Sous-série 2020001/36 - Études paléoethnologiques dans le Bassin du Rhône. Âge du Bronze. Album inédit I

Zone d'identification

Cote

2020001/36

Titre

Études paléoethnologiques dans le Bassin du Rhône. Âge du Bronze. Album inédit I

Date(s)

  • 1866-1876 (Production)

Niveau de description

Sous-série

Étendue matérielle et support

Album de 137 planches reliées.

Zone du contexte

Nom du producteur

(1843 - 1924)

Notice biographique

Benoît Jean Paul Ernest Chantre est né le 13 janvier 1843 à La Guillotière (Rhône). Fils d'un courtier de commerce, il est licencié en Sciences à la faculté de Lyon quand il se passionne pour la préhistoire, et pour les différents sites archéologiques dans la région du Rhône. Il mène des recherches sur les âges du Bronze et du Fer, et sur les origines de la métallurgie dans sa région natale et dans les stations lacustres helvétiques. Sous l'influence du professeur Broca, il se dirige vers une étude anthropologique plus large, et propose dans les années 1870 le terme de « paléo-ethnologie » afin de tendre à une compréhension plus globale de l'évolution de l'humanité. Au début de l'année 1870, il est nommé correspondant de la Commission de Topographie des Gaules (CTG), pour le département du Rhône. Il publie en 1871 son premier ouvrage scientifique, Les Palafittes ou constructions lacustres du lac de Paladru (station des Grands-Roseaux), à la suite d'une mission de fouilles officielles de la CTG, et dont il livre les résultats archéologiques au musée des Antiquités nationales. En 1873, il devient co-éditeur avec son ami Émile Cartailhac de la revue Matériaux pour l'histoire primitive et naturelle de l'Homme, fondée par Gabriel de Mortillet en 1864. Jusqu'en 1888, il participe à la publication de quinze volumes de la revue. Ses premiers pas dans l'édition permettent de l'ancrer durablement dans le paysage scientifique de l'archéologie préhistorique. Il est élu secrétaire aux différents congrès internationaux d'anthropologie et d'archéologie préhistorique : à Copenhague en 1869, à Bologne en 1871, à Stockholm en 1874 ou encore à Budapest en 1876. Cette reconnaissance à l'échelle européenne est simultanée à son insertion dans le paysage scientifique lyonnais.
Alors qu'il est devenu attaché au Muséum d'Histoire naturelle de Lyon (MHNL) en 1871, il en devient sous-directeur en 1877, et ce jusqu'en 1910. Il marque la ville de Lyon par l'implantation de la discipline anthropologique, encore nouvelle dans cette région. Il crée au MHNL en 1874 un « Laboratoire d'anthropologie », le premier de la ville grâce au soutien financier de ses collègues de l'Association française pour l'Avancement des Sciences (AFAS) ainsi qu'à l'enthousiasme de Paul Broca pour ses projets scientifiques. Puis, il propose d'offrir à la municipalité lyonnaise sa collection personnelle, à la condition d'ouvrir une galerie dédiée spécifiquement aux sciences anthropologiques. Lors de son inauguration en 1878, Broca propose dans son discours d'invité d'honneur d'intégrer un enseignement public de l'anthropologie. La ville de Lyon fait alors entrer la discipline dans les cours municipaux, et en confie la responsabilité à Ernest Chantre. Cet engouement populaire connaît des réserves dans le monde universitaire lyonnais. L'anthropologie n'entre pas dans les programmes de la faculté. Jules Ferry, alors ministre de l'Instruction publique et sûrement convaincu par Paul Broca, organise officiellement l'enseignement de l'Anthropologie qui est finalement intégrée à la faculté des Sciences. Le nouveau poste est alors confié à Ernest Chantre en 1881. Onze ans plus tard, l'anthropologie est rattachée à la chaire de géologie, et devient l'ethnologie. En 1901, sa place dans les cursus universitaires est enfin reconnue : le doyen de la faculté des Sciences rend la discipline obligatoire pour la licence en Sciences, au même titre que la stratigraphie et la paléontologie, et c'est à Ernest Chantre de s'occuper de ce cours jusqu'en 1908. Enfin, il est reconnu officiellement par les instances scientifiques et universitaires en 1901, lorsqu'il devient docteur ès Sciences naturelles, à l'université de Lyon.
Fort de ces réussites sur les programmes universitaires de Sciences, Ernest Chantre fonde dans les années 1880 une Société d'Anthropologie lyonnaise, sur le modèle parisien de Paul Broca de 1859. Il est nommé secrétaire général de la société tandis que le Dr Paulet, professeur de la faculté de Médecine en devient le président. Avec cette société anthropologique, les savants tendent à une étude exhaustive de l'Homme, et de son évolution à divers points de vue. Ils intègrent ainsi la biologie, la zoologie, l'ethnographie et l'ethnologie, et jouent sur l'interdisciplinarité, notamment avec la linguistique, la géographie et surtout l'archéologie. Un bulletin annuel est publié, auquel participe activement Ernest Chantre, comme secrétaire mais aussi et surtout comme chercheur.
Ses activités dans la Société d'Anthropologie de Lyon s'intègrent dans un réseau de sociétés et d'associations régionale et nationales. Il est l'un des membres fondateurs de la Société géographique de Lyon en 1873, ou encore un membre de la Société linéenne de Lyon et devient son président d'honneur en 1922. Il intègre l'Académie des sciences, des belles-lettres et des arts de Lyon comme membre en 1872, puis le Comité des travaux historiques et scientifiques comme membre non-résident de 1891 à 1922. À cette dernière date, il devient membre correspondant de l'Académie des inscriptions et belles-lettres, distinction qui couronne sa carrière.
