- OBJ_20181113_VG_30
- Pièce
- 2018
Fait partie de Fonds photographique du MAN
Disque perforé, silex, Saint-Germain-en-Laye (Yvelines), diam. 179 mm, l. 51 mm. Âge du Bronze. Don Bonassy d’Achères 1969
Verso
Fait partie de Fonds photographique du MAN
Disque perforé, silex, Saint-Germain-en-Laye (Yvelines), diam. 179 mm, l. 51 mm. Âge du Bronze. Don Bonassy d’Achères 1969
Verso
Fait partie de Fonds photographique du MAN
Disque perforé, silex, Saint-Germain-en-Laye (Yvelines), diam. 179 mm, l. 51 mm. Âge du Bronze. Don Bonassy d’Achères 1969. MAN 83053.
Recto
Fait partie de Fonds photographique du MAN
Pendant de cordelière, boule de quartz avec monture d'argent, provenant de Vicq (Yvelines). D. : 0,03 m. Fouilles Moutié 1850. Époque mérovingienne, VIe siècle après J.-C.
Photo sans échelle
Fait partie de Fonds photographique du MAN
Pendant de cordelière, boule de quartz avec monture d'argent, provenant de Vicq (Yvelines). D. : 0,03 m. Fouilles Moutié 1850. Époque mérovingienne, VIe siècle après J.-C.
Fait partie de Fonds photographique du MAN
Pendant de cordelière, boule de quartz avec monture d'argent, provenant de Vicq (Yvelines). D. : 0,03 m. Fouilles Moutié 1850. Epoque mérovingienne, VIe siècle après J.-C.
Photo de dessus permettant de voir le fil enroulé autour de la suspension sans échelle
Fait partie de Fonds photographique du MAN
Pendant de cordelière, boule de quartz avec monture d'argent, provenant de Vicq (Yvelines). D. : 0,03 m. Fouilles Moutié 1850. Époque mérovingienne, VIe siècle après J.-C.
Photo avec échelle
Fait partie de Fonds photographique du MAN
Pendant de cordelière, boule de quartz avec monture d'argent, provenant de Vicq (Yvelines). D. : 0,03 m. Fouilles Moutié 1850. Époque mérovingienne, VIe siècle après J.-C.
Photo permettant de voir le fil enroulé autour de la suspension sans échelle
Fait partie de Fonds photographique du MAN
Pendant de cordelière, boule de quartz avec monture d'argent, provenant de Vicq (Yvelines). D. : 0,03 m. Fouilles Moutié 1850. Époque mérovingienne, VIe siècle après J.-C.
Photo de dessus permettant de voir le fil enroulé autour de la suspension avec échelle
Fait partie de Fonds photographique du MAN
MAN 91960. Hache à talon naissant. Début de l'âge du Bronze moyen. XVIe siècle avant J.-C. Découverte à Plaisir (Yvelines) en 1889. Alliage cuivreux. L. : 14 cm. Don de la SAMAN (2022). Côté
Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye
Fait partie de Fonds photographique du MAN
MAN 91960. Hache à talon naissant. Début de l'âge du Bronze moyen. XVIe siècle avant J.-C. Découverte à Plaisir (Yvelines) en 1889. Alliage cuivreux. L. : 14 cm. Don de la SAMAN (2022). Recto.
Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye
Fait partie de Fonds photographique du MAN
MAN 91960. Hache à talon naissant. Début de l'âge du Bronze moyen. XVIe siècle avant J.-C. Découverte à Plaisir (Yvelines) en 1889. Alliage cuivreux. L. : 14 cm. Don de la SAMAN (2022). Verso.
Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye
Fait partie de Fonds photographique du MAN
MAN 91960. Hache à talon naissant. Début de l'âge du Bronze moyen. XVIe siècle avant J.-C. Découverte à Plaisir (Yvelines) en 1889. Alliage cuivreux. L. : 14 cm. Don de la SAMAN (2022). Côté
Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye
MAN 91960 ; MAN 69549 ; MAN 69550
Fait partie de Fonds photographique du MAN
MAN 91960 : hache à talon naissant. Début de l'âge du Bronze moyen. XVIe siècle avant J.-C. Découverte à Plaisir (Yvelines) en 1889 ; MAN 69549 ; MAN 69550 : deux tirages en plâtre de la hache découverte à Plaisir MAN 91960. Ensemble de la hache et des deux moulages.
Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye
Moule 10098 ; Moule 10114 ; Moule 10092 ; Moule 10112 ; Moule 10165 ; Moule 10084
Fait partie de Fonds photographique du MAN
Six moules à pièces d’objets métalliques découverts à Alise-Sainte-Reine (Côte-d'Or). Plâtre. L. 0,195 m ; l. 0,115 m ; Ep. 0,085 m (MAN 10084) ; L. 0,5 m ; l. 0,12 m ; Ep. 0,09 m (MAN 10092) ; L. 0,355 m ; l. 0,105 m ; Ep. 0,08 m (MAN 10098) ; L. 0,32 m ; l. 0,115 m ; Ep. 0,07 m (MAN 10112) ; L. 0,3 m ; l. 0,115 m ; Ep. 0,085 m (MAN 10114) ; L. 0,26 m ; l. 0,26 m ; Ep. 0,125 m (MAN 10165). Production de l’atelier de moulages du musée de Saint-Germain-en-Laye. 1869.
Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye
Moule 10098 ; Moule 10114 ; Moule 10092 ; Moule 10112 ; Moule 10165 ; Moule 10084
Fait partie de Fonds photographique du MAN
Six moules à pièces d’objets métalliques découverts à Alise-Sainte-Reine (Côte-d'Or). Plâtre. L. 0,195 m ; l. 0,115 m ; Ep. 0,085 m (MAN 10084) ; L. 0,5 m ; l. 0,12 m ; Ep. 0,09 m (MAN 10092) ; L. 0,355 m ; l. 0,105 m ; Ep. 0,08 m (MAN 10098) ; L. 0,32 m ; l. 0,115 m ; Ep. 0,07 m (MAN 10112) ; L. 0,3 m ; l. 0,115 m ; Ep. 0,085 m (MAN 10114) ; L. 0,26 m ; l. 0,26 m ; Ep. 0,125 m (MAN 10165). Production de l’atelier de moulages du musée de Saint-Germain-en-Laye. 1869.
Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye
Fait partie de Fonds photographique du MAN
Moule à pièces d’une arme découverte à Alise-Sainte-Reine (Côte d'Or), plâtre. L. 0,32 m ; l. 0,115 m ; Ep. 0,07 m. Production de l’atelier de moulages du musée de Saint-Germain-en-Laye. 1869.
Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye
Fait partie de Fonds photographique du MAN
Moule à pièces d’une arme découverte à Alise-Sainte-Reine (Côte-d'Or) avec un tirage moderne réalisé par Philippe Catro en 2019, plâtre. L. 0,32 m ; l. 0,115 m ; Ep. 0,07 m. Production de l’atelier de moulages du musée de Saint-Germain-en-Laye. 1869.
Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye
Fait partie de Fonds photographique du MAN
Moule à pièces d’une arme découverte à Alise-Sainte-Reine (Côte-d'Or) avec un tirage moderne réalisé par Philippe Catro en 2019, plâtre. L. 0,32 m ; l. 0,115 m ; Ep. 0,07 m. Production de l’atelier de moulages du musée de Saint-Germain-en-Laye. 1869.
Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye
Fait partie de Fonds photographique du MAN
Moule à pièces d’une arme découverte à Alise-Sainte-Reine (Côte-d'Or) avec un tirage moderne réalisé par Philippe Catro en 2019, plâtre. L. 0,32 m ; l. 0,115 m ; Ep. 0,07 m. Production de l’atelier de moulages du musée de Saint-Germain-en-Laye. 1869.
Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye
Fait partie de Fonds photographique du MAN
Moule à pièces d’une arme découverte à Alise-Sainte-Reine (Côte d'Or), plâtre. L. 0,32 m ; l. 0,115 m ; Ep. 0,07 m. Production de l’atelier de moulages du musée de Saint-Germain-en-Laye. 1869.
Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye
Fait partie de Fonds photographique du MAN
Moule à pièces d’une arme découverte à Alise-Sainte-Reine (Côte-d'Or) avec un tirage moderne réalisé par Philippe Catro en 2019, plâtre. L. 0,32 m ; l. 0,115 m ; Ep. 0,07 m. Production de l’atelier de moulages du musée de Saint-Germain-en-Laye. 1869.
Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye
Moules d'armes d'Alise (Moules 10084, 10092, 10098, 10112, 10114, 10165)
Fait partie de Projet EUROPEANA Archaeology
Ensemble de moules à bon breux pris sur des armes d'Alise-Sainte-Reine découvertes lors des douilles impériale (1862-1865)
Atelier d’Abel Maître, Ensemble de moules à bon creux pris sur les armes d’Alise-Sainte-Reine
Deuxième moitié du XIXe siècle.
Saint-Germain-en-Laye, MAN. collection des moules
Les moules correspondent à une série de tirages inscrits au registre d’entrée des collections du musée en 1869. Cependant, Abel Maître possédait dès 1864, dans son atelier de la rue de Sèvres à Paris, plus de 100 moules des armes d’Alise.
Devant la difficulté de constituer les collections du Musée gallo-romain et afin d’en assurer la promotion, les techniques du moulage s’imposent rapidement pour répondre aux besoins de produire des copies d’objets provenant des fouilles archéologiques et ayant une valeur historique, technique ou artistique.
La diversité et la complexité des formes de l’ensemble des objets à mouler – fibules, pointes de lance, épées, umbos, couteaux, éperons, etc. – exige d’utiliser la technique du moule à pièces en plâtre, ou dit « à bon creux », afin obtenir une empreinte parfaite de la pièce et surtout de pouvoir la démouler sans la casser. Ce procédé facilite également le démoulage de la copie en plâtre. En dernier lieu, la réalisation d’une patine à la gomme-laque, mélangée avec des pigments de couleurs, permet d’obtenir une copie conforme à l’original.
À la fin du XIXe siècle, le musée de Saint-Germain possède près de 150 moules des armes découvertes à Alise-Sainte-Reine, notés sur le registre de l’atelier de moulages et correspondant à deux séries de tirages en plâtre inscrites au registre d’entrée des collections du musée en 1868 et 1869 (MAN 9274 à 9285 et MAN 10050 à 10184).
S’il est aujourd’hui impossible, en l’absence de documents d’archives, d’avoir des chiffres sur la vente des tirages issus de ces moules, le MAN conserve en revanche un registre des échanges indiquant l’envoi de 11 lots de reproductions de ces armes entre 1869 et 1885, au musée d’artillerie à Paris, dans les musées de province (Beaune, Annecy, Rouen, Orléans, La Flèche, Cahors, Gray et Bar-le-Duc) et au musée de Copenhague.
Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye
Photographie de la Salle d'Alésia (SN)
Fait partie de Projet EUROPEANA Archaeology
Photographie montrant la salle de la Conquête, ou Salle d’Alésia, vers 1890
Auteur inconnu
La salle D'Alésia, appelée également salle de la Conquête, ou salle de César, est la salle XIII, située au premier étage du musée des Antiquités nationale, aujourd'hui musée d'Archéologie nationale. Elle est conçue comme une véritable illustration du tome 2 de l'Histoire de Jules César par Napoléon III et un hymne au génie militaire de César. Pourtant, l'empereur des Français qui a beaucoup contribué sur sa cassette personnelle à son élaboration, ne l'aura jamais vu dans son état définitif puisqu'elle n'est achevée qu'en 1879.
