Fonds 2019003 - Fonds Frédéric Moreau

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Zone d'identification

Cote

2019003

Titre

Fonds Frédéric Moreau

Date(s)

  • 1873 - 1897 (Production)

Niveau de description

Fonds

Étendue matérielle et support

8 cartons ; 1,56 ml

Zone du contexte

Nom du producteur

(1798 - 1898)

Notice biographique

Thomas-Frédéric Moreau, ou Frédéric Moreau père, est né à Paris le 13 Messidor an VI (1er juillet 1798). Marchand de bois et négociant comme son père, il est établi à Paris. Membre du conseil général du département de la Seine, et du conseil municipal de Paris, il est également membre du conseil d’escompte de la banque de France. Il est décoré chevalier de la légion d’honneur en 1837. Il publie en 1840 le Code du commerce des bois carrés, charpente, sciage et charronnage réunis pour l’approvisionnement de Paris et, 3 ans plus tard, une analyse historique du flottage en trains dans le Recueil de la Société polytechnique ou Recueil industriel.
À sa retraite, âgé de 70 ans, il s’installe dans l’Aisne à Fère-en-Tardenois où il développe une passion pour l’archéologie. Il entreprend, le 20 septembre 1873 des fouilles à Caranda, nom d’un moulin situé sur la rivière de l’Ourcq et des terres qui en dépendent sur lesquelles se trouvent un dolmen. Frédéric Moreau conserve ce nom comme générique pour l’ensemble de sa collection archéologique bien que celle-ci soit le résultat de près de 30 années de fouilles en divers lieux du département de l’Aisne : Cierges (Caranda), Arcy-Sainte-Restitue, Fère-en-Tardenois (Sablonnières), Bruyères-sur-Fère (Trugny), Brény, Armentières, Chouy, Aiguisy et Nampteuil-sous-Muret, etc. Sa principale motivation, au départ, est l’ « occupation instructive » de ses enfants et petits-enfants lors des vacances passées dans la demeure familiale (cf. 2019003/1). Les découvertes attirent l’attention de la Société historique de Château-Thierry qui, venant visiter les fouilles, encouragèrent Frédéric Moreau père à poursuivre ses explorations et lui conseillèrent la tenue d’un procès-verbal pour chaque journée d’exploration, tâche qu’il exécute avec sérieux et rigueur. Ses fouilles et la présentation de ses collections attirent de nombreux savants passionnés d’archéologie qui contribuent à la notoriété de l’entreprise et répondent aux interrogation fondées de leur inventeur. Il est nommé officier de l’Instruction publique.
Encouragé par Gabriel de Mortillet, Frédéric Moreau père entreprend de publier, à compte d’auteur, sa collection en 20 fascicules imprimés entre 1877 et 1898, comprenant 230 planches illustrées par Jules Pilloy, agent-voyer d’arrondissement de Saint-Quentin. 300 exemplaires sont imprimés (texte imprimé par Charles Poëtte à Saint-Quentin ; planches imprimées chez Bourbier, imprimeur-lithographe à Saint-Quentin) et distribués par Frédéric Moreau père à ses proches et à diverses institutions publiques ou sociétés savantes.
Avec les objets archéologiques mis au jour pendant ses fouilles, Frédéric Moreau père forme deux collections, l’une à Fère-en-Tardenois, l’autre à Paris dans son hôtel au 98 rue de la Victoire. Une sélection est présentée dans l’exposition rétrospective du travail et des sciences anthropologique (section 1) de l’Exposition universelle de 1889. Il effectue plusieurs dons en faveur de musées, à sa famille ou à des amis.
Il décède le 21 octobre 1898, à l’âge de 100 ans.