Ces différentes sociétés et académies lui offrent la possibilité de publier et de se faire connaître : en 1904, il devient l'un des membres fondateurs de la Société préhistorique française, aboutissement d'une longue carrière de recherches sur la préhistoire française, mais aussi européenne. Son parcours scientifique s'incarne certes dans ses publications mais aussi et surtout dans ses dons d'objets archéologiques, résultat de ses fouilles en France et dans le Caucase notamment, à diverses grandes institutions muséales. Outre le MHNL de Lyon, son établissement de prédilection, il entretient de nombreux rapports avec le musée des Antiquités nationales de Saint-Germain-en-Laye auquel il donne de nombreux objets, à titre personnel ou en tant que correspondant de la CTG.
Ernest Chantre est également connu pour sa méthodologie scientifique : il promeut une démarche comparatiste, afin de mettre en place une méthode scientifique universelle. Il participe à partir des années 1870 à la refonte de la cartographie archéologique pour laquelle il soutient en 1874, au congrès d'Anthropologie et de Préhistoire de Stockholm, une Légende internationale pour les cartes préhistoriques, qui est adoptée par les préhistoriens européens. Il met en application cette légende cartographique dédiée à l'archéologie, dans son Atlas des sites archéologiques des différents départements français, qu'il réalise dans les années 1880, alors qu'il est membre de la Sous-commission d'inventaire des monuments mégalithiques et des blocs erratiques de la France et de l'Algérie. Créée en 1879 et présidée par Henri Martin, cette Sous-commission est rattachée à la Commission des monuments historiques. Les dix membres de cette Sous-commission se sont réparti différentes régions de France afin de dresser la liste des monuments mégalithiques ; Ernest Chantre se voit donc confier le groupe « sud-ouest ».
Cependant, Ernest Chantre ne se limite pas aux frontières françaises et toujours dans cette visée universelle de comparaison des cultures préhistoriques, il débute dès les années 1870 une longue série de voyages à l'étranger. Ses nombreuses pérégrinations sont pour la plupart réalisés sur ses deniers personnels, avant de bénéficier ponctuellement des financements et des ordres de missions de la Commission des voyages et des missions du ministère de l'Instruction publique et des Beaux-Arts au début des années 1880. Ernest Chantre parcourt l'Europe, en commençant par la Grèce et la Turquie en 1873. En 1879, il participe au congrès d'Anthropologie en Russie et s'intéresse aux fouilles réalisées dans le Caucase. Il obtient alors du ministère les fonds nécessaires pour retourner deux ans plus tard dans le Caucase et entreprendre des fouilles dans la nécropole de Koban, puis continuer son périple vers l'est, en Transcaucasie, au Kurdistan et en Arménie. En rapportant de nombreux objets (et certaines sépultures de Koban) en France pour le MHNL mais aussi pour le musée des Antiquités nationales, il obtient des lettres de missions de la Commission aux voyages et aux missions, bien qu'il continue de financer lui-même une grande partie de ses déplacements. Il se rend alors en Europe centrale, puis retourne vers l'Est de l'Europe, et se concentre au tout début du XXe siècle sur les terrains égyptiens et nubiens, ainsi que nord-africain. Tous ces voyages et missions donnent lieu à de nombreux articles, dessins et croquis, publiés dans les différentes revues auxquelles il participe, et à des récits plus littéraires écrits par son épouse Bellonie Chantre qui, dès leur mariage en 1886, est de tous ses voyages, non seulement comme secrétaire, mais aussi comme photographe et scientifique.
La chronologie des voyages d'Ernest Chantre révèle que la première partie de ses recherches – des années 1860 à 1880 – se concentre autour du bassin du Rhône, du Dauphiné et de la Suisse. Puis, il élargit ses recherches avec le recensement des différents monuments mégalithiques pour réaliser des statistiques et, à terme un atlas archéologique de la France qui ne sera jamais publié mais donné au musée des Antiquités nationales. Simultanément, il se tourne vers l'Europe centrale et orientale, à la recherche des origines de la métallurgie, grande préoccupation des savants contemporains. En traversant l'Arménie à partir des années 1890, il commence aussi à étudier avec son épouse l'anthropométrie, selon une démarche de comparatisme scientifique.
La fin de sa vie est toutefois marquée par « l'affaire du crâne ». En 1908, cette affaire de plagiat le confronte à son supérieur au MHNL, le directeur Louis Lortet qui jette alors l'opprobre sur les différentes recherches et publications d'Ernest Chantre, et plus particulièrement celles concernant l’Égypte. Il est alors démis de ses fonctions au musée et son poste universitaire est supprimé. Bien qu'il ait obtenu un droit de réponse dans la presse et qu'une partie de la communauté scientifique le soutienne, il est difficile de nier l'ombre que cette affaire a jeté sur la fin de sa carrière, et sur sa postérité. À partir des années 1910 il semble néanmoins organiser sa succession, en donnant notamment au musée des Antiquités nationales une partie de ses travaux sur l'archéologie nationale ainsi qu'une partie de sa bibliothèque personnelle. Il lègue ensuite sa fortune personnelle aux hospices civils de Lyon ; ce qui n'est peut-être pas sans relation avec le fait son épouse était la directrice d'un hôpital dirigé par l'Union des femmes françaises, dont elle était elle-même la présidente à Lyon. Il meurt à Écully (Rhône) le 24 décembre 1924.

