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Description archivistique
Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye Français
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Collecte des données épigraphiques

Cette sous-série rassemble, pour l'essentiel, des documents de travail ( les carnets et les estampages) composant une partie des archives épigraphiques. On y retrouve les carnets qui recensent les observations effectuées par Creuly et Robert au cours des enquêtes épigraphiques qu'ils ont menées ainsi que les estampages d'inscriptions latines probablement effectués par des correspondants de la CTG. Ainsi que des documents administratifs organisant la collecte des documents et l'envoi par les correspondants.

Creuly, Casimir

Collection des arts graphiques

  • COL/AG
  • Collection
  • 1600 - 1910

Cette collection d’arts graphiques est constituée de pièces réalisées entre le XVIIe siècle et le premier quart du XXe siècle. Il s’agit pour l’essentiel d’estampes (petits formats et hors-format), mais nous pouvons également y retrouver quelques dessins, aquarelles et gouaches.
Les estampes présentées ci-dessous – toutes de petit format – sont au nombre de vingt-neuf. Parmi ces vingt-neuf pièces, vingt-huit remontent au XVIIe siècle, et une seule est de datation indéterminée quoique visiblement tirée d’un ouvrage de la même époque ; elles représentent pour la plupart des vues extérieures des deux châteaux de Saint-Germain-en-Laye et du domaine leur étant associé.
D’abord résidence royale, le domaine de Saint-Germain-en-Laye devient national à la fin du XVIIIe siècle, et est classé monument historique en 1863. Le domaine voit sa gestion fusionner avec celle du musée en 2009 afin de former un unique service à compétence nationale.
Le site de Saint-Germain-en-Laye devient résidence royale au XIIe siècle, lorsque le roi Louis VI décide d'y faire élever un château non fortifié en bois vers 1124. Ce premier château – plus tard surnommé « Château-Vieux » en opposition au « Château-Neuf » des XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles – est fortifié par Philippe-Auguste, qui y fait bâtir une tour-logis en pierre et entoure l’édifice d’un mur de défense. Au XIIIe siècle, le château est agrandi par Louis IX, qui fait notamment bâtir la chapelle castrale dans un style gothique rayonnant. Après avoir subi d’importants dommages pendant la Guerre de Cent ans, le château de Saint-Germain-en-Laye est reconstruit en partie grâce à l’action de Charles V et de son architecte Raymond du Temple.
Sous François Ier, le château devient une résidence royale de premier plan, et sa transformation en style Renaissance est confiée à Pierre Chambiges. Né au Château-Vieux de Saint-Germain-en-Laye en 1519, Henri II entreprend la construction du Château-Neuf en 1559, chantier qu’il attribue à l’architecte Philibert Delorme ; les travaux s’achèvent sous Henri IV, vers 1600.
De 1661 à 1682, Louis XIV réside souvent à Saint-Germain-en-Laye, où il fait réaliser d’importants aménagements, notamment la création des jardins à la française par André Le Nôtre, ainsi que la construction de la Grande Terrasse entre 1663 et 1680. À partir de 1680 commencent les travaux de modification du Château-Vieux, auquel sont ajoutés cinq pavillons d’angles ; ces travaux d'agrandissement du château sont confiés à Jules Hardouin-Mansart. Bien que la cour quitte définitivement Saint-Germain-en-Laye pour Versailles en 1682, le domaine n’est pas complètement laissé à l’abandon, et le Château-Vieux accueille notamment Jacques II, alors en exil, de 1689 jusqu’à sa mort en 1701.
En 1777, Louis XVI fait don du Château-Neuf ruiné à son frère le comte d’Artois, qui le fait démolir dans l’intention d’élever une nouvelle résidence. À la Révolution, le Château-Neuf et une grande partie des dépendances du domaine sont vendus comme biens nationaux.
Sous le Premier Empire, le Château-Vieux accueille l’École spéciale militaire de cavalerie, qui devient en 1914 l’École spéciale militaire de Saint-Cyr. En 1836, l’édifice est transformé en pénitencier militaire, au sein duquel près de cinq cents officiers sont incarcérés. Dès son accession au pouvoir en 1852, Napoléon III se préoccupe du sort du château, et s’oppose ainsi à son usage comme centre pénitentiaire. En décembre 1853, il déclare notamment que « l’existence d’une prison militaire dans l’antique château de Louis XIV est une sorte de profanation […] Le pénitencier sera éloigné de Saint-Germain, et ce château, qui rappelle de grands et nobles souvenirs, sera réparé […] J’ai donné des ordres à cet effet ». Le Château-Vieux est ainsi classé Monument historique dès 1862 (l’ensemble du domaine est classé en 1863), et des travaux de restauration sont rapidement entrepris. Trois architectes se succèdent sur ce chantier colossal : Eugène Millet, Auguste Lafollye et Honoré Daumet.