La muséographie de la Salle d’Alésia est démonstrative et didactique. L’art militaire romain en est le cœur. Les maquettes en plâtre peint des appareils de siège d’Avaricum, Alésia, Uxellodunum et du pont sur le Rhin côtoient les modèles réduits des catapultes et les reconstitutions de pilums. Au centre, l’immense plan d’Alise-Sainte-Reine restitue la topographie des lieux à partir des relevés de l’État-major et des vues photographiques. Le matériel archéologique découvert lors des fouilles impériales, Alise-Sainte-Reine, Gergovie, Puy d'Issolud, Bibracte, et de nombreux moulages sont présentés autour de la salle.
Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye
Photographie de la grande baliste - vue de face (PV_01694)
Fait partie de Projet EUROPEANA Archaeology
Photographie représentant la reconstitution grandeur nature d'une grande baliste romaine réalisée par Auguste Verchère de Reffye. L'arme de jet est installée dans la cour du château de Saint-Germain-en-Laye vers 1870.
Musée d'Archéologie nationale, centre des archives, fonds photographique
Mis au point dans le monde grec au IVe s. av. J.-C., les engins balistiques connaissent d’importants développements techniques à l’époque impériale romaine. La propulsion de flèches et de traits, se fait grâce à l’énergie dégagée par le relâchement de faisceaux de cordages souples et résistants torsadés, installés dans un cadre mis sous tension par un treuil. Les machines, utilisées sur mer et sur terre, sont des armes offensives et défensives, plus légères à partir du IIe siècle, et facilement transportées et démontées. Vers 1860, à l’époque où Auguste de Reffye (1821-1880) réalise ces modèles de machines de guerre romaines, on ne connaît pas de vestiges de ces engins, et le polytechnicien, artilleur, excellent mécanicien, comme ses prédécesseurs, étudie les traités techniques grecs et latins. Il reçoit pour cela l’aide de philologues français qui, souvent sur commande de Napoléon III, œuvrent à la traduction de traités techniques grecs, comme le mathématicien Alexandre Vincent (1797-1868) ou l'helléniste Emmanuel Miller (1810-1886). Il exploite également des ressources iconographiques jusqu'alors négligées : les représentations de machines de guerre figurant sur la colonne Trajane, érigée à Rome en 113 après J.-C., et la stèle funéraire ornée d'une catapulte de Caius Vedennius Moderatus, ingénieur à l'arsenal de Rome à la fin du Ier siècle.
Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye
Photographie du matériel archéologique (Album blanc, n°5, p. 259)
Fait partie de Projet EUROPEANA Archaeology
Photographie des armes découvertes découvertes lors des fouilles d'Alise-Sainte-reine à leur arrivée au Musée gallo-romain.
Mention au crayon « Feuille d’Alise Ste Reine »
MAN, centre des archives, fonds photographique, Album blanc n°5, planche 259, cliché 863.
Le matériel archéologique découvert lors des fouilles ordonnées par l'empereur Napoléon III à Alise-Sainte-Reine (1861-1865) est abondant. Composé pour l'essentiel de pièces d'armement, les objets, après avoir été restaurés dans les atelier de Meudon dirigés par Auguste Verchère de Reffye, sont fixés sur des planches, selon une mise en scène esthétique, pour y être photographiés. Ces planches sont destinées à être ensuite adaptées dans les vitrines de la salle d'Alésia, appelée également salle de César ou salle de la Conquête, au Musée gallo-romain créé en1862.
La plaque de verre à l'origine du tirage montre l'environnement de la prise de vue : la cour du château de Saint-Germain-en-Laye. Une mention d'août 1864, dans le Journal de Philibert Beaune qui est alors attaché à la conservation du Musée gallo-romain, fait part de l'arrivée des objets restaurés au musée.
Plan d'une partie des vestiges du Château-Neuf de Saint-Germain-en-Laye
Fait partie de Corpus numérique sur l'histoire du château et des jardins de Saint-Germain-en-Laye
Fait partie de Fonds photographique du MAN
Château de Saint-Germain-en-Laye, salle « Louis XIV », cheminée en marbre, vers 1682-1685.
Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye
Fait partie de Fonds photographique du MAN
Château de Saint-Germain-en-Laye, plafond de la salle « Louis XIV », bois, vers 1682-1685. Vue resserrée sur l'octogone.
Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye
Fait partie de Fonds photographique du MAN
Château de Saint-Germain-en-Laye, dessus de la porte remontée dans l’un des bureaux du premier étage, bois, vers 1682-1685.
Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye
Fait partie de Fonds photographique du MAN
Château de Saint-Germain-en-Laye, vestibule du bureau du directeur, dessus de porte avec frise sculptée provenant de l’appartement du Dauphin ou de celui de la Dauphine, bois, vers 1682-1685.
Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye
Fait partie de Fonds photographique du MAN
Château de Saint-Germain-en-Laye, salle « Louis XIV », porte menant vers le bureau du directeur, bois, vers 1682-1685.
Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye
Fait partie de Fonds photographique du MAN
Château de Saint-Germain-en-Laye, bas-relief au chiffre de la Dauphine dans la salle « Louis XIV » entre les fenêtres sur cour, bois, vers 1682-1685.
Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye
Fait partie de Fonds photographique du MAN
Château de Saint-Germain-en-Laye, salle « Louis XIV », lambris d’appui, bois, vers 1682-1685.
Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye
Fait partie de Fonds photographique du MAN
Château de Saint-Germain-en-Laye, plafond de la salle « Louis XIV », bois, vers 1682-1685. Vue avec le lustre.
Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye
Travaux et suivi des travaux du Château de Saint-Germain-en-laye
Le fonds rassemble une typologie documentaire propre à l’activité de conservation, de restauration, d’aménagement et d’entretien d’un monument historique.
Nomenclature budgétaire
La nomenclature budgétaire des travaux de restauration est exprimée en titres (annualité), chapitres (spécialité) et articles (unité). Elle se présente sous la forme de chapitres budgétaire. Parmi les titres du budget de l’État nous retrouvons :
Il existe un cadre particulier du budget des monuments historiques appartenant à l’État, pour lesquelles la nomenclature budgétaire s’exprime essentiellement dans les quelques chapitres suivants :
Procédure pour les gros travaux
Le gros œuvre correspond aux travaux de conservation ou de restauration nécessités par l’état des monuments les plus gravement atteints. Ces travaux sont financés sur le chapitre 56-20 article 50. Ils sont menés sous la maîtrise d’ouvrage du SNT. Le maître d’œuvre est l’ACMH territorialement compétent, c’est-à-dire qu’il établit le projet et en contrôle l’exécution. Il travaille en plusieurs étapes :
L’étude préalable (EP) dont l’objectif est d’avoir une connaissance précise des travaux à conduire, et de leur éventuel phasage. Elle fait l’historique du bâtiment et propose des restaurations. Elle a valeur de permis de construire.
Le projet architectural et technique (PAT) fait partie du dossier d’appel d’offres (ou dossier de consultation des entreprises) et complète l’étude préalable. Il sert à la mise en concurrence des entreprises. Il comprend :
Le marché public se compose de plusieurs pièces :
Le suivi des travaux :
La création du dossier documentaire des ouvrages exécutés (DOE ou DDOE) ou rapport de restauration.