Nom du producteur

(1827 - ?)

Notice biographique

Peintre et Lithographe français, il a réalisé ses études à l'Ecole des Beaux-Arts de Lyon, entre 1847 et 1850, dans l'atelier de Claude Bonnefond. Il expose ensuite à Lyon jusqu'en 1859.
Il réalise aussi des dessins archéologiques et scientifiques, que l'on retrouve dans des publications de chercheurs et dans leurs archives personnelles, tels qu'Ernest Chantre et Edouard Flouest. Néanmoins, aucune source ne vient préciser et contextualiser cette activité : Louis Brossette apparait seulement comme l'auteur de certains dessins, avec la mention "L. Brossette del".

Histoire archivistique

  • Dans cet ensemble de 137 planches reliées, 29 n'ont pas été sujet à une description archivistique puisque malgré leur numérotation, elles demeurent vierges.
  • Les haches de la pièce 2020001/36/35 ont été retrouvées en 1867 dans une carrière de quartz selon la légende d'Ernest Chantre.
  • Objets de la planche 2020001/36/51 ont été « décalqué[s] sur l'original pour Ernest Chantre » en 1876.

Source immédiate d'acquisition ou de transfert

Zone du contenu et de la structure

Portée et contenu

Séries de haches, provenant de la Fonderie de Ternay (Isère), conservées au musée archéologique de la Vienne [dessins de L. Brossette, 2020001/36/1-6]. Deux haches et un torque, provenant de la Fonderie de Saint-Pierre (Isère), conservés dans les collections Faure et Vallier (Grenoble) [dessin de L. Brossette, 2020001/36/7]. Quatre bracelets, une hache, cinq fragments de poignards et deux fragments d'épingles, provenant des sépultures de Lentenay (Ain), conservés dans la collection Tréminville [dessins, 2020001/36/8-10]. Série de onze objets numérotés, provenant de la Fonderie de bronze de Dompierre-les-Ormes (Saône-et-Loire) [dessin, 2020001/36/11]. Deux rasoirs, quatre haches, une pointe et un couteau, provenant d'une sépulture de la station lacustre des Eaux-Vives (Suisse), conservés dans le collection Gürr [dessins de L. Brossette, 2020001/36/12]. Série de plusieurs objets variés, provenant du Vivarais [dessins, 2020001/36/13]. Fragments de haches, pointes et épingles, provenant de Larivière (Doubs) [dessins d'E. Clerc, 2020001/36/14]. Trois lames d'épées, provenant des environs de Lyon, conservés au musée archéologique de Lyon [dessins de L. Brossette, 2020001/36/15]. Un rasoir, deux bracelets, deux pointes de lance et trois couteaux, provenant d'une station lacustre du lac de Neuchâtel (Suisse), conservés au musée de Bâle [dessin, 2020001/36/16]. Série d'objets divers [ensemble de quatre folii glissés sur entre deux planches vides, 2020001/36/17]. Série d'épingles et d'anneaux, provenant des stations lacustres du lac de Bourget (Suisse), conservés au musée de Zurich [dessin, 2020001/36/18]. Deux haches, provenant des environs de Trévoux, conservés dans la collection de Valentin Smith [dessins de L. Brossette, 2020001/36/19]. Quatre haches et deux épées, trouvées dans la Saône pour les première et dans le Rhône à Lyon pour les secondes, conservées dans la collection Chevrier (Chalon-sur-Saône) [dessins de L. Brossette, 2020001/36/20-21]. Trois types de haches, conservées au musée de Chalon-sur-Saône [dessins de L. Brossette, 2020001/36/22]. Trois types de haches, provenant de Saône-et-Loire, conservés dans la collection Lacroix (Mâcon) [dessins de L. Brossette, 2020001/36/23]. Trois haches, provenant de la vallée de Barcelonnette pour les deux premières et du tumulus de Saint-Jean-Saint-Nicolas pour la troisième (Hautes-Alpes), conservées dans la collection Ollivier (Digne) [dessin de L. Revon, 2020001/36/24]. Trois rasoirs et une hache, conservés au muséum d'histoire naturelle de Lyon [dessin, 2020001/36/25]. Deux bracelets non fermés, provenant de la Sépulture de Courtonay (Isère), conservés dans la collection P. Lier (Voiron) [dessins de