Le chantier est d’abord confié à l’architecte Eugène Millet, élève d’Eugène Viollet-le-Duc, qui prend le parti de restaurer le château dans son état Renaissance et s’appuie ainsi sur les plans publiés par Jacques Androuet du Cerceau en 1576. Aux plans et aux élévations d’Androuet du Cerceau s’ajoutent des gravures d’Israël Silvestre (milieu du XVIIe siècle), qui permettent d’appréhender le château dans son ensemble dans l’état qui était le sien jusqu’à la fin du XVIIe siècle avec l’accord de la commission des Bâtiments civils. Afin de privilégier l’état XVIe siècle, les pavillons élevés sous Louis XIV sont démontés. En parallèle de la restauration du bâtiment, Millet entreprend l’aménagement des salles du musée, dont il commence à concevoir le mobilier afin de mettre en œuvre une « véritable muséographie destinée à l’archéologie ». Ce travail d’aménagement est ensuite poursuivi par Auguste Laffolye.
Les travaux de réfection de la chapelle sont entrepris à partir de 1873 ; Eugène Millet est chargé d’y ajouter une flèche, dont les travaux commencent avant 1889, et ne sont toujours pas achevés en 1895. Cette flèche est finalement démontée en 1907.
La restauration complète du château ne s’achève qu’en 1908, avec la décoration de l’entrée principale sur la façade ouest et l’aménagement final de plusieurs salles du musée.
La collection des arts graphiques du service des Ressources documentaires du musée d'Archéologie nationale permet de constater les différentes évolutions connues par le domaine et les châteaux de Saint-Germain-en-Laye depuis les XVIe – XVIIe siècles jusqu'au début du XXe siècle.
Au sein de cette collection figurent notamment vingt-neuf estampes du XVIIe siècle ; douze d'entre elles représentent le Château-Vieux, neuf concernent le Château-Neuf, tandis que quatre correspondent à des vues du domaine, et quatre autres à des édifices français extérieurs à Saint-Germain-en-Laye. Ces documents, dont certains sont légendés, voire datés, permettent de retracer l’histoire des deux châteaux de Saint-Germain-en-Laye au cours du XVIIe siècle avec une relative précision. En effet, avec la destruction des pavillons de Louis XIV lors de la restauration du Château-Vieux au XIXe siècle et l’abandon du Château-Neuf dès le XVIIe siècle, les estampes étudiées ici représentent un témoignage exceptionnel de l’état des deux châteaux à cette époque, avant l’effondrement progressif du Château-Neuf et la restauration en style Renaissance du Château-Vieux.
Cette collection d’estampes a été divisée selon quatre ensembles thématiques. Le premier ensemble correspond au Château-Vieux de Saint-Germain-en-Laye, le deuxième au Château-Neuf, le troisième au domaine, et le quatrième et dernier aux vues Hors Saint-Germain-en-Laye. Il s’agit uniquement de vues extérieures, ce qui permet d’appréhender les édifices dans leur contexte.
Si toutes les œuvres ne sont pas signées, trois noms de graveurs reviennent particulièrement : ceux d’Israël Silvestre (1621 – 1691), Adam Pérelle (1638 – 1695) et Pierre Aveline (1656 – 1722). Aux signatures des graveurs sont généralement associées celles des éditeurs, ayant été identifiés comme Israël Henriet (1590 ? – 1661), Nicolas de Poilly (1626 – 1696), Nicolas Langlois (1640 – 1703) et Melchior Tavernier (1594 – 1665). L’identité des graveurs a permis de systématiquement attribuer à chaque estampe une technique de réalisation ; en effet, il semble que tous trois aient travaillé en taille-douce, plus spécifiquement à l’eau-forte.
Ces vingt-neuf estampes semblent en grande partie issues de trois achats de lots, effectués respectivement en 1876, 1888 et 1889 (dates d’entrée dans le registre de la bibliothèque). Chaque lot porte un numéro d’inventaire (4319 pour celui de 1876, 7303 pour celui de 1888 et 7807 pour celui de 1889), numéros se retrouvant à de multiples reprises sur les estampes traitées.
La description se fait ici à la pièce sous forme d'un inventaire.
Plusieurs de ces estampes portent le tampon de la bibliothèque (sur lequel figure parfois leur numéro d’entrée au registre manuscrit), ainsi que le tampon sec du Musée des Antiquités nationales.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

Collections de cartes postales

Dossier n° 1. - Cartes postales : Anatolie et Bulgarie (1938), 31 cartes postales (n. et b.) [une partie des cartes semble avoir été envoyée à D. Garrod, par elle-même]
Dossier n° 2. - Cartes postales : Gibraltar, Italie, Iran, Summer (1939), non-légendées, 14 cartes postales (n. et b.)