Histoire archivistique

Frédéric Moreau père débute ses fouilles en 1873 et les résultats de son entreprise attirent très vite la communauté scientifique. Alexandre Bertrand et Gabriel de Mortillet visitent tous deux le chantier de fouilles archéologiques dès 1875. Le directeur du musée des Antiquités nationales, Alexandre Bertrand, commande à Frédéric Moreau père des dessins d’armes et d’ornements de sa collection provenant de sépultures mérovingiennes. En septembre 1879, Frédéric Moreau annonce à Alexandre Bertrand que les planches, réalisées par Léon Demay, sont achevées : 8 planches sont inscrites au registre d’entrée de la bibliothèque le 12 mars 1881 (inv. BIB 5898). Alexandre Bertrand souhaitait rémunérer cette commande ; mais Frédéric Moreau insiste pour qu’il n’en soit rien, d’une part car le temps consacré à ce travail fut pris par Léon Demay sur celui consacré à ses fonctions de secrétaire, d’autre part car l’honneur qui lui était fait de voir exposer ses dessins au musée des Antiquités nationales suffisait au dessinateur (lettre de Frédéric Moreau à Alexandre Bertrand, Fère-en-Tardenois, 6 septembre 1879, MAN, Centre des archives, fonds de correspondance ancienne). Ces planches de grands formats étaient destinées dans un premier temps à rejoindre le contenu d’un meuble à volets, outil pédagogique mis en place dans les salles d’exposition permanentes pour illustrer et enrichir les collections exposées. Avec la suppression de ces meubles à volet au milieu du XXe siècle, deux des planches ont été encadrées et sont restées dans le parcours d’exposition permanente tandis que les six autres rejoignaient les collections de la bibliothèque puis du Centre des archives.
Frédéric Moreau père lègue ses collections au musée de Saint-Germain-en-Laye en 1898, ainsi que les vitrines en contrepartie d’une somme de 20 000 francs destinée à la restauration du clocher de Fère-en-Tardenois. La plupart des échanges autour du legs ne mentionnent que les collections et les vitrines, mais il semble que les procès-verbaux des fouilles réalisés sous la direction de Frédéric Moreau père étaient également inclus dans le legs. C’est ce que suppose un courrier d’Alexandre Bertrand et Salomon Reinach à Monsieur Aucoc sur des questions juridiques, copiant des extraits du testament : il est mentionné que la collection « a une bien plus grande valeur scientifique, accompagnée qu’elle est de tous les registres des fouilles tenus jour par jour, avec description des tombes et dessins à la plume exécutés au moment même de la découverte » (lettre d’Alexandre Bertrand et Salomon Reinach à Monsieur Aucoc, Paris, le 3 janvier 1899, MAN, Centre des archives, fonds de correspondance ancienne). Le legs est accepté l’année suivante. Les registres, ou procès-verbaux, des fouilles n’ont jamais été inscrits, ni dans le registre d’entrée de la bibliothèque ni dans le registre d’entrée des collections (un numéro global MAN 36157 a été donné pour l’ensemble de la collection, puis pour les objets à partir du numéro MAN 36187 et suivants). Seule une photographie est inscrite sous le numéro 37362, intitulée « Photographie d’Adolphe Moreau en 1889 ». Cette photographie est restée conservée dans la correspondance ancienne du musée tandis que les procès verbaux étaient rangés dans la salle consacrée à la collection Moreau. Ils ont ensuite intégré les fonds du Centre des archives.
En 1909, Félix Frédéric Moreau, petit-fils de Frédéric Moreau, offre au musée de Saint-Germain un portrait de son grand-père, photographie encadrée réalisée par l’atelier Waléry à Paris, destiné à figurer dans la salle Moreau. Il ne reçoit aucun numéro d’inventaire.
Le 22 avril 1920 est inscrit au registre d’entrée de la bibliothèque le plan du dolmen de Caranda, premier site fouillé par Frédéric Moreau père et fils (inv. BIB 16330). Ce plan, dressé en 1873 par L. A. Poussant et relié dans un volume, est mentionné dans une lettre de Frédéric Moreau père, qui propose dès 1873 l’exécution d’un double pour le musée des Antiquités nationales. La réponse d’Alexandre Bertrand n’est pas connue : s’agit-il d’un double enregistré rétrospectivement en 1920 ou bien d’un don cette année-là de la part des héritiers de Frédéric Moreau père ?
Le 22 juin 1922, Frédéric Moreau, probablement le même petit-fils de Frédéric Moreau père, apporte au musée un tableau d’Albert Maignan, Gauloise achetant de la poterie, et un autre de Camille Moreau-Nélaton (épouse du neveu de Frédéric Moreau père) représentant le Clocher de Fère-en-Tardenois, ainsi que deux lithographies de Ciceri (inv. MAN 68847 et MAN 68848). Peu de temps après, il réitère son geste en envoyant plusieurs dessins à la plume de Varin représentant la cabane des fouilles (inv. MAN 68924), la ferme d’Armentières (inv. MAN 68925 et MAN 68926), une tranchée près d’Armentières (inv. MAN 68927) et l’église d’Armentières (inv. MAN 68928). Tous ces dessins, lithographies et tableaux étaient encadrés et accrochés aux murs de la salle consacrée à la collection Moreau. Cette salle est devenue espace de réserve au moment du réaménagement du musée orchestrée sous le ministère Malraux. Le portrait photographique, les lithographies et les dessins ont été enlevés de ces salles, désencadrés et sont désormais conservés au Centre des archives.