L. Brossette, 2020001/36/26]. Objet en bronze, provenant de la station lacustre du lac de Neuchâtel (Suisse), conservé au musée de Fribourg [dessin, 2020001/36/27]. Série de cinq rasoirs (?), provenant des différents tumuli de Côte-d'Or et de Haute-Loire, conservés au musée d'Archéologie nationale, au musée de Chambéry et du musée du Puy-en-Velay [dessins de L. Brossette, 2020001/36/28]. Quatre pendeloques ajourées, provenant de tumuli des environs de Châtillon-sur-Seine et de la Sâone (Côte-d'Or), conservées au musée de d'Archéologie nationale et au musée archéologique de Dijon [dessins de L. Brossette, 2020001/36/29]. Deux haches, une épingle et une pointe de lance, provenant du Vaucluse, conservées au musée d'Avignon [dessins de L. Brossette, 2020001/36/30]. Trois épées, une hache, un bracelet et une fibule, de provenances diverses (Suisse), conservés dans la collection Schindler [dessins, 2020001/36/31]. Six pointes et deux lames, provenant du Vaucluse, anneaux et pendeloques provenant de la Drôme et cinq bracelets non fermés provenant du Gard, conservés au musée d'Avignon [dessins de L. Brossette, 2020001/36/32-34]. Trois haches, provenant de La Serre (Allier), conservées dans la collection Vannaire [dessins, 2020001/36/35]. Séries de huit haches, deux pointes, un couteau et un rasoir, provenant de La Ferté-Hauterive (Allier), conservés au musée de Moulins [dessins de L. Brossette, 2020001/36/36-38]. Deux bracelets et trois pendeloques discoïdales ajourées provenant du Trésor de Charroux (Allier), deux haches et une épingles de provenances diverses en Allier, conservés au musée de Moulins [dessins de L. Brossette, 2020001/36/39-40]. Série d'épingles, de crotales et un bracelet large non fermé , provenant de la station de lacustre du lac de Neuchâtel (Suisse) [dessin, 2020001/36/41]. Série de sept bracelets non fermés au même décor géométrique, provenant de Bar, à proximité de Montbrun (Drôme), conservés au musée archéologique de Lyon [dessins de L. Brossette, 2020001/36/42]. Quatre bracelets et une hache, provenance non-spécifiée [dessin, 202001/36/43]. Quatre haches et une série de bracelets, provenant de l'Hérault, du Gard et l'Aveyron [dessins de L. Brossette, 2020001/36/44-45]. Série de différents types de haches, provenant de Gironde et des environs de Narbonne, conservés au musée de Rodez et dans la collection Cartailhac [dessins de L. Brossette, 2020001/36/46]. Haches, épingles, un bracelet non fermé et un hameçon, provenant de plusieurs stations lacustres (Suisse), conservés au musée de Bâle [dessin, 2020001/36/47]. Quatre haches, provenant de Corbières (Aude), six haches provenant de Saint-Estève (Pyrénées-Orientales), et une série d'objets de provenances diverses, conservées au musée de Narbonne [dessins, 2020001/36/48-50]. Poignard, hache et plaque de bronze, provenant de la sépulture de Rame (Hautes-Alpes) [dessin de B. Fournier, 2020001/36/51]. Série de plusieurs objets, provenant d'Ariège, conservés au Muséum de Toulouse [dessins, 2020001/36/52]. Série de haches, provenant des environs de Bâle (Suisse), conservées au musée de Bâle [dessins, 2020001/36/53]. Série de quatre haches, provenant d'Ariège, conservées au musée de Foix [dessins de L. Brossette, 2020001/36/53]. Série de haches, provenant d'Ariège [dessins, 2020001/36/54]. Pointe, poignard et haches, provenant de Lourdes (Hautes-Pyrénées) [dessins, 2020001/36/55]. Quatre haches décorées, provenant des environs de Rennes (Ille-et-Vilaine), conservées au musée de Rennes (?) [dessins, 2020001/36/56]. Haches, rasoirs et pointes, conservés au musée de Rouen [série de trois planches de dessins de R. Pottier, 202001/36/57]. Trois haches et un rasoir, provenant du Tarn, conservés au musée de Périgueux [dessins de L. Brossette, 2020001/36/58]. Série d'objets divers, conservés au musée de Bordeaux [photographies