Colonies de la Gaule narbonnaise

  • 2017003/7
  • Article
  • Il est à remarquer que le titre du carnet indique « du 30 avril 1872 au 4 juin 1873 » alors que les notes s’arrêtent au mardi 11 juin 1872.
  • Fait partie de Fonds Ernest Desjardins

Carnet de notes manuscrites sur les colonies d’Arles, Nîmes et Vienne prises au cours de Léon Renier.

Compilation des statistiques

Compilation des formulaires imprimés par départements, complétés par des notes manuscrites et accompagnés de cartes par départements issues de l'Atlas Joanne [Volume de 1441 planches reliées, 2020001/1].

Chantre, Ernest

Conservation préventive

Bilan sanitaire : compte-rendu de consultation (2017).
Étude climatique : plans, relevés, notices, notes (1988-2016).
Étude pour projet de réserve : tableau d’état des lieux, étude de faisabilité, correspondance, notices, flyer, mémoire universitaire, article de presse (2002-2017).
Surveillance des salles. - Lutte contre les insectes : photographies (2014-2016). - Réouverture salle Piette : listes des objets avec état des altérations, compte-rendus d’étude, note à l’attention du directeur, projets de rénovation, compte-rendu de réunion
Plan de conservation préventive : guides, mémoire universitaire (1996-2019).

Corrections à l'article (du dictionnaire) écrit par Liénard sur Montplonne fourni en 1865

Manuscrit présentant des corrections à l'article fourni par Félix de Liénard concernant Montplonne en 1865. "L'article que j'ai fourni sur Montplonne dans mon état de 1865 doit être supprimé et remplacé par celui-ci :
Au sud-est de Montplonne, au-delà du bois Ruisnard, se trouve une contrée dite de la Pierre l'Ogre dont l'étendue est assez grande. Deux monuments celtiques existent dans cette contrée : l'un, situé près du bois de Montfromont et à proximité du lieu choisi comme point de signal par les officiers de l'Etat-Major qui l'ont désignée sur leur carte sous le nom de signal de la Pierre l'Ogre. Ce monument est un cromlech dont la pierre centrale est encore debout ; cette pierre est brute et s'élève à 1m30 au-dessus du niveau du sol ; autour d'elle est à 15 mètres de ce point central, se trouvent cinq autres pierres brutes qui forment un cercle de 30 mètres de diamètre. Ce cromlech est placé sur la limite du territoire de Montplonne et de Nant-le-Grand.
Le second monument situé dans la contrée de la Pierre l'Ogre est un menhir ou pierre debout haute de 1m60, large de 0.45, portant des traces d'inscriptions sur trois de ses faces, celles au sud, au nord et à l'ouest. Il s'élève sur une éminence de 50 centimètres et est situé à 1400 mètres au sud de Montplonne.
C'est seulement cet automne que j'ai découvert ces deux monuments. Voici le dessin de celui que j'ai appelé Menhir ou pierre debout."

Commission de Topographie des Gaules

Correspondance

Abbé Philippe : lettres reçues (1911-1950, lettres du Dr Doranlo 1924-1934), lettres envoyées au musée de Saint-Germain-en-Laye (1925-1938), copie d'une lettre envoyée à un destinataire inconnu, lettres concernant le Fort-Harrouard après la mort de l'abbé Philippe (1953-1954).
Scripteur et destinataire inconnus.

Correspondance

Ensemble de courriers et de brouillons adressés par Henri Hubert à Mr et Mme de Filippi dans un cadre privé et pour des travaux de recherches (1901-1908).
Courrier adressé par Henri Hubert à Raymond Lantier d’ordre privé : lettre, enveloppe (1920).
Ensemble de courriers de différents scripteurs (en particulier de Caroline de Fitzgerald, épouse de Filippo Filippi, amis proches d’Henri Hubert) échangeant avec Henri Hubert sur des sujets d’ordre privé (avis de décès, félicitation pour l’obtention de la Légion d’honneur, compte en banque, invitation...) (1878-1927).