Source immédiate d'acquisition ou de transfert

Les documents compris dans le fonds Thomas-Frédéric Moreau, ou Frédéric Moreau père (son fils porte le même prénom que lui), ont tous été produits sous la direction de Frédéric Moreau mais sont parvenus au musée d’Archéologie nationale en plusieurs envois dont la nature, dons, legs ou commandes, n’est pas toujours clairement identifiée.
Les éléments les plus anciens sont une commande d’Alexandre Bertrand, directeur du musée, de plusieurs dessins mais Frédéric Moreau père en refuse le moindre paiement et les offre gracieusement au musée.
Le legs de la collection d’objets de Frédéric Moreau père en 1898-1899 entraîne l’arrivée probable, en complément, des 24 registres de procès-verbaux.
Le portrait de Frédéric Moreau père est offert par son petit-fils au musée en 1909. Il semble qu’il en est de même pour les tableaux peints, les lithographies et les dessins qu’il apporte ou envoie au musée le 22 juin et 4 juillet 1922.

Zone du contenu et de la structure

Portée et contenu

Le fonds est composé de plusieurs ensembles détaillés ci-dessus (historique de production, mode de classement).
Dans la partie consacrée aux fouilles et explorations dirigées par Frédéric Moreau père, se trouvent 24 registres manuscrits à couverture cartonnée (2019003/1-2019003/24) achetés à la Papeterie Cabasson, 29 rue Joubert à Paris, spécialisée dans les registres. Frédéric Moreau père prend un soin particulier dans le choix de ses registres : le format est identique pour les 19 premiers albums, puis un peu plus grand pour les 5 derniers. La couleur de la couverture change au départ à chaque site fouillé, avant qu’un même registre ne soit consacré à plusieurs fouilles. Des étiquettes mentionnent le nom du site et le numéro du registre dans la série consacrée à ce site (au maximum 4 registres) ; tandis qu’une autre indique le numéro dans la série générale des procès-verbaux (1 à 24). Ces registres contiennent les compte-rendus des fouilles, réalisés au jour le jour et agrémentés de dessins à l’encre ou au crayon et souvent mis en couleur au crayon. Frédéric Moreau père ne rédige pas lui-même et s’adjoint l’aide d’un secrétaire, dont il met en garde le lecteur contre l’orthographe, assurant par ailleurs que les informations sont véridiques sur le fonds. Il semble que sur les 25 années concernées, plusieurs secrétaires se soient succédés. Des pages ou des emplacements sont parfois laissés libres pour des dessins qui n’ont jamais été réalisés (seules des indications et des emplacements réservés attestent parfois les souhaits de l’auteur). Frédéric Moreau ajoute en revanche de fréquentes annotations dans les marges et signe de sa main l’ensemble des registres pour en attester le contenu. Un même registre peut concerner plusieurs sites, qui ne sont pas toujours tous indiqués sur la couverture. En dehors du compte-rendu des fouilles, les registres offrent des statistiques régulières sur le nombre d’objets découverts par périodes, par types et par sites. On y trouve également plusieurs inventaires de la collection Caranda installée dans l’hôtel Moreau à Paris, une liste précieuse des dons d’objets et d’albums Caranda ainsi que deux inventaires de sa bibliothèque archéologique. Des copies de lettres sont régulièrement intégrées aux registres et Frédéric Moreau mentionne régulièrement les visiteurs de ses fouilles et de ses collections.