d'A. Pedroni, 2020001/36/59-60]. Séries d'objets provenant de la Fonderie de Notre-Dame-d'Or (Vienne), conservés au musée de Poitiers [dessins de L. Brossette, 2020001/36/61-65]. Hache plate avec deux anneaux latéraux, provenant des environs de Poitiers (Vienne), conservés dans la collection Abbé Bourgeois [dessins de L. Brossette, 2020001/36/66]. Un bracelet non fermé et six haches, provenant de différents sites dans les Deux-Sèvres [dessins de L. Brossette, 2020001/36/67-68]. Série de haches provenant de Saint-Martin (Île de Ré), conservées au musée deLa Rochelle [dessins de L. Brossette, 2020001/36/69]. Série de plusieurs haches, provenant de Bretagne, de Silésie, d'Angleterre, d'Irlande, conservées dans la collection Fournier [dessins, 2020001/36/70-76]. Quatre haches, provenant des environs de Vannes et de Quimper, conservées au musée de Vannes [dessins de L. Brossette, 2020001/36/77]. Cinq haches, provenant de Haute-Garonne [dessins de L. Brossette, 2020001/36/78]. Série de treize haches, provenant de Loire-Atlantique, conservées au musée archéologique de Nantes [dessins de L. Brossette, 2020001/36/79-81]. Trois haches, provenant des étangs en Saint-Philbert-de-Grand-Lieu (Loire-Atlantique) [dessins de L. Brossette, 2020001/36/79]. Quatre haches, provenance non-spécifiée, conservées au musée archéologique de Nantes [dessins de L. Brossette, 202001/36/80]. Deux haches, provenant d'Ittlenheim et de Saverne (Bas-Rhin) [dessins de L. Brossette, 2020001/36/81]. Faucilles gauloises en bronze, provenant d'Oberbronn (Bas-Rhin) [dessins de L. Brossette, 2020001/36/82]. Série d'objets, de provenances diverses [dessins, 2020001/36/83]. Quatre haches, conservées au musée de Montargis [dessins de L. Brossette, 2020001/36/84]. Quatre lames de couteaux, provenant de Woerth (Bas-Rhin) [dessins de L. Brossette, 2020001/36/85]. Hache et une lame de poignard, provenant de Bercy et de Corbeil (Seine et Seine-et-Oise), conservées dans la collection Salmon [dessins de L. Brossette, 2020001/36/86]. Séries de haches, de pointes de lames de poignards, provenant de l'espace germanique [dessins de L. Brossette, 2020001/36/87-88]. Trois haches, provenant de la Fonderie de Caix (Somme), conservées dans la collection Leblanc [dessins de L. Brossette, 2020001/36/89]. Divers objets, provenant de la Marne [dessins extraits de l'album Morel, 2020001/36/90]. Haches et pointes de lance, provenant de la Somme, conservées au musée de Verdun [dessins, 2020001/36/91]. Cinq haches, provenant de l'espace germanique [dessins de L. Brossette, 2020001/36/92-93]. Haches, rasoirs, bracelets non fermés et anneaux, provenant de Frouard (Meurthe-et-Moselle), conservés au musée Lorrain (Nancy) [dessins, 2020001/36/94-95]. Haches, provenant des stations lacustres de Kelt (Suisse), conservées au musée de Zurich [dessins, 2020001/36/96]. Deux épées avec pommeaux, provenant de la Somme [dessins de L. Brossette, 2020001/36/97]. Épingles et couteaux, provenant des stations lacustres du lac de Bienne (Suisse), conservées au musée de Zurich [dessins, 2020001/36/98]. Haches, provenant des stations lacustres de Robenhausen (Suisse), conservées au musée de Zurich [dessins, 2020001/36/99]. Trois haches, provenant de l'espace germanique [dessins de L. Brossette, 2020001/36/100]. Séries de couteaux, de poignards et épingles, provenant des stations lacustres du lac de Bienne (Suisse), conservés au musée de Zurich [dessins de L. Brossette, 2020001/36/101-105]. Deux épingles et un bracelet non fermé, provenant de divers lieux dans l'espace germanique [dessins de L. Brossette, 2020001/36/106]. Haches, provenant de diverses stations lacustres (Suisse), conservées au musée de Zurich [dessins, 2020001/36/107]. Anneaux, pendants, épingles, bracelets et torques, provenant des stations lacustres du lac de Neuchâtel (Suisse) [dessins, 2020001/36/108].