L’initiative du lancement d’une procédure appartient soit au directeur de l’organisme, soit aux services dépendant de la direction du patrimoine. Au cours des visites pluriannuelles faites par l’ABF, l’ACMH ou le CRMH, l’administrateur constate avec l’aide de ce dernier les désordres. Si ceux-ci sont de faible importance, il voit avec l’ABF comment les réduire, éventuellement sur des crédits d’entretien. S’ils sont importants, l’ABF saisit, en liaison avec l’administrateur, le CRMH du problème. Celui-ci, accompagné de l’ABF et de l’ACMH, prend la mesure des travaux à mener. Le CRMH, après consultation de l’administrateur sur une éventuelle priorité, commande à l’ACMH une étude préalable. La durée de l’étude préalable est de six mois. À la réception de l’étude, le CRMH demande obligatoirement l’avis de l’inspection des monuments historiques et de l’inspection générale des monuments historiques territorialement compétentes. Cet avis est réputé favorablement dans un délai de deux mois, avant de passer à la phase suivante de mise au point du projet de restauration par la commande d’un PAT. Le délai est de sept mois au minimum après la réception de la commande par l’ACMH du PAT. On peut considérer qu’à partir du moment où la commande d’étude préalable a été passée à l’ACMH, un délai moyen de deux ans est inévitable avant le commencement des travaux, compte-tenu des contraintes d’avis, de marchés, de gestion comptable, etc. Le CRMH engage les crédits et parallèlement, passe commande du PAT, prépare les marchés et les appels d’offre, passe les marchés. L’ACMH signe alors les ordres de services aux entreprises et suit le déroulement des travaux. Il importe que le règlement du chantier soit élaboré en concertation entre l’ACMH et le directeur. Chaque réunion de chantier doit se faire en présence du directeur. La réception des travaux est réalisée par l’ACMH, le directeur et le CRMH.
Procédure pour les travaux d’entretien
L’entretien correspond à l’action préventive ou curative, qui, avec des moyens réduits, empêche l’apparition d’un désordre, le supprime ou en arrête l’extension. Elle est l’entière responsabilité du directeur. L’ABF doit au cours de ses visites d’inspection pluriannuelles, le lui rappeler. L’action curative appartient à l’ABF en concertation avec l’ACMH et le directeur. L’ABF est obligatoirement le maître d’œuvre de ces travaux. Il dispose d’un crédit annuel dont il assume la programmation. L’ordre de service des travaux d’entretien est établi suivant un modèle défini. Une copie est adressée au conservateur régional ainsi qu’à l’ACMH. L’ABF signe le permis de feu autorisant l’entreprise à entreprendre des travaux.
Procédure pour les travaux neufs
Dans certains cas, des travaux d’investissement doivent être menés afin d’aménager dans le monument un accueil, des locaux professionnels, voire des bureaux ou des logements. Lorsque ces travaux ne modifient pas les parties sensibles du monument, le régime des travaux sur les immeubles classés parmi les monuments historiques ne s’applique plus. Il faut alors appliquer les textes sur l’ingénierie. Dans la plupart des cas l’initiative appartient au directeur de faire connaître, au travers de son rapport d’activité annuel, ses besoins en matière de travaux d’amélioration : de l’accueil du public, des conditions de travail de ses agents, des logements de service. Un programme détaillé de l’opération doit alors être effectué en liaison avec les utilisateurs du monument, l’ABF, l’ACMH et le CMN afin de vérifier la nécessité et la faisabilité du projet au regard des exigences des biens et du public, et du respect du monument.
Musée d'Archéologie nationale - Domaine national de Saint-Germain-en-Laye
Vue du Château-Neuf depuis la Seine
Fait partie de Collection des arts graphiques
Estampe en noir et blanc représentant une vue du Château-Neuf de Saint-Germain-en-Laye depuis la Seine.
Inscription : « Je suis ce Sainct Germain dont la voix de l’Histoire/Dira malgré le temps des louanges sans fin/Je suis le nompareil, mais la plus grande gloire/Me vient d’avoir veu naistre un Ilustre Dauphin » en partie inférieure de part et d’autre du nom de l’auteur.
Mention d’auteur et d’éditeur gravée au centre en partie inférieure (« Israel ex. ») ; dans l’angle inférieur droit est gravé le numéro « 12 ».
D’après FAUCHEUX, Louis-Étienne. Catalogue raisonné de toutes les estampes qui forment l’œuvre d’Israel Silvestre : précédé d’une notice sur sa vie. Paris, 1857, les vers gravés seraient de Collet.
Silvestre, Israël
« Le château neuf de Saint Germain en Laye »
Fait partie de Collection des arts graphiques
Estampe en noir et blanc représentant l’entrée du Château-Neuf de Saint-Germain-en-Laye située sur la façade ouest.