À ces registres, s’ajoutent un volume relié comprenant les plans levés par L. A. Poussant du dolmen de Caranda (2019003/25), premier site fouillé par Frédéric Moreau père en 1873. Ce dernier informe Alexandre Bertrand le 31 novembre 1873 de l’exécution de ce relevé et demande si le musée serait intéressé. Le cas échéant, il serait possible d’en faire une copie. Ce n’est pourtant qu’en 1920 que le volume relié contenant ces plans est inscrit au registre d’entrée de la bibliothèque du musée des Antiquités nationales.
Quatre listes (2019003/26-2019003/29) concernent la partie de la collection Caranda exposée du vivant de Frédéric Moreau père chez lui au 98 rue de la Victoire à Paris. Ces listes datent de 1897, environ un an avant sa mort et sont à relier aux nombreux listings présents dans les registres de procès-verbaux.
Avec l’arrivée de la collection Caranda, léguée au musée des Antiquités nationales, entre dans les collections d’objets une photographie d’un membre de la famille Moreau (2019003/30) réalisée par le photographe Waléry (probablement Stanislas Julien Ostrorog dit Waléry), photographe résidant à Paris au 9bis rue de Londres. Identifié comme Adolphe Moreau dans le registre d’entrée des collections et daté de 1889, la date ne concorde pas car Adolphe Moreau, frère de Frédéric Moreau père, est déjà décédé. Il s’agirait plus vraisemblablement de Frédéric Moreau père.
L’ensemble suivant comprend tous les éléments (dessins, lithographies, photographie) exposés avec les collections dans la salle Moreau du musée des Antiquités nationales. Ils avaient pour objectif d’illustrer les fouilles et résultats de Frédéric Moreau père alors même que les collections n’étaient pas encore entrées au musée : c’est le cas des huit planches aquarellées réalisées à la demande d’Alexandre Bertrand par Léon Demay, son secrétaire, (2019003/31) et arrivées au musée entre 1879 et 1881. Elles étaient présentées dans un meuble à volets. À l’arrivée de la collection Moreau, les planches sont retirées et deux d’entre elles sont encadrées pour être accrochées sur les murs de la salle consacrée à la donation. En 1909, le petit-fils de Frédéric Moreau père, Félix Frédéric Moreau, offre au musée un portrait de son père (2019003/34), tirage photographique exécuté par Waléry, auteur de la photographie déjà sus-mentionnée. C’est probablement Félix Frédéric Moreau qui apporte et envoie au musée en 1922 un certains nombre de documents iconographiques destinés à figurer dans la salle Moreau. Il s’agit tout d’abord de deux lithographies d’Eugène Cicéri (Paris, 1813-1890) d’après des dessins d’Émile Sagot (Dijon, 1805-vers 1875) représentant le château de Fère-en-Tardenois (2019003/32). Elles ne sont pas datées mais une lithographie à la thématique similaire, incluse dans un ensemble intitulé « Voyages pittoresques et romantiques dans l'ancienne France » est conservée au musée des Beaux-arts de la ville de Paris et datée de 1857. Puis viennent cinq dessins d’Eugène Varin représentant les fouilles et les lieux caractéristiques d’Armentières (2019003/33), exécutés le 11 octobre 1881 alors que les fouilles de Frédéric Moreau père étaient encore en cours.

Évaluation, élimination et calendrier de conservation

Pas d’élimination.

Accroissements

Mode de classement

Nous avons pris le parti de diviser ce fonds en quatre parties : d’une part les documents liés aux fouilles archéologiques menées par Frédéric Moreau, puis les documents liés à la collection Moreau présentée par Frédéric Moreau père dans son hôtel particulier rue de la Victoire à Paris, puis un document à caractère personnel et, enfin, les différents supports muséographiques (dessins, lithographies, photographie) exposés dans la salle consacrée à la collection Moreau au musée des Antiquités nationales, actuel musée d’Archéologie nationale.