Correspondance active, notes

1918 : correspondance avec le Ministère de la Guerre (notes à Mr Paul Léon, lettres d’information, demandes de renseignement, demandes de ravitaillement).
1919 : correspondance avec le Ministère de la Guerre (notes au directeur des beaux-Arts, à Mr Paul Léon, Mr Janneau, et Mr Perdreau, demandes de transports et de matériel pour les dépôts, demandes de renseignements et de ravitaillement pour les dépôts). Lettre au sujet de la restauration de la porte romaine de Reims.
1921 : brouillon d’une note adressée au directeur des Beaux-arts.
Carnet de notes (1916-1917) : travail sur la période de la Première Guerre mondiale traitant spécifiquement de questionnements sur l’artillerie et les chars : notes manuscrites, croquis au crayon de papier.
1920 : travaux de restauration d’œuvres.
Correspondance non datée à propos de contingences matérielles pour le transport des œuvres.

Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet

Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet. Note de Gabriel de Mortillet à Alexandre Bertand lui indiquant le montant estimé de ses frais de mission pour les fouilles des cavernes de Corrèze et de Dordogne, Saint-Germain, 3 novembre 1875, avec accord de Bertrand en date du 5 novembre.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet

Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet. Lettre de Gabriel de Mortillet à Alexandre Bertrand, Saint-Germain le 1er novembre 1871, évoquant le congrès international de Bologne, l'achat du matériel de Golasecca, matériel important pour comprendre l'époque de transition entre les temps préhistoriques et les temps historiques. Page 4.

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Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet

Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet. Lettre de Gabriel de Mortillet à Alexandre Bertrand, Saint-Germain le 1er novembre 1871, évoquant le congrès international de Bologne, l'achat du matériel de Golasecca, matériel important pour comprendre l'époque de transition entre les temps préhistoriques et les temps historiques. Page 2.

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Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet

Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet. Lettre adressée par Gabriel de Mortillet à Alexandre Bertrand au sujet de la visite des musées, 22 décembre 1868, n°8. Page 4.

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Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet

Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet. Lettre adressée par Gabriel de Mortillet à Alexandre Bertrand sur la gestion du musée durant l’absence du directeur, 3 janvier 1869, n°11. Première page.

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Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet

Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet. Lettre de Gabriel de Mortillet à Alexandre Bertrand, Saint-Germain le 1er novembre 1871, évoquant le congrès international de Bologne, l'achat du matériel de Golasecca, matériel important pour comprendre l'époque de transition entre les temps préhistoriques et les temps historiques. Page 3.

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Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet

Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet. Lettre de Gabriel de Mortillet à Alexandre Bertrand, Arona [Italie], 12 octobre 1871, annonçant l'achat de pièces archéologiques à Milan et Golasecca (Italie). Pages 2 et 3.

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Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet

Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet. Lettre de Gabriel de Mortillet à Alexandre Bertrand, Arona [Italie], 12 octobre 1871, annonçant l'achat de pièces archéologiques à Milan et Golasecca (Italie). Page 1.

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Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet

Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet. Lettre adressée par Gabriel de Mortillet à Alexandre Bertrand sur la gestion du musée durant l’absence du directeur, 3 janvier 1869, n°11. Pages 2 et 3.

Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet

Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet. Lettre de Gabriel de Mortillet à Alexandre Bertrand, Saint-Germain le 1er novembre 1871, évoquant le congrès international de Bologne, l'achat du matériel de Golasecca, matériel important pour comprendre l'époque de transition entre les temps préhistoriques et les temps historiques. Page 1.

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Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet

Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet. Lettre adressée par Gabriel de Mortillet à Alexandre Bertrand sur la gestion du musée durant l’absence du directeur, 3 janvier 1869, n°11. Page 4.

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Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet

Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet. Lettre adressée par Gabriel de Mortillet à Alexandre Bertrand au sujet de la visite des musées, 22 décembre 1868, n°8. Pages 2 et 3.

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Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet

Correspondance ancienne, dossier Gabriel de Mortillet. Lettre adressée par Gabriel de Mortillet à Alexandre Bertrand au sujet de la visite des musées, 22 décembre 1868, n°8. Première page.

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Correspondance et travaux

Nomination à la Commission, frais de déplacement, comptes rendus des séances de travail, commandes de moulages, travail sur un projet de règlement d’administration publique (1920), brouillons de lettres au directeur des Beaux-Arts, lettres, coupure de presse, brouillon de lettre, document tapuscrit, notes de frais, rapport de séance, listes.