Langlois, Nicolas
« L’entrée de l’église de Ruel »
Fait partie de Collection des arts graphiques
Estampe en noir et blanc représentant la façade occidentale de l’église de Rueil depuis le nord-ouest.
Titre et mention d’éditeur gravés en partie inférieure (de gauche à droite : « L’entrée de l’église de Ruel/Israel excud »).
Silvestre, Israël
« Portrait des Chasteaux royaux de St Germain en Laye »
Fait partie de Collection des arts graphiques
Estampe en noir et blanc représentant une vue aérienne des terrasses, du Château-Neuf et du Château-Vieux de Saint-Germain-en-Laye en arrière plan. Le plan est légendé et orné de deux ensembles d’armoiries.
Inscription : « 1 La basse cour a 39 toises de long et 26 de large/2 Le viel chasteau a de façade 35 toises et de costé 45/ 3 Le jeu de paulme/4 Le grand jardin du roy a 150 toises de long et 97 de large/5 Le parc a 1445 toises de long et 382 de large/6 La cour dentre les deux chasteaux a 134 toises de long et 84 de large./7 Les deux cours des offices ont 28 toises de long et 20 de large./8 La cour de devant la grande salle a 30 en care./9 Les galleries du roy et de la royne ont 34 toises de long et 3 de large./10 La grande salle a 14 toises de long et 5 de large./ 11 Les deux petits jardins ont 61 toises de long et 25 de large./12 Les deux chapelles du roy et de la royne./ 13 la grolle des orgues./14 La grotte de neptune./15 La grotte de persée./16 La grotte d’Orphée./17 les deux bosquets ont chacun 50 toises de long et 40 de large./18 Le jardin qui est entre les deux bosquets a 84 toises de lon[sic] et 40 de large./19 Le jardin en pente a 113 toises de lon[sic] et 50 de large./20 Le jardin des canaux a 113 toises de long et 85 de large./21La rivière de Seyne/Du depuis la rivière jusques a la cour/qui est devant la grande salle il y a/28 toises de pente » de part et d’autre du motif.
Lasne, Michel
Fait partie de Collection des arts graphiques
Estampe en noir et blanc représentant le parterre et la façade nord du Château-Vieux de Saint-Germain-en-Laye.
Titre et mentions d’auteur et d’éditeur gravés en partie inférieure (de gauche à droite : « St. Germain en Laye./A Paris Chez N. Langlois, rüe St Jacques, à la Victoire, Avec Privilege du Roy/fait par Perelle »).
Pérelle, Adam
Fait partie de Collection des arts graphiques
Estampe en noir et blanc représentant le parterre et la façade nord du Château-Vieux de Saint-Germain-en-Laye.
Inscription : « St. Germain en Laye. du côté du jardin est la plus large façade des cinq qui en composent. Le pourtour, et dans laquelle est l’appartement du Roy dégagé en dehors par un balcon /de fer doré qui regne alentour. La terrasse qui a esté faite devant la Contre-Escarpe du fossé, sert pour passer de la cour des cuisines dans le Parc, et aller au mail qui a esté fait depuis peu sur le dessin de Mr le Nostre, ainsi que le parterre avec les 3 fontaines » en partie inférieure.
Titre et mentions d’auteur et d’éditeur gravés en partie inférieure à droite (de gauche à droite : « A Paris chez N. Langlois, ruë St Jacques, à la Victoire, Avec Privilege du Roy/fait par Perelle »).
Pérelle, Adam
« Veue de Sainct Germain en Laye »
Fait partie de Collection des arts graphiques
Estampe en noir et blanc représentant une vue en contre-plongée de la terrasse sur laquelle est visible un détail du pavillon Henri IV.
Titre et mentions d’auteur et d’éditeur gravés en partie inférieure (de gauche à droite : « Silvestre fecit/Veue de Sainct Germain en Laye/Israel Excud »).
Silvestre, Israël
« Veue du Chasteau de Saint Germain en Laye »
Fait partie de Collection des arts graphiques
Estampe en noir et blanc représentant l’entrée principale du Château-Vieux de Saint-Germain-en-Laye, ouverte dans la façade ouest.
