Affichage de 11 résultats

Description archivistique
Seine-et-Oise
Aperçu avant impression Affichage :

5 résultats avec objets numériques Afficher les résultats avec des objets numériques

Seine-et-Oise

Lame en bronze et pommeau d'épée en bronze serti, provenant de Corbeil, conservés dans la collection Campagne et la collection Piketty [dessin au crayon, 2020001/70/1]. Bracelets, éléments d'épées, poignard et haches, de provenances diverses, collection P. Salmon [dessins à l'encre collés sur planches, 2020001/70/2-5].

Planche 4

Bracelet, Chandeney près Toul (Meurthe-et-Moselle), bracelet, Dijon (Côte-d’Or), bracelet, Seine-et-Oise, bracelet, tumulus de Martigny-les-Bains (Vosges), conservé au musée d’Épinal, bracelet, tumulus de Suriauville (Vosges), conservé au musée d’Épinal [dessins aquarellés d’Édouard Flouest d’après nature et d’après des dessins de Charles Cournault dans un album du musée d’Archéologie nationale à Saint-Germain-en-Laye, 2018007/85/4].

Flouest, Edouard

MAN 33187

Ferret de ceinture, bronze, Rosny-sur-Seine (ancienne église paroissiale), Longueur : 5,5 cm, Largeur : 3 cm
700-800 ap. J.-C.

MAN 2151

Hache polie, jadéite, Forêt de Sénart (Essonne), H. 230 mm, l. 110 mm, versement du Louvre 1865. Âge du Bronze.

Les environs de Paris depuis les Temps géologiques jusque et y compris l’époque Mérovingienne, d’après les découvertes Géologiques et Archéologiques faites depuis vingt ans

Album [Table des localités, page de titre, vue de la Cour intérieure du Musée de St-Germain pendant la restauration, Terrains secondaires, Terrains tertiaires, Quaternaire ancien, Quaternaire des cavernes époque glaciaire, Quaternaire des stations à l’air libre, Polissoirs, Navigation, Monuments mégalithiques Dolmens, Tumulus, Cromlechs, les cités lacustres des bords de la Seine, La Gaule avant l’invasion, La forêt et les chênes vénérés, La Gaule en armes, la Gaule romaine, Les environs de Paris aux temps mérovingiens, Carte archéologique du département de Seine-et-Oise] : Notes, manuscrites, photographies, dessins à l’aquarelle, dessins à l’encre, stratigraphies à l’encre ou à l’aquarelle, plans à l’encre ou à l’aquarelle, relevés en plans et en coupes, document imprimé « L’opinion d’un bas-breton sur le dolmen de Conflans » par Paul Guégan.

Introduction

Introduction [20 p.] : notes manuscrites, tableau (sans date).

Fonds Paul Guégan

  • 2019004
  • Fonds
  • 1872 - 1891

Comme l’indique Paul Guégan dans son introduction, c’est à Alexandre Bertrand qu’il doit l’idée d’entreprendre sa Monographie des Monuments mégalithiques et des objets travaillés par l’homme aux temps préhistoriques dans le Département de Seine-et-Oise (voir 2019004/1). Contrairement à ce que le titre permet de penser, il ne s’agit pas d’une monographie au sens strict du terme, c’est-à-dire sous la forme d’un volume unique. C’est en réalité des ensembles de fascicules liés à des communes et classés par arrondissements du département de Seine-et-Oise (Versailles, Étampes, Corbeil, Mantes, Pontoise) ou liés à des études thématiques transversales pour le département de la Seine et de ses environs. Il prend pour point de départ un inventaire topographique des vestiges archéologiques, toutes périodes confondues, publié (mais non identifié) qu’il enrichit par des descriptions, des visites, des informations complémentaires ou des dessins des sites et des objets découverts. Il s’agit de documents originaux qui présentent un intérêt indéniable pour l’histoire de l’archéologie de l’Ile-de-France. Si les périodes préhistoriques occupent une part importante du travail fourni, Paul Guégan n’occulte pas pour autant les périodes plus récentes, jusqu’au haut Moyen-Âge qui appelle « époque franque-mérovingienne ». Pour ce travail, Paul Guégan s’inspire des travaux qui ont pu être menés dans d’autres départements par Eugène Belgrand (Seine), Eugène Grave (Oise), Edouard Fleury (Aisne) ou encore l’abbé Cochet (Seine inférieure). Il s’appuie pour ce faire sur un réseau de contacts locaux ou puise dans les milieux savants auxquels il appartient. Il travaille également d’après les publications anciennes, qu’il n’a cependant de cesse de vouloir enrichir et documenter.
Paul Guégan passe près de 20 ans à réaliser ce vaste travail de compilation et de recherches. Les premiers dessins datés sont de 1872. Et malgré la date de 1889 inscrite sur les coffrets, Paul Guégan continue à enrichir les fascicules, au moins jusqu’en 1891, date des dernières découvertes mentionnées.
Le traitement du fonds a permis de constater quelques lacunes : il manque plusieurs fascicules et au moins plusieurs dessins. Les lacunes identifiées sont indiquées au début de chaque sous-série.

Guégan, Paul

Résultats 1 à 10 sur 11