » - Nîmes

Planche intitulée « Préfet d’une aile de cavalerie, ancien magistrat de Nîmes, élevé au rang des préteurs » présentant une inscription provenant de Nîmes (CIL, XII, 3166), à l’échelle 1/2. Première livraison d’après le Catalogue des inscriptions du général Creuly. Au verso, mentions au crayon : « n°60 » ; « 24 O » ; « n°28 ».

Creuly, Casimir

Planche « Monument honorifique élevé à un personnage par son fils adoptif » - Nîmes

Planche intitulée « Monument honorifique élevé à un personnage par son fils adoptif » présentant deux inscriptions de Nîmes (CIL, XII, 3183 et 3869), à l’échelle 1/2. Première livraison d’après le Catalogue des inscriptions du général Creuly. Au verso, mention au crayon : « n°XVIII o »

Creuly, Casimir

Planche « Magistrat ayant obtenu ses grades successifs avant l’âge requis pour chacun » - Nîmes

Planche intitulée « Magistrat ayant obtenu ses grades successifs avant l’âge requis pour chacun », présentant une inscription de Nîmes (CIL, XII, 3164), à l’échelle 1/ 2. Première livraison d’après le Catalogue des inscriptions du général Creuly. Au verso, mentions au crayon : « salle 18 » ; « n°7 X ».

Creuly, Casimir

Planche « Adolescents honorés à Nîmes des insignes du décurionat, l’un d’eux décurion de Riez » - Nîmes

Planche intitulée « Adolescents honorés à Nîmes des insignes du décurionat, l’un d’eux décurion de Riez »  présentant deux inscriptions de Nîmes (et Clarensac) (CIL, XII, 3200 et 3253), à l’échelle 2/5. Première livraison d’après le Catalogue des inscriptions du général Creuly. Au verso, mentions au crayon : « 24 » ; « n°XVIII ».

Creuly, Casimir

Planche « A la base d’une statue élevée par les Calagurritains de Tarraconaise (sic), à un ancien gouverneur de cette province, leur patron » - Nîmes

Planche intitulée « A la base d’une statue élevée par les Calagurritains de Tarraconaise (sic), à un ancien gouverneur de cette province, leur patron » présentant une inscription provenant de Nîmes (CIL, XII, 3167), à l’échelle 1/2. Première livraison d’après le Catalogue des inscriptions du général Creuly. Au verso, mentions au crayon : « 24 » ; « n°XIX o ».

Creuly, Casimir

Planche "tombeau d'un pontife de la colonie de Riez" - Avignon (provenant de St Gabriel)

Planche intitulée "tombeau d'un pontife de la colonie de Riez" et présentant une inscription d'Avignon (provenant de Saint-Gabriel) à l'échelle 1/2 (CIL, XII, 983).
Verso non numérisé.
Première livraison d'après le "Catalogue des inscriptions du général Creuly".

Creuly, Casimir

Planche « Monument élevé par les citoyens de Fréjus » - Nîmes

Planche intitulée « Monument élevé par les citoyens de Fréjus » présentant une inscription de Nîmes (CIL, XII, 3184), à l’échelle 1/2. Première livraison d’après le Catalogue des inscriptions du général Creuly. Au verso, mentions au crayon : « 22 » ; « n°XVII »

Creuly, Casimir

Planche « Monuments religieux » - Nîmes

Planche intitulée « Monuments religieux » présentant trois inscriptions provenant de Nîmes (CIL, XII, 3084 ; 3082 et 3081), à l’échelle 1/2 et 7/20. Première livraison d’après le Catalogue des inscriptions du général Creuly. Au verso, mentions au crayon : « (20) » (rouge) ; « XX » (biffé, rouge) ; « n°10 o » ; « 19 ».

Creuly, Casimir

Résultats 251 à 300 sur 5100