Titre et mention d’auteur gravés en partie inférieure (de gauche à droite : « Israel Silvestre fecit/Veue du Chasteau de Saint Germain en Laye/cum privil. Regis »).
Silvestre, Israël
« Veüe de la Chapelle du château de Saint Germain en Laye »
Fait partie de Collection des arts graphiques
Estampe en noir et blanc représentant l’extérieur de la chapelle du Château-Vieux de Saint-Germain-en-Laye depuis la rue.
Titre gravé au centre en partie inférieure (« Veüe de la Chapelle du château de Saint Germain en Laye ») ; la mention d’auteur a été coupée.
Silvestre, Israël
« Veüe de l’entrée du vieux chasteau de Saint germain en Laye »
Fait partie de Collection des arts graphiques
Estampe en noir et blanc représentant la façade ouest et l’entrée principale du Château-Vieux de Saint-Germain-en-Laye.
Titre et mentions d’auteur et d’éditeur gravés en partie inférieure (de gauche à droite : « Silvestre sculp./Veüe de l’entrée du vieux chasteau de Saint germain en Laye/Israel excut. cum privil. Regis »).
Porte le numéro « 50 » dans l’angle inférieur droit.
Silvestre, Israël
« Veüe des Chasteaus de St. Germain en Laye »
Fait partie de Collection des arts graphiques
Estampe en noir et blanc représentant une partie de la façade sud du Château-Vieux de Saint-Germain-en-Laye au premier plan et le Château-Neuf au second plan.
Titre et mentions d’auteur et d’éditeur gravés en partie inférieure (de gauche à droite : « Israel Silvestre delin. et sculp/Veüe des Chasteaus de St. Germain en Laye/Israel Henriet ex. cum privil. Regis »).
Porte le numéro « 51 » dans l’angle inférieur droit.
Silvestre, Israël
« Veüe des Chasteaus de St. Germain en Laye »
Fait partie de Collection des arts graphiques
Estampe en noir et blanc représentant une partie de la façade [sud] du Château-Vieux de Saint-Germain-en-Laye au premier plan et le Château-Neuf au second plan.
Titre gravé en partie inférieure. Les mentions d’auteur et d’éditeur ont été coupées.
Silvestre, Israël
« Veüe du Chateau de St. Germain en Laye »
Fait partie de Collection des arts graphiques
Estampe en noir et blanc représentant les façades nord et est du Château-Vieux de Saint-Germain-en-Laye.
Titre, mention d’auteur et date de création gravés en partie inférieure (de haut en bas puis de gauche à droite : « Veüe du Chateau de St. Germain en Laye/dessiné et gravé par Israel Silvestre. 1658. »).
Silvestre, Israël
« Veüe du château neuf de St. Germain en Laye »
Fait partie de Collection des arts graphiques
Estampe en noir et blanc représentant la façade est du Château-Neuf de Saint-Germain-en-Laye, et son parterre sur lequel marchent des promeneurs.
Titre et mentions d’auteur et d’éditeur gravés en partie inférieure (de haut en bas puis de gauche à droite : « Veüe du château neuf de St. Germain en Laye/A Paris Chez N. Langlois, rüe St Jacques, à la Victoire, Avec Privilege du Roy/dessiné et gravé par perelle »).
Pérelle, Adam
« Veüe et Perspective de l’Entrée du Chateau neuf de St. Germain-en-Laye du costé de l’eau »
Fait partie de Collection des arts graphiques
Estampe en noir et blanc représentant la façade est et l’entrée du Château-Neuf de Saint-Germain-en-Laye depuis la Seine, en arrière-plan de deux terrasses successives.
Titre et mentions d’auteur gravés en partie inférieure (de gauche à droite : « De Poilly ex. c.p.r/Veüe et Perspective de l’Entrée du Chateau neuf de St. Germain-en-Laye du costé de l’eau/Perelle f »).
Pérelle, Adam