Évaluation, élimination et calendrier de conservation

Accroissements

Mode de classement

Zone des conditions d'accès et d'utilisation

Conditions d’accès

Conditions de reproduction

Langue des documents

Écriture des documents

Notes sur la langue et l'écriture

Caractéristiques matérielle et contraintes techniques

Instruments de recherche

Zone des sources complémentaires

Existence et lieu de conservation des originaux

Existence et lieu de conservation des copies

Unités de description associées

  • Les dessins des pièces suivantes sont issus des albums Cournault du musée d'Archéologie nationale (2019001/1-4) « avec son aimable autorisation » selon une précision manuscrite d'Ernest Chantre : 2020001/36/16 ; 2020001/36/27 ; 2020001/36/31 ; 2020001/36/41 ; 202001/36/47 ; 2020001/36/53 ; 2020001/36/96 ; 2020001/36/98 ; 2020001/36/99 ; 2020001/36/102-105 ; 202001/36/107-108.
  • Les dessins des objets de la pièce 2020001/36/90 sont issus de l'album archéologique de Morel.

Descriptions associées

Zone des notes

Note

Objets de la planche 2020001/36/51 ont été « décalqué[s] sur l'original pour Ernest Chantre » en 1876.

Identifiant(s) alternatif(s)

Mots-clés

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