Correspondance passive

1914 : correspondance avec le Ministère de l’Instruction Publique et des Beaux-Arts, le Ministère de l’Armement, le colonel Prudent, les Musées nationaux, le château de Châteaudun, la faculté des Lettres, l’École Française d’Extrême-Orient, et quelques particuliers.
1918 : correspondance avec le Ministère de la Guerre (Paul Léon, la direction des services automobiles, le service des régions libérées), et le Ministère de l’Instruction Publique et des Beaux-Arts.
1919 : correspondance avec le Ministère de la Guerre, le Ministère de l’Instruction Publique et des Beaux-Arts, des architectes, des entreprises, la Mission militaire française (monuments et œuvres d’art de la zone des armées), la direction des services d’architecture des Beaux-Arts, le Ministère des régions libérées, le Ministère de la reconstruction industrielle (rattaché au Ministère des Beaux-Arts), le Conseil de Guerre, les Musées nationaux (Palais du Louvre), des correspondants à Wiesbaden, l’Institut de France, plusieurs mairies et musées départementaux s’informant de leurs œuvres évacuées et des interlocuteurs pour la gestion des dépôts d’œuvres évacuées (instructions, matériel, transports).
1919-1921 : correspondance avec M. Toussaint.

Correspondance passive, classement alphabétique (B à G)

21 dossiers de correspondants : Comte Begouen, A. Bergy, Dr. m. Bird, A. C. Blanc, H. Breuil, Britisch School of Archaeology in Jerusalem, British Academy (London), Center for Prehistory and Palaeontology (Nairobi), Center for the Study of World Religious Harvard University, Emir M. Chebab, D. Clark, W. H. Cook (Medway Natural Science Society), L. Copeland, G. Daniel (B.B.C.), H. Danthine, Professor D.V. Davies, P. Ducos (E.P.H.E.), D. Fleisch, H. Fleisch, Dr. E. G. Gobert, P. Gordon Williams, 64 pièces.

Correspondance passive, classement alphabétique (H à Z)

Dossier n° 1. - correspondance : de "Jean Haller" à "Jacob Olami", 22 dossiers de correspondants : J. Haller, H. Hencken (American School of Prehistoric Research), G. Henri-Martin, E. S. Higgs, D. A. Hooiger, B. Howe, F. Clark Howell, Dr. Howells, Institut für Urgeschichte (Köln), Institut de Paléontologie (Paris), A. J. Jelinek, D. Kirkbride, B. R. Landes, G. Lecointre, J. Mac Curdy, Medmenham Club, M. Mottl, H. L. Movius Jr., M. Wheeles (National Museum of Wales), K. P. Oakley (British Museum), Dr. G. Freund (Hugo Obermair Gesellschaft), J. Olami (contient 1 dossier sur la grotte d'Ornith (Carmel, Israël) avec copie de plans, planches de dessin de matériel lithique et 10 photographies du gisement (1955-1956), contient également 6 photographies du Wady el-Mughara et des grottes de Mugharet el-Wad et Mugharet el-Tabun, prises en 1959), 81 pièces.

Dossier n° 2. - correspondance : de "The Oriental Institute of the University of Chicago" à "P. Zuilhard", 29 dossiers de correspondants : The Oriental Institute of the University of Chicago, H. H. V. der Osten, Palestine Archaeological Museum, J. Perrot, Dr. Pervès, Prime Minister, F. Hole (Rice University, Houston, Texas), E. H. Rogers (Devon Archaeological Exploration Society), Royal air Forces Escaping Society, Miss Sandars, J. Skinner, Mrs N. P. Sloan, Society of Antiquaries of London, R. Solecki, Sol Tax (Editor), M. Stekelis, G. cain Thompson, Department of Geography (University College, London), Institute of Archaeology (University of London), University of Kentucky, University Press Cambridge, Universität zu Köln, H. V. Vallois (Institut de Paléontologie, Paris), Dr. Vella, H. Wanabe (Anthropological Institute Faculty of Science Tokyo University), Wenner-Gren Foundation for Anthropological Research, R. B. Woodbury, E. Wreschner, P. Zuilhard, 67 pièces.

Correspondance passive, classement chronologique

Dossier n° 1. - correspondance passive (1923-1968), 46 pièces
Dossier n° 2. - correspondance non identifiée, (1960, 1964 et s.d.), 11 pièces
Contient également une note de S. Cassou de Saint-Mathurin et une liste d'adresses de la main de Dorothy Garrod.

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