Zone des conditions d'accès et d'utilisation

Conditions d’accès

Librement communicable

Conditions de reproduction

Selon le règlement de la salle de lecture.

Langue des documents

  • français

Écriture des documents

Notes sur la langue et l'écriture

Caractéristiques matérielle et contraintes techniques

Instruments de recherche

Zone des sources complémentaires

Existence et lieu de conservation des originaux

Existence et lieu de conservation des copies

Unités de description associées

Descriptions associées

Note de publication

Paris, Archives nationales :
20144782/3 : Rapport sur la salle Moreau (1901)
20144782/22, Dons et legs acceptés : Legs de la collection Caranda et ouverture de la salle Moreau.
20144782/25, Dons et legs acceptés : Frédéric Moreau : deux tableaux, deux lithographies, cinq dessins.

Note de publication

« Nouvelles archéologiques et correspondance », Revue archéologique, 1875, p. 121-122.
BLANCHET Adrien, « Table générale de l'Album Caranda, établie par M. J. Pilloy. 1908 », Bulletin Monumental, 72, 1908, p. 561-562.
FLEURY Édouard, « Les sépultures mixtes de Caranda et Sablonnières près Fère-en-Tardenois (Aisne) ; L’Album de MM. Moreau (1) », Revue archéologique, 1877, p. 176-191.
FLOUEST Édouard, « Fouilles d’Armentières (Aisne) », Revue archéologique, 1884, p. 345-349.
HUBERT Henri, « La collection Moreau au Musée de Saint-Germain », Revue archéologique, 1902, p. 167-206.
HUBERT Henri, « La collection Moreau au Musée de Saint-Germain », Revue archéologique, 1906, p. 338-371.
KAZANSKY Michel, La nécropole gallo-romaine et mérovingienne de Breny (Aisne) d’après les collections et les archives du Musée des Antiquités nationales, Montagnac, éditions Monique Mergoil, 2002.
LANGLOIS Pierre, La Salle Frédéric Moreau du Musée d’Archéologie Nationale de Saint-Germain-en-Laye. Comment présenter la collection d’un archéologue amateur dans le contexte d’un musée type 19ème siècle ?, Mémoire d’étude de 1ère année de 2e cycle sous la direction de Cécilia Hurlay-Griener, Paris, Ecole du Louvre, 2009, 2 vol.
MOREAU Frédéric-Thomas, Exposition universelle de 1889, Palais des arts libéraux, Objets antiques sortis de la collection Caranda : description sommaire, Paris, Maison Quantin, 1889.
REINACH Salomon, « L’histoire du travail en Gaule à l’exposition universelle de 1889 », Petite bibliothèque d’art et d’archéologie, juillet 1890, p. 66.
REINACH Salomon, « Nouvelles archéologiques et correspondance : Frédéric Moreau », Revue archéologique, 1898, p. 307-308.
REINACH Salomon, « Nouvelles archéologiques et correspondance : L’Album Caranda », Revue archéologique, 1900, p. 153-159.

Note de publication

« L’Album Caranda : Oeuvre de Frédéric Moreau », Site internet du Musée des Temps barbares Parc archéologique de Marle [en ligne] : https://www.museedestempsbarbares.fr/lalbum-caranda-oeuvre-de-frederic-moreau/ (consulté le 10/01/2020).

Zone des notes

Identifiant(s) alternatif(s)

Mots-clés

Mots-clés - Sujets

Mots-clés - Lieux

Mots-clés - Noms

Mots-clés - Genre

Zone du contrôle de la description

Identifiant de la description

Identifiant du service d'archives

Règles et/ou conventions utilisées

ISAD-G

Statut

Finale

Niveau de détail

Complet

Dates de production, de révision, de suppression

décembre 2019 - mars 2020

Langue(s)

  • français

Écriture(s)

Sources

Note de l'archiviste

Soline Morinière

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Sujets associés

Personnes et organismes associés

Genres associés

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